Archives 2004

[Mitch]

Tous les goûts sont dans le fromagernrndate : le 12/12/2004 à 20:08rnauteur : Silviernsujet : Tous les goûts sont dans le fromagern

Cacao, chocolat, menthe, anis, orties. Dans le Doubs, Gilles Liechti propose vingt-cinq varietés différentes.nnAvec les fêtes qui approchent, voici venu le temps de pensez aux cadeaux. Un plaisir programmé. Un casse tête aussi, pas toujours facile à surmonter. Quelle formule originale trouver cette année ? Comment innover ? Nombreux sont ceux, en effet, qui tournent longtemps en rond avant de résoudre la quadrature du cercle.nnEt si on offrait un fromage ? L'idée peut paraître à priori saugrenue. Et pourtant. Tous ceux qui ont déjà eu l'occasion de faireun détour chez "Le P'tit Gilles" à Epenouse, près de Vercel dans le Doubs, réviseront peut-être leur jugement.nnChacun ses goûts bien sûr : fromage au cacao, au chocolat, à la chicorée, à la menthe, à l'anis, aux orties, au poivre, à la moutarde, à la sauge, au thym... Au total, ce sont près de 25 varietés que le "petit fromager" a élaboré au fil des années. Effet de surprise garanti.nn"Au debut, on me prenait un peu pour un hurluberlu" confie Gilles Liechti, qui a pris la succession de son grand-père et de son père en 1976. "Mais j'ai réalisé pas loin d'une centaine de tests différents". Tant et si bien que sa notorieté a petit à petit tissé sa toile d'araignée. "L'été, il n'est pas rare que des cars de touristes s'arrêtent pour faire leur marché. Mais des individuels viennent aussi spécialement et en profitent pour visiter la région" observe-t'il aujourd'hui.nDernière des nouveautés de celui qui s'est d'abord illustré par le "P'tit Gilles" (un fromage à pâte demi-dure) puis par le "spinosien" (un fromage à pâte presque cuite), la cancoillotte à l'absinthe. Une création un peu "déjantée" mais soudainement très "tendance".nCela ne représente encore que 1% de sa modeste production (7 à 8 tonnes par an). "Mais, il y a une vraie curiosité", remarque t-il, lui qui n'est jamais avare de son temps pour mieux faire connaître son métier. Et encore moins pour faire partager son brin de folie.nnIl y a un an , il a ainsi accueilli une délégation de japonais qui voulaient justement s'initier à la fabrication de la cancoillotte. La "mayonnaise" a tellement bien pris, que Gilles Liechti s'est retrouvé durant deux semaines au pays du Soleil-Levant pour les aider à lancer leur activité. Et découvrir que la cancoillotte pouvait aussi s'aromatiser au saké.nnA chacun ses goûts donc. Pour une fois, l'idée ne lui est même pas venue de la proposer aux Francs-Comtois. Mais, il est néanmoins rentré conforté dans sa philosophie de la vie. "Je suis un peu comme un cuisinier" confie t-il. " Ce qui m'interesse, c'est d'imaginer, d'inventer". D'être en harmonie avec la nature aussi; lui qui met un point d'honneur à rappeler que son lait provient d'une exploitation entièrement bio de Pierrefontaine-Les-Varans.nnSa devise, à elle seule, illustre d'ailleurs tout le personnage : "je fabrique par plaisir, je vends par nécéssité".nnEpenouse est situé à une dizaine de kilomètres de Valdahon. On peut y acceder par la RN 57 Besançon-Pontarlier. Le magasin est ouvert tous les jours (tél : 03 81 58 32 43). Gilles Liechti vend par ailleurs ses produits sur le marché de Besançon le vendredi matin et sur celui de Palente le samedi matin.nnSource : est magazine

nnnDe la cancoillotte en ornndate : le 11/12/2004 à 08:08nauteur : Perle39nsujet : De la cancoillotte en orn

La nouvelle société " Le Francomtois ", ex-centrale laitière à Belfort, vient de recevoir une médaille d'or pour sa cancoillotte à l'échalote.nnJeudi soir dans les locaux de la " SAS Le Francomtois ", Roland Philippe a remis deux médailles, l'une en argent, l'autre en or pour les spécialités fromagères élaborées au sein de la nouvelle société à Belfort, remportées brillamment lors du concours des fromages de Trépôt-Mamirolles, seul concours professionnel de tout le grand Est.nCérémonie haute en couleurs avec la participation de la confrérie des fromagers comtois, en habits de parade.nBernard Seignet, directeur général de la SAS Le Francomtois, a insisté sur l'effort fourni par ses salariés pour décrocher une médaille dans un concours difficile où s'affrontent que des professionnels. " Un vrai projet économique et industriel avec une vision stratégique ambitieuse, réaliste et généreuse a permis à notre entreprise de surmonter les difficultés financières " affirme le directeur général.nEn effet, " Le Francomtois " à Belfort est né le 1e r octobre 2003 de la reprise de la Centrale laitière de Franche-Comté. Aujourd'hui avec un capital social de 2 800 000 €, la société a comme directeur adjoint Martin Verdenal et Stéphane Bel comme directeur d'usine.nnUn beau plateau de fromagesnLa nouvelle entreprise " le Francomtois " appartient au groupe " Coopérative agricole laitière de Blamont ", " l'Union lorraine des producteurs de lait ", deux partenaires laitiers lorrains de longue date.nDepuis le 1e r février 2004, un troisième partenaire les a rejoints, " la Laiterie coopérative de Freiwald ". Aujourd'hui, avec un effectif de 112 personnes, la société produit sur le site de Belfort des pâtes pressées cuites (emmental et gruyère), de la cancoillotte, de la crème fraîche épaisse mais aussi de la crème de brie et de munster.nCette diversité de production lui permet d'offrir avec l'ensemble du groupe un beau plateau de fromages complémentaires aux consommateurs.nJeudi soir, Philippe Roland, président du concours des fromages de Trépôt, en compagnie de Jacques Verny, président du comité de promotion des produits régionaux, ont remis au directeur belfortain les deux récompenses obtenues lors du 15e concours officiel des fromages de Franche-Comté. La médaille d'or a été attribuée à la cancoillotte à l'échalote alors que la médaille d'argent revient à la cancoillotte au vin du Jura.nnCancoillotte " La Belfortaine "nStéphane Bel, le directeur de l'usine, a expliqué que ces deux médailles " sont dues au sérieux du service cancoillotte qui tout au long de l'année a amélioré le produit dans un objectif de qualité. "nIl a également annoncé la création d'un produit dès janvier 2005 " La Belfortaine ", qui sera une cancoillotte nature, ou à l'ail destinée à la grande distribution.nEt comme la société est tout nouvelle, et qu'il faut un an de délai pour s'inscrire au concours général du salon de l'agriculture à Paris, dès le mois de janvier prochain, Stéphane Bel a promis, que " le Francomtois " serait présent avec ses produits au salon 2006. Histoire de renouer avec le succès des années quatre-vingt-dix, ou la Centrale laitière remportait alors des médailles d'or avec son emmental et ses cancoillottes.nnSource : www.lepays.net

nndate : le 11/12/2004 à 15:13nauteur : J-Minsujet : Les résultats completsn

Spécialités de pâtes molles à croûtes mixtes : nOR : le Roucoulon, fromagerie Milleret à Charcenne (70)nARGENT : le Carremembon, pâturages Comtois à Aboncourt-Gesincourt (70) nBRONZE : le Bourrichon, fromagerie Badoz à Pontarlier (25)nnSpécialités de pâtes molles à croûte fleuries :nOR : le Carré Comtois, de pâturages Comtois à Aboncourt-Gesincourt (70)nARGENT : le Mamirollais, Enil de Mamirolle (25)nBRONZE : L'Ortolan, fromagerie Milleret à Charcenne (70)nnPâtes molles à croûte mixte :nOR : le Metsi, fromagerie du Mont-d'Or, Patrick Sancey-Richard à Metabief (25)nARGENT : Le petit Mournier, fromagerie Rousseau à Montrond (Jura)nBRONZE : Le d'Artagnan, fromagerie Milleret à Charcenne (70)nnSpécialités de pâtes pressées, Tomes : nOR : Le petit Chatou, Gaec Chambon à Sancey-le-Grand (25)nARGENT : la Tome du Lomont frottée aux aromates et vin blanc du Jura, fromagerie Ermitage à Clerval (25)nBRONZE : le Saulnois, affiné au Marc de mirabelle de Lorraine, Le Clos de l'Abbaye, Vergaville en Moselle (57)nnRaclette : nOR : Raclette au lait cru, coopérative " Les Monts de Joux " à Bannans (25)nARGENT : La Raclette fumée au feu de bois " Le Brezain ", Sainte-Edelmont à La Balme-de-Thuy-Thones (74)nBRONZE : La Raclette au lait cru, fromagerie Ermitage à Clerval (25)nnCancoillottes au beurre ou au vin : nOR : Cancoillotte au beurre du " Fleuron des Gourmets ", Guy Schneider à Clerval (25)nARGENT : Cancoillotte au vin du Jura " Le Francomtois " à Belfort (90)nBRONZE : Cancoillotte nature de la fruitière du Vallon à Sancey-le-Long (25)nnCancoillottes aux aromates :nOR : La Cancoillotte aux échalotes, fromagerie " Le Francomtois " à Belfort (90)nARGENT : La Cancoillotte au cumin de la " Fruitière du Vallon " à Sancey-le-Long (25), Thierry Lehman, fromagernBRONZE : La Cancoillotte à l'ail du " Fleuron des Gourmets ", Guy Schneider à Clerval (25)nnFromages de chèvres frais :nOR : Les Clochettes d'Argillières de Jean-François et Lina Charlot, Argillières (70)nARGENT : Le Chèvre frais fermier du Jean-Claude Morin à Anould à Gérardmer (88)nBRONZE : Le Maconnais de la ferme des Coteaux, la Rougiere Massilly (71)nnFromages de chèvres affinés :nOR : La Bûche de chèvre affinée Charolais, de Thierry Chevenet, SARL à Hurigny, Mâcon (71) nARGENT : Le Chèvre Cendré du Gaec du Rondeau à Lavans Vuillafans (25)nn

