vieux sage a écrit : Je remarque que l'ami Thierry ne souffle mot sur le site d'Alésia-Eternoz : il est vrai que là, la critique reste sans voix : qu'aurait-il pu reprocher à ce site ?




Olif
vieux sage a écrit : Je remarque que l'ami Thierry ne souffle mot sur le site d'Alésia-Eternoz : il est vrai que là, la critique reste sans voix : qu'aurait-il pu reprocher à ce site ?
Pour une fois :olif a écrit :vieux sage a écrit : Je remarque que l'ami Thierry ne souffle mot sur le site d'Alésia-Eternoz : il est vrai que là, la critique reste sans voix : qu'aurait-il pu reprocher à ce site ?Euh!, tu es sûr d'avoir bien tout lu, sur ce forum d'Alésia, Vieux Sage?
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Olif
jost a écrit : Pour exemple le « verrou » et le « passage obligé » de Chaux qui pour l’Olif s’obtient par l’interprétation des écrits,
Thierry39 a écrit :
Même si effectivement parfois je reste sans voix devant la comparaison entre le site d'Alésia "théorique" ou "philologique" et ce que tu présente à Eternoz, ce n'est pas que la critique me manque, c'est plutôt que je ne sais pas par quel point commencer. Même si j'en ai déjà dit beaucoup.
Même si j'ai dit que les critères topographiques n'étaient pas des conditions suffisantes pour identifier Alésia, et ne sauraient surtout pas constituer le point de départ comme à Chaux, ce sont quand même des conditions suffisantes. Le fait qu'il n'y ait ni colline, ni plaine, ni oppidum, ni colline du nord, ni montagne à Eternoz me semble quand même rédhibitoire. Si tu dois baser ta théorie sur la toponomie, tu aurais meilleur temps de défendre carrément Alaise.
LE héritier n'a pas marqué des points, là!vieux sage a écrit :
Excuse-moi, mon cher Thierry, je n'avais pas compris que c'était seulement de la censure ! Tu n'avais donc pas tes lunettes quand tu es venu à Alésia ?
On a des illusions à tout âge.
Comme le sujet se rapporte à des événements qui se déroulaient il y a plus de 20 siècles, je pense que le nom ALEZIA qui avait encore cours à la venue de Louis XIV est le plus apprroprié. Alors que les nombreux Salins français ne se sont jamais appelés Salesia.
vieux sage a écrit :Excuse-moi, mon cher Thierry, je n'avais pas compris que c'était seulement de la censure ! Tu n'avais donc pas tes lunettes quand tu es venu à Alésia ?Thierry39 a écrit :
Même si effectivement parfois je reste sans voix devant la comparaison entre le site d'Alésia "théorique" ou "philologique" et ce que tu présente à Eternoz, ce n'est pas que la critique me manque, c'est plutôt que je ne sais pas par quel point commencer. Même si j'en ai déjà dit beaucoup.
Même si j'ai dit que les critères topographiques n'étaient pas des conditions suffisantes pour identifier Alésia, et ne sauraient surtout pas constituer le point de départ comme à Chaux, ce sont quand même des conditions suffisantes. Le fait qu'il n'y ait ni colline, ni plaine, ni oppidum, ni colline du nord, ni montagne à Eternoz me semble quand même rédhibitoire. Si tu dois baser ta théorie sur la toponomie, tu aurais meilleur temps de défendre carrément Alaise.
On a des illusions à tout âge.
Excuse moi vieux sage : je n'avais pas vu que tu parlais du cahier n°6 qui vient effectivement d'être édité, je pensais que tu parlais du forum.vieux sage a écrit :Dans son cahier N° 6 l'ASHPS étudie les divers sites prétendants au titre d'Alésia.
Alés, Izernore, Chaux, Ornans, Salins...
Je remarque que l'ami Thierry ne souffle mot sur le site d'Alésia-Eternoz : il est vrai que là, la critique reste sans voix : qu'aurait-il pu reprocher à ce site ? : sa forme d'éperon barré ? C'est justement celle dessinée par Andrea Palladio.
