Mais de quoi vous causez, là ?jost a écrit :Mais dans les descentes, pas besoin de donner de pente...Et si le débit devient trop rapide et fort, là on utilise, me semble-t-il le système de chutes pour ralentir.




Mais de quoi vous causez, là ?jost a écrit :Mais dans les descentes, pas besoin de donner de pente...Et si le débit devient trop rapide et fort, là on utilise, me semble-t-il le système de chutes pour ralentir.
C'est culotté de la part de quelqu'un qui habite en direction des tropiques ...lionel a écrit :Mais de quoi vous causez, là ?jost a écrit :Mais dans les descentes, pas besoin de donner de pente...Et si le débit devient trop rapide et fort, là on utilise, me semble-t-il le système de chutes pour ralentir.La Franche Comté fusionne avec la Bourgogne. Donc Alésia est en Franche Comté. Le débat est clos, au-revoir et bonjour chez vous.
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Que le fond du conduit ait des nivellements pentus de pas moins de 100 pieds sur 1/2 pieds.obelix a écrit :Le simple bon sens, voudrait que l'on traduise "fastigata" par incliné et "libramenta fastigata" par "pendage" ou "pente".
Oui, ça paraît correct !jost a écrit :Que le fond du conduit ait des nivellements pentus de pas moins de 100 pieds sur 1/2 pieds.obelix a écrit :Le simple bon sens, voudrait que l'on traduise "fastigata" par incliné et "libramenta fastigata" par "pendage" ou "pente".
Oui l'effet en pointe serait donc plus accentué.obelix a écrit :Oups ! J'avais pas vu le trait noir ... c'est tout à fait ça ! Certainement un peu plus incliné pour que les soldats puissent monter facilement dessus !
Obé ...
Bien sûr que non ! Je regarde les trois traits du triangle rectangle et je vois la moitié d'un toit à deux pentes !jost a écrit :Oui l'effet en pointe serait donc plus accentué.obelix a écrit :Oups ! J'avais pas vu le trait noir ... c'est tout à fait ça ! Certainement un peu plus incliné pour que les soldats puissent monter facilement dessus !
Obé ...
Les 2 traits noirs comme un faîtage![]()
Toi tu ne regardes qu'un seul trait, donc une pente.
Et pourtant, il l'ont fait ! C'est Tite-Live qui explique comment les légionnaires s'y prennent ! Cliquez là !Rémus Faber a écrit :Pour vous distraire, je vous informe qu'un historien alisien, Le Bohec, a écrit que les soldats romains se montaient sur le dos les uns des autres pour franchir des murailles. J'aimerais bien le voir faire ça avec un bouclier, un pilum, un glaive, etc...
Ca c'est faux ! A moins que les romains, après leur victoire aient fait visiter leurs installations aux cavaliers gaulois, mais je n'y crois guère ...Rémus Faber a écrit :Un autre Alisien, Bruneaux, a écrit que des cavaliers gaulois de l'armée de secours, et leurs chevaux, se sont trouvés entre les lignes romaines de la plaine, alors que BG précise qu'elles n'ont pas été enfoncées.
Il s'agit de jeux du cirque et non d'un acte de guerre réelobelix a écrit :Et pourtant, il l'ont fait ! C'est Tite-Live qui explique comment les légionnaires s'y prennent ! Cliquez là !Rémus Faber a écrit :Pour vous distraire, je vous informe qu'un historien alisien, Le Bohec, a écrit que les soldats romains se montaient sur le dos les uns des autres pour franchir des murailles. J'aimerais bien le voir faire ça avec un bouclier, un pilum, un glaive, etc...
[Obé ...
Sur le ton de la boutade tu vois autrement que moi. Normal, nous avons tous notre propre vision des choses. Aussi il est bien primordial d’assimiler celles des auteurs romains.obelix a écrit :Bien sûr que non ! Je regarde les trois traits du triangle rectangle et je vois la moitié d'un toit à deux pentes !
jost a écrit :solumque rivi libramenta habeat fastigata ne minus in centenos pedes sicilico
deux citations concernant le même sujet, Pline reprend Vitruvejost a écrit : Libramentum aquae in centenos pedes sicilici minimum erit
As tu la référence concernant Pline ?jost a écrit :jost a écrit :solumque rivi libramenta habeat fastigata ne minus in centenos pedes sicilicodeux citations concernant le même sujet, Pline reprend Vitruvejost a écrit : Libramentum aquae in centenos pedes sicilici minimum erit
Labramentus : équilibre, contrepoids
Seul un dessin permet la compréhension latine.
http://books.google.fr/books?id=FaBhAAA ... it&f=falsemunicio a écrit :As tu la référence concernant Pline ?
Pentes usuelles chez les Romains. — Vitruve[6] s’exprime en ces termes : « Si canalibus (fiel aquae deductio) structura fiat quam solidissima solumque rivi libramenta habeat fastigata ne minus in centenos pedes sicilico[7]. » Les manuscrits portent semipede au lieu de sicilico, mais on a pensé avec raison que, si capable d’erreur que fût Vitruve, il n’aurait pas commis celle-ci, consistant à donner pour minimum la pente exagérée de 1/2 pour 100, soit de 5 millimètres par mètre. On a donc fait une correction, en se référant au texte de Pline, qui, le plus souvent, reproduit les indications de Vitruve et qui porte : « Libramentum aquae in centenos pedes sicilici minimum erit. » Le sicilicus étant égal à 1/48 de l’unité, la pente minima, suivant celte règle, sera de 0,0208 pour 100, soit un peu plus de 2/10 de millimètre par mètre (0m,0002), ou de 20 centimètres par kilomètre[8]. C’est une pente au-dessous de laquelle on ne descend que rarement, même de nos jours.municio a écrit :Au dernier mot du membre de la phrase de Vitruve que l'on a déjà étudié,c'est semipede et non sicilico
Laissons les spécialistes s'expliquer entre eux à propos de cette nouvelle mesure beaucoup plus basse que celle d'un demi pied donnée par Vitruve.jost a écrit :http://books.google.fr/books?id=FaBhAAA ... it&f=falsemunicio a écrit :As tu la référence concernant Pline ?
Pentes usuelles chez les Romains. — Vitruve[6] s’exprime en ces termes : « Si canalibus (fiel aquae deductio) structura fiat quam solidissima solumque rivi libramenta habeat fastigata ne minus in centenos pedes sicilico[7]. » Les manuscrits portent semipede au lieu de sicilico, mais on a pensé avec raison que, si capable d’erreur que fût Vitruve, il n’aurait pas commis celle-ci, consistant à donner pour minimum la pente exagérée de 1/2 pour 100, soit de 5 millimètres par mètre. On a donc fait une correction, en se référant au texte de Pline, qui, le plus souvent, reproduit les indications de Vitruve et qui porte : « Libramentum aquae in centenos pedes sicilici minimum erit. » Le sicilicus étant égal à 1/48 de l’unité, la pente minima, suivant celte règle, sera de 0,0208 pour 100, soit un peu plus de 2/10 de millimètre par mètre (0m,0002), ou de 20 centimètres par kilomètre[8]. C’est une pente au-dessous de laquelle on ne descend que rarement, même de nos jours.municio a écrit :Au dernier mot du membre de la phrase de Vitruve que l'on a déjà étudié,c'est semipede et non sicilico