nnnUne bonne adresse...nndate : le 16/11/2004 à 09:51nauteur : J-Minsujet : Une bonne adresse...n

...à Audincourt !! Tu connaissais Thier ?nn==> http://www.corbeillepaysanne.fr.st/

nndate : le 16/11/2004 à 16:10nauteur : Thiernsujet : n

Oui, bien sûr, je passe devant tous les jours mais je n'ai jamais franchi la porte de cette échoppe qui commercialise les produits de paysans du Pays de Montbéliard et plus largement de toute la région. Et je ne connaissais pas le site non plus ! Belle trouvaille ! nn*** Message édité par Thier le 16/11/2004 15:10 ***nnn

nndate : le 03/12/2004 à 16:44nauteur : Jejensujet : n

Je connaissais aussi, sans savoir qu'il y avait un site et je crois pouvoir dire que la ferme Mougin de Bavans y vend du foie gras et dérivés (photo dans "Nos terrines et patés" dans la rubrique "nos produits")nnJejenn*** Message édité par jeje le 03/12/2004 15:46 ***nnn

nnnPorc comtois, une réalité régionalenndate : le 02/12/2004 à 19:10nauteur : Perle39nsujet : Porc comtois, une réalité régionalen

Le cochon existe en Franche-Comté. On en est fier. Mais les éleveurs doivent faire face au contrecoup de la situation bretonne. L'interprofession travaille autour des enjeux quantitatifs et des enjeux qualitatifs.nnSi la Franche-Comté est réputée pour ses monbéliardes et ses AOC fromagères, le porc n'est pas une anecdote dans les pratiques régionales. La filière franc-comtoise, en amont, pèse 240 élevages ayant plus de 10 truies ou 30 porcs, quand ce n'est les deux.nnQuestion places, on en dénombre 96 000 - soit environ 260 000 porcs. On compte 70 000 places nourries au lactosérum dont 35 000 directement annexées aux laiteries.nnLa filière comtoise annonce aussi 8 000 truies dont 3 000 truies dans quatre maternités collectives. Leur production s'élève à 160 000 porcelets. Une situation de déficit car les besoins s'élèvent à 260 000 porcs.nnAu niveau territorial, la répartition est historiquement liée à la présence des fromageries qui ont conduit à une tradition d'engraissement au lactosérum - essentiellement sur le massif du Jura.nnPour rassurer les consommateurs, citoyens et militants environnementalistes, on insistera sur le chargement. On compte dix-huit porcs au km2 de surface agricole utile ou encore sept porcs au km2 de surface régionale totale contre 440 porcs au km2 en Bretagne. Région qui fait encore et toujours figure d'épouvantail.nnProduire du porc en Franche-Comté est la première pierre d'un vaste édifice. La suivante concerne l'aval. Huit abattoirs dont un spécialisé depuis 1996 à Valdahon qui revendique 50 % du travail, alignent 220 000 porcs abattus en Franche-Comté soit 20 000 tonnes. En terme d'emploi, on compte une unité de travail pour 2 000 porcs.nnL'aval, c'est encore le secteur de la transformation et de la salaison. Il couvre une trentaine d'établissements qui induisent près de six cents emplois, soit encore cinq à sept emplois pour 2 000 porcs transformés.nnDe bonnes basesnnDerrière ce tableau qui ne fait que retracer une réalité de terrain, il y a encore la volonté des professionnels d'aller de l'avant. Pour progresser, il faut naturellement pousser quelques projets. La valorisation de la qualité par la valorisation du lactosérum à travers l'IGP Porc de Franche-Comté (label rouge) et le certificat de conformité de produit pour le Porc comtois de petit lait sont le socle sur lequel la filière entend bien s'appuyer. La production s'élevait à 1000 t en 2002 et à 1500 t en 2003. Il y a encore les salaisons ; saucisse de morteau et de montbéliard. Par ailleurs, la filière espère par la dénomination montagne renforcer son potentiel de production, estimant que cette dénomination serait une reconnaissance importante, tout en sachant que ce n'est pas un signe de qualité.nnPréparer l'avenirnnPour répondre aux besoins des filières régionales de qualité, il faut maintenir et développer le potentiel en engraissement et réduire le déficit de porcelets. Il faut encore veiller au qualitatif. Au niveau des outils de production, au niveau de la préservation du milieu naturel, en s'inscrivant dans une évolution maîtrisée, d'où la nécessité d'une politique d'investissements. Si le potentiel régional est en diminution depuis de nombreuses années, il faudra répondre aux besoins en salaisons. Car l'objectif de 6 500 t de saucisse IGP est envisagé dans les cinq ans à venir. De plus, la viande fraîche avec 1 500 t en porcs de Franche-Comté en 2003, est en fort développement.nnSource : www.laterredecheznous.com

nnnSaucisse de Morteau : accord sur l'Indication géographique protégéenndate : le 02/12/2004 à 07:12nauteur : Perle39nsujet : Saucisse de Morteau : accord sur l'Indication géographique protégéen

La technique de fumage est aussi clairement définie.nnLa réunion régionale de la filière porcine, hier à Saône près de Besançon, a permis de confirmer l'accord intervenu sur le dossier de l'IGP (Indication géographique protégée) pour la saucisse et le Jésu (s) de Morteau.nnAu terme des nombreuses réunions organisées depuis mai dernier, date de la création de l'association de défense et de promotion des charcuteries et salaisons de Franche-Comté, tous les acteurs de la filière (éleveurs, fabricants, producteurs, abatteurs et salaisonniers) ont enfin trouvé un terrain d'entente sur un cahier des charges.nnOutre la délimitation géographique du territoire qui avait déjà été entérinée (Franche-Comté, Ain et Saône-et-Loire), les caractéristiques sont donc désormais précisément répertoriées. A savoir ; " la saucisse de Morteau est une saucisse droite, de forme cylindrique, régulière et d'un diamètre minimum de 40 mm, embossée dans un boyau naturel de porc, fermée à une extrémité par une cheville en bois et, à l'autre, par une ficelle ".nnRapatrier 5.000 tonnesnnMais les différentes parties ont surtout réussi à harmoniser leurs positions sur les deux points qui, tout dernièrement encore, avaient fait les choux gras de la presse nationale : la durée de fumage et les conditions de ventilation des fumoirs.nnRappelant que la saucisse de Morteau " est caractérisée par une méthode de fumage lent qui lui confère une couleur ambrée et un arôme de fumée spécifique " lié à " la fumée naturelle de résineux ", les salaisonniers du " Haut " ont en effet admis que plusieurs types de fumoirs pouvaient être utilisés.nnSoit " un thué, type local de fumoir, constitué d'une pièce aérée de vaste volume en forme de hotte pyramidale, permettant, durant 24 à 48 heures minimum, l'évacuation en continu de la fumée par le toit, sans ventilation mécanique ".nnSoit, " un fumoir traditionnel ou conventionnel, type de fumoir permettant également de garantir le respect des caractéristiques de la saucisse de Morteau avec un ressuyage-fumage de 24h minimum ".nnPour les professionnels, cet accord régional va donc permettre à l'INAO (Institut national des appellations d'origine) d'examiner le dossier début 2005 avant de le transmettre aux instances européennes. Mais, il ouvre surtout de nouvelles perspectives économiques. Le rapatriement de 5.000 tonnes de productions salaisons. Mais également, la revalorisation de la filière de porcs élevés au lactosérum des fruitières. 10 à 20.000 places sont prévues dans le cadre d'un plan de 5 ans.nnSource : www.estrepublicain.fr

nndate : le 02/12/2004 à 08:25nauteur : J-Minsujet : n

Voir aussi dans ce post un article sur la lutte des producteurs du "haut".

