obelix a écrit :jost a écrit :municio a écrit :N'oublions pas qu'une profondeur est une hauteur inversée.
Quand l'auteur considère du haut en bas, c'est une profondeur, de bas en haut c'est une hauteur.
Je pense qu'il faut traduire "altitudinis" par "altitude" . Le mot existe en français pourquoi vouloir traduire autrement ?

Obé ...
Eh bien parce que le latin n'est pas le français.
Si Alesia Mandubiurum n'a pas encore été retrouvé,c'est précisément qu'il doit y avoir d'énormes erreurs de traduction.
Celle ci pourrait en être une majeur.
Henri LEMIRE et Paul René MACHIN, 2 anciens miltaires,qui se sont beaucoup interessés à la question d'Alesia,le laissent entendre dans leurs ouvrages respectifs.
Altitudinis = altitude c'est justement le piège parfait.
ça parait tellement évident de traduire ce mot par altitude ,hauteur...
Et pourtant....si c'était une erreur majeure?
Après on se dira,il aurait fallu traduire par profondeur...
Avec d'autres aussi comme f
astigio,figure géométrique d'un toit à double pente,mal traduit ou pas traduit du tout!
Le vrai sens d'"
extremos" non rendu dans la phrase "cum Caesar in Sequanos per
extremos Lingonum fines iter faceret"
Voir à ce sujet la longue analyse de Paul René MACHIN dans son livre "Le dernier été d'Alesia",pages 46 à 49 où il nous explique qu' "
extremos" ne signifie pas simplement une extrémité quelconque de la frontière lingono-séquane mais la frontière à l'extrémité nord,c'est à dire à l'opposé de Rome.Il donne de très nombreux éxemples pertinents confirmant cette interprétation.Cela décale le passage de la frontière complétement vers le nord.
Un département dont on ne parle jamais,comme la Haute Saône,pourrait alors être directement concerné par la bataille de cavalerie.
Quand à Alesia ,d'autres encore,secrets et mystérieux,dont on ne parle également jamais...avec d'impressionnantes et magnifiques vallées en forme de "fastigio".