Archives 2004

Panorama culturel en Franche-Comté
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Mitch
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Vivre et habiter la montagne jurassiennernrndate : le 22/12/2004 à 07:26rnauteur : Silviernsujet : Vivre et habiter la montagne jurassiennern
Vivre et habiter la montagne jurassienne " d'hier à demain " est un bel ouvrage didactique sorti des presses des éditions Néo. nnSous la plume d'un collectif d'auteurs, Olivier Blanchard, Françoise Ferreux-Juillard, Christine Le Pennec et Dominique Tonal, l'ouvrage explore les origines de la colonisation du massif, son évolution, avant de proposer de proposer des pistes menant vers " une maison durable ".nnA mettre entre toutes les mains, l'ouvrage offre les clefs pour comprendre l'histoire économique et sociale du massif franco-suisse. Des premières traces laissées par l'homme il y a 12.000 ans à Ranchot dans un abri sous roche, aux solides fermes comtoises aujourd'hui restaurées " entre tradition et modernité ", les auteurs passent en revue, l'adaptation humaine aux rudes conditions de la montagne. Tout en insistant en fin de volume sur les meilleures façons aujourd'hui de vivre sa maison dans le respect de l'environnement. Un concept finalement pas si éloigné des principes de vie en autarcie des polyculteurs du XVIIIe siècle.nnsource : http://www.estrepublicain.frn
nnnSi le livre m'était Comténndate : le 21/12/2004 à 08:28nauteur : J-Minsujet : Si le livre m'était Comtén
La maison vésulienne Franche-comté édition a fêté avec éclat ses dix ans d'existence en haut de l'affiche des écrits comtois. nnSamedi dernier, et pour la troisième année consécutive, Franche- Comté édition a réuni à la salle des conférences de la mairie de Vesoul les auteurs comtois publiés sous son égide en 2004. Ce cru qui s'inscrit dans la lignée des plus grands et des plus prometteurs cultive la particularité d'être le dixième du nom. C'est dire si l'événement est d'importance pour la maison d'édition de Pascal Magnin qui a trouvé sa place au soleil par la qualité de ses auteurs et de ses publications à la remarquable iconographie.nnEn 1994, Pascal Magnin a invité le lecteur à prendre avec lui le tramway de Vesoul à Héricourt en passant par Lure. Il faut croire que la lente promenade a plu puisque, depuis ce voyage inaugural sur le chemin de l'édition, beaucoup d'autres ont été parcourus avec la même veine. Aujourd'hui, une centaine d'ouvrages, dont quelques monographies privées, ont été publiés par une cinquantaine d'écrivains comtois, dont 95 % de Haut-Saônois. Ce qui, il faut l'avouer, n'est pas commun et constitue sans doute une exception hexagonale. Franche-Comté édition, qui sort maintenant une vingtaine d'ouvrages par an, a ainsi atteint un intéressant rythme de croisière. La qualité de ses éditions a attiré l'attention du CRL (Centre régional du livre), ce qui a conduit le Conseil régional et la DRAC (direction régionale des Affaires culturelles) à offrir un financement. Qui se traduit notamment par une gestion des salons du livre de Paris et de Genève par ces entités et par la participation active et effective de la maison de Pascal Magnin. Avec le concours efficace et très précieux d'Anne Marie Bauquerey et de son méticuleux époux Jean, bibliophile passionné, collectionneur de fourneaux et auteur avec Joël Rieser du premier tome de Fourneaux et fonderies de Haute-Saône.nnPour fêter dix ans de publications et marquer l'événement comme il se doit, il fallait un ouvrage de référence traitant d'un sujet commun à tous les habitants de la Haute-Saône. Pour cette raison est né Une civilisation... La vigne en Haute Saône, livre écrit à deux mains par Serge Mandret et Pascal Magnin, à la riche iconographie rehaussée des merveilleuses aquarelles de Bernard Marion représentant les 33 Saint-Vincent répertoriés dans les villages produisant du vin. Cet ouvrage est de la même cuvée que ceux présentés ce samedi, et sa qualité irréprochable démontre bien, s'il en est encore besoin, en quelle estime l'éditeur tient les lecteurs et respecte les auteurs. C 'est sans doute ce qui fait le succès de Franche-Comté édition qui, d'année en année, arrive encore à surprendre. En bien, naturellement. La salle des conférences de la mairie vésulienne était noire de monde pour admirer une exposition haut de gamme. Comprenant plus de 50 aquarelles de Bernard Marion sur le thème de la Saint-Vincent et des villages qui hébergeaient ces puissantes confréries ainsi que des dizaines de photographies du début du XXe siècle ayant toutes la viticulture comme thème. Et, pour sacrifier à la tradition, un buffet de roi animé par le grand chef Alain Madeleine et une dégustation d'anthologie des vins des viticulteurs professionnels haut-saônois. Les plaisirs de la table et de l'esprit réunis, que demander de mieux ?nnhttp://www.lepays.net
nnnBourgs et villages de Haute-Saônenndate : le 19/12/2004 à 10:02nauteur : Silviensujet : Bourgs et villages de Haute-Saônen
Il était parti " A la découverte de la Franche-Comté " en 1990. Il n'en est toujours pas revenu bien que travaillant au sein d'une banque à Paris. Eric Coulon, pour qui l'écriture a toujours été un moteur essentiel, vient de publier son neuvième ouvrage sur sa région d'origine. Avant de se pencher dès l'an prochain sur le Doubs puis le Jura, c'est la Haute-Saône qu'il s'attache cette fois à faire découvrir à travers ses bourgs et villages.nnL'écrivain de passion fait ainsi une halte bucolique et historique dans 107 des 546 communes du département. Rappelant au passage que la Haute-Saône fut, du XVIe au XIXe siècles, le plus peuplé, le plus riche et le plus industrialisé de Franche-Comté. " Les villages rivalisèrent alors dans la construction d'églises et d'édifices publics qui font toujours leur fierté. C'est au pas du promeneur qu'il faut les découvrir pour bien sentir leur âme, qu'ils ont conservée en même temps que leurs traditions ".nnPréfacé par l'ancien sénateur Bernard Joly et illustré d'une centaine de photos signées Marc Paygnard, cet ouvrage parcourt ces lieux typiques de la plaine de la Saône au ballon de Servance, de la vallée de l'Ognon aux confins de la Champagne.nnEric Coulon a déjà promis de feuilleter à nouveau ce département comtois. En plongeant cette fois dans ses villes (Vesoul, Lure, Luxeuil, Héricourt et Gray). nn" Bourgs et villages de Haute-Saône ", éditions Cabédita, 160 pages, 24 €nnSource : http://www.estrepublicain.fr
nnnOmbres et lumières au royaume des jouetsnndate : le 15/12/2004 à 08:11nauteur : Silviensujet : Ombres et lumières au royaume des jouetsn
Théâtres d'ombres, kaléidoscopes, lanternes magiques s'installent au musée du jouet de Moirans-en-Montagne (Jura). n n" Trésors de lumières, mystère des ombres ", ainsi s'intitule la nouvelle expo temporaire du musée du jouet de Moirans-en-Montagne. Une jolie proposition à quelques jours de Noël alors que se profilent les vacances scolaires, et une occasion unique et attrayante de remonter aux origines du cinématographe.nnPour marquer les étapes de ce voyage au pays des images animées, l'équipe du musée a plongé dans ses réserves, en particulier dans le riche fonds du musée de Canet-en-Roussillon racheté en 2003 par les Jurassiens. Une collection exceptionnelle de 3.500 pièces, dont de très rares jouets et instruments optiques des XIXe et XXe siècles.nnParce que la rétine garde une image lumineuse en mémoire durant une fraction de seconde, de nombreux chercheurs européens et américains s'intéressent à ce phénomène au début du XIXe siècle. Ils utilisent cette propriété de l'oeil pour inventer d'étranges appareils fournisseurs d'images animées. Ils s'appellent praxinoscope, zootrope, phénakistiscope, kaleidoscope, lampadophore, ou lanterne magique.nnIls transforment des vues fixes ou à défilement, sur papier ou sur plaque de verre, en projection d'ombres ou d'images mouvantes. Les thèmes sont aussi variés que le seront plus tard ceux du 7e art : burlesque, romanesque, fantastique, épique...nnL'amorce du reportage télé fait son apparition au milieu du XIXe, comme en témoignent d'étonnantes " vues à défilement pour lanterne magique " qui relatent par l'image la réception d'un plénipotentiaire français en Chine en juin 1858.nnPrès de 200 pièces, machines, coffrets, images, dont certaines extrêmement rares, comme le magnifique praxinoscope-théâtre du français Emile Reynaud, créé en 1877, composent cette exposition qui offre aussi une place aux ancestrales marionnettes des théâtres d'ombres de Java.nnEt pour que la découverte soit ludique, le musée du jouet a fait construire des répliques de praxinoscopes et autres lampadophores afin que les enfants puissent les manipuler. Un atelier " science ou magie ", conçu pour appréhender les mystères de l'optique et du mouvement est également proposé pour les groupes enfants ou adultes, avec des projections de films, pour remonter aux sources du cinéma.nnEt se souvenir que le Francais Léon Bouly a déposé le premier brevet du " cynématographe " en 1892, trois ans avant les frères Lumière, mais trois ans après que Thomas Edison ait inventé le film 35 mm...nnExposition ouverte jusqu'au 15 avril, au musée du jouet de Moirans-en-Montagne (tél : 03.84.42.38.64), tous les jours sauf le lundi. A voir aussi les collections du musée (2.000 jouets exposés, de l'antiquité à nos jours), l'atelier nnsource : http://www.estrepublicain.fr
nnnTextiles et art contemporainnndate : le 14/12/2004 à 08:07nauteur : Silviensujet : Textiles et art contemporainn
A Lons-le-Saunier, l'art se tricote de fil en aiguille. nnLes adultes sont interloqués, dubitatifs. Les enfants en visite scolaire adorent. Ils sont fascinés par ces boules blanches disséminées sur le sol de la salle ; par ce pull gigantesque fixé au mur et dont les manches dégringolent sur le plancher ; par cette confortable pile de couvertures qui invite aux roulades ; et par ces cactus en tissu, dont on leur explique qu'ils sont réalisés avec des vestes et des pantalons de policiers allemands. Incontestablement, l'exposition " De fil en aiguille " organisée au musée des Beaux-Arts de Lons-le-Saunier par le fonds régional d'art contemporain, séduit les petits. On envie la fraîcheur de leur regard et leur imagination sans limites. Car il en faut pour " entrer " dans l'esprit de cette " collection " peu ordinaire.nnDès les années 60, des artistes se sont intéressés aux matériaux textiles pour expérimenter de nouvelles notions, le doux et le rugueux, le dense et l'aérien, le souple et le rigide. Comme Erwin Wurm qui cherche à tirer des formes structurées de matériaux informes tel le tricot.nnCertains artistes travaillent sur la notion de vêtement, de couture, de mode, de parure. D'autres utilisent le support tissu comme une toile ou une page. Annette Messager, au début des années 70, s'invente une collection de proverbes personnels, brodés à la main. Corinne Marchetti transforme le tissu en BD. Pierre Savatier se laisse captiver par un élégant voile d'organza " rose vermillon " capturé au contact d'un papier photographique et d'une source de lumière.nnL'américain Matthew Mc Caslin crée des installations à partir de couvertures usagées récupérées dans les hôpitaux et " organisées " comme des mille-feuilles. Beverly Semmes transforme des vêtements géants en paysages et en métaphores du corps humain. Pierre Tatu travaille la mousse dans la masse pour en tirer d'étranges " noyaux " blancs recouverts de tissu par un authentique tapissier. Et l'Allemand Peter Roesel associe des " éléments incompatibles et antinomyques " comme la botanique et les uniformes.nnUn monde étrange à découvrir avec un oeil débarrassé de tout préjugé.nn" De fil en aiguille ", jusqu'au 20 février 2005, musée des Beaux-Arts de Lons-le-Saunier, tél : 03.84.47.64.30. Ouvert tous les jours sauf le mardi. Entrée gratuite le mercredi et le premier dimanche de chaque mois.nnsource : http://www.estrepublicain.fr
nnnToujours les paysansnndate : le 12/12/2004 à 12:16nauteur : Silviensujet : Toujours les paysansn
Jean-Louis Clade est un homme heureux. L'historien et auteur bisontin voit son ouvrage ëLa vie des paysans franc-comtois dans les années 1950 revenir en librairie, avec un huitième retirage, prêt à dépasser les 25.000 exemplaires. Un record en édition régionale.nnMérite justifié car autant le titre évoque le devoir scolaire, autant le contenu est passionnant et parle à la mémoire de la plupart d'entre nous. En ressuscitant des souvenirs d'enfance qui sentent bon le feu de bois, la pomme reinette, la fraîcheur des granges et l'odeur musquée du foin. nnPourtant l'auteur n'est pas un nostalgique, c'est un passionné des racines, du terroir, et un observateur qui porte un regard aiguisé sur les évolutions de la société. Rien de plus naturel dès lors que ce descendant de paysans apporte ce témoignage, le premier sur la " révolution agraire ", chez nous.nnAvec le tracteur et les machines agricoles les méthodes de travail évoluent. A la ferme l'eau arrive sur l'évier avec le transistor et le Kodak qu'on offre à la première communion. La voiture n'est plus un rêve inaccessible...nnDeux ans de recherches, une vaste iconographie, et des souvenirs familiaux engrangés en Haute-Saône, font un bouquin vivant, foisonnant, authentique et d'actualité. A l'heure où une autre révolution agricole est en marche, il est bon de se souvenir d'où l'on vient... nn" La vie des paysans franc-comtois " éditions Cabedita, collection " Archives vivantes ". En librairie nnsource : http://www.estrepublicain.fr
nnnCadavres dans Paris enneigénndate : le 12/12/2004 à 12:10nauteur : Silviensujet : Cadavres dans Paris enneigén
Il est l'un de nos auteurs régionaux les plus prolifiques. Romans - dont plusieurs adaptés pour la télévision- ouvrages historiques, biographies, livres d'art, contes, théâtre... André Besson est un incorrigible touche à tout. Ce boulimique de culture et d'écriture fait le bonheur d'une collection d'éditeurs et multiplie les rééditions et les prix littéraires.nnPrix international du roman du terroir pour La grotte aux loups ; Prix Emile Zola pour Le village englouti, Prix de la Société des Gens de Lettres pour Le moulin du silence, aux éditions Mon Village, il a aussi multiplié les succès chez France Empire à qui il a offert un Prix Louis Pergaud pour La louve du val d'amour. Et de passionnantes pépites historiques, comme sa biographie de Victor Hugo la Vie d'un géant qui en est à sa troisième édition.nnLorsqu'il se " repose ", André Besson affectionne un autre style, le polar, et prend plaisir à tricoter de sombres intrigues, dont l'une, Les Randonneurs, rééditée en poche chez Fleuve Noir a reçu le Grand Prix du roman policier.nnDans cette veine sa dernière oeuvre multiplie les cadavres et les coups tordus dans Paris enneigé. Son héros, commissaire principal aux stups, prend des libertés avec la routine policière, fonce tête baissée dans des pièges machiavéliques, mais se sort des pires situations avec élégance. L' écriture est efficace, et le suspens assuré.nn" La neige était rouge ", éditions Mon Village nnsource : http://www.estrepublicain.fr
nnnLes vieux métiers à l'honneurnndate : le 12/12/2004 à 12:06nauteur : Silviensujet : Les vieux métiers à l'honneurn
Sabotier, fabricant de skis, cordier, casseur de pierre, rétameur ou lunetier. De vieux métiers aujourd'hui disparus que Francis Péroz, professeur d'histoire-géo à Belfort, a décidé de faire revivre.nn" En 1985, j'avais réalisé un long-métrage de 90 minutes présentant ces métiers en voie de disparition. J'ai également fait des photos. Grâce aux informations que j'avais conservées, j'ai écrit cet ouvrage. "nnUn livre bourré de souvenirs pour tous ceux qui ont connu cette époque et rempli d'anecdotes pour les plus jeunes. nnUn ouvrage instructif sous forme de roman, richement illustré. " J'ai imaginé l'histoire d'un grand-père et de son petit-fils, qui se promènent en Franche-Comté, dans les années 60 et rencontrent les différents artisans, au cours de leur parcours... "nn"Artisanat rural comtois", de Francis Péroz, Franche-Comté Editions à Vesoul, tél. : 03.84.78.60.66. Disponible à la Fnac et dans les grandes surfaces.nnsource : http://www.estrepublicain.fr
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Livre : Le ski dans le Massif jurassienrnrndate : le 10/12/2004 à 06:51rnauteur : Perle39rnsujet : Livre : Le ski dans le Massif jurassienrn
Un siècle d'histoire dans un ouvrage qui associe la glisse dans le Jura et le Haut-Doubs.nnSki sportif et de compétition et ski grand public, les trois auteurs de cet ouvrage ont voulu dresser un vaste panorama de cette activité de neige qui a vu le jour dans le Jura à la fin du XIXe siècle.nn" On dit que le ski est né de façon utilitaire quand les écoliers sont montés sur des planches pour aller à l'école, mais pas du tout ", rectifie Pierre Dornier, l'un des trois auteurs de ce très beau livre qui fera référence. " Le ski a d'abord été une activité de loisirs, puis de compétition ". Et de faire un sort à cette autre " légende " qui veut que le ski jurassien soit né aux Rousses en 1901 : " Il est arrivé à Pontarlier par la Suisse. Vers 1895, des Suisses sont passés aux Verrières et se sont dit " on descend à Pontarlier " ".nnL'événement était relaté dans le ëJournal de Pontarlier à propos de ces " patins à neige " que les Suisses appelaient skis (prononcer chi, ce qui faisait bien rire). Mais c'est bien le maire des Rousses Félix Peclet qui se chargea d'en démontrer tout l'intérêt et créa le club des skieurs Rousseland en 1912.nnPierre Dornier, andré Buffard et André Vuillermoz sont naturellement des passionnés de ski. Le Jurassien André Buffard des Rousses fut sélectionné aux Jeux olympiques de Saint-Moritz en 1948 en ski de fond après des titres nationaux et mondiaux. Il fut également correspondant du ëProgrès-les Dépêches. Le chanoine Vuillermoz de Saint-Claude est un historien du ski dans le haut Jura sud, sujet qu'il connaît bien pour avoir été master de la Worldloppet. Pierre Dornier, journaliste à Pontarlier, a vécu au plus près l'investissement des clubs et leurs émotions lors des rencontres mondiales où se distinguaient et se distinguent toujours les locaux.nnLe fond y est prédominant avec sa course reine, la Transjurassienne, mais aussi le saut, et moins couramment la descente. " Autrefois il y avait des tremplins à ski dans chaque village et des compétitions tous les week-ends ".nnTous trois ont réuni 300 illustrations provenant de collections privées ou d'archives locales, photos anciennes sur les débuts touchants des " patineurs à neige ", les moments intenses des arrivées et des montées sur les podiums. Des affiches et pages de pub. L'ouvrage donne également le palmarès de tous les sélectionnés olympiques depuis les Jeux de 1924, ceux des championnats de France et du Monde jusqu'à la " décennie magique " de 90/2000.nnEdité aux Presses du Belvédère.nPierre Dornier et André Buffard dédicaceront le livre samedi 11 décembre à 14 h 30 à la librairie Camponovo, à Besançon.nnSource : www.estrepublicain.fr
nnnLivre : JURA, montagne en partagenndate : le 07/12/2004 à 13:55nauteur : Perle39nsujet : Livre : JURA, montagne en partagen
"JURA, montagne en partage", dernière parution des éditions Olizane, est le premier livre photographique à considérer la montagne du Jura comme une entité. Evoquant la beauté de sa nature et de ses paysages, mais également la spécificité de ses habitants, de ses villes et ses villages, ainsi que de ses artisans et industries, l'ouvrage fascine par ses angles de vue originaux. Quelques exemples choisis entre deux expositions du photographes Gérard Benoit à la Guillaume.nnQuelques morceaux de tissus, bien découpés, aux textures variées. Une bande brune, une autre verte, une jaune vif et enfin une jaune paille. Un trait ondulé marque la couture latérale. Des pastilles blanches microscopiques, mais bien visibles, ponctuent deux zone en demi-teinte. Quelques ombres pour donner du relief. Esthétique épurée et réglée à la Modigliani. "Paysage à complications. La Suisse possède un paysage agricole constitué de terrains de taille moyenne et dont le morcellement ne simplifie pas les conditions d'exploitation", a légendé Nathalie Fierobe avec sobriété.nnCe pourrait être le cÅ“ur d'une corolle de rose qui s'entrouvre à contre-jour. D'autre y verront le centre d'un cratère en ébullition avec d'étroites et régulières coulées de lave. A moins que ce ne soit la macrophotographie d'un coquillage aux teintes lavées de rouge, rose et jaune. En réalité, il s'agit du futur habillage d'un vacherin Mont d'Or: "Une targe de premier choix destinée à la confection d'un coffret, à Bois d'Amont. La boissellerie est une activité ancienne qui remonte au XVIIe siècle à Bois d'Amont. Coffrets, layettes et articles en bois de toutes sortes y sont toujours confectionnés par quelques boisseliers."nnPrenez dix des meilleurs artistes de notre époque, donnez-leur un pinceau de la largeur de l'ongle plus un tube de peinture noire et un autre de blanc. Règle du jeu: imiter l'écorce de l'épicéa en hiver. Il est quasi certain qu'aucun d'eux n'atteindra la qualité de la photo "Façade à restaurer" où le conifère répond à la vieille bâtisse. "Epuisée par une longue résistance aux intempéries, ruinée par les frasques hivernales, élimée par les fortes amplitudes thermiques des reliefs jurassiens, la façade de tavaillons (ou bataillée, ou encore talvanne selon les endroits) réclame la grâce d'une restauration qui la maintiendra dans le paysage patrimonial."nnLorsqu'à la fin de l'hiver on observe, d'un wagon de train, les vallons dont une pluie tiède nettoie très lentement les plaques neigeuses irrégulières, les motifs nous rappellent quelque chose... Mais quoi? La robe de la Montbéliarde, répond l'artiste avec son appareil photo. "Motifs. La Montbéliarde est attachée au paysage jurassien plus sûrement qu'à son étable. L'hiver venu, lorsque ses taches brunes ont déserté les alpages, la terre se souvient... Comme si un souffle chaud et humide trouait le gel par endroits, comme si la neige n'était qu'un rêve de l'été. Bientôt, avec l'estivage, la saison qu'on dit belle carillonnera une ode à la permanence des choses."nnIl y a comme cela plein de clins d'Å“il, d'allusions entre micro et macrocosme, de tendresse et de poésie... Et d'humour pour couronner le tout. Bref un régal de livre!nn"JURA, montagne en partage" de Gérard Benoît à la Guillaume et Nathalie Fierobe aux éditions Olizane, 2004, 228 pagesnnSource : www.agirinfo.com
nnnTrain de Noëlnndate : le 04/12/2004 à 00:22nauteur : alex-gnsujet : Train de Noëln
Voilà un petit boulot que j'ai fini il y a un petit moment et qui est en circulation entre Dijon et Belfort jusqu'au 7 janvier.nnnImagennImagennImagennImagennImagennImagennCa c'est l'original :nnImage
nndate : le 04/12/2004 à 10:24nauteur : Thiernsujet : n
"Petit boulot" : tu es modeste ! :;) C'est Magnifique !!! ::)
nndate : le 04/12/2004 à 10:31nauteur : Silviensujet : n
C'est superbe tout simplement :love:
nndate : le 04/12/2004 à 10:50nauteur : Perle39nsujet : n
Magnifique en effet.nnMalheureusement, je ne le verrai pas "pour de vrai". Il ne circule pas dans mon secteur géographique. Alors, merci pour les photos.nnCombien d'heures (de jours) ce travail a-t-il demandé ?
