Je profite du message de Dudu dans la rubrique "les pistes comtoises" sur la Montée du Mont Poupet pour créer ce message dans la rubrique sport pour parler de la course elle même.
J'y ai participé pour la première fois dimancher dernier. Je ne m'étais pas assez préparé et j'ai eu bien du mal à terminer. J'ai fini dans les profondeurs du classement mais l'important c'est de participer et d'atteindre à l'arrivée.
L'organisation et le public sur le bords des routes étaient super sympas. Les paysages étaient grandioses.
Y a-t-il d'autres cancoillonautes qui étaient sur la course dimanche dernier ? ou une autre année.
En ce qui me concerne, je reviendrai l'an prochain :
Toutes les infos sont sur :
http://www.montee-poupet.com/
Montée internationale du Poupet
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Thierry39
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Montée internationale du Poupet
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !
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Thierry39
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LES DEPECHES LE PROGRES
Article du jeudi 24 mai 2007
Salins-les-Bains (39): 23e montée du Mont Poupet
La montée légendaire du Mont Poupet se déroulera le dimanche 27 mai. Cette course internationale de montagne sur route attire chaque année une foule de participants. En 2006, ils étaient 966 à s'aligner au départ, représentant 14 nations, 6 régions et 42 départements. Les 17,5 km d'ascension comprennent trois montées successives entrecoupées de deux descentes. Cette manifestation sportive est également une grande fête populaire avec pasta party, groupes musicaux.
Article du lundi 21 mai 2007
Paul Jeandot, Monsieur Poupet
Dimanche, environ 1 000 coureurs partiront à l'assaut de la Montée internationale du Mont Poupet, sur les hauteurs salinoises. Dans les coulisses, un patron de course très occupé : Paul Jeandot
Il faut qu'il nous y emmène. On le suit. Profitons-en, notre homme est bien luné ce matin-là. On longe la maison par un petit chemin en pierre qui rejoint le jardin. À nos pieds, le Mont Poupet. Sans faire preuve d'un excès de sentiment, Paul Jeandot, l'organisateur de la célèbre épreuve salinoise souhaite s'arrêter un moment devant celui qui rythme sa vie depuis 18 ans. « Vous voyez la tâche blanche, là-bas, c'est le passage de la Fontaine aux oiseaux, le premier ravitaillement de la course. »
Ah ! Son Poupet, il pourrait en parler des heures entières. Ça tombe bien, on est là pour ça. Retour dans la salle à manger de sa coquette maison sur les hauteurs de Salins. Dring, dring ! Le téléphone a déjà sonné une paire de fois, et « Paulo » n'en finit plus de répondre. Au bout du fil, une concurrente qui veut des précisions sur la course et en profite pour vanter la beauté de la course. Son large sourire en dit long. Fier ? « Oui, on peut l'être ! Des gens nous appellent d'un peu partout. Cette année, on s'est déplacé à Valenciennes lors de la course des Terrils pour promouvoir la course. Du coup, plus d'une soixantaine de coureurs du Nord seront là. » Formidable vitrine pour le département et surtout pour le Triangle d'Or, la Montée internationale du Poupet rime plus que jamais avec Salins. Une magnifique histoire qui a débuté en 1989. A l'époque, une bande de potes se lancent dans la course à pied en participant à la course « Tout Salins court ». C'est le coup de foudre. « On était tous du quartier à s'être lancés dans la course à pied. Un soir de bringue, on a décidé d'organiser l'épreuve. L'Office municipale des sports de Salins portait l'épreuve depuis 1995 et décidait de nous redonner les clés de l'organisation. À l'époque, on parcourait la France pour courir (trail des templiers, 6000D). On avait des idées alors on s'est lancé. La première année, en 1989, on avait 200 coureurs au départ. Depuis, chaque année, le nombre de participants ne cesse d'augmenter ».