[Mitch]

Bien acheter pour bien manger vers Besançonrnrndate : le 22/11/2004 à 20:33rnauteur : Gaffophonernsujet : Bien acheter pour bien manger vers Besançonrn

Salut à toutes et à tous amis Comtois !nnJe viens faire appel à vous car je cherche désespèrement des endroits dans les environs de Besançon pour acheter de la bonne bouffe. Je m'explique... nnJ'en ai marre d'engraisser les grandes surfaces comme Carrouf et j'aimerais connaître de bonnes adresses pour acheter mes fruits, légumes, viandes, fromages, etc... bref tout l'alimentaire. J'ai beau chercher, je ne trouve pas de maraichers ou de petits artisans bouchers/charcutiers.nJ'habite à la Malate (c'est à 2mn de Besac pour ceux qui ne connaissent pas) et je ne trouve rien dans le coin (ou alors je cherche mal, c'est possible )nnDonc si vous avez de bonnes adresses à me filer, je suis preneur !nnMerci d'avance et à bientôt !nnPS: ne me dites pas le marché, c'est trop chiant à Besançon vu que c'est en plein centre ville !

nndate : le 22/11/2004 à 21:43nauteur : J-Minsujet : n

Très bonne démarche, malheureusement, n'étant pas de Besançon, je ne te suis pas d'un grand secours. Mais j'espère que quelqu'un pourra t'aider........

nndate : le 22/11/2004 à 22:44nauteur : Nicolasnsujet : n

Il me semble qu'il y a les jardins de Cocagne à Chalèze ou Chalezeule, qui vend des fruits et légumes cultivés par des gens en réinsertion...nnMais je n'en sais guère plus...nnSinon, pour le café et certains produits du commerce équitable, il y a un magasin "artisans du monde" à l'angle de la rue Bersot et de la rue d'Alsace (ou de Lorraine, je les confonds toujours).nnNiconn

nndate : le 23/11/2004 à 01:32nauteur : Gaffophonensujet : n

Exact Nicolas, j'ai déjà entendu parler des jardins de Cocagne mais la seule chose que je sache c'est qu'ils vendent leurs produits sur le marché de Besançon. Je vais essayer de les localiser exactement et de voir s'ils vendent en direct à Chalezeule.nnSinon effectivement je n'avais pas pensé à Artisans du Monde et j'irai sûrement y faire un tour mais à part le café et quelques produits comme du miel, des confitures et autres petits gâteaux, je ne crois pas qu'ils aient beaucoup d'alimentaire.

nndate : le 24/11/2004 à 20:28nauteur : Nicolasnsujet : n

Même si les artisans du monde vendent effectivement peu de produits alimentaires, je pense qu'ils pourront t'indiquer plus précisément des magasins où manger sain. nnA + !nnNico

nndate : le 25/11/2004 à 22:05nauteur : Saute-gouilletsnsujet : n

Message original: NicolasnIl me semble qu'il y a les jardins de Cocagne à Chalèze ou Chalezeule, qui vend des fruits et légumes cultivés par des gens en réinsertion...nnMais je n'en sais guère plus...nnSinon, pour le café et certains produits du commerce équitable, il y a un magasin "artisans du monde" à l'angle de la rue Bersot et de la rue d'Alsace (ou de Lorraine, je les confonds toujours).nnNiconn

nArhhhhhhh ! Si ce n'est pas malheureux ! un prof d'histoire qui confond l'alsace et la lorraine ! Ne va pas dire cela à un lorrain malheureux ;-) ni même à un alsacien !

nndate : le 25/11/2004 à 22:24nauteur : Nicolasnsujet : n

L'histoire coloniale, ça n'a jamais été mon fort... nn(Voilà, désormais, je suis grillé en Alasce et en Lorraine !). nnNico

nnnLa cancoillotte dans Pays Comtoisnndate : le 20/11/2004 à 15:42nauteur : Thiernsujet : La cancoillotte dans Pays Comtoisn

Le magazine "Pays Comtois" consacre 6 pages de son dernier numéro (57) à notre fromage emblématique : retour sur les origines de la cancoillotte, sa vocation essentiellement régionale et les habitudes des Franc-Comtois en matière d'accomodement culinaire, avec en prime 3 recettes, dont les titres et les photos suffisent à mettre l'eau à la bouche : "Le Vauthoux", "La Montbéliard coiffée" et tenez-vous bien "Le Velouté de Potimarron, noix de Saint-Jacques poêlée, émulsion de cancoillotte à l'ail et huile de chanvre" !

nnnMorteau d'Or 2004 au tuyé Papy Gabynndate : le 20/11/2004 à 09:24nauteur : Silviensujet : Morteau d'Or 2004 au tuyé Papy Gabyn

C'était le rendez-vous annuel de près d'une vingtaine de salaisonniers. n nC'est le restaurant " Au Coeur des faims " aux Fins qui a servi de cadre à ce concours de la morteau d'Or 2004, organisé par Noël Miotte et ses 16 autres amis salaisonniers. Les 60 membres du jury devaient se déterminer sur plusieurs critères bien précis, d'abord sur le produit lui-même, cru puis cuit. nnLes spécimens présentés étaient notés par trois jurys différents qui devaient apprécier la couleur ambrée liée au fumage, sans oublier la fameuse cheville en bois fixée à une extrémité. Noël Miotte, avant le concours, spécifiait tous les points importants pour la notation. Avec la saucisse cuite il fallait comparer le hachage gros d'un aspect lié et homogène mais aussi la couleur générale uniforme rosée. La texture en bouche devait être à la fois ferme, moelleuse et juteuse. nnPas facile de donner une note sur la saveur et l'arôme. " La saucisse de Morteau doit avoir une flaveur équilibrée et un arôme fumé persistant en bouche sans oublier le goût de viande ". nnA ce petit jeu-là c'est le tuyé Papy Gaby à Gilley qui s'est imposé. nnIl faut savoir que le palmarès est établi à 50 % sur le concours d'hier et pour l'autre moitié sur des contrôles inopinés dans l'année, chez les salaisonniers.nnLe palmarès nnMorteau d'or : tuyé Papy Gaby à Gilley, MM. Marguet.nnMorteau argent : Aux produits saugeais à Maisons-du-Bois, MM. Vonin.nnMorteau bronze : La ferme du Montagnon à Fournets-Luisans, M. Myotte.nnSource : http://www.estrepublicain.frnnn

nnn10-14 nov., "terre d'arômes", Besançon.nndate : le 22/04/2004 à 07:40nauteur : J-Minsujet : 10-14 nov., "terre d'arômes", Besançon.n

TERROIR : Les produits régionaux au salon nnIntitulé " Franche-Comté, terre d'arômes ", ce nouveau salon se déroulera à Besançon du 10 au 14 novembre prochain. nnMicropolis à Besançon accueillera sur 4000 m² la centaine d'exposants prévus pour le premier salon consacré aux produits régionaux. Le Conseil régional de Franche-Comté et le comité de promotion, partenaires de la manifestation, s'associeront à la communication de l'événement ainsi qu'à la phase de prospection. Toutes les filières franc-comtoises (vins, salaisons, fromages, sucré, salé...) devraient être représentées, tandis qu'une grande partie de l'espace sera dévolue à la restauration. Aux traditionnels repas comtois s'ajoutera une partie plus gastronomique avec la venue d'un grand chef chaque jour. Un concept original concourra à la mise en valeur de la région : la reproduction au sol des principaux repères géographiques de la contrée (départements, forêts et plateaux, autoroutes...) où les exposants seront placés en fonction de leur territoire d'origine. Les organisateurs espèrent recevoir 20 000 visiteurs. Autres rendez-vous gourmands en Franche-Comté : la Foire comtoise du 15 au 23 mai à Besancon, " Vin et gastronomie " du 6 au 14 septembre à Belfort, " Terroirs gourmands " du 9 au 12 septembre à Besançon ou encore la Foire du Jura du 21 au 24 octobre à Lons-le-Saunier.nnSource : http://www.lepays.netnnOn y va ?? (Qui a dit que j'étais gourmand )nn*** Message édité par J-Mi le 03/11/2004 07:39 ***nnn