nndate : le 05/12/2004 à 00:26nauteur : alex-gnsujet : n
Merci les gens.nnCa représente 15 jours de boulot sur mon petit ordi et 4 ou 5 jours de boulot pour l'imprimeur (tirage des adhésifs, pose, etc.).
nnnLivre : "Vouglans, Un lac, un barrage, un pays"nndate : le 03/12/2004 à 16:54nauteur : Perle39nsujet : Livre : "Vouglans, Un lac, un barrage, un pays"n
En 1989, le sanclaudien Armand Spicher éditait un livre sur le barrage de Vouglans (Il est présent dans ma bibliothèque : ouvrage très intéressant).nnOn peut y découvrir le barrage, des tous débuts, alors que la réalisation n'était qu'hypothétique, suivie de la période de déboisement du site (travaux titanesques), la période de construction proprement dite (titanesque là encore), les déchirements des habitants dont la maison a due être sacrifiée (dont la célèbre "Chartreuse") la mise en eau, puis les retombées touristiques que l'on connaît aujourd'hui, sans oublier l'angoisse pendant les premières années pour les riverains qui vivent en dessous de la retenue d'eau.nnArmand Spicher récidive donc avec un nouvel ouvrage intitulé "Vouglans, Un lac, un barrage, un pays".nnL'ouvrage se présente en 4 parties :n- La vallée de l'Ain autrefoisn- Le chantiern- Le lacn- La partie touristique qui en découle.nnOuvrage en vente sur le Haut-Jura au prix de 22,00 euros.n
nnn" L'almanach comtois " 2005 est lànndate : le 17/11/2004 à 07:55nauteur : Silviensujet : " L'almanach comtois " 2005 est làn
Calendrier, lunes, conseil du jardinier, du pêcheur, recettes de cuisine, approche de certains légumes, de plantes, suggestions de balades en famille, histoires drôles, fêtes à souhaiter, foires et manifestations culturelles en 2005... Un almanach traditionnel, tel qu'on l'a toujours connu.nnLe numéro 5 L'almanach comtois reste attaché à ses valeurs et se veut le reflet populaire et anecdotique d'une région.nnPrésent pratique, passé instructif, étonnant, en particulier lorsqu'il est question des coutumes aujourd'hui disparues.nnL'almanach 2005 se penche sur certains rituels. Ainsi ceux qui permettaient aux jeunes filles de voir le visage ou les initiales de leur futur mari. En rêve, à certaines dates, dans une assiette emplie de graines ou dans une épluchure de pomme de terre. Une autre tradition consistait à illuminer les cimetières lors de l'offrande des Trépassés ou à entrer le sel en premier dans un nouvel appartement.nn" Actualité d'antan " mettant en scène l'élection des archevêques par le peuple, la foire aux paniers de Besançon, le premier vol au-dessus de Belfort, le pèlerinage de la Saint-Valbert, la tentative avortée des protestants pour s'emparer de la capitale comtoise ou la vie économique dans les pays de la forêt de Chaux.nnFigures pittoresques également au détour de ces pages : Raymond Vautier, le cardinal de Granvelle, Sainte Jeanne-Antide Thouret, la dame blanche du Valmont, Auguste Demesmay...nnL'almanach emporte son lecteur à travers la région, dans des lieux intéressants, peu connus, agrémentés de photos anciennes : Notre-Dame du Chêne, Ronchamp, Ougney, Frederic-Fontaine, Demangevelle, Montmirey...nnUn ouvrage attrayant, qui remplit parfaitement l'objectif de l'almanach rappelé par l'éditeur : " se nourrir du passé pour s'inscrire dans le présent. "nn" L'almanach comtois 2005 " éditions Arthéma. En vente chez les marchands de journaux au prix de 8,95€.nnsource : http://www.estrepublicain.fr
nndate : le 17/11/2004 à 11:35nauteur : Thiernsujet : n
Je ne sais pas si cette version-là (j'en ai vu plusieurs) mais dans celle que j'ai feuilletée, il y a 3 poèmes de Daniel Hazemann ! ::P
nndate : le 02/12/2004 à 07:55nauteur : Silviensujet : Un almanach 2005 dans la traditionn
Les amateurs du genre vont être comblés avec la sortie de L'Almanach de Haute-Saône 2005 de Michel Bregnard. nnL'ouvrage de l'ancien directeur d'école luron et correspondant au Pays est destiné à divertir en se cultivant. " Dans la plupart des parutions concernant la Franche-Comté, la Haute-Saône, malgré la situation géographique et historique qu'elle occupe au sein de la région, fait figure de parent pauvre ou marginal ", constate Michel Bregnard. Qui poursuit : " pour réparer cet état de fait et rendre à ce département sa juste place, j'ai créé cet almanach ". Un tel ouvrage, même s'il est conçu pour l'année à venir, fait toujours référence au passé. L'auteur sacrifie à la tradition et convie le lecteur à se reporter dans l'actualité haut-saônoise de 1905, cartes postales d'époque à l'appui. Sous le titre de " Souvenirs, souvenirs ", un rappel des événements qui se sont déroulés dans le département il y a cinquante ans est proposé.nnTradition oblige, l'eau est mise à la bouche par les savoureuses recettes de cuisine de Justine que les cordons bleus mettront à profit. Les lieux de légende et les biographies de ceux de nos compatriotes qui ont laissé une trace dans l'histoire sont naturellement au menu. Mais, désirant étoffer le contenu de sa publication, l'auteur a ajouté à son almanach d'intéressantes rubriques. Ainsi, il sera possible de " découvrir une évocation des travaux et habitudes d'autrefois tels que fenaison, moisson, école, veillées, des proverbes et des dates historiques correspondant à l'ensemble des mois de l'année, des chiffres qui renseignent sur l'état actuel du département, des écrits teintés d'humour et de poésie d'une jeune plume haut-saônoise, Chloé Boffy ". Et également les mémoires d'un braconnier de l'Ognon et la relation de l'étonnante aventure algérienne de Vesoul-Béniannnsource : http://www.lepays.netn
nnnLancement de " Patrimoine hospitalier " à Dolenndate : le 02/12/2004 à 07:42nauteur : Silviensujet : Lancement de " Patrimoine hospitalier " à Dolen
Les éditions Scala font paraître l'ouvrage " Patrimoine hospitalier " de Anne Pétillot avec des photographies de Georges Fessy.nnCet ouvrage fait la part belle à la ville de Dole en consacrant un chapitre à la médiathèque, montrée comme exemple de bonne reconversion d'un site hospitalier.nnC'est pourquoi il y aura avec les auteurs un lancement du livre à la médiathèque de Dole, demain. Les auteurs y animeront une conférence à partir de 18 h qui sera suivie par une séance de dédicaces de l'ouvragennsource : http://www.estrepublicain.frn
nnnMichel Dodane prix Pergaud 2004nndate : le 30/11/2004 à 07:59nauteur : Silviensujet : Michel Dodane prix Pergaud 2004n
Le comédien et auteur de théâtre bisontin est récompensé pour son premier roman " Les enfants de la Vouivre ". n nAprès le 50e anniversaire célébré à Besançon l'an dernier, le jury du prix Louis Pergaud a retrouvé la Maison de la Franche-Comté à Paris, pour la proclamation du nom du lauréat 2004, le Bisontin Michel Dodane, récompensé pour son premier roman Les enfants de la Vouivre, publié chez Albin Michel.nnPrésident du jury et de l'association " Les Francs-Comtois à Paris et en Ile-de-France " qui " porte " le prix depuis 51 ans avec le soutien de la région, des départements et de la municipalité de Besançon, Pierre Gérard a remis à Michel Dodane, le buste de Louis Pergaud oeuvre de la sculptrice jurassienne Nacéra Kaïnou.nnLe prix Pergaud marque une étape importante dans une carrière riche et très variée. Né à Besançon, Michel Dodane est d'abord comédien. Elève du conservatoire national de région, puis de l'école nationale de la rue Blanche, et du cours Jean-Laurent Cochet, il a interprété tous les répertoires : Molière, Beaumarchais, Marivaux, Vian, Audierti, Feydeau, Pagnol... Au cinéma il a travaillé devant les caméras de Gérard Jugnot pour " Premier espoir féminin " et " Monsieur Batignolle ", Gérard Vergez " Les diables de Loudun " ou Yannick Andréi " Bleu, blanc, rouge ", et a participé comme acteur à de nombreuses dramatiques radio et télé.nnMichel Dodane écrit aussi des feuilletons pour France Inter, des textes pour le théâtre, le café-théâtre et la télévision. Il est aussi parolier. Ce travail assidu l'a conduit peu à peu vers une oeuvre romanesque. Les enfants de la Vouivre, son premier roman, plonge ses racines dans la terre comtoise à laquelle l'auteur rend un hommage " nostalgique et passionné " qui a séduit Albin Michel.nnDu haut-Doubs à Besançon, il conte l'histoire et la rivalité de deux familles de paysans et de bourgeois, dont les enfants s'aiment... Thème connu mais " mis en musique " dans " une belle langue où s'expriment l'émotion et le suspens " selon Pierre Gérard. Une émotion et un talent d'écrivain qui ont largement convaincu le jury du prix Pergaud.nnsource : http://www.estrepublicain.fr
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Mitch
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Le musée de Morteau répare le temps cassérnrndate : le 30/11/2004 à 07:55rnauteur : Silviernsujet : Le musée de Morteau répare le temps cassérn
Après son pillage, le musée de l'horlogerie s'est enrichi de nouvelles pièces de choix. Il reçoit en dépôt le plus petit et l'un des plus gros et complexes mouvements du monde. n nConstant Vaufrey a retrouvé le sourire et la sérénité. Son cher musée de l'horlogerie de Morteau qu'il a créé avec passion et dont il a enrichi les collections avec persévérance, ne porte plus de trace du gros cambriolage subi dans la nuit du 9 au 10 mars 2003 et dont le préjudice était de près de 200.000 €. Tout a été réparé et remis en état. " Cela reste un très mauvais souvenir. Je regrette le vol de certaines pièces uniques parfois fabriquées dans la région. J'ai longtemps eu mal en entrant dans les salles qui avaient été cassées de ne plus voir ces pièces ", confie le fondateur et conservateur du musée. nnDes 200 horloges et montres dérobées en cinq minutes et avec sang-froid, malgré le déclenchement de l'alarme, aucune n'a été retrouvée. " Les enquêteurs nous ont dit de regarder dans les brocantes. Nous avons fait passer les photos des horloges volées dans la revue des professionnels de l'antiquité, sans résultat. Des pièces volées au musée de Genève ont été retrouvées en Roumanie ou au Japon, là rien. Il aurait fallu aller voir aux Pays-Bas, leur législation sur le recel est beaucoup moins dure que la nôtre ", explique Grégory Maugain, le jeune conservateur adjoint du musée. nnLes collections dévastées ont été reconstituées avec de fort belles pièces exposées dans de nouvelles vitrines cylindriques. " Les assurances ont parfaitement fonctionné. Nous avons pu faire des achats chez des antiquaires de Paris et acheter aussi des pièces à des particuliers qui nous ont contactés et fait des propositions. Ces pièces nouvelles permettent de faire le deuil de ce qui a disparu ", rapporte Constant Vaufrey. nnUn ensemble de nouvelles pièces sont donc présentées aux visiteurs. Ainsi, un cartel Louis XIV, décor Boulle, avec bronze et écaille de tortue rouge (plus de 9.000 €) ; un cartel Empire (1850) au décor de bronze poli avec une peinture symbolisant une fable de La Fontaine ; un très beau cartel Louis XIV (près de 20.000 €) fait d'après les dessins de l'ornementaliste Jean Bérain qui était " dessinateur des menus plaisirs de la chambre et du cabinet du roi " ; une très belle horloge dite de frontière offrant une peinture polychrome naïve au décor champêtre de village comtois avec clocher à impériale et bergère avec son amoureux (l'artisan régional n'a pas signé son oeuvre). Voici encore une horloge squelette à échapppement anglais de 1850, une capucine ou horloge de 1810 que Napoléon offrait à ses officiers et aussi toute une série de montres dont une très rare à coq émaillé à connotation religieuse XVIII ème siècle. nnPar aileurs, le musée de Morteau s'enrichit de deux très intéressants dépôts. L'un du jurassien Rémy Chauvin qui a réalisé l'une des plus grosses horloges astronomiques perpétuelles à partir d'un mouvement d'édifice de 1910 et capable de fonctionner 50.000 ans. Cette énorme machinerie de 1.500 kg, composée de 1.680 pièces, offre 21 fonctions différentes : saisons avec dates et mois, planétaire copernicien donnant le système solaire, roue du temps sidéral faisant un tour tous les 25.000 ans, comput ecclésiastique donnant sept indications. " Rémy Chauvin est un spécialiste de l'engrenage. Il a mis 14 ans pour faire cette horloge qui est un abolu chef d'oeuvre mécanique et de précision. Il y en a trois au monde d'une telle complexité ", rapporte Constant Vaufrey. nnEnfin, le musée va recevoir le plus petit mouvement mécanique du monde, soit le calibre 101 créé par Jaeger-Lecoultre en 1929 et qui, avec ses 98 pièces, pèse un gramme. Monté en bague ou en bracelet, le mouvement devient un sompteux objet de joaillerie à prix également sompteux. nnsource : http://www.estrepublicain.fr
nnnLe silence des rosesnndate : le 28/11/2004 à 09:00nauteur : Silviensujet : Le silence des rosesn
Un nouveau roman de Roger Faindt, c'est toujours un nouveau bonheur. Les sujets sont sérieux, toujours, mais la plume est aussi fière et alerte que le personnage est discret, réservé. " Le silence des roses " s'inspire de faits réels. Lundi 4 septembre 1944. Les Américains sont à Mouchard. Le groupe de résistants " Ognon Doubs " est sur la brèche. Les Allemands investissent Vaux-les-Prés. C'est la surprise et la panique générale. Ce livre nous raconte l'épopée de ce groupe de résistants et notamment les derniers jours de deux d'entre eux, André Brenot et Henri Angonnet, morts trop tôt, trop jeunes. nnRoger Faindt a le souffle du récit. Il sait tenir son lecteur en haleine. Et il a l'art, sans effet superflu, de brosser un portrait, de montrer un caractère et de donner vie aux personnages. L'ambiance est lourde, les affrontements sont violents et on se réfugie, comme pour chercher un peu de repos, dans les petits moments de tendresse.nnRoger Faindt est un écrivain, un vrai. " Le souffle du passé " était un roman de science-fiction. " Quand les ombres s'allongent " remontait le temps. " Le pays des Ilithyes " était une sorte de conte initiatique. Voilà, après " La lettre de Charlotte ", un deuxième roman consacré à la période de l'Occupation. Riche et vaste sujet, juste devoir de mémoire et d'hommage. Ce qu'on aime chez Roger Faindt, c'est la capacité à capter des sources d'inspiration diverses et variées. On espère une surprise avec le prochain bouquin.nn" Le silence des roses, un été 44 ", éditions du Sekoya, 19,50 €.
