Blason avec nom des rues
Merci pour ces belles photos, qui tantôt me réjouissent, tantôt me font enrager...
- pour Colombe, ça me réjouit parce que c'est moi qui avait créé les armes il y a quelques années : je suis parti des armes de la famille Lyautey, qui possédait le château, dont j'ai conservé l'azur et le soleil, tandis que les fleurs devenaient un rameau d'églantier, pour rappeler le caractère rural de la commune. Les colombes font bien sûr allusion au nom de la commune : ce sont des armes parlantes.
- en ce qui concerne les armes parlantes, celles de Faucogney montrent un "faucon pillant une perdrix". Elles remontent au moins au XVIIe siècle. A l'origine, les couleurs étaient différentes, et c'est le lion comtois qui apparaissait dans la partie supérieure.
- pour Autrey-lès-Cerre, il s'agit d'une aberration, un écu attribué arbitrairement dans les années 80.
- de même, les armes de Scye ont été composées en dépit du bon sens.
- pour Noroy le Bourg, il s'agit de la reprise (malheureusement sans modifications) des armes d'un archevêque de Besançon (je ne sais plus lequel). La commune s'appelait Noroy-l'Archevêque, autrefois.
Voilà, voilà...
Nicolas
- pour Colombe, ça me réjouit parce que c'est moi qui avait créé les armes il y a quelques années : je suis parti des armes de la famille Lyautey, qui possédait le château, dont j'ai conservé l'azur et le soleil, tandis que les fleurs devenaient un rameau d'églantier, pour rappeler le caractère rural de la commune. Les colombes font bien sûr allusion au nom de la commune : ce sont des armes parlantes.
- en ce qui concerne les armes parlantes, celles de Faucogney montrent un "faucon pillant une perdrix". Elles remontent au moins au XVIIe siècle. A l'origine, les couleurs étaient différentes, et c'est le lion comtois qui apparaissait dans la partie supérieure.
- pour Autrey-lès-Cerre, il s'agit d'une aberration, un écu attribué arbitrairement dans les années 80.
- de même, les armes de Scye ont été composées en dépit du bon sens.
- pour Noroy le Bourg, il s'agit de la reprise (malheureusement sans modifications) des armes d'un archevêque de Besançon (je ne sais plus lequel). La commune s'appelait Noroy-l'Archevêque, autrefois.
Voilà, voilà...
Nicolas
- olif
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La Rivière Drugeon (25)
Désolé, c'est pas une rue, mais une forêt toute entière!
Olif
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Olif
"- A Chaux, il n'y a que des murets!
- Des murets agricoles?
- Des murets agricoles!"
Ben elle est Redde, celle-là!
"Alesia jacta est"
- Des murets agricoles?
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Bonsoir à tous,rnrnPour les armoiries d'Aisey, il s'agit d'une de mes créations, réalisée à partir des desiderata de la municipalité, à l'épqoue où je faisais partie de la commission départementale d'héraldique de la Haute-Saône.rnrnLes armoiries se décrivent: rntaillé d'argent au lion issant de la partition de sable couronné d'or, armé et lampassé de gueules tenant dans ses pattes une clé de sable, et de sable au lion renversé issante de la partition d'argent, couronné d'or, armé et lampassé de gueules, tenant dans ses pattes une clé renversée d'argent; à la cotice en barre ondée d'or brochant sur la partition.rnLes armoiries rappellent les deux villages et la cotice ondée la Saône. Les clefs font référence à la position de la commune à la porte de la Franche-Comté et de la Champagne. Elles évoquent le Château de Richecourt, qui défendait l'accès de la Champagne et qui était une position stratégique dominant la Saône. La forme de trèfle de ces clefs est aussi une référence aux classes vertes du Château d'Aisey et à l'agriculture. Le lion est l'emblème de la Franche-Comté. Le lion de sable supérieur symbolise Aisey. Il provient des armes de la famille Husson de Sampigny, ancien propriétaire du château d'Aisey (XVIII-XIXème siècles) qui abrite le centre de classes vertes. Le lion d'argent symbolise le hameau de Richecourt. Son château a été bâti au XIIIème siècle par Foulques de Rigney, sénéchal du comté de Bourgogne, dont les armoiries représentaient un lion d'argent couronné d'or sur champ de sable. La devise en latin signifie : "Autrefois j'ai fermé, aujourd'hui j'ouvre" rnrnNicolasrnnnrnnrnn*** Message édité par Nicolas le 13/02/2007 21:27 ***
- Juju du 90
- Quasi incurable…
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Message original: J-Mi
Après en avoir parlé avec certains membres du forum, nous lançons ici une campagne de photographie des plaques de rue qui comportent un blason.