nndate : le 03/11/2004 à 08:37nauteur : J-Minsujet : n

Promouvoir les produits du terroir auprès des franc-comtois. C'est le rôle de " Franche-Comté, terre d'arômes ", salon qui se tiendra à Besançon du 10 au 14 novembre. nnRéveillez vos papilles ! Durant cinq jours, le parc des expositions Micropolis va se transformer en une véritable vitrine des produits " made in Franche Comté " avec le concours du Comité de promotion des produits régionaux. Son président Jacques Verny, salive déjà : " C'est une première ! Une cinquantaine de produits seront représentés, des vins du Jura, à la saucisse de Morteau, saucisse de Montbéliard, miel, fromages, confitures, escargots... Le consommateur a aujourd'hui le droit de savoir ce qu'il y a dans son assiette. Notre devoir est aussi d'être, même chez nous, des ambassadeurs de ce qu'il se fait de meilleur surtout auprès des plus jeunes ". Pour mieux identifier l'origine des différents produits, les exposants seront placés sur une grande carte de la Franche-Comté à même le sol. En deux minutes, le visiteur passera des sommets enneigés du Haut Doubs à la Bresse jurassienne. Un point de vue panoramique donnera même l'illusion de se trouver sur le plus haut sommet de Franche-Comté : le crêt Pela à 1 495 m d'altitude près de St Claude dans le Jura.nnAu-delà de la promotion du terroir, c'est bien de l'avenir des producteurs dont il est question. Joseph Parrenin, deuxième vice-président de la région Franche-Comté et Vincent Fuster Président de la SEM Micropolis s'accordent à dire que la qualité est une des clés de la réussite et de la pérennisation. " Encore faut-il que le consommateur soit curieux " répond M.Delacroix, de la Chambre d'Agriculture du Doubs " il faut montrer ce que sont les métiers du terroir, expliquer le lien production - consommation et le nouveau défi que représente l'agriculture raisonnée et non intensive ". Le bon, le vrai, l'authentique et le savoir-faire sont les nouvelles valeurs que Terre d'arômes veut promouvoir. 20 000 visiteurs sont attendus autour de la gastronomie franc-comtoise et d'un menu d'animations alléchant, de la distillation en direct de gentiane - une première - à la potion magique du Haut-Doubs, une soupe aux pois mitonnée dans un chaudron à l'ancienne. Côté cuisine, il y aura le choix entre " la boîte chaude " et une gastronomie comtoise haut de gamme. Et pour digérer, ambiance guinguette avec des danses l'après-midi et en soirée.nnFranche-Comté, terre d'arômes devrait désormais faire partie intégrante du paysage des manifestations automnales tous les ans. La barre est haut placée avec un budget global qui avoisine les 170 000 € pour ce salon qui jouxtera un autre rendez-vous : Doubs terre d'élevage pour le premier concours de la Montbéliarde dans le département, berceau de la race. Près de 150 éleveurs et 500 animaux ont postulé. Du 12 au 13 novembre, le concours rassemblera 212 vaches issues de 97 élevages. En marge, les olympiades de l'agriculture côtoieront l'exposition " Gens de Terre ", 40 clichés imposants représentant les jeunes agriculteurs des 10 nouveaux pays entrés dans l'Union Européenne. En résumé, la fin d'année franc-comtoise s'annonce champêtre et gourmande.nnhttp://www.lepays.netn

nndate : le 14/11/2004 à 11:24nauteur : J-Minsujet : n

Le salon Terre d'arômes qui se tient actuellement à Micropolis à Besançon permet de découvrir un bouquet de produits du terroir. nnJusqu'à ce dimanche soir, le salon Terre d'arômes regroupe à Besançon la plupart des produits régionaux qui signent l'image de la Franche-Comté Le public peut y découvrir l'absinthe qui a refait son apparition il y a seulement deux ou trois ans, mais aussi la gentiane, cette eau de vie extraite de la racine de cette plante qui pousse sur les plateaux du Doubs et du Jura. nnLes visiteurs pourront assister en direct à la distillation des racines de gentianes récoltées à la fin du mois d'août. Dans des alambics prêtés par la ville de Besançon, les amateurs pourront observer la phase de distillation de 4 à 5 heures et, à l'issue de cette opération, savourer les premières gouttes de gentiane de l'année. On pourra également déguster la fameuse " potion magique " du Haut-Doubs. Mijotant dans un chaudron à l'ancienne, la soupe aux pois est une recette nourrissante qui figurait autrefois au menu quotidien de nos grands-parents. à base de légumes, de pois cassés, de tête de cochon, de lard et de saucisse fumée, elle réconforte les appétit et les estomacs au terme de heures de cuisson. Ce dimanche à Micropolis, les visiteurs pourront partir à la rencontre d'un fromage, le fameux morbier. Pour les appétits gourmands, deux solutions : la boîte chaude ou les tables comtoises. Le restaurant régional " La boîte chaude " propose une spécialité franc-comtoise au choix. Des plats uniques : morbiflette, la belle saucisse de Morteau fumée dans un tuyé du Haut-Doubs, le gratin franc-comtois, jambon salade röstis... Quant aux amateurs de cuisine haut de gamme, ils apprécieront le menu cuisiné par un chef comtois. Ce dimanche, c'est le chef du Loft à Saint-Claude qui préparera le menu.nnhttp://www.lepays.net

nnnSurchauffe sur le marché du comténndate : le 07/11/2004 à 11:01nauteur : J-Minsujet : Surchauffe sur le marché du comtén

Les producteurs de comté s'organisent pour éviter la surchauffe du marché. La profession va investir dans une campagne nationale de publicité. nnVoir la production de comté inonder le marché et se banaliser : une hantise pour les fabricants de la première AOC fromagère française, inquiets, en cet automne, des menaces de surproduction. " Nous sommes passés d'une production de 30 000 tonnes de comté dans les années 80 à 46 000 tonnes aujourd'hui. Même si nos ventes sont en hausse constante depuis plusieurs années, on peut dire qu'il y a aujourd'hui 2 000 à 2 500 tonnes de fromage en trop qui pèsent sur le marché ", explique Claude Vermot-Desroches, producteur laitier dans le Doubs et président du Comité interprofessionnel du gruyère de comté (CIGC).nnPas de encore de crise de surproduction, donc, mais un emballement du marché aux conséquences redoutées : " Fournir de grandes quantités de comté, c'est donner la possibilité à la grande distribution de faire pression sur les prix, ce qui nous conduirait, pour produire moins cher, à industrialiser la production à outrance au point de pervertir le goût du fromage ", poursuit M. Vermot-Desroches. Le phénomène est même désigné sous le nom d'" emmentalisation " en référence à l'évolution de l'emmental suisse dont la tradition, pour n'avoir pas su se protéger, a été sacrifiée à la rentabilité, estiment les spécialistes. Appellation d'origine contrôlée depuis 1952, le comté, est, en volume, la première AOC de France et s'appuie en Franche-Comté, principale zone de production, sur 3 200 producteurs de lait, 190 fruitières - ou coopératives - de fabrication et une vingtaine de maisons d'affinage.nnAvec une rémunération du prix du lait nettement plus favorable que pour le reste des produits laitiers, le comté représente une production prisée des producteurs de lait au risque de renforcer la pression sur les quantités. " Au cours des dernières années, beaucoup de fabricants d'emmental grand cru du Doubs se sont mis à faire du comté, il a fallu gérer leur arrivée sur la zone AOC ", témoigne Maxime Brun, salarié des fromageries Brun à Poligny (Jura), la " capitale du comté ". Pas facile dans ce contexte de réguler la production. Le CIGC vient d'appeler les acteurs de la filière à faire preuve de " civisme " et a invité les producteurs de lait à détourner 2 % de leur production vers d'autres fabrications en échange de compensations financières. Gérard Aymonier, président de la Fédération des coopératives laitières (FDPL) du Jura veut croire que le mot d'ordre sera suivi, même si, explique-t-il, " il s'agit d'une contrainte de rentabilité et d'organisation pour les petites coopératives laitières ". " On sait qu'on est tous dans le même bateau et qu'on serait tous touchés par une baisse des prix du comté ", estime Pierre-François Bernard, président de la FDPL du Doubs. Mais la filière comté espère également agir sur les ventes du fromage et a prévu d'investir 1,5 million d'euros pour une prochaine campagne nationale de publicité.nnPour Véronique Rivoire, de la maison d'affinage Rivoire-Jacquemin à Montmorot (Jura), " les discours actuels sur les régimes, la santé, risquent d'effrayer le consommateur qui voit le comté comme un fromage gras, à nous d'en démontrer les vertus ! ".nnhttp://www.lepays.net

[Mitch]

Recette : quiche à la saucisse de Morteaurnrndate : le 16/10/2004 à 13:20rnauteur : J-Mirnsujet : Recette : quiche à la saucisse de Morteaurn