nnnL'Armoire aux souvenirsnndate : le 06/09/2004 à 11:51nauteur : Thiernsujet : L'Armoire aux souvenirsn
Guy-Louis Anguenot, prix Pergaud 2003, présentera son dernier livre ce week-end, lors de la Campagne à la ville. nnLe professeur écrivain a obtenu un prix qui lui va comme un gant. Avec Nouvelles comtoises, un ouvrage exceptionnel sur l'art de vivre de nos ancêtres, leurs coutumes et leur parler, l'écrivain de Grandfontaine, près de Saint-Vit, avait manqué de peu l'obtention de ce prix Pergaud en 2002. Professeur de lettres et d'histoire, Guy-Louis Anguenot a toujours été très attaché aux traditions franc-comtoises, aux façons de vivre de nos aïeux, retraçant dans le langage originel les dialogues, parlant des conflits, des joies et des peines d'autrefois. Le premier ouvrage de l'écrivain, édité en 2000, se nomme Mémoires comtoises. C'est le témoignage de nos racines, un livre de conteur mais aussi d'historien. Un ouvrage d'ethnologue qui retranscrit les manières de vivre, de penser et d'être et des transformations successives qui sont apparues au fil du temps. Tous les personnages et toutes les situations sont authentiques et la narration est un brin romancée. Mémoires comtoises met l'accent sur les changements de mentalité. D'ailleurs, quelle que soit la génération, le lecteur se reconnaît dans ces trois livres. Nouvelles comtoises des gens d'ici et d'ailleurs a succédé à Mémoires comtoises. Une suite logique, chronologique.nnDans L'armoire comtoise, c'est à travers les souvenirs collectés par sa grand-mère qu'Olivier, né en 1973, retrace la vie de ses grands-parents dans le siècle qui vient de s'achever. C'est l'histoire de la Jeanne, née en 1923, institutrice et de l'Eugène, fromager du village. Olivier parvient à faire raconter à sa grand-mère, photos et écrits, précieusement rangés dans l'armoire. Et l'on chemine ainsi jusqu'en 1962. L'ouvrage sera salué du Prix Pergaud, mais la suite, Guy-Louis Anguenot l'a déjà commencée. Le tome 2 de L'armoire comtoise s'intitule 1963-2000 Le temps des ruptures, la suite des souvenirs d'une famille dans le siècle. On y retrouve les familles Boudet, Longeot, Latour et Faivre " parce que le monde avance, parce que naissent les amours ", un livre qui permet de retrouver un peu de tendresse et de ses propres émotions. On y retrouve comment ont été vécus les grands mouvements sociaux comme Mai 68 et le conflit des Lip à Besançon. Le livre aborde largement les changements de mentalités nés de Mai 68, les nouvelles manières de vivre et de travailler. C'est une génération qui quitte la terre, un vrai drame ! Mais chut, laissons aux lecteurs le plaisir de découvrir le tome 2 de L'armoire comtoise.nnsource : http://www.lepays.netn
nndate : le 06/09/2004 à 13:48nauteur : Thiernsujet : Rencontre avec Guy-Louis ANGUENOT, conteur comtoisn
Je suis allé à la rencontre de l'écrivain Guy-Louis ANGUENOT, lauréat du Prix Pergaud 2003 pour "L'armoire comtoise", qui dédicaçait ses oeuvres sur le lieu du Festival "La Campagne à la ville" à Audincourt (25).nnImagennC'est avec la passion d'un conteur, amoureux de la langue et des gens simples du terroir comtois, que l'écrivain bisontin m'a lu quelques passages de son dernier ouvrage "Nouvelles Comtoises".nnImagennPour vous faire une idée du style d'ANGUENOT, je vous rapporte ici quelques extraits, tirés de la première nouvelle du recueil : "Les inventaires des biens d'Eglise à Lacime-du-Crôt" : elle raconte les heurts qui ont opposés en 1906, nos aïeux comtois, fervents catholiques et les représentants de l'Etat, qui venaient dans les villes et villages, dresser l'inventaire des biens de l'Eglise, suite à la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat.nn"Ceux qui connaissent bien les mentalités comtoises ne seront pas étonnés de ce que furent les inventaires à Lacime-du-Crôt, un village qui ne dépassait pas les deux cent vingt habitants mais qui, chaque fois que la religion était en danger, savait organiser la résistance et recueillir, au hasard des pétitions organisées par les différents curés, plus de deux cent cinquante signatures. Les chefs de famille signant en effet deux fois au mépris des lois de la république que l'on détestait et dont le seul nom provoquait chez eux, au milieu de leurs champs ou de leurs étables, un rejet naturel et malodorant qu'il lui dédiaient immédiatement : "Tiens ! C'est pour la République !". Dédicace faite à voix assez forte pour mettre en valeur les sons parasites, souvent redoublés, parfois même triplés chez les plus gros propriétaires.nEt cela faisait naître sur leurs visages les traits détendus et heureux qui provoquent le double soulagement du corps et de l'âme..."nnDans les histoires qu'il raconte, l'auteur utilise abondamment le discours direct, pour rendre les parlers de ses personnages, fortement emprunts du patois d'antan.nn"Y a qu'à sortir les g'nisses pour les faire beusener sur la place de l'église ! Y a pas pour s'arrêter ! Elles vont s'vider d'une sacrée vitesse depuis l'temps qu'elles sont pas sorties... I's aiment pas gavouiller dans la merde, tous ces gens-là ! I's oseront pas traverser... Nous, on s'en fout, on s'ra pas plus dégueulasses ainsi qu'ainsi..."nnA noter qu'à chaque fois qu'un mot issu des parlers comtois apparaît, une note explicative y est associée.nnGuy-Louis ANGUENOT est animé par la même volonté que les Membres Actifs de http://www.cancoillotte.net , à savoir la sauvegarde d'une langue dont il subsiste de nombreux reliquats, la peinture de l'Histoire régionale du siècle dernier, sans oublier la défense de valeurs, basées sur l'authenticité et un rapport simple à la nature : un vrai retour aux sources... ::) nnImagennNouvelles comtoises , de Guy-Louis ANGUENOT, Editions du Sekoya, avril 2004, 191 pages, 18€.nn*** Message édité par Thier le 08/11/2004 12:56 ***nnn
nndate : le 06/09/2004 à 15:38nauteur : daniel25nsujet : n
C'est dingue :toufou: nGuy Anguenot était mon professeur de français au collége Edgar Faure de Sant-Vit (1984-85?).nIl n' a pas pris une ride ::)
nndate : le 28/11/2004 à 08:57nauteur : Silviensujet : L'armoire comtoise, tome 2n
Le premier tome de " L'Armoire comtoise " a valu à son auteur le Prix Pergaud 2003. Guy-Louis Anguenot livre en cet automne le deuxième tome, sous-titré " 1963 - 2000, le temps des ruptures ", suite d'une chronique consacrée au XXe siècle à travers l'histoire d'une famille.nnAmbiance années 60 : " J'suis rentré chez Lip en 62. A mon retour d'Algérie, par le fait... Comme mécanicien. Moi, j'étais en blouse bleue, quoi... Tu sais, n'entrait pas chez Lip qui voulait. On était triés sur le volet... " nnUn éclairage sur la condition des filles à l'époque : " Après mon CAP, j'suis rentrée aux Galeries en attendant qu'on se marie. Alors, Jean-Pierre n'a plus voulu qu'je travaille. Il voulait une femme à la maison, quoi, qui lui fasse des petits plats pis des gosses... "nnAucun personnage n'est vrai mais tous sont authentiques. Guy-Louis Anguenot est un chasseur, un capteur d'anecdotes et dans la riche collection qu'il se compose, il puise de quoi composer les personnages de ses livres. " Mémoires comtoises ", " Nouvelles comtoises ", " L'armoire comtoise ", il cultive la poésie du terroir.nnLes pruneaux distillés en février quand il y a de la neige parce que " les menées, i z'aiment pas ça, les rats d'cave ". La grand-mère qui souhaite pour son petit-fils " une bonne fille, une qui n'pense pas qu'à elle, qui sache tenir une maison ". Les yé-yé : " R'marque ceux-là, on croyait qu'i révolutionnaient tout mais i chantaient en costume-cravate ! " Les boutons de manchette du grand-père, les lettres dans le tiroir... Cette " Armoire Comtoise " a le charme nostalgique des souvenirs d'enfance.nnL'armoire comtoise, tome 2, éditions du Sekoya, 19,50 €.
nnnRoger Petit, la Comté et le Saharanndate : le 25/11/2004 à 08:36nauteur : J-Minsujet : Roger Petit, la Comté et le Saharan
Le press-book de Roger Petit, ce peintre qui s'est retiré à Saint-Maurice-Colombier est impressionnant. L'artiste, accueille son public dans sa salle d'exposition - une ancienne écurie- au style de l'époque romaine. nnRoger Petit a toujours aimé dessiner et travailler de ses mains. Pendant la guerre, il découpait soigneusement les bordures de journaux pour laisser libre court à son esprit créatif. Différentes périodes ont marqué sa vie d'artiste, passant du figuratif au moderne et revenant au figuratif qu'il traite maintenant " au couteau ". A son actif, 70 aquarelles et 140 peintures à l'huile, d'une grande richesse et d'une grande diversité montrant son attachement à " sa " Franche-Comté comme au Sahara. Ainsi, des paysages du Haut-Doubs côtoient une réunion de femmes touaregs sous la tente...nnRoger Petit a aussi oeuvré pour l'art " militaire ". On lui doit, par exemple, le monument dédié à la Résistance d'Ecot, le premier édifice national en l'honneur des ambulancières de Réchésy, le monument aux morts de la 9e DIC à Saint-Maurice-Echelotte, les blasons en pierre à la mairie de Giromagny... Les oeuvres de Roger Petit sont à découvrir ou à redécouvrir chez lui, à l'atelier du Verseau, à Saint-Maurice-Colombier, au beau milieu du village.nnhttp://www.lepays.net
nnnUn catalogue de livres comtoisnndate : le 24/11/2004 à 21:52nauteur : Silviensujet : Un catalogue de livres comtoisn
Le Centre Régional du Livre, vient d'éditer son catalogue recensant (presque) toutes les publications sur la Franche-Comté ou édités par des maisons d'éditions comtoises ou encore écrits par des auteurs ayant un lien avec la Franche-Comté. nSoit une bonne quarantaine d'ouvrages recensés en quatre mois (entre le 15 juin et le 15 octobre derniers).nn Cette brochure reprend la rubrique " Parutions " du site internet du CRL ( http://crlfranchecomte.free.fr ). nnTirée à 1.400 exemplaires, elle est disponible gratuitement dans les bibliothèques départementales, dans une dizaine de librairies et sur abonnement (gratuit) en contactant le CRL, 2, avenue Gaulard, 25000 Besançon, tél. 03.81.82.04.40.nnsource : http://www.estrepublicain.frn
nnnComtois à l'honneurnndate : le 22/11/2004 à 08:36nauteur : J-Minsujet : Comtois à l'honneurn
Coup sur coup, les auteurs comtois viennent de voir deux des leurs honorés à Paris. L'Audincourtois Eric Coulon a brillamment réussi sa rentrée automnale à la galerie La Hune, place Saint-Germain-des-Prés, en compagnie de son éditeur, éric Caboussat, des éditions Cabédita, pour la parution de son septième et nouvel ouvrage : " Bourgs et villages de Haute-Saône " Quant à Michel Vernus, de Saint-Cyr, près d'Arbois, il s'est récemment entendu signifier que, grâce à son livre, La fabuleuse histoire du papier, il comptait parmi les cinq nominés au Prix Roberval qui sera remis le 24 novembre à l'Assemblée nationale par Jean-Louis Debré. Ces diverses manifestations ont permis de présenter le dynamisme éditorial franc-comtois au travers de travaux d'auteurs régionalistes comme Vincent Petit, Brigitte Rochelandet, Jean Defrasne, André Besson et Jean-Louis Clade.nnhttp://www.lepays.net
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Audincourt : Une bible en cartes postalesrnrndate : le 21/11/2004 à 10:18rnauteur : Silviernsujet : Audincourt : Une bible en cartes postalesrn
Jacques Migot vient de mettre un terme à cinq ans de travail. " Audincourt en pays de Montbéliard... Hier... " vient de sortir, un ouvrage qui regroupe toute la mémoire de la ville. Ses amis et soutiens viennent du Cercle cartophile et de la Mémoire des Forges. Ils ont participé, de loin, au travail colossal auquel Jacques Migot vient de mettre un terme. Depuis 1999, ce membre actif du Cercle cartophile cherche, compile, recueille des images, des documents et des témoignages sur sa ville, qu'il vient de réunir dans un bel ouvrage, Audincourt en pays de Montbéliard... Hier... nnTiré à 2000 exemplaires, notamment après souscription, close mercredi dernier, ce recueil détient une grande partie de la mémoire audincourtoise. Il reprend chronologiquement l'histoire de ce qui n'était encore qu'un village de 1 458 habitants en 1850, multipliant sa population par plus de huit en 1914, " grâce aux industriels Peugeot, Japy et Sahler, qui ont apporté ce capitalisme moderne qui vient de la Réforme ". A la présentation officielle de l'ouvrage, vendredi au Centre d'éveil aux arts plastiques et à la BD, lui-même ancien château Peugeot, Christian Japy avait d'ailleurs tenu à être présent, feuilletant avec attention et retrouvant quelques édifices disparus ou modifiés au hasard des pages. " Un ouvrage de très belle facture, qui permettra de prolonger la connaissance sur Audincourt ", a jugé Yves Adami, adjoint à la Culture, la Ville étant un peu partie prenante dans ce projet puisque Martial Bourquin, maire, en signe la préface.nnC'est au cours de l'exposition du Cercle cartophile sur Audincourt à la bibliothèque en 1999 que Jacques Migot a eu l'idée du livre. " Nous faisions nous-mêmes les commentaires des cartes postales. J'en ai parlé avec le Cercle, mais le club préférait faire une cartoliste sur la ville, qui est d'ailleurs sortie en 2002. J'ai donc décidé de le faire seul. " Le futur auteur a alors beaucoup lu, s'est documenté, a choisi les cartes, reprenant la trame d'ouvrages sortis sur Valentigney et Mandeure. Il s'adresse ensuite à une imprimerie spécialisée dans le Loiret, qui remet tout à plat. L'ouvrage contient dix chapitres, qui commencent par l'histoire du pays de Montbéliard, jusqu'à la Révolution, avec des gravures, avant d'entrer dans le vif du sujet : sur les pages, des cartes postales, bien sûr -Jacques Migot en possède 800 sur la ville-, mais aussi des textes historiques et des anecdotes, qui personnalisent ce travail didactique. Les anciens de la maison de retraite apportent aussi leur contribution à travers une balade sur les rues d'Audincourt. Personnalités, rues, industries, demeures et châteaux, édifices publics et religieux : la ville est passée au peigne fin, de l'origine de la carte postale, vers 1880, aux années soixante. " Les cartes d'après n'ont aucun intérêt ", souligne Jacques Migot. Au fil des pages, on retrouve le nom de Moïse Foglia, qui va bientôt donner son nom au boulevard qui mènera au multiplexe. Cet immigré italien créa en 1917 le Lumina, une salle de 800 places qui ancrait le cinéma comme une tradition à Audincourt. Juste retour des choses aujourd'hui. Les plus anciens retrouveront les vieilles fermes, les alentours de l'ancienne mairie, l'ancienne rue Aristide-Briand, " dont les maisons ont quasiment toutes été remplacées ", constate Jacques Migot... Il a bien fallu faire un tri, et l'auteur avoue avoir été moins sensible à l'esthétique qu'à l'information diffusée par les images. Pour finir, Daniel Vieille a relu les textes, apportant des corrections historiques, et Jean-Paul Humbert et Bertrand Vernier ont fait les modifications orthographiques et grammaticales d'usage.nnL'ouvrage est aujourd'hui disponible chez l'auteur, 31 rue Aristide-Briand (Tél. : 03.81.35.03.18), tous les mercredis à la bibliothèque, aux heures d'ouverture, dans les Maisons de la presse d'Audincourt, Valentigney, Fesches-le-Châtel, à Cora Béthoncourt et chez Rayot-Depoutot à Montbéliard. nnEt Jacques Migot, qui ne ménage pas son énergie pour que son travail soit un succès, sera présent le mardi 23 novembre au Foyer municipal d'Audincourt, pour la conférence que donnera François Vion-Delfin sur la Libération, avant de dédicacer Audincourt en pays de Montbéliard... Hier... à la librairie Depoutot le 4 décembre. Voilà un ouvrage qui a de longues années devant lui.nnSource : http://www.lepays.netnn
nnnCinq mille livres " désherbés " à Besançon samedi 20 novembrenndate : le 19/11/2004 à 07:36nauteur : Silviensujet : Cinq mille livres " désherbés " à Besançon samedi 20 novembren
Chaque année, les bibliothèques municipales de Besançon achètent de nouveaux livres pour leurs quelque 1.700 abonnés. Mais les murs des bibliothèques ne sont pas extensibles. Il faut donc régulièrement retirer des rayons des ouvrages qui ne sont plus empruntés. C'est ce que les bibliothécaires appellent joliment le " désherbage ". nnSamedi 20 novembre, 5.000 ouvrages seront ainsi proposées à la vente de 10 h à 18 h à la médiathèque Pierre-Bayle, près du pont de la République. Romans, bandes dessinées, livres pour enfants, documentaires sur tous les sujets seront vendus au prix modique de 2 € l'ouvrage.nnSource : http://www.estrepublicain.frnnnPost édité pour erreur date dans le titre (20 et non 10)nnnn*** Message édité par perle39 le 19/11/2004 07:00 ***nnn
nnnFallon (70) aura son muséenndate : le 27/08/2004 à 07:23nauteur : Silviensujet : Fallon (70) aura son muséen
La grande bâtisse au numéro 8 de la grande rue à Fallon va abriter le musée de la mirabelle, des fourneaux et des produits du terroir. La communauté de communes de Villersexel qui est devenue propriétaire de la maison soutient le projet de création d'un musée qui devrait voir le jour d'ici un an ou deux.n La commune de Fallon, avec ses deux Pierre, Haller et Vienot, qui se dévouent pour sauver tout ce qui porte le nom de fourneaux de Fallon, du poêle à la cuisinière à quatre marmites, possède actuellement une cinquantaine de pièces. Parmi celles-ci des pièces très anciennes comme une cuisinière de 1885 mais aussi des modèles en fonte émaillée moins rares mais tellement plus beaux. Mais où les deux hommes ont-ils dégotté ces merveilles ? Pierre Haller consent à dévoiler son secret : " C'est dans les brocantes, vide-grenier, auprès de personnes qui souhaitaient s'en débarrasser en les vendant. Parfois on nous les a offerts ! Nous avons mis deux ans pour constituer cette collection ! Pour l'instant, les fourneaux sont remisés dans un local et méritent d'être mieux mis en valeur. Le village de Fallon est déjà très connu mais nous devons étendre encore cette renommée en attirant les touristes et un musée serait le moyen idéal ! ". Dès la fin du XVIIe siècle, seuls les châteaux et les riches demeures possédaient un fourneau. Dans les maisons modestes, on restera longtemps dans l'inconfort de la cheminée et du brasero. Le fourneau est entré assez lentement dans les habitations, la période décisive pour la Franche-Comté se situe entre 1750 et 1850. Après cette date, le fourneau est devenu d'un usage commun. De plus, de grands fourneaux en faïence verticaux prennent le nom de la seule pièce chauffée où l'on se tient et où ils sont installés : le poêle. Se réunir autour du poêle prenait alors toute sa signification on y recevait sa chaleur et celle des humains qui se trouvaient là !n nsource : http://www.lepays.netn
nndate : le 11/09/2004 à 05:44nauteur : monononsujet : n
C est cool cela,je connais tres bien Fallon j y est fait pas mal de temps la fete il y a meme une fontaine qui est classer c est un village a visiter
nndate : le 09/11/2004 à 14:25nauteur : Silviensujet : n
Alors voilà, ce matin, j'ai téléphoné à la mairie de Fallon, la charmante personne qui était présente m'a répondu qu'un bâtiment avait été acheté pour abriter le musée, cependant, ce fameux bâtiment est à rénover, les travaux débuteront certainement l'année prochaine.nnEnsuite, j'ai appelé Pierre Viennot qui est l'une des personnes qui souhaite fonder ce musée. Il m'a répondu très gentiment. Donc la communauté des communes de Villersexel a bien acheté ce bâtiment, il est prévu pour deux choses : le premier étage sera réservé au musée de fourneaux, et le rez de chaussée sera consacré aux produits du terroir. Pour rénover ce bâtiment, il me précise qu'il faudra environ 2 ans.nnIl m'a également dit qu'à ce jour, il possédait 55 pièces pour le musée.nnJe le remercie d'avoir pris le temps de me répondre.nnAffaire à suivre....nn*** Message édité par Silvie le 09/11/2004 13:29 ***nnn
nnnLe Jura dans " Terre sauvage "nndate : le 07/11/2004 à 09:09nauteur : Perle39nsujet : Le Jura dans " Terre sauvage "n
Après avoir, il y a quelques mois, changé d'éditeur, passant de Milan-Presse, à Bayard, par le biais du rachat du premier par le deuxième, le mensuel Terre sauvage a sorti le 27 octobre son 200e numéro, relooké, avec un hors-série consacré aux plus belles terres sauvages.nnParmi elles, le Jura et sa région de lacs glaciaires, d'Ilay aux Rousses, avec un magnifique texte de Bernard Clavel le célébrant.nOn y rencontre, en quelques photos, quelques espèces d'eau douce, sous la surface, photographiées par Michel Loup, entre des paysages tout aussi fascinants d'Afrique du Sud et des parades d'oiseaux dans les neiges japonaises.nnDans le numéro 200, plus traditionnel, une enquête est consacrée aux prédateurs, loup, lynx et ours, et là encore, le Jura et les Vosges, terres de lynx, sont mises en avant.nOù l'on apprend tout ce qui peut être su de cet animal aux moeurs encore peu connues. Deux voyages fascinants, à deux pas de chez soi.nnSource : http://www.lepays.net
nnn6-7 Nov. à Arbouans (25) : Exposition Patchworknndate : le 11/09/2004 à 12:07nauteur : Marithénsujet : 6-7 Nov. à Arbouans (25) : Exposition Patchworkn
Les 6 et 7 Novembre 2004 Arbouans (Doubs)nLe Club de Patchwork d'Arbouans organise une exposition à la salle polyvalente, ouvert le samedi de 14h à 18h et le dimanche de 10h à 18h. nnMessage édité : ajout de la date et du lieu dans le titre :;) nnnnn*** Message édité par J-Mi le 11/09/2004 13:23 ***nnn
nndate : le 06/11/2004 à 13:53nauteur : Thiernsujet : Rappeln
C'est aujourd'hui et Marithé (ma chère Maman) y expose ses oeuvres ! :;)
nnnRegards sur mille ans d'histoire régionalenndate : le 02/11/2004 à 07:59nauteur : Silviensujet : Regards sur mille ans d'histoire régionalen
