Mon moi profond se révèle-t-il à la faveur de l'anonymat ?
Le masque tombe. J'étais donc ce malade, cet obsèdé textuel qui, sans doute feuilletait parfois l'Album de la Comtesse, mais qui ne parvenait jamais à placer de calembours graveleux entre la poire et le fromage ?
Et si j'avais seulement le cerveau lent ? Et si le mépris affiché à l'égard des représentants de commerce si prompts à la détente rencontrés au coin du zinc n'était que de la jalousie ?
Docteur, aidez-moi. Je souffre...