Recette trouvée dans un supplément de L'Est Républicain.nn1 pâte feuilletéen1 grosse saucisse de morteaun2 cuillères à soupe de moutarden100 g de bon comtén2 oeufsn15 cl de crème liquiden1 pincée de sel et de poivren nPréparation:ncuire la saucisse pendant 20 min et laisser un peu refroidirnétendre la pâte feuilletée, tartiner la pâte avec la moutarde, saupoudrer le comté rapé dessusndans un saladier, battre les oeufs et la crème, saler et poivrer, étaler ce mélange sur le comténenlever la peau de la saucisse de morteau, couper des rondelles et garnir le dessus de la quiche en faisant chevaucher les rondellesndans votre four préalablement préchauffé thermostat 7, cuire 30 minutesnnnEt je m'y suis collé ce matin : nnnnnnnnnnnnNous allons maintenant tester.......Silvie et Auriane vous donneront leur avis

nndate : le 17/10/2004 à 21:17nauteur : Silviensujet : n

nAlors pour tout vous dire, c'était.......nnnDélicieuxnnUne recette simple et de saison...nnA vos fourneaux nn J-Mi de t'y être collé

nndate : le 17/10/2004 à 21:23nauteur : Nicolasnsujet : n

Merci pour ce reportage de qualité ! Que de risques pris pour prendre de tels clichés ! nnEn tous les cas, j'ai adoré la présentation sous forme de "roman-photo cullinaire". Pour les nuls en cuisine comme moi, c'est excellent ! nnMerci J-Mi !nnNiconn

nndate : le 17/10/2004 à 21:36nauteur : J-Minsujet : n

Pour infos Nico, on peut considérer que je suis un nul en cuisine.nCelà fait très peu de temps que je me lance dans des préparations autres que pâtes, riz... nIl faut juste prendre le temps et avoir un minimum d'envie, mais quelle satisfaction lorsque tu présentes ta réalisation sur la table, tu ne peux pas imaginer la fierté !! (Alors qu'il existe des tas de recettes toutes simples )

nndate : le 17/10/2004 à 21:56nauteur : dadonsujet : n

Je constate que la "Maite" nouvelle est arrivee :)nFelicitations !nnJe m'y collerais volontiers mais je te demande d'abord ton avis de "Maitre Cuisinier" pour savoir si je puis realiser cette recette avrec une saucisse de Zagreb :)

nndate : le 17/10/2004 à 22:05nauteur : J-Minsujet : n

Merci vieux, je prends le "Maité" comme un compliment.nPour les spécialités croates, j'attends de venir les tester sur place , je répondrai après.

nndate : le 17/10/2004 à 22:06nauteur : Nicolasnsujet : n

A quoi ça ressemble, la saucisse de Zagreb ? Quelles sont les différences avec nos belles saucisses comtoises ? (houlà, je sens venir un humour dont le goût est inversement proportionnel à celui de ladite saucisse de Morteau...).nnNicon

nndate : le 17/10/2004 à 22:10nauteur : dadonsujet : n

Aucun soucis pour venir les tester sur place, l'invitation lancee il y a quelques mois est toujours valable :) Mi casa es su casa comme on dit chez les chicanos :)

nndate : le 17/10/2004 à 22:13nauteur : dadonsujet : n

Disons que la saucisse de Zagreb a proprement dit n'existe pas mais d'autres villes de Croatie en on de tres bonne :)nnJ-Mi, le sujet vire doucement vers ceux de nos soirees d'antan :)

nndate : le 01/11/2004 à 19:45nauteur : Perle39nsujet : n

Spécialement pour Nico, je viens de réaliser la quiche dont voici la photo :nnnnJ'espère qu'elle sera aussi bonne qu'elle sent bon. On verra demain

nndate : le 01/11/2004 à 23:40nauteur : Nicolasnsujet : n

Pendant ce temps, je suis allé cherché une bonne bouteille à la cave...nnA demain, donc !nnNico

nndate : le 02/11/2004 à 18:24nauteur : Perle39nsujet : n

La quiche à la saucisse de MorteaunnAvant :nnnAprès :nnnMes impressions :n- quant à la préparation : Très très simple à réaliser (même pour la piètre cuisinière que je suis)n- quant à la dégustation : Je laisserai les cobayes de mon expérience s'exprimer sur ce sujet .nnUne remarque que m'a fait Turbo quand il va vu la quiche sortir du four : "Hé, tu t'es plantée. J-Mi a écrit qu'il faut faire chevaucher les rondelles ". Le problème est que je n'avais pas assez de rondelles. Donc, dans ma recette, j'écrirai désormais qu'il faut DEUX saucisses. Et s'il y a alors trop de rondelles, le surplus servira de grignotage pour l'apéro .nnEn tout cas, Merci J-Mi de nous avoir fait découvrir ça....

nndate : le 02/11/2004 à 19:07nauteur : J-Minsujet : n

De rien, je n'ai fait que recopier une recette que Silvie a débusquée dans un magazine nnPour les rondelles, pas évident de les faire se chevaucher, je les avais juste serrées. Et dans la recette, il est écrit : "une GROSSE saucisse" nn*** Message édité par J-Mi le 02/11/2004 18:09 ***nnn

nndate : le 02/11/2004 à 21:34nauteur : Perle39nsujet : n

Ho mais J-Mi, elle était grosse ma saucisse. Mais mon moule aussi

nndate : le 03/11/2004 à 03:29nauteur : turbonsujet : n

Je viens défendre bien haut les couleurs de Perle....Sa quiche était EXCELLENTE !!!nnJe suis d'ailleurs tout prêt à manger la même immédiatement si elle me le proposait...

nndate : le 03/11/2004 à 08:41nauteur : J-Minsujet : n

Message original: perle39nHo mais J-Mi, elle était grosse ma saucisse. Mais mon moule aussi

nnMais c'est jamais assez gros avec une famille de gourmands et un invité qui l'est tout autant.

nndate : le 03/11/2004 à 22:24nauteur : Nicolasnsujet : n

Le gourmand en question confirme que c'est vraiment une super recette, et que le doberman qui sommeille en moi n'y a rien trouvé à redire, bien au contraire !nnCe fut un vrai plaisir. Comme quoi, l'important n'est pas la taille de la saucisse ou du moule, mais le savoir-faire... nnA +nnNico

nndate : le 06/11/2004 à 12:55nauteur : Thiernsujet : n

Nous avons également testé hier soir et je peux vous dire que cette quiche n'a pas fait long feu ! Merci J-Mi pour cette heureuse trouvaille ! Voilà une recette qui n'a pas fini de faire parler d'elle !

nnnBelle initiative et jolie pubnndate : le 02/11/2004 à 22:20nauteur : J-Minsujet : Belle initiative et jolie pubn

A partir de demain et jusqu'à samedi, certains Intermarchés et Ecomarchés se font des "Plaisirs Franc-Comtois".nnSuperbe plaquette publicitaire que voici : nnnnnA découvrir dans les magasins des villes de : nnnnDonc pas uniquement en Franche-Comté, ça aussi ça méritait d'être souligné.nBravo à ces enseignes !!

nnnQuestions pour un Champion.... euh... pour 5 Champignonsnndate : le 23/10/2004 à 21:18nauteur : Perle39nsujet : Questions pour un Champion.... euh... pour 5 Champignonsn

Voici quelques photos de champignons que j'ai photographié ce jour dans "notre propriété". Quelqu'un aurait-il le nom de ces champignons, et ceux-ci sont-ils comestibles ?nnSi ils ne le sont pas, je suis désolée d'avoir posté ce sujet dans "Gastronomie" (je précise que je n'ai pas les réponses, pour l'instant...)nnChampignon n° 1 :nnnChampignon n° 2 :nnnChampignon n° 3 :nnnChampignon n° 4 :nnnChampignon n° 5 :nnnnn*** Message édité par perle39 le 23/10/2004 21:34 ***nnn

nndate : le 23/10/2004 à 21:24nauteur : Thiernsujet : n

Tu as combien d'hectares Perle, pour avoir autant d'espèces de champignons sur ton terrain ? :;)nPersonnellement, je n'y connais pas grand chose en matière de mycologie... mis à part les mycoses que je rencontre parfois dans mon travail ! :lol:nSi nous séchons, je suggère de contacter les webmasters de http://perso.wanadoo.fr/champi.fc/ qui devraient aisément nous éclairer. Ce serait aussi l'occasion de procéder à un échange de liens en bonne et due forme ! :;)nnJe tente ma chance pour la photo n°5 : peut-être s'agit-il de bolets ? nnn*** Message édité par Thier le 23/10/2004 21:30 ***nnn

nndate : le 23/10/2004 à 21:30nauteur : Perle39nsujet : n

Hectares hectares .nNotre terrain se compte seulement en m² (un peu plus de 2.000). Mais comme c'est la première année que nous avons un appareil numérique... Nous en avons vu d'autres (de champignons) l'année dernière.nnLa faune et la flore font également partie de notre patrinoine. Alors, autant être moins ignorant.nnLes réponses éventuelles m'interessent vraiment...

nndate : le 23/10/2004 à 22:16nauteur : olifnsujet : n

Dur, dur, de répondre sur photos!nnLeur milieu semble plutôt l'herbe. Le n°2 possède une volve et un anneau, et d'après son aspect fait plutôt partie du genre des lépiotes.nnLe 3 pourrait évoquer Lepista saeva, le Pied Améthyste, apparenté au Pied bleu, mais j'ai l'impression de voir une perle de lait sous les lamelles, ce qui le rangerait dans la classe des lactaires. Quand même peu probable vu l'aspect de ses lamelles! Si c'est lui, il est comestible!nnLes autres, je sèche! Mais ils ne sont très certainement pas comestibles, tout comme le n°2, d'ailleurs!nnOn peut éventuellement solliciter Robs qui a laissé son adresse web dans le livre d'Or: champignons de Franche-Comté. nnOlif

nndate : le 24/10/2004 à 12:11nauteur : J-Minsujet : n

Message original: olifn j'ai l'impression de voir une perlenOlif

nnMoi je n'y connais rien mais effectivement la personne qui a posté sur le livre d'or sait répondre, c'est sûr.