Une lecture " simplifiée " de la Franche-Comté au travers de ses quatre dimensions politique, religieuse, socio-culturelle et économique. n nEncore un livre sur les Francs-comtois. Le Pontissalien Michel Malfroy, qui fut professeur d'histoire au lycée Xavier-Marmier, a déjà publié un nombre important d'ouvrages et d'articles sur le Haut-Doubs et Pontarlier.nnAvec les Francs-Comtois, il élargit le regard et élève le propos. " En relisant un " Que sais-je " écrit en 1947 par Edmond Préclin, j'ai trouvé un nouveau point de départ. La Franche-Comté paraît diverse, voire hétéroclite. Mais son identité peut être décelée davantage dans son histoire que dans sa géographie ". C'est pourquoi le livre porte le sous-titre de " Regards sur mille ans d'histoire régionale ". nnC'est en 1002 que se dessine le destin de la Franche-Comté telle qu'elle est aujourd'hui. Le processus d'unification est dû à Otte-Guillaume, héritier des comtés de Besançon et de Mâcon. A la mort du Duc de Bourgogne Henri 1er dont il peut hériter par mariage, il se met sur les rangs, face au roi de France Robert le Pieux. En 1006, il accepte de céder sur le duché de Bourgogne. Le comté de Besançon est séparé du duché, et ira à l'un de ses fils, l'autre héritant de Mâcon.nnLes frontières n'en sont pas précisément définies d'emblée. Et la position frontalière de la région la soumet aux convoitises des souverains environnants. nnMais Michel Malfroy voit derrière l'unification politique favorisée par Otte-Guillaume d'autres critères de spécificité. Le fait religieux qui date du monachisme médiéval. Les moines défricheurs construisirent de nombreux monastères, principalement aux XIe et XIIe siècles. Au moment de la Réforme, la Franche-Comté (ainsi nommée depuis le XIVe siècle), a suscité une contre-réforme très active. nnAutre signe spécifique marquant la région : " Son économie porte la signature de trois fondamentaux ", ajoute l'auteur. " Le sel, la vigne qui existe depuis les origines, et la forêt ". Il faut se souvenir que la montbéliarde n'est apparue qu'à la fin du XVIIIe siècle, " inventée " par les protestants ménnonites. L'élevage n'était qu'une activité annexe à côté d'une polyculture vivrière qui occupait une large place. Arrivée encore plus tardive de l'horlogerie ou de l'automobile.nnEnfin, et c'est ce qui fait, aux yeux de Michel Malfroy, la principale originalité de la Franche-Comté : son imprégnation socio-culturelle. " Il y existe depuis très longtemps une profonde solidarité humaine qui s'est concrétisée dans les fruitières de montagne et autres coopératives de consommation. A Saint Claude, il existait une " Fraternelle " regroupant les artisans, pipiers, lunettiers, diamantaires, ancêtre de la Sécurité sociale ". Les communes donnaient aussi volontiers par le biais des affouages, bois ou tourbe. nnUne démarche qui débouchait sur les utopies socialistes des Fourier et Prou dhon. Auxquelles Victor Considérant a donné corps en partant appliquer leurs idées à Dallas, aux Etats-Unis.nnEnfin, Michel Malfroy relève une grande richesse culturelle qu'on a tendance à oublier.nnA côté des figures de proue que sont Hugo, Courbet qui a ouvert la voie à une école de paysagistes comtois, ou Pasteur, un compositeur comme Goudimel mériterait une meilleure audience. Justice lui est rendue dans l'ouvrage. A lire.nnAux Presses du Belvédère, 22 euros. Dédicace le 6 novembre à 14 h 30, à la librairie l'Intranquille, à Pontarliernnsource : http://www.estrepublicain.fr
nnnVie au village dans la Franche-Comté du XVIIIe sièclenndate : le 02/11/2004 à 07:55nauteur : Silviensujet : Vie au village dans la Franche-Comté du XVIIIe sièclen
Michel Vernus publie un nouvel ouvrage sur le paysan comtois, ses difficultés, ses rêves ses peurs, son existence au quotidien. nn La Franche-Comté est à peine devenue française. Au pied du clocher de son village, parfois même à l'ombre de son château, le paysan comtois s'organise. Il construit ses chemins, ses ponts, son lavoir, sa ferme, son cimetière... Des animaux sauvages hantent ses campagnes, le loup en particulier. Entre 1776 et 1780, on en tuera 2.073 !nnDans un environnement dangereux, sous un climat rude, avec des outils sommaires, il faut compter sur la solidarité de la communauté villageoise.nnDans son nouvel ouvrage Paysans comtois, la vie au village au XVIIIe siècle, Michel Vernus a choisi de suivre le rural comtois dans sa vie quotidienne mais pas n'importe quel paysan, celui qui vivait dans la région il y a quelque 300 ans ! nnLa vie n'est pas aisée, mais l'élevage des bovins se développe et en 1800, on dénombre 700 fruitières dont plusieurs dans une même communauté. La vigne est importante, on la trouve sur tous les coteaux aux abords des villes et la province en possède alors 135.000 ha. Mais il semble que les rendements restent fort médiocres. Quoi qu'il en soit, la polyculture règne, c'est le seul moyen de subsister quand l'une des récoltes est réduite à néant par une pluie de grêle ou une tornade.nnD'autant que les charges, les impôts sont impressionnants, ils s'additionnent. Il faut payer le roi, le seigneur, le curé... et les ponctions successives peuvent atteindre jusqu'à 70 % des revenus.nnLes artisans sont présents au village, maréchal ferrant, menuisier, forgeron, meunier... Leurs revenus fluctuent suivant la profession. Quant à la justice, elle pèse de tout son poids sur cette société rurale et " il est peu de Comtois de l'époque qui n'aient eu à faire, à un moment ou un autre de sa vie, à un homme de loi ", souligne l'auteur.nnComment sont les fermes, les demeures bourgeoises, les châteaux ? Comment y vit-on ? Michel Vernus passe en revue la construction, les matériaux, les meubles, le confort, Mais aussi la façon de se nourrir et de s'habiller de nos ancêtres. Gaudes du matin, poisson de carême... Suivant les lieux on mange différemment, le pain restant néanmoins la nourriture de base.nnLa famille est large et on vit " en communion " à plusieurs générations sous un même toit. Les jeunes filles aspirent au mariage s'adressant plus particulièrement à Saint André ou Saint Alexandre pour trouver un mari.nnLe galant se présente. Encore faut-il le consentement des parents, et ce bien après la majorité, et l'acceptation de l'église qui peut arguer un empêchement au mariage en raison de liens de parenté, parfois spirituels (si la promise a été marraine d'un enfant du fiancé veuf). nnMichel Vernus illustre son propos d'exemples souvent puisés dans l'état civil, de tranches de vie passionnantes, parfois drôles, tout du moins pour le lecteur. nnLe mariage est un jour de fête mais il existe bien d'autres moments de réjouissances, de jeux ou de simples plaisirs comme les veillées ou... les voyages. nnL'auteur consacre enfin toute une partie de son ouvrage aux grandes peurs de l'époque : incendie, maladie voire accouchement.nnAu travers les chapitres de son livre qu'on lit comme un roman, Michel Vernus entraîne le lecteur dans un autre univers, dans ce monde méconnu ou mal connu qui fut pourtant celui de nos ancêtres.nn" Paysans comtois - La vie au village au XVIIIe siècle " de Michel Vernus, professeur d'histoire à l'université de Franche-comté. Editions Alan Sutton, collection " histoire et archéologie ". Prix : 21€. nnsource : http://www.estrepublicain.frn
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Mitch
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Message par Mitch »

Accéder à des livres anciensrnrndate : le 30/10/2004 à 00:40rnauteur : zoulrnsujet : Accéder à des livres anciensrn
Les questions suivantes vous paraîtront sans doute stupides mais enfin bon...nnOn connait les écrivains souvent dits historiens Gollut, Nodier, Girardot de Nozeroy et j'en oublie... Ceux-ci sont sont fréquemment cités dans des ouvrages contemporains mais... où peut-on les lire?nnN'étant pas à Besac pendant les vacances, j'ai benoîtement visité amazon.fr puis ai fait le tour des encyclopédies libres du web. J'ai bien trouvé deux trois ouvrages mais rien qui ne me satisfasse vraiment...nnDonc, ces livres sont-ils seulement encore édités? Si oui, édition de poche? ::D nPlus sérieusement, sont-ils disponibles dans des bibliothèques municipales et sont-ils alors simples d'accès (période d'attente?) ?
nndate : le 30/10/2004 à 22:57nauteur : Nicolasnsujet : n
Cher Zoul,nnJe ne sais pas où tu habites, mais voici des endroits où chercher les "classiques" de la mémoire comtoise :nn- d'abord le moteur de recherches des bibliothèques municipales de Besançon, où tu pourras lire Gollut, Cousin, Girardot de Nozeroy et les autres :nhttp://bibm-new.besancon.org/cgi-bin/abweb2/G0nn- ensuite, tu trouveras également ces ouvrages dans plusieurs bonnes bibliothèques municipales, ainsi qu'aux archives départementales : on n'y pense pas assez, mais les archives départementales sont également des bibliothèques et elles acquièrent en général tout ce qui sort sur la Franche-Comté. Les coordonnées et détails pratiques (horaires, adresse) se trouvent sur les sites des conseils généraux.nnA bientôtnnNiconn*** Message édité par Nicolas le 30/10/2004 22:58 ***nnn
nndate : le 01/11/2004 à 00:26nauteur : zoulnsujet : n
Merci pour ta réponse, j'en espérais pas tant ::) nnJe suis souvent sur Besançon donc c'est parfait.
nnnDisparition du peintre et sculpteur Georges Oudotnndate : le 16/10/2004 à 12:01nauteur : Perle39nsujet : Disparition du peintre et sculpteur Georges Oudotn
C'est une grande figure de l'art en Franche-Comté qui vient de s'éteindre.nnNé le 28 juillet 1928 à Chaumont en Haute-Marne, Georges Oudot était entré en 1946 à l'Ecole Nationale des Beaux-Arts où il a été l'élève de Gimond et de Janniot. Sa carrière débute dans les années 1950 au cours desquelles il acquiert une grande renommée de sculpteur figuratif grâce à ses bronzes très expressifs. nnAuteur de grandes sculptures monumentales dont beaucoup sont exposées à Besançon où il vivait, Georges Oudot s'est illustré dans les portraits de personnalités comme le général de Gaulle, Pierre Mendès-France, Edgar Faure, Grace de Monaco, Juliette Gréco et a été en outre l'auteur de nombreuses gravures, lithographies et médailles. nnPrix et Récompensesn1955 - Prix Fénéon de sculpturen1955 - Bourse du Prix National des Artsn1956 - Prix de la Jeune Sculpture (décerné par la Société des Amateurs d'art et collectionneurs).n1956 - Prix Modigliani de dessin.n1967 - Hommage décerné par le jury du Prix de la Critique pour l'ensemble de son oeuvre.n1971 - Prix Biennale de sculpture Cécile LenchenernnOeuvres dans les MuséesnPARISnMusée d'Art Moderne de la Ville de Paris. Musée CarnavaletnnPROVINCEnMusées de Belfort - Besançon -Marseille - Poitiers - Riom - Sète - Strasbourg- Valence.nnETRANGERnMusées de Erlangen (Allemagne) - Fribourg-en-Brisgau (Allemagne) - Skopje (Yougoslavie) - Vatican - Monaco - Téhéran.nnDepuis 1950, une centaine d'expositions particulières en France et à l'étranger ont été consacrées à ses oeuvres qui ont pris place maintenant dans les plus grandes collections privées.nnMonuments et Grandes Décorationsn1957 - L'Elan, bronze 2,50 m, Camaïore (Italie)n1961 - La Messagère de l'Esprit, bronze 3,20 m,Besançon (commande de l'Etat)n1964 - La Main et l'Esprit, bronze 3,40 m, Besançon (commande de l'Etat)n1964 - Groupe de quatre statues en bronze à Marshalltown, USA (Fisher)n1965 - Buste monumental de République, Mairie de Besançon, bronzen1966 - La Source, pierre 3,30 m, C.E.G. de Morteau ' "n1970 - Le Prophète, bronze 1,75 m, Mémorial de la Résistance et de la Déportation,Besançonn1975 - Monument des Rapatriés, pierre 4 m, Clinique Bon Secours, Besançonn1976 - Mémorial d'Evry Ville Nouvelle, bronze 2 mn1978 - La Grande Eclosion, pierre 3,20 m, Béthoncourtn1979 - La Grande Pensée, résine synthétique 3 m, Alfortville 'n1980 - Femme Assise, pierre 3 m, Anfrézieuxn1980 - Tahiti entre Mer et Nuages, résine synthétique 4,50 m, Tahitin1982 - Monument à Pouvana a Oopa, pierre 4 m, TahitinnGeorges Oudot a aussi signé l'épée d'académicien du Président Edgar FAURE et il est l'auteur de nombreux portraits dont ceux de Madame POMPIDOU, de Pierre MENDES-FRANCE, de Juliette GRECO, du Président Edgar FAURE, de l'écrivain Armand LANOUX et de la Princesse Grâce de MONACO. Il est l'auteur de très nombreuses gravures et lithographies et de plusieurs médailles.nnDes textes ont été consacrés à son oeuvre par des écrivains et de très nombreux critiques d'art : George BESSON, Claude-Roger MARX, Marcel AYME, Armand LANOUX, Pierre DESCARGUES, Raymond COGNIAT, Edgar FAURE, René HUYGHE, Bernard CLAVEL.nnSource : www.bfc.france3.fr
nnn16 et 17 octobre festival de BD à Audincourt (25)nndate : le 27/09/2004 à 20:54nauteur : J-Minsujet : 16 et 17 octobre festival de BD à Audincourt (25)n
22ème édition déjà pour un festival que l'on ne présente plus.....nnPour tout savoir : nnhttp://www.sam-suffit.fr/mbd/festival2004.pdfnnet nnhttp://www.mission-bd.com/
nndate : le 14/10/2004 à 07:28nauteur : J-Minsujet : n
Plusieurs pages spéciales dans Le Pays aujourd'hui : nnIcinnnnet là ;-)
nnnSatires de la Fée Vertenndate : le 10/10/2004 à 10:25nauteur : Silviensujet : Satires de la Fée Verten
Les bonnes feuilles des dessinateurs de presse sur l'absinthe. n n" Les dessins satiriques de presse consacrés à l'absinthe étant antérieur à 1915 (NDLR : l'année de la prohibition), on associe naturellement leurs auteurs à cette époque. Or beaucoup n'étaient qu'à leurs débuts et ont finalement été les contemporains d'entre nous. Hélas, je ne me suis passionnée pour le sujet qu'après leur disparition dans les années 50-60 ", regrette Marie-Claude Delahaye, l'historienne patentée de la Fée Verte.nnElle n'est tombée dedans que dans les années 80. Vingt ans de recherches qui aboutissent au 6e volume de L'Absinthe, son " encyclopédie " sur le sujet, intitulé " L'absinthe, ses dessinateurs de presse ".nn" Recenser tous les artistes ayant fait un dessin sur l'absinthe serait un travail sans fin car, à l'époque, la photo n'existait pas et c'était la grande période de la presse satirique ", dit Marie-Claude Delahaye qui a tout de même rassemblé 474 dessins de 174 auteurs.nnUn somme qui est révélatrice de l'importance de l'absinthe dans le société du début du siècle.nnDans leur majorité, ces desins humoristiques voire sarcastiques, fustigent l'apéritif, dénoncent ses effets. " Pourtant, dit l'auteur, les dessinateurs comme les peintres qui ont aussi montré les côtés négatifs, étaient libres, ils n'étaient pas soumis aux ligues anti-alcooliques "nnAu délà de l'absinthe, il y a la critique du malaise d'une époque, une peinture de la société en général. En témoigne cette légende : " Le vin est trop cher, bientôt on ne pourra plus boire que de l'absinthe " nnTrès souvent le dessin a rapport à l'actualité sociale et politique, se rattache à l'événement du jour. " Terrible cet incendie de Pontarlier qui jette 300 ouvriers sur le pavé ", dit un consommateur. " Pourvu que ça ne fasse pas augmenter l'absinthe ", lui répond un autre buveur...nnDans d'autres cas, " véritable vogue entre 1860 et 1890, la presse satirique a un tel impact sur le public qu'elle va servir aussi la publicité... " Mais le genre n'est pas mineur que signent de grands noms : Moriss, Grevin, Caran d'Ache, Daumier, Valloton...nnL'absinthe, ses dessinateurs de presse, édition Musée de l'absinthe, Auvers-sur-Oise. 460 pages, 35 € . nnsource : http://www.estrepublicain.fr
nnnLes 23 et 24 octobre : Trains miniatures à Vesoulnndate : le 06/10/2004 à 21:33nauteur : Silviensujet : Les 23 et 24 octobre : Trains miniatures à Vesouln
Pour rencontrer les amateurs de Vesoul et de Haute-Saône, Rail Miniatures 25 organise une exposition exclusivement consacrée aux chemins de fer réels et modèles réduits, la "1ère exposition de trains miniatures à Vesoul", les 23 et 24 octobre, salle Alain Parisot.nnCe salon est organisé autour des réseaux de clubs ou de particuliers, musées, chemins de fer touristiques, artisans, commerçants, collectionneurs, associations.nnA la "1ère exposition de trains miniatures à Vesoul", des Francs-Comtois invitent des Francs-Comtois à découvrir leur région comme ils ne l'avaient jamais vue. C'est pour petits et grands, amateurs ou grand public, l'occasion de rencontrer des passionnés qui présentent le modélisme sous différents aspects.nnLa première exposition de trains miniatures à Vesoul sera pendant deux jours, sur 600 m², le lieu consacré exclusivement aux chemins de fer réels et miniatures, aux locomotives radio commandées électriques et à vapeur vive, des démonstrations de modélisme, qui prouvent que l'on peut, avec peu de moyens, faire toujours plus petit, faire toujours plus beau.nnPremière exposition de trains miniatures, salle Alain Parisot à Vesoul, samedi 23 octobre de 10h à 19h, et dimanche 24 de 10h à 18h.nnsource : est magazinen
nnnDu 18 septembre au 2 janvier, Belfort, Le lion dans tous ses étatsnndate : le 14/09/2004 à 07:44nauteur : J-Minsujet : Du 18 septembre au 2 janvier, Belfort, Le lion dans tous ses étatsn
Belfort accueillera à partir du 18 septembre une exposition consacrée au Lion de Bartholdi, la sculpture de l'artiste la statue de la Liberté. nL'exposition de Belfort prolonge celle de Colmar en s'attachant à évoquer brièvement la personnalité de Frédéric Auguste Bartholdi et son engagement dans les troupes de Garibaldi pendant la guerre de 1870-1871. La détermination de Belfort à rester libre face à l'adversaire prussien et son accession au sein d'une entité administrative nouvelle (officiellement déclarée département du Territoire de Belfort en 1922) marque les esprits et en particulier celui de Bartholdi. L'artiste, sollicité par la municipalité pour marquer la mémoire collective et célébrer l'événement, fera de Belfort un lieu fétiche qu'il utilisera pour mettre à profit son talent, plus par patriotisme que par intérêt.nL'exposition de Belfort s'attache aussi et surtout à explorer les prolongements que le lion monumental va susciter auprès du commerce et de l'artisanat local. L'animal emblématique est utilisé pour vanter les mérites de tel ou tel produit ou pour marquer le souvenir. Des éditions fleurissent et fonderies, dont Sarreguemines et Sèvres, faïenceries ou verreries lancent sur le marché toute une série de " Lions ". De nombreux artistes modernes revisitent le Lion, c'est le cas de Max Ernst dans une suite de collage intitulée Une semaine de bonté publié en 1994. En 1980, le peintre Luc Simon se lance dans l'aventure en créant un lion ivre pilotant un radeau corsaire mêlant Rimbaud à Bartholdi. Encore aujourd'hui, le Lion sert d'enseigne publicitaire et démontre que l'emblème colossal marque toujours les esprits. L'exposition belfortaine présente, en plus des objets exposés à Colmar, quelques souvenirs personnels ainsi que des dessins originaux de Bartholdi, des documents sur le siège de Belfort, une sélection de produits dérivés du Lion ainsi que les oeuvres des artistes modernes.nnY ALLERnExposition visible du 18 septembre au 2 janvier, Tour 46, rue Bartholdi Belfort. Ouvert tous les jours sauf les mardis, jusqu'au 30 septembre de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h. nà partir du 1er octobre : de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h nTarifs pleins 2.90 €, gratuit pour les moins de 18 ans tél. : 03.84.54.25.51.nnSource : http://www.lepays.netnnPS : Silvie tu sais ce qui t'attends !! ::D nn
nndate : le 16/09/2004 à 07:33nauteur : J-Minsujet : n
A voir une page complète du journal Le Pays : nnhttp://www.lepays.net/aujourdhui/RP/page_3.html (lien valable uniquement aujourd'hui)nnA partir du 17/09 : nnhttp://www.lepays.net/jdj/04/09/16/RP/page_3.htmlnnnn
nndate : le 26/09/2004 à 20:31nauteur : J-Minsujet : n
En préambule, avant que j'y aille, une vue de l'extérieur :;) nnImage
nnnVincent Petit, historien et écrivain franc-comtoisnndate : le 25/09/2004 à 09:26nauteur : Perle39nsujet : Vincent Petit, historien et écrivain franc-comtoisn
Vincent Petit, né en 1971, historien.nPrix Lucien Febvre 2004 pour "Le Curé et l'ivrogne"nnProfesseur agrégé d'histoire, originaire du haut Doubs, ses travaux universitaires l'ont amené à étudier le royalisme contre-révolutionnaire et le catholicisme social et politique du XIXe siècle (divers articles dans les Mémoires de la Société d'émulation du Doubs depuis 1995).nnSon Diplôme d'études Approfondies sur le catholicisme social et la démocratie chrétienne à Besançon entre 1840 et 1914 a reçu le prix de l'Académie en 1998.nnAncien étudiant à Göttingen, c'est un Européen convaincu qui a aussi publié un essai politique : Les Continentales. Lettres sur la constitution politique de l'Europe (L'Harmattan, 2001).nnIl s'intéresse aussi à la politisation et à la modernisation des campagnes comtoises à travers les structures de sociabilité (La clef des champs. Les sociétés musicales du haut Doubs au XIXe siècle, éditions Regards sur le Haut-Doubs, 1998) ou la répression de l'alcoolisme (article dans Barbizier, n° 22, 1999 et Histoire et Sociétés Rurales, n° 13, 2000).nnDans Le curé et l'ivrogne. Une histoire sociale et religieuse du haut Doubs au XIXe siècle (L'Harmattan, 2003), il a travaillé sur la formation de l'identité régionale, conçue comme la justification historique d'une contre-société catholique.nIl a reçu le prix Lucien Febvre 2004 pour ce beau volume.nnIl vient d'achever un nouvel ouvrage consacré à l'étude d'un fait divers dans la campagne comtoise (Crime et châtiment en Franche-Comté, aux éditions Cabédita).