Une renommée exceptionnelle
Aujourd'hui, le Poupet est devenu une épreuve connue et reconnue par la grande famille de la course à pied et bénéficie d'un aura exceptionnel à travers l'Hexagone. Si la course offre de belles primes aux vainqueurs, l'essentiel n'est absolument pas là. « Les primes, il en faut bien mais je préfère miser sur l'accueil des coureurs. À mes yeux, c'est le plus important. Il faut que les gens soient contents d'être là et respectés. On doit leur donner envie de revenir les années suivantes ». Dégustation de produits locaux, un hébergement à la hauteur de l'événement, un petit déjeuner, rien n'est laissé au hasard. « Mais cela représente beaucoup de travail, vous savez ! ». Combien d'heures ? « Vous voulez dire des jours, des semaines et des mois, oui ! La recherche de sponsors, les subventions à négocier, la comptabilité, c'est un travail de longue haleine. » Une véritable petite entreprise en quelque sorte. On sonne à la porte. Michel Locatelli fait son entrée « Mon bras droit, c'est lui ! balance Paul Jeandot. Il s'occupe de l'administratif, du montage des dossiers, de la comptabilité et de tous les classements à l'arrivée. En ce moment, on s'appelle deux ou trois fois par jour pour faire le point. Entre nous, jamais un mot plus haut que l'autre, j'ai trop de respect pour lui ». Toujours là, même dans les coups durs. Comme ce fameux matin à quelques heures du départ où le vent avait entièrement démonté le site d'arrivée. « Ce jour-là, je me suis mis à chialer pendant de longues heures. Mes gars sont arrivés et m'ont remonté le moral. »
Dimanche prochain au départ de la 23e édition, les 200 bénévoles seront sur le pied de guerre pour accueillir le millier de concurrents venu des quatre coins de la France, de Suisse, de Belgique et même d'Angleterre. Paul Jeandot sera comme à son habitude fidèle au poste, l'oeil sur tout. Pour combien de temps encore vu les sacrifices consenties pour son épreuve ? « C'est vrai que c'est usant mais chaque année, je repars pour un tour. Le jour où j'arrête ? Je construis une piscine et je me mets dans un transat en face du Poupet, un verre à la main ! ».
Julien Combelles
jcombelles@leprogres.fr
> NOTE
23e Montée du Poupet, départ dimanche 10 heures de Salins-les-Bains. Randonnée prévue pour les marcheurs. Renseignements au 03 84 73 08 68 ; mail : paul.jeandot@wanadoo.fr ; http://www.montee-poupet.com
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Paul Jeandot digest
Paul Jeandot est né le 27 juin 1951 à Bouaké (Cote d'Ivoire). Marié à Colette depuis 1974, le couple a deux enfants Mathilde, 31 ans et Thomas, 25 ans. Géomètre de métier, il travaille en étroite collaboration avec le cabinet Robert, basé à Saint-Vit.
Organisateur de la Montée du Poupet depuis 1990, il est en parallèle le président du Triangle d'Or Sportif depuis la même année. Le TOS qui vient d'ailleurs de fusionner avec le CMA et qui portera le nom d'Entente Jura Centre Athlétisme dès septembre prochain. Aujourd'hui, Paul Jeandot est le président par intérim du comité départemental d'athlétisme depuis le départ de Georges Girard il y a quelques mois.
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PHRASES
La fusion TOS-CMA
« Chacun va y trouver son compte. Le CMA va nous apporter les officiels qu'ils nous manquaient. Nous, nous allons apporter notre expérience dans l'organisation de grosses compétitions. Cela va représenter entre 120 et 140 athlètes. Depuis quelques semaines, on a rendu officiel le nom de l'entente (ndlr: Entente Jura Centre Athlétisme). Désormais, il reste à nous mettre d'accord sur les couleurs du maillot du club. Aujourd'hui, on hésite entre le blanc, le bleu, le jaune et l'orange. On travaille aussi chacun de notre côté pour chercher un logo. Ça avance ! De toutes les façons, le dossier va être déposé dans quelques semaines afin de pouvoir être opérationnel dès la rentrée de septembre ».
Le comité départemental d'athlétisme
« Je suis le président par intérim pour encore quelques semaines mais tout devrait se décanter dans quelques mois lors de la prochaine assemblée générale prévue en septembre prochain ».
Article du jeudi 24 mai 2007
Salins-les-Bains (39): 23e montée du Mont Poupet
La montée légendaire du Mont Poupet se déroulera le dimanche 27 mai. Cette course internationale de montagne sur route attire chaque année une foule de participants. En 2006, ils étaient 966 à s'aligner au départ, représentant 14 nations, 6 régions et 42 départements. Les 17,5 km d'ascension comprennent trois montées successives entrecoupées de deux descentes. Cette manifestation sportive est également une grande fête populaire avec pasta party, groupes musicaux.
