Les collines n'étant pas praticable pour un combat de cavalerie, César précise qu'il y a un espace qui l'était sur 3000 pas entre ces collines dont il a parlé (supra demonstravimus) . Petit rappel sur le verbe "patere" :jost a écrit : Les collines dans une plaine : mieux vaut en tenir compte pour un combat de cavalerie.
C’est pourquoi César parle de collines « intermissam »
Si elles n'étaient pas dans cette plaine : pourquoi les évoquer ?
pătĕo, ēre, pătŭi : - intr. souvent avec dat. - 1 - être ouvert, être découvert, être libre, être praticable, être accessible. - 2 - être à découvert, être exposé. - 3 - être étendu, s'étendre largement (en parlant de l'étendue d'un pays). - 4 - être à la disposition de. - 5 - être visible; être manifeste, être patent, être évident.
Toi, faire une fixation ?Jost a écrit :Tout comme celle-ci à laquelle personne ne répond :
Alors pour la Nième fois + 4
Sont-ce les collines autour de la plaine ou, celles qui y sont situées, qui peuvent avoir un quelconque impact dans le combat de Cavalerie que va nous décrire César ?Et n'allez pas dire que je fais une fixation .

En lisant soigneusement le texte au paragraphe 70 du livre VII, on ne voit aucun lien de cause à effet entre le déroulement du combat et les collines . Les collines sont juste citées comme étant de chaque côté de la plaine, dans le rappel de description des lieux . Rien de plus!
Relis le texte, Jost ! En tout cas, tu as une première réponse ...

Obé ...