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Mitch
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24.25 et 26 septembre : fête du livre à Besaçonrnrndate : le 09/09/2004 à 20:06rnauteur : Silviernsujet : 24.25 et 26 septembre : fête du livre à Besaçonrn
Yann Quéffelec est le parrain de la 3e édition des " Mots Doubs ", la fête du livre organisée à Besançon par le conseil général du Doubs les 24, 25 et 26 septembre, de 10 h à 19 h, au parc de la Gare d'Eau à Besançon. ImagennQuelque 150 auteurs, dont Anne Bragance, Henriette Chardak, Serge Joncour, Jean-François Kahn, Christophe Ono dit " Biot " ou François Ceresa, ont confirmé leur participation. Des auteurs européens comme Alice Machado, Anne Weber, Bernard Comment, Frédéric Mora ou Dominique Santis, viendront enrichir ce plateau. nnDes conférences, débats, cafés littéraires, ateliers jeunesse et expositions contribueront à l'animation de cette fête du livre qui a attiré en 2003 30.000 visiteurs. nnEntrée gratuitennsource : http://www.estrepublicain.frn
nndate : le 19/09/2004 à 09:36nauteur : J-Minsujet : n
Cent cinquante auteurs, parmi lesquels Patrick Poivre d'Arvor, seront, le week-end prochain à Besançon, pour la fête du livre les " Mot Doubs ". nnLes Mots Doubs 2004, la fête doubienne du livre, aura lieu du 24 au 26 septembre prochain, parc de la Gare-d'Eau à Besançon. Cette troisième édition est placée sous le patronage de Yann Queffélec, prix Goncourt 1985. L'écrivain parisien en profitera pour présenter son dernier ouvrage, consacré à la légende du " Pop art ", le peintre et cinéaste Andy Warhol, publié aux éditions Mengès. Le parrainage et la venue à Besançon de l'auteur des Noces barbares, ne sont pas fortuits. Les deux premières éditions de la fête du livre ont connu un franc succès. En 2003, le parc de la Gare-d'Eau a enregistré près de 30 000 entrées.nnUne tribune qui ne laisse indifférents, ni les éditeurs, ni les auteurs, fussent-ils aussi médiatiques que Patrick Poivre d'Arvor. Le journaliste vedette de TF1 sera à Besançon le vendredi après-midi et le samedi matin pour y présenter, lui aussi, son dernier roman, La Mort de Don Juan, publié chez Albin Michel. Un ouvrage dans lequel le journaliste-écrivain invite l'onirisme et le romantisme à nous transmettre l'histoire d'un acteur accablé par la maladie et contraint, de ce fait, à se projeter dans la personnalité d'un autre homme. Ce qui, évidemment, soulève un certain nombre d'interrogations. Le même éditeur accompagnera, également Michel Dodane sur ses terres où il dédicacera Les Enfants de la Vouivre. On peut aussi citer Pierre-Louis Basse avec Football & Co, chez Mango-Presse ou Jean-Loup Chiflet avec Nom d'une Pipe !, chez le même éditeur. De son côté, Sékoya, l'éditeur bisontin, alignera les ouvrages d'une dizaine d'auteurs. à signaler que des écrivains comme Sophie Audouin-Mamikonian, Eric Bomotte, Anne Bragance, iront, dès jeudi prochain, à la rencontre des collégiens du Doubs. D'autres comme Serge Joncour, Christian Giboudeau et Brigitte Rochelandet rendront visite aux patients du CHU de Besançon ou aux détenus de la maison d'arrêt. En tout, 150 auteurs seront présents à cette fête au cours de laquelle, deux prix - " Roman du Doubs " et " Littératura jeunesse "- seront attribués. à côté des dédicaces, ce rendez-vous livresque se déclinera également en conférences-débats, expositions, jeux... Pour ce faire, les brasseries Rosa Bianca (place Granvelle) et du Commerce (rue des Granges) se transformeront en postes avancés de l'événement en endossant, le temps d'un forum, la tenue de cafés littéraires. Il y a là de quoi donner, à tout le monde, l'envie de lire. L'accès à la fête est gratuit.nnhttp://www.lepays.netn
nndate : le 23/09/2004 à 19:00nauteur : Silviensujet : Les " mots Doubs " J-1n
Avec Yann Queffélec pour parrain et PPDA en visiteur furtif, la 3e édition de la fête du livre s'ouvre demain à Besançon. nnOrganisée par le conseil général du Doubs, la 3e édition des " Mots Doubs " bénéficie cette année de la présence annoncée de quelque 150 auteurs européens, nationaux et régionaux, dont un plateau d'écrivains et de personnalités qui ne manqueront pas de piquer la curiosité des lecteurs.nnYann Queffélec, en parrain de la manifestation, sera la figure de proue de ce grand rendez-vous littéraire, programmé pendant trois jours sous les toiles blanches d'un vaste chapiteau planté, au coeur de Besançon, dans les jardins de la Gare d'Eau.nnLa liste des auteurs présents dans son sillage témoigne de la montée en régime de cette jeune fête du livre dont la fréquentation, l'an dernier, était déjà estimée à 30.000 visiteurs.nnLe public pourra y rencontrer Eric Fottorino et Philippe Grimbert, tous deux sélectionnés pour le Goncourt 2004, Serge Joncour, Rémi Cassaigne, Alain Ménargues, Anne Bragance, Jean-Pierre Chevènement, Jean-Paul Delfino, Jean-François Kahn, les frères Bogdanov, Nathalie Rheims, Michel Quint, Christophe Ono dit Biot, Patrice Delbourg, Claude Sérillon ou... Patrick Poivre d'Arvor qui fera une rapide apparition, vendredi en fin d'après-midi (vers 18 h).nnDès aujourd'hui, en avant-première, des auteurs interviennent dans quatre collèges du Doubs et à l'hôpital Saint-Jacques de Besançon alors que Serge Joncour ira échanger avec des détenus, vendredi, à la maison d'arrêt de Besançon.nnDes expositions, des ateliers d'écriture, des cafés littéraires, des conférences-débats sont programmés pendant les trois jours des " mots Doubs " en parallèle des rencontres permanentes entre lecteurs et auteurs qui dédicacent leurs livres sur les stands des libraires.nnLes mots Doubs, vendredi de 9 à 19 h, samedi et dimanche de 10 à 19 h. Entrée libre.nnsource : http://www.estrepublicain.fr
nnnAmis du Vieux Saint-Claude : programme de octobre 2004 à juin 2005nndate : le 21/09/2004 à 18:11nauteur : Perle39nsujet : Amis du Vieux Saint-Claude : programme de octobre 2004 à juin 2005n
Programme culturel sanclaudien trouvé dans ma boîte à lettres ce matin. Et dans celui-ci, celui des Amis du Vieux Saint-Claude :nnImagennDis, Nicolas, c'est le 2 novembre que tu seras sur Saint-Claude ?? :crazy: nn*** Message édité par perle39 le 21/09/2004 18:12 ***nnn
nndate : le 21/09/2004 à 18:34nauteur : Nicolasnsujet : n
Exact, mais dis-moi, comment as-tu deviné ? :;) nnNico
nndate : le 21/09/2004 à 18:38nauteur : Perle39nsujet : n
Intuition féminine peut-être ?? :;) nnIl faudra que l'on trouve un moment pour se rencontrer "hors conférence".nUn repas à la maison par exemple...
nnnLa marqueterie, vous connaissez ??nndate : le 13/09/2004 à 22:17nauteur : J-Minsujet : La marqueterie, vous connaissez ??n
Je suis tombé sur ce site complètement par hasard, l'artiste est franc-comtois et son art m'était inconnu....bonne visite !!nnhttp://www.marqueterie.fr/
nnnNouvelle inspiration pour Guy Mülhennndate : le 09/09/2004 à 10:14nauteur : Thiernsujet : Nouvelle inspiration pour Guy Mülhenn
Le peintre audincourtois a trouvé une nouvelle muse sous les couleurs magiques de la Provence. nPrésident d'Acropole, association des amis des musées montbéliardais forte aujourd'hui de 75 membres, Guy Mülhen est un passionné de peinture, grand amateur de peintres contemporains comme Matisse ou Monet. Il y a peu de temps encore, Guy Mülhen travaillait ses toiles à la spatule et au pinceau, des toiles quelque peu surréalistes avec trois thèmes de prédilection, les vitraux d'églises et de cathédrales, les paysages marins et les femmes, en particulier les nus. nnLa femme idéaliséen" Bercés par ces trois éléments dans ma jeunesse, précise Guy Mülhen, j'en ai quelque peu abusé, au point d'arriver à saturation. J'en avais également un peu marre de fournir des explications à chaque exposition sur des sujets souvent difficiles à cerner dans leurs grandes lignes, par des néophytes. Dernièrement, sous le ciel limpide de Vence, j'ai pris conscience qu'il existait d'autres formes de peinture, avec une mission première, faire parler la toile et non en parler, faire passer un message aux visiteurs à travers elle, à travers les sujets et leurs couleurs. " Dès lors, le peintre audincourtois a simplifié, se focalisant sur les couleurs et se consacrant exclusivement à son sujet préféré, les femmes. Nues ou vêtues, en alcôve, dans la nature, elles sont idéalisées et mises en valeur par le contraste des couleurs. " Le noir, le rouge, le jaune et le bleu, les couleurs majeures de l'arc en ciel sont largement présentes ", relève encore Guy Mülhen. Habitué des expositions internationales, il a présenté ses oeuvres à Montréal, aux Grands Prix International de Deauville et d'Aquitaine et au salon des artistes indépendants de Paris, entre-autres. Le président d'Acropole n'hésite pas également à être prophète en son pays, en exposant à la Maison des Princes à Sochaux et prochainement à l'hôtel de ville de Beaucourt, du 11 au 26 septembre. Le vernissage aura lieu demain vendredi 10 septembre à 18 h. Peintre de talent, Guy Mülhen a une autre corde à son arc, celle de conférencier. Il présentera Matisse au château de Montbéliard en janvier et en février 2005.n nSource : http://www.lepays.net
nnnJusqu'au 10 sept., Luxeuil (70), aquarelles et pastelsnndate : le 08/09/2004 à 13:09nauteur : J-Minsujet : Jusqu'au 10 sept., Luxeuil (70), aquarelles et pastelsn
Jusqu'au 10 septembre, la salle des Forges de l'abbaye Saint Colomban de Luxeuil présente une cinquantaine de toiles de Martine Perret. Cette haut-saônoise d'origine a créer sa micro-entreprise pour vivre de son art, créant l'hiver et participant, à la belle saison, aux salons et foires d'exposition. Martine désire faire voyager tous ceux qui se plongent dans ses tableaux. Sans heurts, la nature est rarement agressive et elle n'a aucune envie de la changer. Entre plumes et gouttes, Martine aime se perdre. Parfois des rêves l'emportent vers de nouveaux thèmes et elle les réalise avec le pinceau et la palette de couleurs. La légèreté des plumes, des pissenlits en graine, l'ont inspiré puis la rosée est venue se mélanger au décor. La transparence des gouttes, les reflets de la lumière colorient ces perles de rosée et des pierres précieuses apparaissent. Douceur et poésie viennent parfois dans la chaleur des dunes du désert et le dépouillement des paysages s'impose dans les toiles de l'artiste. Huiles, aquarelles et pastels sont à découvrir, jusqu'à vendredi, tous les jours de 10 h à 12 h et de 14 h à 19 h. Pour clore ce rendez-vous, Martine offrira le pot de l'amitié, avant de tirer le rideau, ce 10 septembre à partir de 18 h sur les lieux de l'exposition.nnSource : http://www.lepays.net
nnnDu 18 au 23 septembre : Exposition d'art campanaire à Champagney (70)nndate : le 08/09/2004 à 06:58nauteur : Silviensujet : Du 18 au 23 septembre : Exposition d'art campanaire à Champagney (70)n
Le carillon de Champagney, le plus grand de Franche-Comté avec 35 cloches, a été fondé en 1929 ; il fête cette année ses 75 ans.nn Depuis les travaux de restauration de la toiture de l'église en 2002, le carillon est déposé et muet. L'association "Les amis du carillon de Champagney" organise des manifestations, collecte des fonds au profit de sa réinstallation et de son amélioration. nnUne exposition d'art campanaire se déroulera à la salle des fêtes de la commune du 18 au 23 septembre de 14 h à 18 h. L'inauguration de la manifestation aura lieu le samedi 18 septembre à 16 h.nnsource : http://www.lepays.netn n
nnn2ème festival de la BD à Saint-Claude le 25 & 26/09/04nndate : le 06/09/2004 à 18:22nauteur : Perle39nsujet : 2ème festival de la BD à Saint-Claude le 25 & 26/09/04n
2ème festival de la BD et de la littérature du Haut-Jura"nles 25 et 26 septembre 2004nà la salle des fêtes de Saint-ClaudennImagennLe programme :nnImagennnn*** Message édité par perle39 le 06/09/2004 18:22 ***nnn
nnnLa collection Jardot à Parisnndate : le 30/06/2004 à 07:22nauteur : Silviensujet : La collection Jardot à Parisn
La Maison de la Franche-Comté à Paris accueillera du 22 septembre au 23 octobre 2004 un choix exceptionnel d'une douzaine d'oeuvres majeures de la collection Maurice-Jardot.nnReçue par la ville de Belfort par donation, en 1997 et par legs en 2002, la collection Jardot regroupe un ensemble de peintures, sculptures, dessins... remarquable et représentatif du goût d'un véritable amateur d'art du XXe siècle.nnDans cette collection-hommage, Maurice Jardot réunit les artistes les plus éminents du XXe siècle : Picasso, Braque, Léger, Gris, Laurens, Masson ou Le Corbusier.nnAntenne du comité régional du tourisme, la Maison de la Franche-Comté permettra aux Parisiens de découvrir cette donation d'envergure.nnsource : http://www.estrepublicain.frnn
nndate : le 03/09/2004 à 07:41nauteur : J-Minsujet : n
L'expo approche pour nos "expatriés parisiens", je fais donc remonter l'info tout en la complétant avec un article tout frais de ce jour de http://www.lepays.net :;) nnEntre les audio-guides et la présentation de douze oeuvres a la Maison de la Franche-Comté à Paris, la Donation Jardot ne dort pas sur ses lauriers. nGrâce à la donation de Maurice Jardot, s'ouvre en 1999 à Belfort, le " Cabinet d'un amateur " en hommage à Daniel-Henry Kahnweiler. Selon la volonté du donateur, les différentes oeuvres d'art présentées reflètent l'activité du célèbre marchand d'art pendant près d'un demi-siècle. Les oeuvres des artistes comme André Beaudin, Georges Braque, Juan Gris, Otto Gutfreund, Eugène de Kermadec, Elie Lascaux, Henri Laurens, Le Corbusier, Fernand Léger, Manolo, André Masson, Picasso, Suzanne Roger, constituent actuellement un ensemble de référence de premier ordre représentant l'art du XXe siècle. nnLe 29 mai 2002, Maurice Jardot disparaît. Quelques mois avant sa mort, il avait fait don à Belfort de l'ultime partie de sa collection, composée d'oeuvres de Picasso, Léger, Braque, Gris, Laurens, Masson, Suzanne Roger et enfin l'ouvrage de Matisse, publié en 1947, intitulé Jazz. Ce legs complète et consolide les différentes tendances de la donation faite en 1997.Depuis le début de l'été 2004, et afin de découvrir en quarante minutes une partie des oeuvres de la collection, la Donation Jardot propose gratuitement aux visiteurs le prêt d'audio guides en trois langues (français, anglais, allemand). Le procédé, unique dans la région, comparable à celui utilisé dans le cadre des grandes expositions nationales, permet, tout en déambulant dans les salles, de bénéficier d'indications simples et pédagogiques.nnEn plus des commentaires sur la vingtaine d'oeuvres sélectionnées pour la représentativité de la collection, le visiteur aura également la possibilité d'écouter un commentaire sur les personnalités de Maurice Jardot et de Daniel-Henry Kahnweiler, ainsi que sur l'historique de la Donation à Belfort. Parallèlement, le public dispose désormais d'un nouveau catalogue lui permettant d'approfondir sa découverte de Maurice Jardot et de ses collections. Edité en collaboration avec le Musée d'art Moderne de Lille-Métropole, située à Villeneuve-d'Ascq, cette publication comprend notamment des oeuvres et des ouvrages légués à la ville de Belfort. La Maison de le Franche-Comté à Paris accueillera du 22 septembre au 23 octobre un choix exceptionnel d'oeuvres majeures de la collection Jardot. Les douze oeuvres présentées s'attachent à donner une image aussi fidèle que possible des choix artistiques de Maurice Jardot.n
nnnLa nature en peinturenndate : le 02/09/2004 à 12:19nauteur : Silviensujet : La nature en peinturen
Une jeune artiste franc-comtoise expose ses toiles au golf de Prunevelle pour son retour dans sa région natale. nnAurélie Cholley est originaire d'Evette-Salbert dans le Territoire de Belfort et vit au bord du lac du Malsaucy. Un paysage qui lui a transmis l'amour d'une nature qu'elle peint depuis de nombreuses années : " La nature est le meilleur des artistes " confie-t-elle. Après une solide formation en arts plastiques - elle est diplômée de Strasbourg, Angers et Mulhouse - Aurélie est revenue dans sa région et prépare le CAPES pour devenir enseignante : " Si je pouvais vivre de ma peinture, ce serait magnifique. Mais il faut garder les pieds sur terre et l'enseignement est une bonne alternative ".nnPremière exposition individuelle et régionalennAprès plusieurs expositions collectives, Lili de son nom d'artiste " parce que c'est plus graphique " présente au golf de Prunevelle quelques toiles pour sa première exposition personnelle dans la région. Ses peintures acryliques sur toiles s'inspirent de nombreux paysages. Certaines intéresseront les sportifs puisque des paysages du golf de Prunevelle travaillés à partir de clichés photographiques seront exposés. Aurélie peint aussi bien des paysages, fleurs et autres représentations que des oeuvres abstraites. Avec cette première exposition, la jeune artiste aimerait reprendre ses marques dans la région. Cela semble bien parti pour elle.nnsource : http://www.lepays.netn n
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PEINTURE : Couleurs de septembrernrndate : le 01/09/2004 à 07:34rnauteur : J-Mirnsujet : PEINTURE : Couleurs de septembrern
Pierre Le Preux organise des stages pour les amateurs de peinture. Il ouvre également les portes de son atelier de Lachapelle-sous-RougemontnnIl y a deux ans, l'artiste peintre Pierre Le Preux, qui accroche ses oeuvres aux cimaises des galeries suisses-allemandes et françaises, déménageait du Jura pour installer son atelier dans les locaux d'une ancienne fonderie de Lachapelle-sous-Rougement (Territoire de Belfort). nnEn dehors des sentiers " tendance ", Pierre Le Preux, avec son caractère trempé de couleurs chaudes, réalise des oeuvres dans lesquelles le spectateur est libre de voyager à son rythme. Sa devise d'artiste, comme il aime à le dire, est " la peinture appartient à celui qui la regarde ". Les formes éclatées de sa non-figuration nous embarquent bien loin à l'intérieur de nous-mêmes, ou au contraire dans un monde vierge ou tout est à découvrir. Aujourd'hui Pierre Le Preux organise des stages " comme une sorte de relais " pour des personnes sachant peindre, maîtrisant une ou plusieurs techniques et souhaitant approfondir leur expression personnelle. Pierre donnera des clés, proposera des déclencheurs et orientera chacun dans sa propre démarche artistique.nnLe programme de ses stages sera composé d'exercices d'expression, de communication, approche du mouvement et du geste, travail sur le message, mécanismes de la création, déclencheurs collectifs te individuels. Samedi 4 et dimanche 5 septembre auront lieu des journées portes ouvertes à l'atelier de Pierre Le Preux, de 10 h à 12 h et de 14 h à 19 h 30. A cette occasion il présentera sa nouvelle production sur le thème de l'embarquement. Le 18 et 19 septembre, il prendra en charge un stage de peinture à la salle des associations à La Chapelle-sous-Rougemont. Ces deux journées s'adressent à des personnes maîtrisant une technique et qui souhaitent travailler leur expression. Groupe de 8 à 10 personnes maximums.nnSource : http://www.lepays.net n
nnnLe monde insolite d'Isabelle Debraynndate : le 26/08/2004 à 08:53nauteur : J-Minsujet : Le monde insolite d'Isabelle Debrayn
Au-delà d'une histoire d'animaux, avec Isabelle Debray, c'est une histoire de coeur, qui passe par les bergers du Mont d'Or et les alpages du haut massif, chers aux naturalistes de la Maison de la Réserve de Labergement-Sainte-Marie. En hiver, lorsqu'avec sa famille, Isabelle quitte l'alpage gardé par son compagnon, elle retrouve les paysages très différents de la campagne Dijonnaise. Parce qu'elle a un goût prononcé pour l'indépendance, Isabelle peint ou sculpte en solitaire, exposant parfois avec d'autres sur des projets divers d'association d'artistes ou pour une manifestation ponctuelle. Ces derniers mois, elle a même eu les honneurs d'une galerie parisienne où ses poules et cochons ont connu un certain succès. Entre peinture et sculpture Isabelle a trouvé sa voie. La récupération d'abord. Pourquoi acheter de la toile quand tant de supports plus consistants, plus vrais s'offrent à nous ? A la recherche des trois dimensions, Isabelle ajoute la taille : grandeur nature ! Ainsi poules, puis chèvres, cochons et même vaches ou hommes, sont réalisés en des pièces qui en imposent par leurs dimensions. Quoi qu'il en soit, la démarche est originale : Est-ce qu'Isabelle s'approche de l'art brut cher au président de la République ?nnY ALLER : Exposition juillet-août-septembre 2004 " Bric à Brac ", Maison de la Réserve, Labergement-Sainte-MariennSource : http://www.lepays.netnnPS : Pour les personnes qui comme moi, ne connaissaient pas le village cité ci-dessus (c'est pas loin de chez Olif ??), vous pouvez le localiser en utilisant le lien ci-dessous :;) nnhttp://perso.wanadoo.fr/sylvain.chardon/locom/loc_listcomd25.htm