Article du lundi 21 mai 2007
Paul Jeandot, Monsieur Poupet
Dimanche, environ 1 000 coureurs partiront à l'assaut de la Montée internationale du Mont Poupet, sur les hauteurs salinoises. Dans les coulisses, un patron de course très occupé : Paul Jeandot
Il faut qu'il nous y emmène. On le suit. Profitons-en, notre homme est bien luné ce matin-là. On longe la maison par un petit chemin en pierre qui rejoint le jardin. À nos pieds, le Mont Poupet. Sans faire preuve d'un excès de sentiment, Paul Jeandot, l'organisateur de la célèbre épreuve salinoise souhaite s'arrêter un moment devant celui qui rythme sa vie depuis 18 ans. « Vous voyez la tâche blanche, là-bas, c'est le passage de la Fontaine aux oiseaux, le premier ravitaillement de la course. »
Ah ! Son Poupet, il pourrait en parler des heures entières. Ça tombe bien, on est là pour ça. Retour dans la salle à manger de sa coquette maison sur les hauteurs de Salins. Dring, dring ! Le téléphone a déjà sonné une paire de fois, et « Paulo » n'en finit plus de répondre. Au bout du fil, une concurrente qui veut des précisions sur la course et en profite pour vanter la beauté de la course. Son large sourire en dit long. Fier ? « Oui, on peut l'être ! Des gens nous appellent d'un peu partout. Cette année, on s'est déplacé à Valenciennes lors de la course des Terrils pour promouvoir la course. Du coup, plus d'une soixantaine de coureurs du Nord seront là. » Formidable vitrine pour le département et surtout pour le Triangle d'Or, la Montée internationale du Poupet rime plus que jamais avec Salins. Une magnifique histoire qui a débuté en 1989. A l'époque, une bande de potes se lancent dans la course à pied en participant à la course « Tout Salins court ». C'est le coup de foudre. « On était tous du quartier à s'être lancés dans la course à pied. Un soir de bringue, on a décidé d'organiser l'épreuve. L'Office municipale des sports de Salins portait l'épreuve depuis 1995 et décidait de nous redonner les clés de l'organisation. À l'époque, on parcourait la France pour courir (trail des templiers, 6000D). On avait des idées alors on s'est lancé. La première année, en 1989, on avait 200 coureurs au départ. Depuis, chaque année, le nombre de participants ne cesse d'augmenter ».
Une renommée exceptionnelle
Aujourd'hui, le Poupet est devenu une épreuve connue et reconnue par la grande famille de la course à pied et bénéficie d'un aura exceptionnel à travers l'Hexagone. Si la course offre de belles primes aux vainqueurs, l'essentiel n'est absolument pas là. « Les primes, il en faut bien mais je préfère miser sur l'accueil des coureurs. À mes yeux, c'est le plus important. Il faut que les gens soient contents d'être là et respectés. On doit leur donner envie de revenir les années suivantes ». Dégustation de produits locaux, un hébergement à la hauteur de l'événement, un petit déjeuner, rien n'est laissé au hasard. « Mais cela représente beaucoup de travail, vous savez ! ». Combien d'heures ? « Vous voulez dire des jours, des semaines et des mois, oui ! La recherche de sponsors, les subventions à négocier, la comptabilité, c'est un travail de longue haleine. » Une véritable petite entreprise en quelque sorte. On sonne à la porte. Michel Locatelli fait son entrée « Mon bras droit, c'est lui ! balance Paul Jeandot. Il s'occupe de l'administratif, du montage des dossiers, de la comptabilité et de tous les classements à l'arrivée. En ce moment, on s'appelle deux ou trois fois par jour pour faire le point. Entre nous, jamais un mot plus haut que l'autre, j'ai trop de respect pour lui ». Toujours là, même dans les coups durs. Comme ce fameux matin à quelques heures du départ où le vent avait entièrement démonté le site d'arrivée. « Ce jour-là, je me suis mis à chialer pendant de longues heures. Mes gars sont arrivés et m'ont remonté le moral. »
Dimanche prochain au départ de la 23e édition, les 200 bénévoles seront sur le pied de guerre pour accueillir le millier de concurrents venu des quatre coins de la France, de Suisse, de Belgique et même d'Angleterre. Paul Jeandot sera comme à son habitude fidèle au poste, l'oeil sur tout. Pour combien de temps encore vu les sacrifices consenties pour son épreuve ? « C'est vrai que c'est usant mais chaque année, je repars pour un tour. Le jour où j'arrête ? Je construis une piscine et je me mets dans un transat en face du Poupet, un verre à la main ! ».
Julien Combelles
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23e Montée du Poupet, départ dimanche 10 heures de Salins-les-Bains. Randonnée prévue pour les marcheurs. Renseignements au 03 84 73 08 68 ; mail : paul.jeandot@wanadoo.fr ; http://www.montee-poupet.com
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Paul Jeandot digest
Paul Jeandot est né le 27 juin 1951 à Bouaké (Cote d'Ivoire). Marié à Colette depuis 1974, le couple a deux enfants Mathilde, 31 ans et Thomas, 25 ans. Géomètre de métier, il travaille en étroite collaboration avec le cabinet Robert, basé à Saint-Vit.