nndate : le 24/10/2004 à 12:19nauteur : Thiernsujet : n

Selon mon beau-père qui vient de jeter un oeil sur les 5 photos, le n°2 serait un "coprin" et le n°4 peut-être une "lépiote". Quant au n°5, il ne s'agit certainement pas de bolets.nMais selon lui, aucun ne serait comestible.

nndate : le 25/10/2004 à 00:45nauteur : Shadowfaxnsujet : n

Il me semble que le deuxième champignon est une vesse de loup. Ce n'est pas très bon. Quand c'est vieux et qu'on le touche il y a un nuage de spores. Le mieux pour les champignons, c'est d'aller voir un pharmacien qui pourra donner son avis.

nndate : le 26/10/2004 à 22:00nauteur : Saute-gouilletsnsujet : n

Bonsoir,nnVoui, le deuxième est bien une "vesse de loup" mais pas assez vieille pour qu'elle fasse de la fumée en l'écrasant. Et le 4 ressemblerait bien à une lépiotennDommage perle, pas de morilles

nndate : le 27/10/2004 à 01:15nauteur : turbonsujet : n

merci à tous !nEt les morilles sont un des seuls champignons que suis apte à reconnaître...avec le champignon de Paris !!!

nndate : le 27/10/2004 à 10:47nauteur : olifnsujet : n

Les morilles, ce n'est quand même pas franchement la saison! Cela aurait été plus qu'étonnant qu'il y en ait une qui ait poussé! nnEt le deuxième, je suis désolé, mais cela ne peut en aucun cas être une vesse de loup! Une vesse de loup n'a pas de pied! C'est une petite boule blanche ou beige clair, quand elle est jeune, parfois en forme de poire inversée, mais cela ne ressemble vraiment pas à ça!nnSaute-Gouillets et Shadowfax, si un jour vous souhaitez m'inviter à manger, ne me cuisinez pas de champignons! nnOlifnnVoilà en gros à quoi ressemble une vesse de loup (il y a plein d'espèces différentes!)nn

nndate : le 27/10/2004 à 18:53nauteur : Perle39nsujet : n

En tout ca, merci à tous pour toutes vos réponses.nnQuand mon papa viendra à la maison, je lui ferai voir les photos. Il sera certainement capable d'en identifier. Je vous tiendrai au courant...

nnnLa relève gourmande est assuréenndate : le 19/10/2004 à 09:06nauteur : J-Minsujet : La relève gourmande est assuréen

Le guide Champérard vient de livrer sa version 2005. Il consacre de nouveaux chefs francs-comtois, en quelque sorte les grands de demain. nnMarc de Champérard, l'auteur du fameux guide gastronomique du même nom, qui recense cette année pas moins de 11 900 adresses " pour manger vrai tous les jours ", était hier dans la capitale des vins du Jura pour présenter les nouveaux nominés. C'est en compagnie de Jean-Paul Jeunet et de son épouse que Marc de Champérard accueillait hier soir à Arbois les nombreux invités venus découvrir la cuisine régionale au fil des pages d'un livre qui est avant tout " la France du terroir et de l'art de vivre ". nnPour Marc de Champérard " il est grand temps de revenir à l'essentiel, de rêver à nouveau, de considérer le restaurant comme un lieu convivial où l'on vient passer un moment pour être heureux, non comme un concept issu du cerveau fumeux d'as en marketing. Surtout de déguster d'alléchantes préparations qui chantent la gloire des meilleurs produits et mettent en valeur la personnalité et le talent du cuisinier. " Le guide Champérard ne représente pas les adeptes de la cuisine virtuelle, c'est avant tout le talent du cuisinier qui sait allier tradition, modernité et innovation. Le plus grand plaisir de Marc de Champérard, c'est de dénicher le boulanger d'exception, le charcutier d'anthologie et, bien sûr, ce qui a fait sa réputation : le restaurant inconnu à l'aube d'une fulgurante carrière. " Et bien manger au quotidien sera toujours un vrai plaisir, notre bonheur autour d'une table, c'est le but de ce guide, le sens de ma vie ", affirme l'auteur. Pour la plupart, ils sont encore inconnus du grand public et pourtant, cette " bande de jeunes " bourrés d'enthousiasme et de talent s'affirme avec force comme la relève gourmande de la Franche-Comté. Marc de Champérard les a présentés hier à Arbois. Ils méritent vraiment que l'on découvre leur cuisine. Nicolas Pourcheresse, de l'Auberge de Chavannes à Courlans, près de Lons-le-Saunier, fait partie de ces jeunes chefs Il passe de deux à trois points.nnParmi les nouveaux qui font leur entrée dans le guide, notons Le restaurant Joseph à Montbéliard (deux points), la Balance Mets et vins à Arbois (un point), sans oublier les valeurs sûres, comme Jean-Paul Jeunet à Arbois avec quatre points, soit le maximum. Parmi les lauréats du Champérard 2005, Gérard Gauthier, le restaurant le Balcon à Combeaufontaine (70) remporte le trophée du Chef ; Nicolas Pourcheresse, de Courlans (39), encore lui, se distingue avec le trophée du Jeune chef ; Le château de Vauchoux, à Port-sur-Saône (70), remporte le trophée du restaurateur ; Hugues Droz, de l'Hôtel de France à Villers-le-Lac, a reçu le trophée du sommelier. Le trophée tradition et innovation a été remis à Jean-Paul Jeunet, d'Arbois, et le trophée du pâtissier à Pierre Basso-Moro, du château de Germigney, à Port-Lesney, pour ses excellents desserts.nnhttp://www.lepays.netn

nnndu 22 au 28 novembre: l'appât du chocolatnndate : le 17/10/2004 à 21:38nauteur : Silviensujet : du 22 au 28 novembre: l'appât du chocolatn

Retrouver les sensations du " pur beurre cacao ", voilà l'objectif de la fête nationale du chocolat, lancée à Vesoul. n n" Sept jours pour retrouver le goût du vrai chocolat ! ". Les gourmands salivent, mais il faudra patienter un peu, avant de fondre de plaisir. Du 22 au 28 novembre, exactement, chez l'un des professionnels participant à cet événement qui se veut " national et fédérateur ". nnC'est en tout cas le souhait formulé conjointement par Mickaël Azouz, chocolatier vésulien, à l'origine de la première fête en 1992, et Fred Ferry, qui ont mis sur pied une société du nom d'" Archipel Event ". Autres atouts de poids pour la renaissance de cette manifestation qui aimerait désormais suivre la trajectoire de la fête de la musique : le parrainage du Professeur Christian Cabrol et le soutien officiel du ministère de l'agriculture et de l'alimentation. nnL'idée est de retrouver, autour du chocolat, plusieurs notions : savoir-faire, santé, qualité, plaisir, convivialité. 80.000 chocolatiers et pâtissiers de l'Hexagone sont ciblés pour cette opération et ils se verront distribuer, après accord avec l'organisation, un " kit de base ". Une condition sine qua non pour collaborer : que le chocolat présent dans les ballotins soit " pur beurre cacao ". nnRien n'a été oublié pour que la fête soit saupoudrée de succès. Même pas la cerise sur le gâteau : un chocolat officiel en collaboration avec les Grandes distilleries Peureux de Fougerolles, " une ganache fruit de la passion donnant une véritable explosion aromatique en bouche avec le contraste Griottines ". Pas de doute, le bec fin est déjà appâté !nn" La grande fête du chocolat ", du 22 au 28 novembre, partout en France. http://www.lagrandefeteduchocolat.comnnsource : http://www.estrepublicain.frnn*** Message édité par Silvie le 17/10/2004 21:55 ***nnn

[Mitch]

Délices ambréesrnrndate : le 16/10/2004 à 09:18rnauteur : J-Mirnsujet : Délices ambréesrn

Une vingtaine d'apiculteurs a eu à juger hier une soixantaine d'échantillons sucrés, dans le cadre du concours régional des miels de Franche-Comté. nnDans la salle du centre culturel et social Belfort Nord, l'ambiance est studieuse. Les membres du jury, assis deux par deux à chaque table, se font face silencieusement. Entre eux : une belle rangée de verres emplis d'un beau liquide doré. Et comme lors de dégustations oenologiques, les " jurés " étudient aussi bien la " robe " que le goût de ces gourmandises de la nature. La vingtaine d'experts réunis hier a eu à déguster une soixantaine d'échantillons de miel. Méticuleusement, les apiculteurs et professionnels des métiers de bouche ont goûté ces délices sucrés, fruits de la production d'une cinquantaine d'apiculteurs de la région.nnOrganisé par l'Association pour le développement de l'apiculture en Franche-Comté, le concours régional des miels et hydromels a vu s'affronter des apiculteurs du Doubs, du Jura, de Haute-Saône et du Territoire. Les différents miels étaient classés par catégories : toutes fleurs (les plus nombreux), acacia, sapin, montagne/forêt, printemps/pissenlit/tilleul. à chaque fois, les membres du jury ont eu à noter des critères visuels, olfactifs, tactiles et gustatifs variés. Pour finir par donner un jugement d'ensemble afin de choisir les meilleures productions 2004. Parmi, bien sûr, les apiculteurs postulants. Après une saison 2003 catastrophique pour les apiculteurs comtois, la saison 2004 a permis une récolte variée, avec des quantités plus ou moins importantes selon les miels et la situation géographique des ruchers. Quant à la qualité gustative, elle semble excellente.nnhttp://www.lepays.netn

nnnLa morteau, vous la fumez comment ?nndate : le 24/09/2004 à 14:25nauteur : Thiernsujet : La morteau, vous la fumez comment ?n