Thierry39 a écrit :
Même si j'ai dit que les critères topographiques n'étaient pas des conditions suffisantes pour identifier Alésia, et ne sauraient surtout pas constituer le point de départ comme à Chaux, ce sont quand même des conditions suffisantes.
Thierry39 a écrit :Excuse moi vieux sage : je n'avais pas vu que tu parlais du cahier n°6 qui vient effectivement d'être édité, je pensais que tu parlais du forum.
Je n'ai écrit que quelques lignes dans ce cahier mais je ne crois pas avoir énuméré des Alésia potentiels en oubliant Eternoz. La plupart des textes de ce cahier sont de Marcel Jeandot et sont donc antérieurs à tes publications sur Eternoz. Ce n'est pas de la censure.
Trop tard, Thierry! Tu lui as fait avaler sa chique!vieux sage a écrit :jost a écrit : De plus la logique N/S veut qu'un site ait 4 parties N/S/E et OUEST
Arbitrairement tu réduis à NORD - SUD
Cela ne tient pas !!!
Pourtant Wartelle écrit : "Alésia doit être un verrou, situé sur un point névralgique" (composante n°40 du portrait robot). Ce qui montre bien, si besoin en était, que le portrait robot a été élaboré à partir du site de Chaux et non à partir du texte.olif a écrit : Le "verrou" de Chaux ne se comprend pas par l'interprétation du texte, mais par celle du terrain, là où nous ont amené les écrits! Il est évident que César n'en parle pas dans le BG!
A partir du moment que la description part d'un oppidum parfaitement saillant, cerné de collines de même hauteur et, que devant une plaine est ouverte. Il est évident que nous passons d’un milieu fermé à un milieu ouvert.olif a écrit : J'avais oublié qu'à Chaux, on avait au moins trois tours d'avance sur Salins!
Le "verrou" de Chaux ne se comprend pas par l'interprétation du texte, mais par celle du terrain, là où nous ont amené les écrits!
Je comprends que vous ne souhaitiez pas marquer le texte à la culotte, préférant laisser plus de place à l’interprétation.olif a écrit :Si César rapporte le récit de la bataille d'Alésia, c'est qu'elle s'est bien déroulée! Par contre, il la raconte à sa manière, de façon succincte et brut, précis dans sa description mais en adoptant, en toute logique, son propre point de vue. Et il n'allait pas se montrer à son désavantage! La connaissance du lieu supposé de la bataille fait que l'on appréhende différemment ce qu'il s'est passé en -52. Prendre le BG pour parole d'évangile sur le déroulement de la Guerre des Gaules, alors que ce n'est que le point de vue de César, est une grossière erreur!
Cette notion de « partie » (partibus) est très intéressante.
Quel que soit le site d'Alésia, toute colline peut être divisée en parties. César peut très bien diviser la colline en deux.jost a écrit :A Eternoz
Comme je l’ai dit, une partie au Nord et une partie au Sud, ne tient pas. L’ouest est aussi bordé par le « flumen ». Donc, une colline oppidale léchée aux racines sur 3 parties.
Le site est cerné à 75 % de cours d’eau, cela représente un périmètre bien supérieur à la ceinture de colline. Selon qu’elle logique César pouvait-il, partager cette colline oppidale en parties ?
A méditer car César écrit « partibus » et non « lateribus »!
Selon quelle logique ? Gauche-Droite, Haut-Bas, plus beau-moins beau ?vieux sage a écrit :Quel que soit le site d'Alésia, toute colline peut être divisée en parties. César peut très bien diviser la colline en deux.
Pas à Eternoz, car tu as,en plus, un cours d'eau sur une partie de la plaine des 3000 pas.vieux sage a écrit :Le périmètre occupé par les rivières baignant les racines de la colline centrale est forcément inférieur à la ceinture de collines qui se trouvent du côté extérieur.