Organisateur de la Montée du Poupet depuis 1990, il est en parallèle le président du Triangle d'Or Sportif depuis la même année. Le TOS qui vient d'ailleurs de fusionner avec le CMA et qui portera le nom d'Entente Jura Centre Athlétisme dès septembre prochain. Aujourd'hui, Paul Jeandot est le président par intérim du comité départemental d'athlétisme depuis le départ de Georges Girard il y a quelques mois.
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La fusion TOS-CMA
« Chacun va y trouver son compte. Le CMA va nous apporter les officiels qu'ils nous manquaient. Nous, nous allons apporter notre expérience dans l'organisation de grosses compétitions. Cela va représenter entre 120 et 140 athlètes. Depuis quelques semaines, on a rendu officiel le nom de l'entente (ndlr: Entente Jura Centre Athlétisme). Désormais, il reste à nous mettre d'accord sur les couleurs du maillot du club. Aujourd'hui, on hésite entre le blanc, le bleu, le jaune et l'orange. On travaille aussi chacun de notre côté pour chercher un logo. Ça avance ! De toutes les façons, le dossier va être déposé dans quelques semaines afin de pouvoir être opérationnel dès la rentrée de septembre ».
Le comité départemental d'athlétisme
« Je suis le président par intérim pour encore quelques semaines mais tout devrait se décanter dans quelques mois lors de la prochaine assemblée générale prévue en septembre prochain ».
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !
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Thierry39
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Justement, c'est la première fois que je participais à une course de côte et je me suis lancé à fond dans la descente et j'étais cuit dans la deuxième côte, sans parler de la dernière qui est terrible de toute façon. J'ai fini en marchant.
Mais c'est comme ça qu'on apprend, l'an prochain je me préparerai mieux et je saurai m'économiser.
Mais c'est comme ça qu'on apprend, l'an prochain je me préparerai mieux et je saurai m'économiser.
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !
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Merci. A 24 ans, je peux encore me permettre ce genre de folie. Mais quand je vois les dates de naissances et les temps des autres participants, je suis impressionné : beucoup de 40-50 ans voire au-delà.
J'ai déjà fais des semis-marathon (21 km), c'est facile à côté de la Monté du Poupet.
J'ai déjà fais des semis-marathon (21 km), c'est facile à côté de la Monté du Poupet.
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !
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Thierry39
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Non pas du tout, je cours en amateur.
Mon problème, c'est que je n'ai pas un gabarit de coureur de fond mais plutôt celui d'un joueur de rugby, ce que j'étais il y a peu.
Mon problème, c'est que je n'ai pas un gabarit de coureur de fond mais plutôt celui d'un joueur de rugby, ce que j'étais il y a peu.
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !
Ah oui... le poids n'est pas l'ami du coureur... Je ne saurais trop te conseiller de t'inscrire dans un club parce qu'un entraineur t'aiderait à apprendre à gérer une course et surtout, si l'endurance peut se travailler seul, gagner en vitesse se travaille sur piste avec des distances et des temps très précis. C'est tout ce travail sur piste qui permet d'améliorer ses performances sur la longueur.
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Thierry39
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Oui mais en fait je cours plus pour le plaisir que pour la performance. Je sais que de toute façon je ne serai pas dans les premiers.
En revanche, c'est vrai que j'aimerais bien m'améliorer en endurance pour moins souffrir en course et ne pas avoir des courbatures pendant 3 jours. Je vais réfléchir à m'inscrire dans un club mais en ce moment, je n'ai pas trop le temps.
Je sais que pour améliorer les performance, il faut faire du "fractionné" mais je n'en suis pas encore là.
En revanche, c'est vrai que j'aimerais bien m'améliorer en endurance pour moins souffrir en course et ne pas avoir des courbatures pendant 3 jours. Je vais réfléchir à m'inscrire dans un club mais en ce moment, je n'ai pas trop le temps.
Je sais que pour améliorer les performance, il faut faire du "fractionné" mais je n'en suis pas encore là.
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !
Arf, il y a beaucoup de gens dans les clubs qui ne courent que pour le plaisir. Les performances, dans le mien, honnêtement, on s'en moque un peu. Tu trouveras aussi des gens pour courir avec toi, ce qui rend la distance moins monotone. En course c'est une motivation supplémentaire et pour le fractionné, ça permet de faire bien plus de choses et d'efforts que si l'on avait été seul.