nndate : le 26/08/2004 à 10:04nauteur : olifnsujet : n
Comment, Jean-Mi? Tu n'avais jamais entendu parler de Labergement-Sainte-Marie, au bord du lac de Remoray, dans le prolongement du lac Saint-Point? C'est la patrie de la fonderie de cloches Obertino, dont le doux tintinement des clarines doit te résonner dans les oreilles, même jusqu'à Belfort! :pilote: A ne pas confondre avec Labergement du Navois, entre Levier et Amancey!nnLa Maison de la Réserve, entièrement réaménagée récemment, est un lieu incontournable de l'Histoire Naturelle du Haut-Doubs.nnOlif
nnnLa photo en stéréo... scopienndate : le 13/08/2004 à 08:12nauteur : Silviensujet : La photo en stéréo... scopien
Donnant l'illusion du relief, les clichés pris en 1904 par Albert Fischer sont exposés pour la première fois. n n Albert Fischer est né à Dornach près de Mulhouse en 1874. Il a fait ses études au collège des jésuites de Dole. Plus tard devenu ingénieur des machines à vapeur, il a parcouru toute l'Europe pour y apporter les progrès techniques.nnDans ses voyages, le jeune ingénieur ne se séparait jamais de son matériel photo. Une passion contractée dès l'âge de 18 ans. De 1892 à 1913, il a réalisé plus de 2.000 clichés sur plaques de verre. Vues et scènes de rues de Florence, Venise, Paris, Pise, Lyon, Nancy, Clerval... Albert Fischer travaillait souvent en stéréoscopie, prenant deux images légèrement décalées d'un même sujet. Examinées au stéréoscope, elles donnent l'illusion du relief.nnRetrouvé dans le grenier familial, le trésor d'Albert Fischer reprend vie grâce à son arrière-petit-fils Alexis, qui lui consacre une première exposition.nnIl a fait tirer sur papier plusieurs clichés significatifs réalisés par son aïeul en 1904, et les a complétés par des prises de vues personnelles faites sur les lieux-mêmes cent ans après.nnRegard nostalgique et émouvant, témoignage de l'évolution d'une société, cette exposition excite la curiosité et nous renvoie avec simplicité à notre mémoire collective.nnA voir jusqu'à la fin août au bâtiment d'accueil du château de Vaire-le-Grand, près de Besançon. Ouverture tous les jours (sauf le lundi) de 14 h à 18 h. Renseignements au 03.81.81.37.18.nnsource : http://www.estrepublicain.fr
nnnDali, la folie de Graynndate : le 14/06/2004 à 07:12nauteur : Silviensujet : Dali, la folie de Grayn
Avec " L'exposition anniversaire Salvador Dali ", Gray va connaître une frénésie. Les oeuvres amassées par un collectionneur, Jean Amiot, seront exposées partout dans la ville. Valeur : dix millions d'euros. n nGRAY. Il a cherché à comprendre l'homme. Pour comprendre l'art de Dali, c'est la démarche sine qua non. Jean Amiot en est persuadé. Et le prouve. En amassant les oeuvres du créateur catalan, depuis les années 80. Avec minutie, précision, entêtement...nnIl se retrouve aujourd'hui à la tête d'une collection impressionnante. 600 oeuvres, multiples, uniques, toutes signées du maître. Pour un montant colossal, pas moins de 10 millions d'euros... Une collection pléthorique qu'il va importer dans les murs de Gray pour l'été. L'éditeur d'art passionné a choisi la Franche-Comté pour l'exposition anniversaire du " fou catalan ". nnAprès Prague, avant Sydney, le choix de la cité de 7.000 âmes est celui du coeur et des racines.nnFils d'amiral de marine, Jean Amiot possède une résidence secondaire toute proche de Gray. Il y a passé " ses plus belles années ", rencontré ses premiers " émois d'adolescence ".nnRetour aux sources donc, pour que ceux de son sang, les Francs-Comtois, aient le bonheur de " faire connaissance avec Dali ". Avec tout Dali. nn" Ce qui est exposé à la fondation de Figueiras, en Espagne, n'est pas forcément le plus représentatif de son oeuvre ", souligne Jean Amiot, évoquant le site référent mondial du créateur.nnA 55 ans, il se fait fort de sensibiliser le Pays graylois à la diversité daliniene. Point fort et le plus pourvu de sa collection : les estampes. De tous types. Qui s'exposeront partout. Car Amiot veut " sortir l'art du musée ". " L'exposition-anniversaire Salvador Dali " sera déclinée sur plusieurs sites, suivant différentes orientations.nnLa plupart des oeuvres, dont les plus cotées, seront évidemment placées sur les cimaises du musée Baron-Martin. Choix d'un endroit qui s'accompagne pour le coup d'un double jubilé, le musée graylois fêtant cette année également son centenaire.nnDali dévoilera également ses côtés " coquins ", avec " l'enfer ". Une exposition érotique qui investira les voûtes obscures du caveau de la Prévôté, une ancienne boîte de nuit où Jean Amiot avoue avoir parfois " fait des folies "...nnDu coquin, on passe au sacré. Avec, entre autres, les célèbres Christ daliniens. Ils prendront place dans la chapelle des Jésuites et celle des Carmélites.nnJean Amiot n'en restera pas là. Gray devra fleurer Dali dans ses moindres recoins. Les produits dérivés en tous genres pourront s'acquérir, un " menu dalinien " sera mitonné au restaurant de la Prévôté, la vente d'un pain Dali devrait être proposée aux boulangers...nnOn entendra aussi sa voix de stentor surréaliste. Cerise sur le gâteau catalan, le rond-point du 4-Septembre va se transformer en socle atypique. Il y trônera une des oeuvres majeures du maître : la " Vénus de Milo aux tiroirs ".nnExposition à partir du vendredi 25 juin, avec le vernissage au musée Baron-Martinnnsource : http://www.estrepublicain.fr
nndate : le 10/08/2004 à 09:11nauteur : Silviensujet : Place à la " Vénus " à Grayn
L'exposition anniversaire Salvador-Dali présente quelque 400 oeuvres du célèbre artiste catalan. Dont la célèbre " Vénus de Milo aux tiroirs " installée hier au centre-ville. nnAvertis de l'installation à Gray, qui plus est sur un rond-point, d'une des plus célèbres oeuvres du maître du surréalisme, " La Vénus de Milo aux tiroirs ", nombreux sont celles et ceux qui doutaient, hier encore, de la concrétisation d'une telle entreprise. " Il faut être fou ", clamait une Grayloise qui avait eu vent de l'affaire.nnPour Cécile Contassot, attachée de conservation au musée Baron-Martin et Marie Beché, historienne d'art, chargée de la communication autour de " l'exposition anniversaire Salvador Dali ", le problème pour faire venir la " Vénus de Milo " à Gray résidait surtout dans son transport : " Il fallait trouver un transporteur d'art et également un assureur ". Bref, des conditions particulières pour mener à bien cette folle épopée. nnL'une et l'autre de ces clauses étant réglées, le socle commandé à l'entreprise de construction métallique Brisard, de Mantoche (70), capable de supporter l'imposante sculpture en bronze de 800 kg, mesurant 2,18 m de haut et 1,70 m de large (tiroirs compris), était livrée la semaine dernière. Et hier, la célèbre Vénus de Milo, cachée secrètement depuis jeudi dernier au musée, a été délicatement posée sur son socle par les hommes du service technique de Ville.nn" C'est une promesse qui nous avait été faite par Jean Amiot qui a mis en place cette superbe exposition. Et l'homme a, comme toujours, tenu sa promesse ", se réjouit Michel Alliot, le maire de Gray.nn" Des Vénus de Milo aux tiroirs, il en existe douze au monde. Nous avons un petit modèle exposé dans le salon du musée Baron-Martin. Cette sculpture n'a été réalisée qu'à huit exemplaires par Dali. Et puis il y quatre variantes de la taille du chef-d'oeuvre grec dont cette " Métamorphose topologique de la Vénus de Milo traversée par des tiroirs ", explique la jeune historienne d'art. " Cette sculpture en bronze à la cire perdue appartient à Jean Amiot. Elle est datée de 1964 et a été exposée au Louvre en 2000 à l'occasion de l'exposition " " D'après l'antique " ".nn" Dali s'intéressait à la psychanalyse ", poursuit la jeune femme. " Les tiroirs font directement référence à une réflexion de Freud qui parle des " tiroirs de l'âme humaine ", ce dont Dali s'est emparé aussitôt, au premier degré. " Avec les tiroirs, il est désormais possible de regarder l'âme de la Vénus de Milo à travers son corps ", disait-il. " Pour Dali la Vénus de Milo c'était l'archétype de la beauté féminine. Mais cette représentation antique n'était qu'une représentation physique de l'humain, d'où ces tiroirs qui permettent de rentrer dans l'inconscient, dans le secret intime, de cette femme ", éclaire Marie Bechè.nnL'exposition aniversaire de Dali n'a eu que 2.000 spectateurs en juillet. Un bilan décevant dû, selon Marie Beché, à un manque de publicité, mais " tous les visiteurs sont émerveillés. Il faut dire qu'elle propose un large éventail des oeuvres du maître, pratiquement inconnues du grand public ". Au total, 400 oeuvres d'art -lithographies, gravures sur bois, gouaches, aquarelles, sculptures, objets surréalistes, etc. - propriétés d'un collectionneur passionné, Jean Amiot, sont présentées sur quatre sites. A voir jusqu'au 27 septembre.nnsource : http://www.estrepublicain.frn
nnnLes petites fêtes de Dyonisosnndate : le 20/07/2004 à 07:28nauteur : Silviensujet : Les petites fêtes de Dyonisosn
Plaisirs du sensible et plaisirs de l'esprit à Arbois : des mythes, des mets et des vins. n nL'idée de marier la littérature et la gastronomie avait été lancée, il y a quelques saisons, par un restaurant d'Arbois, " La Balance, mets et vins ", et une librairie bisontine, " Les Sandales d'Empédocle ". L'affaire a pris de l'ampleur : le Centre Régional du Livre et plusieurs associations proposent désormais " Les petites fêtes de Dyonisos ". Du jeudi 22 au dimanche 25 juillet.nnNé de la la Lune et de Zeus, Dyonisos est un des dieux les plus importants de la Grèce. Son culte a donné lieu à des fêtes somptueuses. Dieu du vin et de l'ivresse, il est devenu le symbole de la puissance de la nature et le protecteur des beaux arts, de la tragédie et de la comédie.nnL'année dernière avait été consacrée au polar. Cette deuxième édition, on doit bien ça à Dyonisos, se consacre aux mythes. Et toujours aux mets et aux vins. De Grèce ou d'ailleurs, les mythes sont fondateurs des civilisations. Ces légendes sacrées sont les socles de la morale d'aujourd'hui et continuent d'inspirer les écrivains. nnSix auteurs seront à Arbois, pas forcément connus du grand public mais qui se sont fait une place dans le monde de la littérature : Yves Bichet, Jean-Yves Masson, Claudie Obin, Fabienne Pasquet, Philippe Raulet, Christiane Renault.nnParticipent à ces rencontres : deux comédiennes, Sylvie Malissard et Françoise Bénéjam, et un musicien, Michel Beuret.nnRendez-vous est donc donné à tous ceux qui aiment la lecture, le dialogue, la promenade et le vin, puisque c'est de tout cela que se compose le programme quotidien, le point d'accueil-information et la librairie (Espage Rouget au Château Pécaud, au centre d'Arbois) ouvrant à 13 h 30.nnDe 14 h 30 à 16 h 30 : promenade littéraire dans la ville, avec quatre haltes-lectures. Départ de la bibliothèque. Dégustation offerte à l'arrivée. On peut, à la promenade, préférer le cinéma : un programme Pasolini cette année.nnDe 17 h à 19 h : rencontre avec les écrivains. Suivie d'un verre offert par les viticulteurs d'Arbois.nnDe 20 h à 22 h : lectures de textes et intermèdes musicaux.nnA 22 h 30 : repas à thème en présence des écrivains.nnContacts : Centre régional du livre, tél. 03.81.82.04.40, ou crlfc@wanadoo.fr et Office de tourisme d'Arbois, tél. 03.84.66.55.50. ou http://www.arbois.comnnRéservation des repas : tél. 03.84.37.45.00.nnsource : http://www.estrepublicain.fr
nnnà VOIR Au musée Gustave Courbetnndate : le 13/07/2004 à 07:54nauteur : J-Minsujet : à VOIR Au musée Gustave Courbetn
Actuellement au musée Gustave Courbet à Ornans se tient une remarquable exposition sur le thème : " Jeux d'eau... de la source à l'océan " qui regroupe en un même lieu 130 oeuvres de 130 artistes, outre les célèbres toiles du peintre Gustave Courbet originaire du petit bourg franc-comtois. Aujourd'hui, une oeuvre de Amédée Ozenfant " La jetée blanche, bateau noir à Cannes " huile sur toile de 1957. Investigateur d'un mouvement plutôt éphémère, le Purisme, ami de Le Corbusier et associé avec lui pour créer la revue " L'Esprit Nouveau ", son oeuvre conçue comme une représentation décorative ne se soucie que de l'essentiel, dans une vision " minimaliste ". Ainsi l'eau est la symétrique de l'air.nnY ALLER :nMusée Gustave Courbet, 1, place Robert-Fernier à Ornans. Tél. 03.81.62.23.30. Ouvert toute l'année de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h (sauf le mardi)nnSource : http://www.lepays.net
nnnLe " Yéti " est de retour.nndate : le 13/07/2004 à 07:26nauteur : Silviensujet : Le " Yéti " est de retour.n
Après treize ans d'interruption (il avait disparu en mai 1991 après la parution de son numéro 7), le magazine de bandes dessinées de Jean-Michel Berté et Philippe Christin ressuscite. Et pour fêter sa renaissance, il inaugure sa nouvelle formule avec Elisabeth Herrgott, le sulfureux écrivain érotique de La Loye (Jura), cauchemar des âmes bien-pensantes du lieu.nnOui, " celle par qui le scandale arrive ", précise le " Yéti " en retraçant les péripéties judiciaires qui avaient valu à son amie Monique, pédiatre à Dole, d'être poursuivie devant le conseil de l'ordre des médecins pour avoir " inspiré " le personnage principal des " Hiérodules ", un roman édité fin 2000. A l'époque, des toubibs de la protection maternelle et infantile de Dole n'avaient pas apprécié d'être caricaturés dans le livre. Le préfet du Jura avait donc saisi la justice disciplinaire. A tort, avait tranché le conseil national qui avait " blanchi " Monique en appel.nnAlors, calmée, Elisabeth Herrgott ? Sans doute pas puisque, décrivant pour le " Yéti " son prochain ouvrage " Montcul ", elle précise : " C'est une satyre villageoise, rédigée grâce à une observation minutieuse des ploucs du coin ! " Gageons que dès sa sortie en librairie, les héros de ce " microcosme passionnant " des " ploucs " du Jura s'y précipiteront afin de connaître les " travers " que leur prête leur exubérante voisine. A La Loye, on n'a peut-être pas fini d'en appeler à la loi !nn" Yéti " numéro 1, août/septembre 2004, 68 pages, 3,90 €. nnsource : http://www.estrepublicain.fr
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Mitch
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Une exposition désaltéranternrndate : le 03/07/2004 à 11:55rnauteur : Silviernsujet : Une exposition désaltérantern
L'abbaye de Baume-les-Messieurs accueille cet été une exposition consacrée aux gourdes. L'objet existe depuis plusieurs milliers d'années : on en retrouve des exemplaires en céramique dans des tombes de Chypre dès le XIVe siècle avant J. -C. Appelée " hama " au Moyen Age, la gourde n'est pas qu'un objet domestique : elle peut aussi avoir une fonction liturgique et être liée au culte des morts. Ainsi, une tombe du cimetière mérovingien de Ruffey-sur-Seille fouillée lors des travaux de l'A39 contenait une gourde en terre cuite. Cadeau de mariage, récipient de table et de voyage, la gourde a longtemps été utilisée dans toute les couches de la société. Des vins fins pour nobles et bourgeois au vin coupé d'eau des paysans et soldats, la gourde contient de l'alcool, pas de l'eau. Nous avons perdu ces traditions mais elles sont restées très vivantes en Europe de l'Est.nnL'exposition nous invite donc à partir sur les traces des gourdes qui accompagnaient les paysans aux champs, les armées en campagne et les pèlerins sur les routes de pèlerinage. Du 3 juillet au 31 août, tous les jours, de 14 h 30 à 18 h 30. Du 1er septembre au 10 octobre, samedi et dimanche, de 14 h 30 à 18 h 30. Entrée gratuite.nnsource : http://www.estrepublicain.frn
nndate : le 03/07/2004 à 14:59nauteur : Thiernsujet : n
Autrement dit, une exposition sur les blondes quoi ! :lol:
nndate : le 03/07/2004 à 16:10nauteur : Jejensujet : n
J'ai pas ose la faire :crazy:
nnnPolar historique dans le Haut-Doubsnndate : le 28/06/2004 à 06:43nauteur : Silviensujet : Polar historique dans le Haut-Doubsn
BESANçON. Elle a de mauvaises moeurs Alexandrine Julienne Mottet, et deux amants qu'elle reçoit sous le toit conjugal. C'est l'été 1825 dans le Haut-Doubs. Le vieux mari d'Alexandrine, Claude Ignace Boillon, " disparu " depuis plusieurs semaines, réapparaît sous forme d'un cadavre affreusement mutilé, dissimulé à quelques centaines de mètres de la ferme familiale, où on l'a occis.nnLa " veuve rouge " et ses deux amants sont arrêtés. Les hommes échapperont au bourreau. Huit mois plus tard, malgré l'absence de preuves matérielles, et d'aveux, Alexandrine est condamnée et exécutée devant sa maison, pour l'exemple. La guillotine est transportée de Besançon à Mont-de-Laval, par la route de Valdahon, la pécheresse suit accompagnée d'un prêtre. Quand tombe le couperet, les villageois se terrent dans leurs fermes closes...nnCe fait divers transmis surtout par tradition orale a intrigué Vincent Petit qui lui a consacré un livre passionnant intitulé " Crime et Châtiment en Franche-Comté ", publié chez Cabédita.nnUne instruction à charge nnOriginaire du Haut-Doubs, natif de Montbéliard, enseignant à Lons-le-Saunier, agrégé d'histoire, Vincent Petit combine les qualités de l'historien et du romancier. Son livre est à la fois un véritable " polar " et un ouvrage historique de référence qui se lit comme un roman policier.nnAu-delà des documents d'archives sur l'enquête et le procès étudiés avec la minutie d'un chartiste, Vincent Petit rend leur caractère authentique aux acteurs du drame, dépeint avec précision la société paysanne du Haut-Doubs qui " s'organise sur les relations de voisinage et les solidarités familiales ".nnAvec la verve de l' écrivain, il plante le décor et les personnages, déroule l'intrigue, ménage les rebondissements. Avec l'esprit d'analyse de l'historien il décrypte les codes de la Restauration, dont les ultras cherchent à ressusciter l'Ancien Régime, en éradiquant toute trace de la Révolution. En " purifiant la société de ses éléments néfastes, de ses membres déviants ". Comme la scandaleuse Alexandrine...nnLe chercheur débusque aussi les failles de l'enquête et les faiblesses -déjà - de l'instruction qui s'appuie sur la rumeur, le " bruit public " et l'authentifie pour expédier la débauchée à l'échafaud.nn" La rumeur se construit à partir de personnes... qui savent, qui parlent, qui ajoutent, qui déforment, puisque pour une fois on les écoute. Leur parole acquiert d'un coup une importance considérable... Sans forcément vouloir nuire à quelqu'un, sans même croire mentir, la tentation est grande de faire durer ce trop court moment de notabilité " écrit Vincent Petit.nnCe pourrait être aujourd'hui. C'était en 1825 dans le Haut-Doubs...nn" Crime et Châtiment en Franche-Comté ", de Vincent Petit, Cabédita, collection Archives Vivantes, 160 pages, 22,50 €. nnsource : http://www.estrepublicain.frnn*** Message édité par Silvie le 28/06/2004 06:43 ***nnn
nnnDaniel Hazemann reconnu !!!nndate : le 13/06/2004 à 20:41nauteur : J-Minsujet : Daniel Hazemann reconnu !!!n
Lisez bien cet article !!nnLes 22 élèves de CE2 de Chaux ont présenté mardi leur spectacle " Contes et légendes de Franche-Comté " mis en place durant toute l'année scolaire. n" C'était très bien. Je suis vraiment contente. " Lauriane, tout comme ses petits camarades de CE2, se souviendra de cette soirée de mardi. Durant toute l'année scolaire, avec leur institutrice édith Piot, directrice de l'école primaire, mais aussi avec l'aide des parents, les 22 élèves âgés de 8 et 9 ans se sont investis pleinement dans ce projet d'action éducative. Ainsi a été mis en place un spectacle théâtral intitulé Contes et légendes de Franche-Comté regroupant des poésies de Victor Hugo, Daniel Hazemann mais aussi des légendes écrites par les élèves. Vêtus de costumes choisis par eux-mêmes, comme la chemise du papa ou la robe en papier crépon, durant presque une heure, dans la cour du Château Léguillon, les enfants ont interprété fièrement leurs rôles, devant leurs familles émerveillées. Après La cicatrice, La tante Airie, Le petit joueur de Flûtiau... Les petits acteurs d'un soir se sont retrouvés autour du verre de l'amitié, pour se remémorer leur spectacle qui clôture en beauté l'année.nnSource : http://www.lepays.net
nndate : le 13/06/2004 à 20:55nauteur : Perle39nsujet : n
C'est super ça.nLes traditions se perpétuent ::)
nndate : le 15/06/2004 à 21:26nauteur : Thiernsujet : Daniel est partout !!!n
En essayant de trouver la solution du mystérieux blason de Seloncourt, regardez sur quoi je suis tombé !!!nnhttp://clochers.free.fr/base/seloncourt.html
nndate : le 15/06/2004 à 21:27nauteur : J-Minsujet : n
Il est partout ce diable de Daniel !!
