
J'ai reconnu le site, je suppose : vie de m... ?
Il ne s'agit bien sûr pas de se donner bonne conscience ou de masquer une situation hélas bien réelle, mais les exemples cités sont quand même des cas extrêmes, tous les élèves n'en sont pas là. Et puis des cancres irrécupérables, il y en a toujours eu.pieradam a écrit :Relativiser,voilà bien un mot pour se donner bonne conscience,mais il faut aussi constater que c'est bien une catastrophe.
Ils privilégieraient les activités pratiques, alors ?pieradam a écrit :il me semble,qu'ils se multiplient à la vitesse grand V.
Je te minssoie, parfois, (Comme l'Beuillot, à qui ça siérait !Bisontin la vertu a écrit :Il faut reconnaître que l'internet apporte des nouveautés comme le verbe plussoyer qui est un régal de conjugaison
Et pourquoi pas plussir ? Faudrait pas oublier ce deuxième groupe tellement négligé...Bisontin la vertu a écrit : je préfère l'orthographe en plussoir plutôt qu'en plussoyer
AAAAAAAAAAAAhhhhhhhhhhhhhhh là mon gg (imaginer la voix de Thieery Roland), je ne te plussoie pas du tout.gg25 a écrit :Et pourquoi pas plussir ? Faudrait pas oublier ce deuxième groupe tellement négligé...Bisontin la vertu a écrit : je préfère l'orthographe en plussoir plutôt qu'en plussoyer
Bon, je connais vaguement ce genre de néologismes mais j'avoue que je ne les emploie jamais. Déjà que les smileys je n'ai pas trop le réflexe ... C'est vrai qu'il en est des marrants, mais tout cela est-il bien utile ?
Une bonne phrase bien construite avec le vocabulaire convenablement choisi doit suffire à se faire comprendre, non ?
Tout à fait Thierry (avec la voix de Jean Mimi) etc...Beuillot a écrit : AAAAAAAAAAAAhhhhhhhhhhhhhhh là mon gg (imaginer la voix de Thieery Roland), je ne te plussoie pas du tout.![]()
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Je suis un grand utilisateur de smileys car je trouve qu'ils donnent aux messages une saveur toute particulière tant ils peuvent en modifier le sens et parfois l'inverser.
Je ne suis pas de la génération internet (ou alors juste de la génération, mais pas de l'internet), mais plutôt quelqu'un qui prend un ordinateur en se demandant comment repasser une chemise ou griller du pain avec ce truc (moi, j'avais plutôt l'habitude d'utiliser une femme pour ce genre de tâches, c'est aussi difficile à comprendre et ça plante aussi au final, et ça coûte beaucoup plus cher).
J'adore également les néologismes (il me semblait que tu avais apprécié un des miens, le vb. transitif "succuler").
Il faut quand même vivre avec son temps et ses évolutions... Ne pas rester bouche bée en entendant un mot inconnu !pieradam a écrit :
Et je dis en plus,pourquoi utiliser d'autres mots nouveaux,alors qu'ils existent déjà,utilisons les,ou réapprenons les,celà me semblerait quand même plus aisé.non?
Que je sois aussi très clair dans mes propos,quand je parle de( nouveaux mots )je parle d'un mélange de genre comme ( déchire grave,keuf,roeus,tefe,ça craint etc.....)c'est surtout là que je me bats.Sobitopro a écrit :Il faut quand même vivre avec son temps et ses évolutions... Ne pas rester bouche bée en entendant un mot inconnu !pieradam a écrit :
Et je dis en plus,pourquoi utiliser d'autres mots nouveaux,alors qu'ils existent déjà,utilisons les,ou réapprenons les,celà me semblerait quand même plus aisé.non?
Je réitère : connaître sans forcement utiliser ! On ne peut pas nager longtemps à contre courant... Refuser les nouveautés du langage ou de l'expression écrite, c'est comme se mettre en isolement.
Toutefois, il est important de toujours mettre en avant ses propres références, se maintenir à ce que l'on a appris, respecter les fondements de notre éducation.
Tout à fait d'accord, les mots ou tournures tombés en désuétude m'enchantent également et il m'est même parfois arrivé de rédiger du courrier en vieux français à la manière de Rabelais ou Brantôme, comme ça pour le plaisir, et pourtant ce n'est guère aisé.Bisontin la vertu a écrit : J'aime bien également la langue française, j'adore quand elle est maltraitée par Desprogres ou utilisée par Devos. Je me pâme devant l'emploi d'un imparfait du subjonctif ou l'utilisation de vieux mots désuets.