J'aime bien mon club parce qu'il est convivial en fait. Organisation de courses, pots pour les anniversaires, etc.
Le fractionné, finalement, ce n'est pas compliqué (eufff ouais, surtout quand c'est le coach qui prévoit la progression en fait) et les étirements, ça s'apprend vite aussi.
Après le Pourpet, les nanas ont dit qu'elles avaient également mal aux jambes. D'après elles, la fin sur un mauvais terrain, suite à la descente qui casse les muscles, a fait souffrir les fibres musculaires, donc, c'est normal, même si tu avais très bien entrainé, tu aurais eu mal.
Tu t'entraines combien de fois par semaine et sur quelle distance ?
*** Message édité par Karine le 31/05/2007 18:29 ***
J'aime bien mon club parce qu'il est convivial en fait. Organisation de courses, pots pour les anniversaires, etc.
Le fractionné, finalement, ce n'est pas compliqué (eufff ouais, surtout quand c'est le coach qui prévoit la progression en fait) et les étirements, ça s'apprend vite aussi.
Après le Pourpet, les nanas ont dit qu'elles avaient également mal aux jambes. D'après elles, la fin sur un mauvais terrain, suite à la descente qui casse les muscles, a fait souffrir les fibres musculaires, donc, c'est normal, même si tu avais très bien entrainé, tu aurais eu mal.
Tu t'entraines combien de fois par semaine et sur quelle distance ?
*** Message édité par Karine le 31/05/2007 18:29 ***
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Thierry39
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Oups ! Ca dépend des semaines ...
En fait j'ai peu courru ces derniers temps. J'ai fait le semi-Marathon de Paris (11 mars) et je ne me suis pas entrainé depuis. C'est pour ça que quand je dis que je m'entrennerai mieux l'an prochain c'est en fait que je m'entrennerai tout court.
Pour préparer le semi-Marathon, je courrai une fois par semaine (entre 5 et 10 km en fonction de la forme du jour).
Pour la Montée du Poupet, j'ai décidé de la faire 2 jours avant le départ.
En fait j'ai peu courru ces derniers temps. J'ai fait le semi-Marathon de Paris (11 mars) et je ne me suis pas entrainé depuis. C'est pour ça que quand je dis que je m'entrennerai mieux l'an prochain c'est en fait que je m'entrennerai tout court.
Pour préparer le semi-Marathon, je courrai une fois par semaine (entre 5 et 10 km en fonction de la forme du jour).
Pour la Montée du Poupet, j'ai décidé de la faire 2 jours avant le départ.
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Les photos de la course sont sur :
http://photogone.phot-online.fr/album/5 ... oto_112246
Tu trouveras peut-être les photos de gens de ton club. (Il suffit d'entrer le numéro de dossard dans le moteur de recherche. )
http://photogone.phot-online.fr/album/5 ... oto_112246
Tu trouveras peut-être les photos de gens de ton club. (Il suffit d'entrer le numéro de dossard dans le moteur de recherche. )
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Je sais, je sais ... on m'a dit aujourd'hui qu'avec deux entrainements par semaine on se maintenait juste à son niveau.
Pour courrir le Marathon, il faut se préparer un an à l'avance et dans les 8 dernières semaines : 3 entrainements/semaine dont un d'au moins 20 km.
Et en plus il faut avoir une alimentation saine et équilibrée ...
Pour courrir le Marathon, il faut se préparer un an à l'avance et dans les 8 dernières semaines : 3 entrainements/semaine dont un d'au moins 20 km.
Et en plus il faut avoir une alimentation saine et équilibrée ...
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Je fais remonter ce fil pour vous mettre mes photos de la dernière fois (que je viens de retrouver) et pour vous dire que j'ai l'intention de participer à la Montée du Mont Poupet cette année encore et que j'espère avoir le temps de préparer cette course mieux que l'année dernière. Si il y a des amateurs (Karine ?) n'hésitez pas à vous inscrire, c'est difficile mais ça vaut le coup, les paysages sont superbes et l'ambiance super sympa !
http://www.montee-poupet.com/
Au début de la première montée.
A la fin de la dernière (interminable) montée ...
http://www.montee-poupet.com/
Au début de la première montée.
A la fin de la dernière (interminable) montée ...
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Disons que les concurents qui ont fini redescendent en marchant et encouragent ceux qui terminent.Message original: dondon
apparement, sur la dernière photo, tu n'es plus dans le bon sens
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