nnnAh la vaaaaache !!!nndate : le 11/06/2004 à 07:31nauteur : J-Minsujet : Ah la vaaaaache !!!n
Le musée de Pontarlier consacre son été à la vache, dans tous ses états, mais surtout sous toutes ses représentations artistiques. nnLes vaches font partie intégrante du paysage géographique - et économique - du Doubs. Animaux au demeurant placides et plutôt sympathiques, on ne peut ni les ignorer, ni les oublier, elles sont partout : dans les champs, sur les routes, dans les fermes, sur les emballages, les publicités, les cartes postales, les journaux, les photos, les magazines... et elles sont aussi les sujets de certains tableaux. Il était donc normal de les faire entrer au musée le temps d'une exposition ! L'idée n'est pas nouvelle et les vaches ont déjà franchi les portes d'autres établissements muséographiques par le passé dans le cadre d'expositions temporaires, en Franche-Comté ou ailleurs. Mais ce qui est peut-être nouveau avec cette exposition au musée de Pontarlier, c'est le parti pris de ne s'intéresser qu'à la représentation de la vache sans aborder les questions beaucoup plus spécialisées relatives à l'élevage, au lait, au fromage... et à toutes les questions économiques qui y sont liées, non qu'elles soient inintéressantes, mais parce qu'elles demeurent le domaine des spécialistes.nnCette exposition regroupe donc des tableaux, sculptures, photographies et dessins de Pierre Bichet, Sonia Brissoni, André Charigny, Michel Gindre, Maurice Gogniat, Christian Guyon, Emile Isenbart, Brigitte Jovet, Jacques Lacoste, Marcel Mille, Yves Perton, Paul Stainacre, Jules-Emile Zingg..., des objets publicitaires, des ouvrages divers, des cartes postales... le tout regroupé, bien évidemment, sans souci d'exhaustivité et sans autre prétention que de présenter au public un ensemble d'oeuvres variées. Mais, au-delà de cette simple présentation, au-delà du plaisir gourmand qu'il y a à regarder les oeuvres des artistes comtois, peut-être faudrait-il chercher aussi ici des évocations de la Franche-Comté, voire du Haut-Doubs, et de plus profondes motivations comme une forme d'attachement à la terre et à ces racines, que chacun peut sentir pousser sous ses sabots ruraux ou citadins, et un hommage rendu à ces paysages de verdure, d'eau et de lumière qu'animent ponctuellement ces sympathiques animaux.nnnMusée de Pontarlier du 25 juin au 26 septembre, visites commentées les samedis 26 juin, 3, 10, 17, et 31 juillet à 14h30 (visite gratuite, seule l'entrée du musée reste payante) Tél : 03 81 38 82 14 ou 03 81 38 82 16, fax 03 81 38 82 19 Horaires d'ouverture : Lundi, mercredi, jeudi, vendredi : 10h/12h, 14h/18h, samedi, dimanche et jour férié : 14h-18h fermé le mardi. Entrée plein tarif : 3,30 € - Tarif réduit 1,65 €.nnSource : http://www.lepays.net
nnn" Les Doigts d'art " à Salins-les-Bains cet éténndate : le 11/06/2004 à 07:19nauteur : Silviensujet : " Les Doigts d'art " à Salins-les-Bains cet étén
SALINS. L'association d'artistes " Les Doigts d'Art " a décidé d'organiser sa dixième manifestation internationale d'art contemporain " in situ " dans la ville de Salins-les-Bains, du 12 juin au 15 août. nnCette manifestation est organisée avec le soutien de la Direction des Affaires culturelles de Franche-Comté, du conseil général du Jura, du conseil régional de Franche-Comté, de Leader Plus (Fonds européens) et de la ville de Salins. nnElle revêtira cette fois un caractère particulier en invitant quatre artistes polonais sélectionnés parmi douze candidat (e) s dans le cadre de la " saison de la culture polonaise en France ", " Nova Polska " avec le label de l'Association française d'action artistique (AFAA).nnUn très large appel à candidatures a été réalisé sur les régions avoisinantes et sur Internet via une association internationale dont les " Doigts d'Art " sont membre (AININ). Une quarantaine de dossiers ont été retenus et parmi eux vingt et un projets ont été finalement choisis. Cette procédure de sélection a pour principal objet de garantir la qualité de la manifestation.nnUne vingtaine d'artistes régionaux, nationaux et internationaux, mettant en oeuvre des techniques très variées, réaliseront des oeuvres " in situ ", principalement sous la forme d'installations, s'inscrivant dans le cadre de la ville de Salins-les-Bains. Ces oeuvres seront installées dans des endroits librement choisis par les artistes. Elles ne seront pas mises en vente auprès du public et seront enlevées (et défaites pour la plupart d'entre elles) à l'issue de la manifestation.nnVernissage samedi à 15 h. Des visites guidées sont organisées par l'Office de tourisme, tél ; 03.84.73.01.34.nnSur les 21 artistes sélectionnés, quatre sont polonais, deux anglais, quatre hollandais et un danois.nnSix artistes régionaux exposeront : Edith Convert de Chapelle-des-Bois, Fanny Gagliardini, de Sellières, Nadine Lahoz Quilez de Lons-le-Saunier, Régina le Moigne, de Buurg de Sirod, Patrick Bally-Cowell, de Chaux-des-Prés, et Daniel Nicod de Champagnolennsource : http://www.estrepublicain.fr
nnnAteliers ouvertsnndate : le 01/06/2004 à 23:14nauteur : J-Minsujet : Ateliers ouvertsn
La manifestation des ateliers ouverts est destinée à permettre au public de visiter, durant deux week-ends, les ateliers ou les lieux de création des artistes participants. Des artistes d'expressions diverses (peinture, sculpture, photographie, video, poterie, gravure...) accueillent, pendant quatre jours, dans leur cadre de travail, un public de visiteurs et de curieux. nnLes 5, 6, 12 et 13 Juin 2004 nnPrésentation : http://www.guy-stoeffler.com/documents/ ... docnnListe des participants : http://www.guy-stoeffler.com/documents/ ... s2004.docn
nndate : le 03/06/2004 à 13:17nauteur : J-Minsujet : n
Je suis content d'avoir été plus vite que les médias sur ce coup là... ::D nnAteliers grand ouverts n n Les " Ateliers d'artistes ouverts " mobiliseront une cinquantaine de plasticiens, durant les deux premiers week-ends du mois de juin. Parmi eux, le Dellois Gilles Vetter. nn" L'expérience est enthousiasmante et chaque année, les "Ateliers d'artistes ouverts" prennent une part de plus en plus importante dans l'activité culturelle de la région ", souligne Gilles Vetter. Cet artiste peintre dellois souhaite, cette année encore, partager son enthousiasme avec son public. Aussi, il participera, dès ce week-end, aux 3e Ateliers d'artistes ouverts du nord Franche-Comté. Dans son atelier de l'avenue du Général de Gaulle, Gilles Vetter présentera à ses visiteurs les portraits, paysages et natures mortes, à l'huile et au pastel, qu'il peint depuis une quarantaine d'années. Ce projet d'ateliers ouverts a pris vie à l'initiative du peintre Guy Stoffer. La première année, en mai 2002, 24 artistes du Territoire, séduits par l'idée, ouvraient leurs ateliers et accueillaient 3000 visiteurs, ravis de découvrir ces lieux intimes de création et de pouvoir échanger en toute convivialité avec des créateurs régionaux. La seconde édition en avril 2003 a rassemblé 40 plasticiens. Cette année, 50 artistes, peintres, sculpteurs, graveurs, répartis dans 30 ateliers ouvriront leurs portes au public (leurs ateliers se soulignent par le biais d'une pancarte), les samedis 5 et 12 juin et les dimanches 6 et 13 juin, entre 14 h et 19 h. Entrée libre.n nSource : http://www.lepays.net
nnnUne romance franc-comtoisenndate : le 03/06/2004 à 12:22nauteur : Silviensujet : Une romance franc-comtoisen
Avec " Les Enfants de La Vouivre ", Michel Dodane célèbre ses racines franc-comtoises sur fond de fougueuse épopée. nnBESANçON. Enfant, Michel Dodane hantait l'atelier de reliure de son père, par ailleurs professeur aux beaux-arts de Besançon. Un univers de papiers, de basanes, de feuilles d'or et d'odeurs de cuir et de colle, qu'il a tout naturellement choisi comme creuset de son premier roman Les Enfants de La Vouivre, qui vient de paraître chez Albin Michel. Coup d'essai et coup de maître pour cet enfant de Besançon (" je suis né à la Mouillère et j'ai encore toute ma famille là-bas ") monté jouer la comédie à Paris à 19 ans, après deux saisons sur les planches du Centre dramatique régional de Franche-Comté.nnUne réunion où il n'a cessé de venir se ressourcer (" j'y retourne le plus souvent possible, surtout près de Malbuisson ") et qu'il célèbre dans son roman par touches impressionnistes ; ici avec quelques mots de patois, là au gré de noms de lieux et de rues, ou avec l'évocation de paysages et de caractères pétris de terroir. Le tout servant de toile de fond à une histoire de passion entre Just, une jeune fille de paysans du Haut-Doubs et Maurine, la fille du châtelain du coin. Voici Just à 12 ans avec " une amie de coeur, Joëlle Monnier, un grand amour Maurice, qui vient de se découvrir un ami de papier, de colle et de cuir frappé d'or : le livre ".nnRivalités autour de terrains, les parents vont s'entre-déchirer et le père de Just ne survivra pas au conflit. La veuve et les orphelins iront se réfugier à Besançon, chez un relieur. Suivront moult péripéties et rebondissements au terme desquels Just retrouvera Maurine, avec un trésor caché à la clé.nnLe tout écrit dans un style délicat (" les truites abondaient, traits de feu dans l'eau claire ") au rythme haletant d'une saga.nnUne fresque fougueuse que Michel Dodane a inscrite à l'orée des années cinquante, soit dix ans avant sa naissance. " C'est à mon sens une époque charnière où la bascule progressive entre ruralité et industrialisation s'est accélérée. Et puis, c'est aussi la naissance du rock, les Juva Quatre... Une époque qui me passionne ! ".nnQuant à cette écriture vivant et imagée ? L'auteur la pratique de longue date. Que ce soit au théâtre (pour lequel il écrit aussi et où il a fait jouer Juliette Binoche dans les années 80, avant qu'elle ne soit connue) ou dans les dramatiques qu'il a créées pour la radio (France Inter notamment).nnAujourd'hui, il verrait bien Les Enfants de La Vouivre adapté à l'écran. D'autant que ce volume est le premier d'une trilogie. " Le prochain est déjà en cours d'écriture, j'ai le canevas dans la tête, j'en suis à la page cinquante ". Un nouvel opus où il s'agira encore de relier les livres, mais aussi les êtres et des sentiments, le présent et le passé, Paris et la Franche-Comté.nnMichel Dodane dédicacera son roman " Les Enfants de La Vouivre " (19,90 €) samedi après-midi, à la librairie Camponovo, de Besançon et le 12 juin, à la librairie Rousseau, de Pontarlier.nnnsource : http://www.estrepublicain.frn
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Mitch
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Message par Mitch »

Muséernrndate : le 21/03/2004 à 13:53rnauteur : J-Mirnsujet : Muséern
Il y a le Musée Roger Comte qui est dans la rubrique "Culture" alors qu'il existe une rubrique "Musée".....