A lire, cet article du journaliste Jacky DURAND, paru aujourd'hui dans Libération et signalé par un cancoillonaute prénommé Julien, traitant de la division autour du fumage de la mythique saucisse de Morteau.nnhttp://www.liberation.fr/page.php?Article=240929nnVous m'en direz des nouvelles...

nndate : le 24/09/2004 à 15:19nauteur : Perle39nsujet : n

Ca donne envie d'en manger (personnellement, j'adore la Morteau) encore plus.nnEn fin d'article, une référence de livre :n

(1) Lire le très complet A table avec... la saucisse de Morteau (éditions Tigibus).

nnEditions Tigibus, ça vous dit quelquechose ?nn

nndate : le 24/09/2004 à 16:33nauteur : Thiernsujet : n

Editions Tigibus, ça vous dit quelquechose ?

nnOui, j'ai vu. J'ai scanné la couverture du livre référence sur la saucisse de Morteau... histoire de mettre encore un peu plus l'eau à la bouche ! nnnnA table avec... la saucisse de Morteau, Editions Tigibus, 97 pages, 15 €nDisponible dans les bonnes librairies de la régionnou aux Editions Tigibus : 4 place Maréchal de Lattre de Tassigny - 25000 BESANCON - Tél : 03 81 25 53 76 - mail : jean-claude.barbeaux@wanadoo.frnnn*** Message édité par Thier le 08/11/2004 13:03 ***nnn

nndate : le 08/10/2004 à 07:31nauteur : J-Minsujet : La guerre des " tuyés " aura-t-elle lieu ?n

Combien de temps faut-il fumer la saucisse ? Entre fabricants de montagne et plaine la polémique fait rage. nnEntre montagnards, purs et durs, et gens de la plaine, c'est la guerre pour savoir combien de temps il faut mettre pour fumer une saucisse de Morteau. Alors que des accords semblent être sur le point d'être signé, la hache de guerre entre les deux tribus n'est pas enterrée, et les signaux de fumée qui s'échappe des tuyés du plateau de Morteau rassemblent 17 fabricants de la " véritable saucisse de Morteau ", un label qu'ils ont perdus en 1977. Dans sa ferme du Montagnon, dans le Haut-Doubs, Noël Myotte, président des fabricants des véritables saucisses de Morteau, association qui regroupe les 17 irréductibles, est virulent, et ne mâche pas ses mots pour défendre l'authentique saucisse de Morteau, fumée trois à quatre jours dans un tuyé. " Depuis l'origine de cette saucisse, fabriquée au départ par les paysans, et cela remonte à deux ou trois siècles, nous la fabriquons toujours dans la même tradition, et c'est cela que nous défendons. "nnLa saucisse de Morteau, le fameux Jésus joue sur les hauts plateaux du Jura son avenir, dans une guerre sans merci que se livrent les artisans du plateau et les industriels de la vallée. Pour le moment, c'est le statut quo. Les montagnards ne veulent rien lâcher. Ce que ne comprend pas d'ailleurs Claude Boucton, directeur général des établissements Clavière à Dole, qui emploient 130 personnes. Celui-ci défend une version emprunte de sagesse. " Une démarche est en cours pour la définition d'une IGP (NDLR indication géographique protégée) pour la saucisse de Morteau. Un certain nombre de problèmes ont été mis à plat, les décisions entérinées, et je ne juge pas encore utile de revenir sur ces discussions. " La ligne de démarcation se limite au plateau du massif jurassien, à une altitude de 600 m. La pierre d'achoppement tient selon Noël Myotte en quelques mots : " le fumage à l'ancienne de 48 heures dans un tuyé. Ce que ne veulent pas entendre les industriels de la vallée qui n'hésitent pas à fumer leur charcuterie en 24 heures par des moyens modernes de soufflerie " dénonce le président du syndicat de Morteau. " On prend le temps, nos saucisses sont fumées dans un tuyé, ces grandes cheminées qui dépassent des toits, très caractéristiques des fermes comtoises. "nnCe fumoir peut atteindre une quinzaine de mètres de haut. La fumée qui s'en échappe dès l'automne, embaume le sapin. A Grand Combe-Chateleu, toutes les fermes ont encore leur tuyé, et les agriculteurs y suspendent leurs jambons et leurs saucisses. Dans celui de Noël Myotte, dans l'obscurité, ou se mêlent une odeur de sapin, d'épicéa et de charcuterie fraîche, il a le sourire. Il est fier de montrer ce savoir-faire ancestral, qui " permet de donner, selon lui, le véritable goût à la saucisse de Morteau ". Il explique " tous les morceaux du cochon sont bons pour fabriquer de la saucisse de Morteau. Ensuite, il faut trois à quatre jours dans le tuyé, ou se consume un tapis de sciure et de branchages d'épicéas et de sapin. C'est impossible de fumer en 24 heures, le fumage n'a pas le temps d'entrer au coeur de la saucisse. " Pour sa part, Claude Boucton, explique " qu'il faut se fier à ce que souhaitent les consommateurs. Mon souci est de donner de bons produits aux consommateurs. Depuis des dizaines d'années, certains fument en 4h, d'autres en un jour, deux jours ou plus, mais chacun a créé son marché et fidélisé ses consommateurs. Pour notre part, nous fumons à l'ancienne dans un tuyé, avec de la sciure de sapins et d'épicéas qui viennent des monts du Jura, avec un cahier des charges très strictes. Alors je ne comprends pas le procès que les gens du haut nous font. Comme eux, nous fumons à l'ancienne. " La société Clavière fabrique des saucisses de Morteau de 1880, c'est l'une des plus anciennes charcuteries de Franche-Comté, qui emploie actuellement 130 salariés. " Nous avons de bons produits et nous travaillons l'aspect et le goût, mais ma première préoccupation pour un entrepreneur c'est de préserver 130 emplois dans le bassin dolois. Alors aujourd'hui je ne comprends pas l'objectif que poursuivent les 17 adhérents au syndicat de la saucisse de Morteau. "nnDans la perspective de l'obtention d'un label, il serait bon, que les puristes puissent s'accorder avec les gens de la plaine, car si aujourd'hui la saucisse de Morteau est connue en France et même à l'étranger, les gens de la plaine, qui distribuent leurs produits sous vide dans toute la France y sont peut être pour beaucoup. Voici 15 ans, les " puristes " produisaient 200 tonnes de saucisses par an. Aujourd'hui ce sont plus de 2000 tonnes qui sont fabriquées dans le Haut-Doubs. Dans cette histoire, l'arbitre sera vraisemblablement le consommateur.nnhttp://www.lepays.netn

nndate : le 14/10/2004 à 22:18nauteur : Samnsujet : n

A ce jour, la polémique autour de la saucisse de Morteau a été traitée "nationalement".nnEn effet, ce midi dans le J.T de 13 h de TF1 un reportage a été consacré à ce problème.nEt ce soir, c'est au 20 h de France 2 que la question a été évoquée....nnLe 14 octobre = Journée Nationale de la saucisse de MORTEAU ......

nndate : le 14/10/2004 à 22:28nauteur : Thiernsujet : n

Ca me rappelle la fois où Soize et moi avions eu la bonne surprise de trouver de l'authentique saucisse de Morteau à l'autre bout de la France, dans un supermarché breton. Mais il y avait une faute d'orthographe : c'était de la Morteaux !!! Ca nous avait bien fait rire ! nLes reportages nationaux ne sont donc pas un luxe !

nnnFrasne : coup dur pour le mont-d'ornndate : le 13/10/2004 à 07:21nauteur : J-Minsujet : Frasne : coup dur pour le mont-d'orn

