obelix a écrit :Beuillot a écrit :Vaaaaaalà!!!
C'est reparti ...
C'est reparti mais on attend toujours tes explications sur les praeruptas que devaient gravir les assiégés sur le site de Courcelles !
obelix a écrit :Beuillot a écrit :Vaaaaaalà!!!
C'est reparti ...
vieux sage a écrit :
Tu n'as pas bien lu le B.G. :
Au 86,4 César écrit : " Les Gaulois enfermés dans la place, désespérant de forcer les positions de la plaine à cause de leur importance, tentent l'escalade des praerupta."
Toi tu nous présentes la rive d'une rivière dans une des deux plaines, c'est cela que tu apppelles "praerupta" ?
Relit ce qur j'écris plus haut : "Ne pouvant forcer les défenses de la plaine..les assiégés essayent d'escalader les préerupta, ils attaquent la palissade avec des faux."obelix a écrit :vieux sage a écrit :
Tu n'as pas bien lu le B.G. :
Au 86,4 César écrit : " Les Gaulois enfermés dans la place, désespérant de forcer les positions de la plaine à cause de leur importance, tentent l'escalade des praerupta."
Toi tu nous présentes la rive d'une rivière dans une des deux plaines, c'est cela que tu apppelles "praerupta" ?
Oui, c'est abrupt ...
En considérant vos lieux abrupts, j’ai du mal a imaginer l’attaque gauloise. Les lieux semblent imprenables.
Effectivement, les assiégés ont dû choisir l'endroit où la pente est la moins raide.jost a écrit :En considérant vos lieux abrupts, j’ai du mal a imaginer l’attaque gauloise. Les lieux semblent imprenables.
Ne serait-il pas mieux de voir les « praerupta » comme cela ?
Hormis sur "deux parties", et non "sur deux côtés".vieux sage a écrit :Sur le plan d'Obélix il y a une erreur : il ne doit pas y avoir de rivière du côté de la plaine.
A Vesontio, César écrit que le flumen est "ex utraque parte" = de part et d'autre. soit deux rives opposées.
A ALESIA il écrit "sur deux côtés" qui ne sont pas forcément opposés.
Non ce dessin est incompréhensible, car ce sont les Romains qui sont derrière la palissade et les Gaulois qui gravissent les "praerupta".jost a écrit :M'as-tu bien compris Vieux Sage ?
Si j'ai bien compris, dans la phrase "Cuius collis radices duo duabus ex partibus flumina subluebant", il est écrit que deux rivières lechent le pied de la colline oppidale sur deux parties ...jost a écrit :Hormis sur "deux parties", et non "sur deux côtés".vieux sage a écrit :Sur le plan d'Obélix il y a une erreur : il ne doit pas y avoir de rivière du côté de la plaine.
A Vesontio, César écrit que le flumen est "ex utraque parte" = de part et d'autre. soit deux rives opposées.
A ALESIA il écrit "sur deux côtés" qui ne sont pas forcément opposés.
Je suis d'accord, "ex utraque parte" fallait y penser.![]()
Alors c'est que la colline a des grands pieds !obelix a écrit :
Si j'ai bien compris, dans la phrase "Cuius collis radices duo duabus ex partibus flumina subluebant", il est écrit que deux rivières lechent le PIED de la colline oppidale sur deux parties ...
C'est bien le cas à Bart!
Obé ...
Salut Thierry ,Thierry39 a écrit :Je n'ai pas prévu d'aller aux JAAB cette année, après y être allé en 2008 et 2009. J'espère que tu passeras un bon séjour dans le Jura et que ces journées seront intéressantes. J'attends avec impatience les résultats du Lidar, même si pour moi, la localisation d'Alésia à Chaux reste toujours impossible.
J'avais eu des cours de télédétection à la fac mais il m'en reste plus grand chose et on n'avait pas beaucoup évoqué le lidar. Ces technologies sont malgré tout intéressantes (j'avais vu des applications pour l'agriculture) mais pour l'archéologie, je ne sais pas.letouriste a écrit : Concernant le Lidar , je pense qu'on avait presque tout vu déjà l'année dernière , je n'en attends pas de miracles , malheureusement cette technologie ne permet pas de voir ce qu'il y a en dessous de la surface !
Caracol : un site archéologique maya à la pointe de la technologie
Les archéologues travaillant sur l'immense site maya Caracol, ont dévoilé un travail révolutionnaire pour l'archéologie : utiliser les vues aériennes de type LIDAR. Il s'agit avec un appareillage très particulier de capturer l'exact topographie d'un site gràce au laser. Que le site soit caché par la végétation, cela ne gêne pas le lidar ! ainsi les archéologues peuvent mieux comprendre tel emplacement d'un temple, la présence d'une réserve d'eau non vue au sol, etc. Impressionnant et utile !