La subordonnée dont nous parlons est une subordonnée mise entre parenthèse et dont le sujet ne concerne ni l'armée de secours, ni César.



jost a écrit :obelix a écrit :La règle dit que pour désigner le sujet de la principale (César), on utilise "suo" et non "eius
La règle dit que si le sujet de la subordonnée et le même que celui de la coordonnée principale on utilise suo
Nuance, cher ami
obelix a écrit :jost a écrit :obelix a écrit :La règle dit que pour désigner le sujet de la principale (César), on utilise "suo" et non "eius". Il ne reste donc qu'une seule possibilité: "eius" désigne l'ennemi de l'extérieur
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Regarde l'exemple pour lequel tu m'a donné une réponse
La sujet de la principale est V., et pour la subordonnée "ejus" est utilisé car le sujet (Romani) est différent de la principale.
Tu n'as pas lu mes explications ou bien tu ne les as pas comprises. Nous n'avons pas dans cet exemple une phrase qui contient quatre subordonnées, mais cinq phrases. Quod, ici n'est pas une conjonction de subordination, mais un adverbe qui se positionne en début de phrase (voir Dicolatin et Gaffiot à "quod"). Nous avons donc une phrase "quod eius discessu (à Vercingétorix) Romani tanta opportunitate et celeritate uenissent" avec "eius" qui ne se rapporte pas au sujet de cette phrase (romani = les romains) mais à vercingétorix qui est le sujet d'une autre phrase.
jost a écrit :obelix a écrit :jost a écrit :obelix a écrit :La règle dit que pour désigner le sujet de la principale (César), on utilise "suo" et non "eius". Il ne reste donc qu'une seule possibilité: "eius" désigne l'ennemi de l'extérieur
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Regarde l'exemple pour lequel tu m'a donné une réponse
La sujet de la principale est V., et pour la subordonnée "ejus" est utilisé car le sujet (Romani) est différent de la principale.
Tu n'as pas lu mes explications ou bien tu ne les as pas comprises. Nous n'avons pas dans cet exemple une phrase qui contient quatre subordonnées, mais cinq phrases. Quod, ici n'est pas une conjonction de subordination, mais un adverbe qui se positionne en début de phrase (voir Dicolatin et Gaffiot à "quod"). Nous avons donc une phrase "quod eius discessu (à Vercingétorix) Romani tanta opportunitate et celeritate uenissent" avec "eius" qui ne se rapporte pas au sujet de cette phrase (romani = les romains) mais à vercingétorix qui est le sujet d'une autre phrase.
Des salades !!! Et depuis de longues pages déjà.
Dans cette phrase : Je suis triste parce que tu n’as rien compris à son texte
Où vois-tu une seconde subordonnée indépendante de la première (je suis triste) ?????????
Alors pourquoi dire qu’un adverbe introduit une autre phrase ! C’est stupide et pour le cas tendancieux.
jost a écrit :Quant à vouloir, parce que c’est bien ce que tu veux nous faire croire, que « ejus » se rapporte à l’armée de secours, tu as grammaticalement raison. Mais surtout imagine bien, César s’apitoyant sur la séparation des Gaulois d’avec les leurs…
Car le mot, que se soit discedo ou discessus, signifie avant tout séparation.
obelix a écrit :jost a écrit :obelix a écrit :jost a écrit :obelix a écrit :La règle dit que pour désigner le sujet de la principale (César), on utilise "suo" et non "eius". Il ne reste donc qu'une seule possibilité: "eius" désigne l'ennemi de l'extérieur
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La sujet de la principale est V., et pour la subordonnée "ejus" est utilisé car le sujet (Romani) est différent de la principale.
Tu n'as pas lu mes explications ou bien tu ne les as pas comprises. Nous n'avons pas dans cet exemple une phrase qui contient quatre subordonnées, mais cinq phrases. Quod, ici n'est pas une conjonction de subordination, mais un adverbe qui se positionne en début de phrase (voir Dicolatin et Gaffiot à "quod"). Nous avons donc une phrase "quod eius discessu (à Vercingétorix) Romani tanta opportunitate et celeritate uenissent" avec "eius" qui ne se rapporte pas au sujet de cette phrase (romani = les romains) mais à vercingétorix qui est le sujet d'une autre phrase.
Des salades !!! Et depuis de longues pages déjà.
Dans cette phrase : Je suis triste parce que tu n’as rien compris à son texte
Où vois-tu une seconde subordonnée indépendante de la première (je suis triste) ?????????
Alors pourquoi dire qu’un adverbe introduit une autre phrase ! C’est stupide et pour le cas tendancieux.
Visiblement, tu ne sais même pas de quoi je parle! C'est ici (Gaffiot au mot quod) :
obelix a écrit :Tu remarqueras que je ne travaille pas pour ma paroisse, parce que si César avait projeté d'aller chercher du secours, il aurait probablement été en chercher en Germanie puisque ses deux derniers succès l'ont été grâce à eux et qu'aller chercher du secours en Province paraît impossible puisqu'en fait si César se trouve à Alésia c'est justement pour aller secourir la Province. Difficile de trouver du secours là où il y en a besoin ... Du coup, si César voulait aller chercher du secours chez les germains, il aurait été plus proche à Mandeure qu'à Salins ...
jost a écrit :et encore du blabla étalé sans réflexion….![]()
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jost a écrit :A propos des incises pseudo-conditionnelles
Et page 141 de la position de "si"...
https://books.google.fr/books?id=93KyTNesk8IC&pg=PA138&lpg=PA138&dq=exemples+incise+latin&source=bl&ots=MGRNBRyNxz&sig=oEPRTvEFEe7bGmj-sVFvt4NQxdE&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjZ_9r9vJfcAhVDtBQKHXcHAe0Q6AEIQzAE#v=onepage&q=exemples%20incise%20latin&f=false
obelix a écrit :Pour ma part, je pense avoir fait largement le tour de la question et je laisse juge les autres internautes ... Ma conclusion est que César par "si ita accidat" qu'il construit la contrevallation en prévision que l'ennemi arrive en très grand nombre suite au départ de la cavalerie gauloise qui justement avait pour mission de ramener une troupe nombreuse pour secourir les assiégés:
jost a écrit :Accido, ere
Sens 1 du Gaffiot : tomber vers, tomber sur. Donc un mouvement du haut vers le bas.
Tous les autres sens ne concernent pas le verbe "arriver" proprement-dit (arriver à une destination)
https://www.lexilogos.com/latin/gaffiot.php?p=16
Alors que dire quand certains veulent faire arriver une grande multitude avec ce verbe.
obelix a écrit :Et le départ de César, il se ferait en parachute ?
obelix a écrit :Ma conclusion est que César par "si ita accidat" qu'il construit la contrevallation en prévision que l'ennemi arrive en très grand nombre suite au départ de la cavalerie gauloise qui justement avait pour mission de ramener une troupe nombreuse pour secourir les assiégés:
jost a écrit :obelix a écrit :Ma conclusion est que César par "si ita accidat" qu'il construit la contrevallation en prévision que l'ennemi revienne en très grand nombre suite au départ de la cavalerie gauloise qui justement avait pour mission de ramener une troupe nombreuse pour secourir les assiégés:
Ca c'est faux
Dans si ita accidat, l'ennemi ne peut pas arriver physiquement.
oui ou non ?
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