nndate : le 01/04/2004 à 21:36nauteur : J-Minsujet : n
Et celui-ci qui n'est nulle part il me semble....nnhttp://museeagricole.botans.free.frnn
nndate : le 03/04/2004 à 23:07nauteur : J-Minsujet : n
J'y connais rien en sculpture mais il y a ce site....nnhttp://www.musee-lipsi.com/nn*** Message édité par J-Mi le 03/04/2004 23:07 ***nnn
nndate : le 17/04/2004 à 12:14nauteur : J-Minsujet : A point nommé...n
J-Mi à la pointe de l'actualité !! Il parle du musée Lipsi et moins de 2 semaines plus tard, dans la presse : :lol: nnDes oeuvres de Morice Lipsi exposées à la Maison de la Franche-Comté nnLa Maison de la Franche-Comté à Paris exposera du 21 avril au 17 mai des sculptures et dessins de Morice Lipsi dont une partie du travail est exposée dans sa maison à Rosey (Haute-Saône). Morice Lipsi appartient à cette génération d'artistes appelée " Ecole de Paris ". Arrivé de sa Pologne natale en 1912, le jeune homme s'installe à côté de Zadkine dans un atelier de Montparnasse. En 1930, il déménage dans une grande ferme à Chevilly-la-Rue où il travaillera jusqu'à sa mort en 1986. Les oeuvres présentées à la Maison de la Franche-Comté ont été réalisées essentiellement dans les années 50 et 60, période pendant laquelle Lipsi s'orienta vers des formes de plus en plus épurées et architecturées. Au cours du vernissage mercredi 21 avril, la fille de l'artiste, Gabrielle Beck-Lipsi, échangera autour de l'oeuvre et de la personnalité du sculpteur.nnSource : http://www.estrepublicain.fr
nndate : le 27/05/2004 à 22:30nauteur : Silviensujet : Les amis de Lipsin
Redécouvrir le sculpteur par le truchement des artistes qui l'ont côtoyé, voilà l'idée défendue par le musée de Rosey. Une exposition à partir du 6 juin.nnLe jour où Morice Lipsi s'installait à La Ruche, Chagall déménageait ses toiles. Son voisin de palier se nommait Zadkine. Le Montparnasse des années vingt bourdonnait d'une ébullition artistique extraordinaire, enivrante pour le jeune émigrant à peine débarqué de Pologne.nLa Ruche...une communauté d'artistes. Une sorte de diaspora, sans le sou, réfugié dans un immeuble érigé par un mécène. Soutine, Modigliani, Fernand Leger, Appolinaire fréquentaient ce lieu dédié à la création.nnMorice Lipsi y demeura une quinzaine d'années, partageant des discussions passionnées avec des artistes devenus des amis. " Ils s'invitaient à tour de rôle pour de fêtes, des repas. Mais quels repas ! Puisque c'était la misère, on rôtit par exemple un chat arrosé à la vodka ... ", raconte Gabrielle Beck-Lipsi, la fille de Morice .nnLa dèche, et pourtant " la belle époque ", pour ces aventuriers de l'Art, en recherche perpétuelle, qui expérimentèrent et imposèrent pour certains, l'abstraction.nPlus tard, Morice Lipsi déserta la Ruche pour se mettre au vert, avec femme et enfants, à Chevilly-Larue, dans la banlieue parisienne. Il continua à y recevoir ses amis, avec lesquels il aimait entretenir un dialogue enrichissant sur l'Art.nnRecherchennMieux comprendre l'oeuvre de Lipsi en s'attardant sur son environnement social, tel est le pari de l'exposition qui réunira dès le 5 juin à Rosey des oeuvres de proches du sculpteur . Des peintres surtout : Jeanne Coppel, roumaine connue essentiellement pour ses collages ; Sonia Delaunay, artiste d'origine russe ; Richard Mortensen, danois marqué par Kandinsky ; le néerlandais Geer Van Velde. Et un sculpteur Henri Laurens que lipsi avait rencontré en 1912à son arrivée à La Ruche.nTous des défenseurs de l'art abstrait.nnC'est après la seconde guerre mondiale que Morice Lipsi imprima une nouvelle direction à son travail. Son style autrefois classique évolua lentement de 1945 à 1955. Quelques embardées surréalistes, et l'aboutissement avec l'abstraction. " Chez moi, la sculpture repose sur un fait majeur, celui de la recherche. Je cherche continuellement à la découvrir. Voilà la raison pour laquelle j'ai toujours le besoin de travailler en plein air, c'est là que se trouvent la lumière et l'espace ", insistait Morice Lipsi.nnRigoureux, il ne cédait jamais à la facilité. Il allait les matériaux durs, la pierre de lave. " Le marbre était pour lui comme du beurre ", sourit sa fille. Pas question d'une surface polie. Gabrielle Beck-Lipsi confirme : " il voulait une texture vivante, qui respire ". Et passait des heures à tailler à la main ses pierres.nEn 1963, Lipsi se rendit au Japon, pour un symposium international de sculpteurs. Le pays du soleil levant avait invité nombres d'artistes pour créer des sculptures monumentales à l'occasion des jeux olympiques d'été en 1964. Lipsi et l'un de ses amis reprirent cette idée en 1967 et la soumirent à la ville de Grenoble pour les Olympiades d'hiver. L'artiste réalisa alors une colonne immense de 12 m de haut pour illustrer cet évenement sportif.nnA Rosey, le musée propose au visiteur une série de dessins qui dévoilent les secrets de cette création.nA voir absolument.nnSource : http://www.estrepublicain.frn
nnnFort de cafénndate : le 26/05/2004 à 07:34nauteur : Silviensujet : Fort de cafén
L'exposition de l'été au musée Japy présente une centaine de moulins à café portant la signature du célèbre industriel beaucourtois. nà peine l'exposition temporaire sur " les pendules de voyage " est-elle rangée dans les cartons, qu'une nouvelle manifestation est proposée à partir du 29 mai au public. Baptisée " Les moulins à café Japy ", elle est le fruit d'une collaboration entre l'association des " Amis du Musée " et le musée Frédéric Japy. C'est en 1867, à l'usine du Rondelot que débute la fabrication de moulins à café et à grains. La maison Japy fabrique des moulins à café de toutes espèces, les uns avec boite en tôle, les autres dits de comptoir avec enveloppe de fonte, de fer ou de laiton. Comme le mentionne le dépliant consacré à l'exposition, il est intéressant de noter que cette boisson donne son nom à un lieu, espace privilégié de rencontres et d'échanges au début du siècle dernier. Le café devient donc le lieu de prédilection de la sociabilité. " Nous avons voulu que cette exposition reflète cette convivialité, tout en présentant l'évolution de cet objet à travers les générations " explique l'une des animatrices du musée beaucourtois. Dans cette collection prêtée par un particulier, les visiteurs découvriront plus d'une centaine de moulins à café ainsi qu'une dizaine de moulins à poivre et à épices. Les plus anciens, en tôle, côtoieront les moulins en bois, chêne, noyer et hêtre, dont certains " à côtés décorés ". à découvrir également quelques-uns à calottes nickelés et mécanismes à denture ou taillés marqué d'une plaque ovale en aluminium " Japy Frères breveté SGDG, Beaucourt-Paris " datant des années 1907-1922. Plus rare, les visiteurs devraient apprécier les moulins de troupe et les moulins de comptoir. Au début des années 1950, on remarque les " moulins modernes " avec l'étiquette Japy bleue et lettres rouges et le mécanisme Peugeot Frères, juste avant l'arrivée des moulins électriques.nnContes et dégustationsnnPar ailleurs, dans le cadre de cette exposition, plusieurs animations sont prévues. La première aura lieu chez l'un des partenaires, la bibliothèque de Beaucourt, mardi 22 juin de 9 h 30 à 10 h 30. Annie Marandin conteuse de l'association " Contes en troc " proposera aux scolaires des histoires sur le thème du café. Samedi 16 juin de 14 h 30 à 16 h, dégustation au musée qui recevra un chocolatier-confiseur. Du 20 juin au 4 septembre, la bibliothèque se mettra également à l'heure du café avec l'organisation d'un grand concours avec exposition de livres sur ce thème. à noter également que de juin à septembre et pour la première fois, le musée ouvrira ses portes, en complément des horaires habituels, le matin, du mercredi au vendredi de 10 h à 12 hn nsource : http://www.lepays.net
nnn"Un week-end en noir"nndate : le 21/05/2004 à 11:26nauteur : Silviensujet : "Un week-end en noir"n
Besançon accueille le 7e Festival des littératures policières, noires et sociales. Vingt-deux auteurs invités moins un empêché, Cesare Battisti, qui tiendra néanmoins la vedette. n nBESANçON. - Dimanche matin, on rangera les flingues pour faire claquer les boules. Auteurs et lecteurs de polars seront fraternellement réunis autour d'un cochonnet. Le Festival des littératures policières, noires et sociales dont la 7e édition est programmée ce week-end au Grand Kursaal de Besançon soigne sa convivialité, soucieux de briser la sacralité des rencontres.nnCollectors nn" Rencontres, débats, expos, pétanque, musique et cinoche ", annonce l'affiche illustrée d'une photographie de Thierry Loew tirée d'un " Calendrier noir " édité pour l'occasion. Douze images de Besançon accompagnées de légendes d'auteurs. Côté collector, l'association " Pas serial s'abstenir " organisatrice de l'événement sort également un CD, " Pas peur du noir ", sur des textes de Jean-Hugues Oppel, Mouloud Akkouche, Jean-Bernard Pouy plus quelques confrères écrivains tous présents ce week-end sur les stands bisontins et mis en musique par Dr Fox.nnIls seront évidemment vingt-deux, moins un plongé dans son propre marasme judiciaire. Cependant Cesare Battisti, l'ancien révolutionnaire des années de plomb italienne, sera présent au coeur de débats passionnés. Jamais le festival n'aura autant été confronté à l'actualité du fait divers qui fonde le genre.nnLa vraie vie nnDomaine de plus en plus présent dans la littérature, le roman policier révèle le talent d'une pléiade d'auteurs qui, malgré leur succès, demeurent quasiment confidentiels. Prof, comme Dominique Manotti ; chercheur au CNRS, comme Michel Steiner ; dialoguiste, comme Alix Clémence ; journaliste et photographe, comme Romain Slocombe ; designer, graveur, bijoutier puis dessinateur de presse, comme Colin Thibert ; cuisinier, comme Alain Raybaud ; routard, révolté et enfin libraire, comme Jean-Claude Lecocq ; berger, pianiste de bar et peintre en bâtiment, comme Christian Roux, ils possèdent tous un passé chaotique qui les a immergés dans la vraie vie. Celle dont ils sont le chantre inlassable, beaucoup plus proches qu'on ne l'imagine de la réalité des choses.nnCes auteurs sans prétention sociétale autre que celle de partager avec leurs lecteurs une parcelle de leur bonheur d'écrire se sont rendus disponibles durant deux jours. Un week-end que l'on espère ensoleillé pour mieux apprécier la couleur du noir.nnnsource : http://www.estrepublicain.frn
nnnMeccano s'expose à Dolenndate : le 20/05/2004 à 18:22nauteur : Silviensujet : Meccano s'expose à Dolen
DOLE. La salle des fêtes de Dole va se transformer, dès aujourd'hui et jusqu'à samedi, en un gigantesque atelier de construction dédié à l'un des jeux les plus populaires au monde : le Meccano.nnChaque année en France, depuis 1974, le week-end de l'Ascension rassemble les collectionneurs et passionnés européens du célèbre jeu de construction. Inventé en 1900 par Franck Hornby, commercialisé l'année suivante, le jouet a connu une expansion internationale jusque dans les années 40 où la pénurie de métal et les événements ont quelque peu ralenti sa diffusion. Il était fabriqué en Angleterre jusqu'en 1970 avant de devenir une production française. Aujourd'hui, le principe reste le même et la seule différence notable par rapport au concept d'origine vient du choix des matériaux. Désormais, le bois et le plastique s'ajoutent au métal pour offrir un vaste échantillonnage de pièces alimentant l'imagination fertile des passionnés. Car il s'agit bien d'un véritable phénomène de société. De nombreuses générations de constructeurs de tous âges gardent un souvenir ému des heures passées avec ce jeu de mécanique miniature.nnA Dole, plus de 70 exposants présentent des oeuvres monumentales, statiques ou animées, comme par exemple la réplique de la tour de l'horloge de la collégiale de Dole qui mesure 2,80 mètres de haut et dont le mécanisme est reproduit à l'identique. Une bourse aux jouets, des ateliers de découverte réservés aux enfants complètent la manifestation organisée par le club des amis du Meccano.nn31e exposition internationale Meccano les 20, 21 et 22 mai, de 10 h à 18 h. Entrée : 3 €, gratuit pour les enfants accompagnés de moins de 12 ans.nnsource : http://www.estrepublicain.fr
nnn" Texte et bulle 2004 " à Damparisnndate : le 18/05/2004 à 13:08nauteur : Silviensujet : " Texte et bulle 2004 " à Damparisn
Le 6e Salon du livre et de la bande dessinée " Texte et bulle " aura lieu samedi et dimanche à Damparis (Jura). Il sera ouvert au public de 10 h 30 à 19 h au gymnase et à l'Espace Picasso, place du 1er mai. L'entrée en sera gratuite et une restauration permanente sera assurée.nnFerry (Ferry Van Vosselen) sera l'invité d'honneur de cette grande fête et, avec lui, de nombreux auteurs belges seront présents afin d'honorer " la BD belge ".nnUne soixantaine de dessinateurs, scénaristes, illustrateurs et écrivains du monde entier seront réunis pour cette manifestation fréquentée par tous les passionnés de BD et de livres de l'Est de la France.nnD'importantes expositions de dessins et de planches originales seront proposées au public : abécédaire de la BD belge, planches originales, la philatélie et la BD, la photo et la BD... Des sculpteurs et tailleurs de pierre seront également présents, l'histoire de Damparis s'étant inscrite dans la pierre. De nombreux ateliers et animations compléteront ces rencontres et des groupes musicaux contribueront à l'ambiance de la fête. Une douzaine de librairies spécialisées seront également présentes.nnRenseignements : " Texte et Bulle ", mairie de Damparis (tél. 03.84.79.74.74, fax. 03.84.71.49.63) mairie@ville-damparis. frnnsource : http://www.estrepublicain.fr
nnnJean-Denis Attiret, peintre-missionnaire doloisnndate : le 17/05/2004 à 07:22nauteur : Silviensujet : Jean-Denis Attiret, peintre-missionnaire doloisn
DOLE. Le musée des Beaux-Arts de Dole accueille jusqu'à fin juillet une exposition-dossier sur un peintre dolois méconnu, Jean-Denis Attiret. Né en 1702 dans une famille d'artistes, le jeune peintre compléta sa formation par un séjour de deux ans en Italie. Mais une vocation religieuse il devient jésuite en 1735 va bouleverser son destin. Envoyé comme missionnaire à la cour de l'empereur de Chine Qianlong où il arrive en 1739, à 37 ans, son expression artistique plutôt classique va muer vers une esthétique nouvelle.nnL'exposition explique la présence des jésuites en Chine et propose les deux volets de l'oeuvre d'Attiret. Tout d'abord sa formation à Dole puis en Italie, révélée par des oeuvres des collections du musée, puis sa période chinoise, beaucoup plus intéressante, illustrée par une série de gravures des conquêtes de l'empereur de Chine, réalisée à Paris sous la direction de Nicolas Cochin à partir de dessins de commande, dont trois sont l'oeuvre de Jean-Denis Attiret.nnParallèlement, un éclairage particulier est orienté, à travers des documents historiques et biographiques (acte de naissance, recueil de la correspondance de l'artiste... ), sur l'aventure de cet homme que la destinée a porté aux confins d'un univers alors mystérieux et qui a enrichi son expression d'une saveur nouvelle, au contact des artistes chinois.nn" Un portrait en buste de concubine ", acquis par le musée en septembre 2001, témoigne de la subtilité acquise par le pinceau de l'artiste dolois au contact de la civilisation chinoise. Jean-Denis Attiret a d'ailleurs fini sa vie en Chine en 1768.nnExpositions jusqu'au 31 juillet au musée des Beaux-Arts, 85, rue des Arènes à Dole, tél. 03.84.79.25.85. Tous les jours, sauf le lundi. Entrée libre et gratuitennsource : http://www.estrepublicain.fr
nnnPhotographienndate : le 14/05/2004 à 07:24nauteur : Silviensujet : Photographien
Le musée des Beaux-Arts de Besançon propose 130 photos du maître. Une certaine idée de la France de 1907 à 1958. n nBESANçON. - " Lartigue, ou le plaisir de la photographie ". Le titre de l'expo coule de source, tant l'oeuvre de Jacques-Henri Lartigue (1894-1986) respire la sérénité révélée sur pellicule. Quand on naît comme lui dans une famille bourgeoise, non seulement fortunée mais aussi ouverte sur le monde, ça aide.nnPas un sujet sombre ou grave dans les 130 photos présentées. Rien que du bonheur. De l'humour, de la tendresse, des portraits de jolies femmes, de célébrités, comme cette étonnante scène de Picasso jouant avec ses pinceaux. Et puis ce regard curieux et cocasse, toujours décalé, sur les nouveaux modes de déplacement qui marquèrent le début du XXe siècle, le vélo, l'automobile, l'aviation.nC'est que le mouvement intrigue et passionne Lartigue qui sera le premier à parvenir à le capturer aussi bien dans ses petites boîtes. Ses patineurs acrobates semblent se détacher de leur décor, comme s'ils étaient en relief. L'enfant qui saute au-dessus d'un pâté de sable sur une plage paraît avoir des ailes. Sacha Guitry, qui fut un de ses amis, a l'air de faire de la lévitation sur le quai d'une gare.nn" Depuis longtemps déjà, je désirais arrêter ce qui bouge ", écrit-il dans son journal. Il y évoque ce qu'il appelle " le piège d'oeil ", " qui consiste à ouvrir et fermer rapidement les yeux pour attraper au vol ce que je vois ". Mais la mémoire ne garde pas ces images. Jusqu'à l'invention de Niepce et de ce que Lartigue nomme " le piège à images ". Avec ce commentaire joliment troussé : " C'est au fond la seule chose que la photo puisse faire de plus que les vivants : retenir le temps qui fuit ".nnLa sélection proposée à Besançon montre un aperçu représentatif de son oeuvre et de son talent entre 1907 et 1958. Elle s'arrête donc juste avant son voyage à New York en 1962, qui marque le point de départ de sa reconnaissance par les milieux culturels.nnCette exposition, c'est une première au musée des Beaux-Arts de la capitale comtoise. " Je tiens à y développer une autre forme artistique ", explique Claire Stoullig, sa conservatrice, qui promet une expo par an sur la photo. La prochaine, en 2005, sera consacrée à l'oeuvre de Robert Doisneau. " J'ai voulu commencer par Lartigue car il est atypique dans l'histoire de cet art. Il est passionné par la photo, mais il ne songe jamais à en faire sa profession. Il a l'instinct de l'instant ".nnExposition ouverte jusqu'au 13 septembre prochain. Tous les jours sauf le mardi. 3 euros, tarif réduit 1,5 euro. Gratuit les dimanches et jour fériés. Visite commentée les dimanches à 15 h. Renseignements complémentaires au 03.81.87.80. nnsource : http://www.estrepublicain.fr
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Mitch
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Livre comtois : deux prix littérairesrnrndate : le 08/05/2004 à 11:33rnauteur : J-Mirnsujet : Livre comtois : deux prix littérairesrn
" Lucien Febvre " et " Marcel Aymé ", les deux prix littéraires régionaux 2004 ont été décrochés par un historien et à un romancier doubiens. nnVincent Petit et Yves Ravey sont les deux lauréats des prix littéraires régionaux, édition 2004. Originaire du Haut-Doubs et enseignant au lycée Jean Michel à Lons-le-Saunier, à 33 ans, Vincent Petit a été porté au zénith par Le curé et l'ivrogne. Un ouvrage qu'il a édité en 2003 et qui lui a permis de décrocher le prix Lucien Febvre 2004, l'une des deux distinctions littéraires régionales. Ce prix consiste à récompenser un historien pour la qualité, l'originalité de la recherche et l'accessibilité de son écrit au grand public. Dans la catégorie romans-récits, le prix Marcel Aymé est revenu au Bisontin Yves Ravey, récompensé pour son roman Le drap ", paru aux éditions Minuit. La remise des deux distinctions s'est déroulée, ce jeudi à l'Hôtel de Région, au cours d'une cérémonie présidée par Raymond Forni, président du conseil régional et Pierre Perrin, président de l'Association du livre et des auteurs comtois. En guise d'encouragement, chacun des deux lauréats à reçu un chèque de 3000 euros. Vincent Petit est d'autant plus méritant que des pointures comme Joseph Pinard étaient en lice pour ce titre.nnVincent Petit enseigne depuis huit ans dans la capitale du Jura, terre d'élection de Lucien Febvre. Pur produit de l'Université de Franche-Comté, le jeune lauréat est agrégé d'histoire et songe déjà préparer une thèse dans la même discipline. Avant Le curé et l'ivrogne, paru aux éditions CABIDITA et qui lui a permis d'obtenir le prix Lucien Febvre 2004, en 1998 déjà, Vincent Petit avait publié chez le même éditeur, La clef des champs, un ouvrage consacré à la société marginale. Il y a quelques semaines, ce jeune historien mais déjà " confirmé et plein de promesses " -selon l'appréciation du célèbre historien et président de Jury Jean-François Solnon- a encore récidivé en enrichissant les rayonnages des librairies de " crime et châtiment ". Un nouvel ouvrage consacré à la reconstitution d'une affaire criminelle qui s'est déroulée en Franche-Comté au XIXe siècle et qui a emporté toute une famille.nnPour sa part, âgé de 51 ans et père de deux enfants, Yves Ravey est déjà un grand chevalier de la plume, La carrière d'écrivain, cet enseignant en arts et lettres, actuellement en poste au collège Stendhal de Besançon, avait débuté en 1989 par la publication d'un premier ouvrage chez Gallimard. Depuis, le lauréat Marcel Aimé 2004 en publié six autres dont Le drap, aux éditions Minuit. Le dernier ouvrage La mort du père est sorti en février dernier. Yves Ravey qui prépare un huitième roman se dit " honoré par cette distinction qui renforce son (mon) image d'écrivain et légitime le travail de son (mon) éditeur ".nnSource : http://www.lepays.netn
nnnSalon du livre de Franche-Comténndate : le 27/09/2003 à 14:11nauteur : Lacuzonnsujet : Salon du livre de Franche-Comtén
Pour sa deuxième édition, salon du livre de Franche-Comté ( à Besançon ) trés intéressant ! ( Euh ... Du Doubs ... enfin bon ... On se demande toujours où c'est le Doubs ::D ). J'ai pu causer avec l'auteur de " l'héritage de Lacuzon ", et avec André Besson, auteur du trés bon roman ( et d'un grand nombre d'autres ! ) :;) : " La louve du val d'amour " ( Je vous en pris, lisez ce livre, ça vous changera du site du conseil régional ! :;) ). Sinon ... d'autres auteurs trés intéressants, et des conférences instructives. nToutes les collections de livres régionaux ( Cabédita & Co. ) : Sympas d'avoir des livres sur la Comté dédicacé par des personnes attachés à leur terre ! nVoila voila ! Cette année ( aujourd'hui ou demain ) ou l'année prochaine n'hésitez pas à passer ! ( C'est à la gare d'eau près du conseil géneral :what: )nnL'émancipation comtoise passera par les livres, et la culture ! :corne:
nndate : le 02/10/2003 à 21:43nauteur : Thiernsujet : n
C'est quand exactement Lacuzon ?nn
L'émancipation comtoise passera par les livres, et la culture !
nJe suis tout à fait d'accord avec toi : c'est pourquoi je projette de mettre en ligne prochainement une rubrique "Livres" comtois, avec compte-rendus et possibilité pour les lecteurs de poster leur avis sur chaque ouvrage mis en lumière.nD'ici quelques semaines, j'aurai beaucoup plus de temps pour bouquiner et j'aurai tout le loisir de travailler sur ce créneau qui me tient tout particulièrement à coeur. :love: nAvis aux amateurs ! :;)
nndate : le 09/11/2003 à 22:24nauteur : Nicolasnsujet : n
Cher Thier,nnJe veux bien te filer un coup de main pour la chronique bouquins. Mais j'avoue, André Besson, c'est pas trop mon auteur fétiche...nnA+nnNicolas
nnn6e Journée du livre, de l'artisanat et des traditions franc-comtoisesnndate : le 11/10/2003 à 12:30nauteur : Lacuzonnsujet : 6e Journée du livre, de l'artisanat et des traditions franc-comtoisesn
Ce week-end a lieu à Besançon ( au Kursaal ) la 6e journée du livre de l'artisanat et des traditions franc-comtoises. C'est un peu long de résumer tout ce qu'il y aura dans ce RDV, mais noter 2 conférences intéressantes à la Salle Bidault du Kursaal :nn- " Comtois et Européens : est-ce le grand écart ? " ( Conférence de Jean Claude Soum à 14 h le samedi 11 octobre )nn- " L'identité Comtoise " ( Conférence de Jean Defrasne à 16 h 15 le dimanche 12 octobre )nnVoila voila ... ::)
nnnun homme de chez nous....nndate : le 27/08/2003 à 14:44nauteur : kafer-spiritnsujet : un homme de chez nous....n
voici ce que j'ai pu trouver sur le net.. nnhttp://ppcritique.free.fr/giboudeau.htmlnnun autre artiste bien de chez nousnnkafer...n
www.michel-c.fr

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