On sait que Napoléon III fit septante (70) fautes dans la dictée de Mérimée, là où l'ambassadeur d'Allemagne n'en fit que trois.
Un jour, l'empereur écrivit Dole avec un accent circonflexe. Personne n'osa contredire l'empereur. On grava donc l'erreur dans les plaques émaillées, comme celles de la rue de Dole à Besançon où l'erreur persistera jusqu'aux années 1960. Elle fut corrigée ensuite.
Ne pas confondre la ville de Dole avec les vocables suisses romands :
- La Dôle, sommet du Jura ;
- dôle, vin suisse, assemblage de Pinot noir et de Gamay.
On retrouve dans les archives le nom de Dole orthographié Doole (ce qui pourrait expliquer l’erreur de l’accent circonflexe).
Quoiqu’il en soit, cet accent n’a pas lieu d’être écrit.
A noter que Pasteur, le 16 décembre 1857, répondant à Jean-Joseph Pallu, bibliothécaire de la ville de Dole, écrivit :
C'est bien à Dôle que je suis né, et non à Arbois où ma famille réside depuis des années.