Dans un premier temps, nous allons récolter les photos au fil des messages, et, le jour où nous posséderons une base suffisante, il est possible que celà deviennent une rubrique à part entière sur le site.
A vos appareils.
Il risque d'y avoir 1 sacré paquet de photos...Car, le même le p'tit patelin possède 1 écusson sur ses plaques de rues, je vois bien dans la campagne où vivent mes parents...
Concernant les armoiries de Dalpvalley-les-Colombe, voic leur blasonnement et leur symbolique. C'est moi qui les avait créées il y a quelques années, pour la Commission départementale d'héraldique de la Haute-Saône.
Définition héraldique
« Taillé ondé au 1 de sinople à la roue de moulin d'or, au 2 du même maçonné de sable, à la palme de sinople mise en barre brochante; une barre ondée d'argent sur sinople et de sinople sur or brochante sur la partition ».
Symbolique
En tant que martyr, saint Valère, diacre de Langres massacré près de Port-sur-Saône au début du Ve siècle, a pour attribut une palme. Sur l'écu, elle permet ainsi d'évoquer le saint à qui la commune doit son nom.
Elle apparaît sur la représentation stylisé d'un mur de pierre. En effet, la commune abrite plusieurs étranges constructions en pierres sèches, notamment un curieux édifices pyramidal surmonté d'une Vierge, ainsi que des « cabordes », petites constructions voûtées et à demi enterrées.
Au centre de l'écu serpente la Colombine, dont la vallée charmante est l'un des attraits du village. Son orientation générale a été respectée (elle s'écoule du nord-est à l'ouest).
La population du village fut totalement massacrée par les soldats de Turenne en 1644. Selon la tradition, seule une femme cachée sous une roue de moulin aurait survécu. Cette roue salvatrice figure dans la partie supérieure de l'écu.
Nicolas
Définition héraldique
« Taillé ondé au 1 de sinople à la roue de moulin d'or, au 2 du même maçonné de sable, à la palme de sinople mise en barre brochante; une barre ondée d'argent sur sinople et de sinople sur or brochante sur la partition ».
Symbolique
En tant que martyr, saint Valère, diacre de Langres massacré près de Port-sur-Saône au début du Ve siècle, a pour attribut une palme. Sur l'écu, elle permet ainsi d'évoquer le saint à qui la commune doit son nom.
Elle apparaît sur la représentation stylisé d'un mur de pierre. En effet, la commune abrite plusieurs étranges constructions en pierres sèches, notamment un curieux édifices pyramidal surmonté d'une Vierge, ainsi que des « cabordes », petites constructions voûtées et à demi enterrées.
Au centre de l'écu serpente la Colombine, dont la vallée charmante est l'un des attraits du village. Son orientation générale a été respectée (elle s'écoule du nord-est à l'ouest).
La population du village fut totalement massacrée par les soldats de Turenne en 1644. Selon la tradition, seule une femme cachée sous une roue de moulin aurait survécu. Cette roue salvatrice figure dans la partie supérieure de l'écu.
Nicolas
- Billy
- Cancoillotte Addict
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- Localisation : Cernans, Pays de Salins
Re: Blason avec nom des rues
" Ca fait penser à la place des Prés Saintes Marie, le lendemain de la fête du Faubourg, quand il ne reste plus sur le terrain que les emballages vides et les papiers gras ..."
Jean-Marie Jacquet
Re: Blason avec nom des rues
Saint-Laurent-en-Grandvaux (39)
Rarement dans le coin, mais jamais bien loin.