Un incendie s'est déclaré lundi soir, pour une raison inconnue dans un silo à sciure de la boissellerie de M. Christian Petite à Frasne (Doubs). Cette petite entreprise de 10 salariés en pleine saison, comme c'est le cas actuellement, fabrique surtout les fameuses boîtes de fromage Mont d'Or. L'unité de fabrication n'a que peu souffert du sinistre mais les dégâts sont importants en périphérie. Pendant quelques jours la moitié des effectifs pourrait subir une période de chômage technique.nnhttp://www.lepays.net

nnnAu menu !nndate : le 07/10/2004 à 20:24nauteur : Lecuistotnsujet : Au menu !n

Bonsoir à tous ,nvoilà le menu franc-comtois que je "concocte" aux élèves du lycée :nnSalade franc-comtoise : nnsalade verte ndés de jambon ndés de comté ou râpé ncroûtons nnEt nnEscalope Franc-comtoise : nescalopes que je saisis et marques à la sauteuse ( je fini la cuisson au four avec un peu de vapeur ) ensuite je fais ma sauce en dégraissant , un peu de beurre dans lequel je fais revenir des échalotes , je déglace au vin blanc ( du jura si possible , mais attention au prix de revient !! ) , je mouille à l'eau et un peu de jus de veau lié , je fais réduire , je crème et j'ajoute du comté râpé quand la sauce est en bouillon , celà évite les fils avec le fromage , rectifier l'assaisonnement . nnou nSaucisse de Morteau : nsaucisse d'environ 350 gr que je coupe en 3 . nnEt nnPomme de terre à la cancoillotte : npommes rissolées ( cubes ) que je sers avec de la cancoillotte chaude . nnEt nnFromage : nmorbier , mamirolle . nnEt nnTarte aux myrtilles npas de secret pour vous ! nnEt tout ça avec 1,82 € comme budget , c'est serré mais j'y arrive , et le petit ballon de Jura c'est pour moi , non mais.... nnLecuistot.nnnnn

nndate : le 07/10/2004 à 20:28nauteur : J-Minsujet : n

Euh.....je peux retourner au lycée ??nEn plus je sais que Lecuistot officie dans LE lycée où j'étais (ok il aurait fallu que je redouble 10 fois pour qu'on se rencontre....).nEn tout cas, ça fait plaisir de te revoir par ici

nndate : le 07/10/2004 à 20:42nauteur : Lecuistotnsujet : n

Pour info ,n2O kg de cancoillotte ( Raguin , en seau de 5kg ) sont necessaires pour rassasier mes "voraces" d'élèves !!! Imaginez l'odeur de 20 kg de cancoillotte chaude dans une cuisine .... nnLecuistot.

nndate : le 11/10/2004 à 00:00nauteur : Thiernsujet : n

Un tel menu pour 1,82€ : quelle gageure !!! :invis:nEn tout cas, Lecuistot, continue à préparer de bons petits plats franc-comtois aux élèves de ton lycée belfortain et n'hésite pas à venir alimenter nos colonnes de ton savoir culinaire !

nnnUN GUIDE " Tables comtoises "nndate : le 24/09/2004 à 07:26nauteur : J-Minsujet : UN GUIDE " Tables comtoises "n

Le comité des produits régionaux a édité un petit guide à l'attention des gourmands qui sillonnent la région : le Guide des tables comtoises. Ce guide réunit en un seul document les restaurants membres du réseau tables régionales, dont le but est de mettre en valeur la diversité de la gastronomie franc-comtoise. Ses adhérents s'engagent à proposer à leurs hôtes des plats ou des menus régionaux et à privilégier des produits de qualité reconnue (A.O.C., label rouge, etc.). Et ceci aussi bien pour les entrées, les plats principaux, les formages ou desserts que les boissons. Les tables sont recensées par département et numérotées ; on les retrouve ainsi facilement sur une carte de la région, qui permet de choisir sa table en fonction de sa destination. Ou l'inverse.nnComment se le procurer : nnEn contactant le Comité de promotion des produits régionaux (CPPR), La City, 4, place Gabriel-Plançon, 25 044 Besançon Cedex 03.81.25.54.54 http://www.cppr-fc.comnnhttp://www.lepays.netnnJe leur ai envoyé un mail bien entendu

nndate : le 04/10/2004 à 22:22nauteur : J-Minsujet : n

Et voilà, le guide est arrivé dans ma boite samedi....nL'adresse du prochain festin de http://www.cancoillotte.net s'y trouve certainement !! nnLa couverturennnnPrésentation de toutes les tables avec position sur la cartennnnUne page...nnnDésolé pour les reflets.... nnn

nnncancoillotte de banlieuenndate : le 30/09/2004 à 19:19nauteur : Nicolasnsujet : cancoillotte de banlieuen

Voici une anecdote amusante arrivée aujourd'hui même. Comme un certain nombre d'entre vous le savent, je suis un Comtois expatrié en région parisienne, et j'enseigne l'histoire et la géographie dans un collège de Conflans-Sainte-Honorine, ville d'Ile de France en aval de Paris, banlieue modeste, mais coquette.nnAujourd'hui, la leçon de mes quatrièmes portait sur le monde rural sous l'Ancien régime. J'expliquais à mes élèves que le pain était l'alimentation de base, et qu'on l'accommodait de différentes manières, avec de l'ail par exemple. Comme je demandais à mes élèves avec quoi d'autre les paysans accompagnaient leur pain, l'un d'eux s'écrie :n- avec de la cancoillotte, M'sieu !n- tu connais la cancoillotte, toi ?n- ben oui, c'est dans un pot, et celle que je préfère, c'est à l'ail !n- qui d'autre connaît la cancoillotte ?nUne autre main se lève.n- Et vous, M'sieu, vous connaissez aussi ?n- oui, ça vient de chez moi.n- ah bon, et c'est où chez vous ? vous êtes breton ?nnMoralité : la cancoillotte est plus connue que la Franche-Comté !

nndate : le 30/09/2004 à 20:41nauteur : Saute-gouilletsnsujet : n

nnHeureusement qu'un de tes élèves ne t'a pas dit qu'ils accomodaient leur pain avec du macvin ...

nnnOufnndate : le 23/09/2004 à 21:32nauteur : Jemensujet : Oufn

Eureka, je puis donc m'exclamer ainsi car j'ai trouvé un resto de spécialités comtoises à Nancy :nnLa Taverne d'Arbois au 21 de la rue Bailly.nnC'est nouveau, je vais tester...J'en profiterai pour proposer notre "magnifique emblême à coller", pour que le patron l'affiche sur son seuil...ça servira en même temps de test pour savoir si c'est un véritable comtois!

[Mitch]

09 et 10 octobre : Les Comtéales de Nancrayrnrndate : le 30/05/2004 à 10:00rnauteur : Silviernsujet : 09 et 10 octobre : Les Comtéales de Nancrayrn

Premier festival gourmand du comté les 9 et 10 octobre. n nBESANçON. Le Musée des maisons comtoises de Nancray, situé à 15 km de Besançon, accueillera les 9 et 10 octobre les " Comtéales " de Nancray, un tout nouvel événement spectaculaire, ludique, festif et... très gourmand ! Le site de Nancray offre en effet des opportunités d'organiser une manifestation de très grande ampleur dans la zone AOC comté. L'un des objectifs de cette fête sera d'utiliser toutes les maisons et toutes les ressources du musée de plein air pour créer la diversité et faire circuler les visiteurs en s'appuyant sur le " savoir-faire " du musée concernant l'accueil et la gestion d'un public nombreux.nnCes " Comtéales " se veulent à l'image de la filière comté : spectaculaires et variées. Parmi les 46 animations prévues pendant le week-end, des fabrications de comté en plein air, des défilés des plus belles montbéliardes de l'année et la découverte de l'affinage feront notamment découvrir toute l'étendue des métiers et des savoir-faire exigés pour la fabrication de ce fromage d'excellence. La gourmandise sera bien sûr au centre des festivités, avec les présentations commentées de plusieurs comtés issus de différents " terroirs " avec des ateliers étonnants d'initiation aux accords comtés et vins ou comté et épices, et avec évidemment des démonstrations de cuisines au comté diverses et très surprenantes.nnsource : http://www.estrepublicain.frnn*** Message édité par J-Mi le 06/09/2004 18:25 ***nnn

nndate : le 06/08/2004 à 07:42nauteur : J-Minsujet : n

En attendant le fromage, le musée vous propose ceci : nnLes " mouches bénies " sont à l'honneur du 8 au 15 août, au musée des maisons comtoises de Nancray, avec la présentation de ruches vitrées, l'extraction du miel, la confection et la cuisson de pains d'épices à l'ancienne, l'atelier de fabrication de bougies, la vente et la dégustation de miel. Ouverture tous les jours de 10 h à 19 h. Contact au 03.81.55.29.77.nnnSource : http://www.lepays.net

nndate : le 09/09/2004 à 13:23nauteur : Silviensujet : n

Voilà ce que j'ai reçu hier au courrier (l'office du tourisme a du me garder dans son carnet d'adresses, puisqu'il y a quelques temps, je leur avait demandé de la documentation que les différents départements de Franche-Comté m'ont fait parvenir très rapidement )nnnn

nndate : le 09/09/2004 à 14:00nauteur : olifnsujet : n

Je l'ai reçu également, avec des encouragements à participer à une séance d'accords Comté et Vins, ce qui me plairait effectivement beaucoup! Comté et Jura, classique, mais aussi Comté et Châteauneuf du Pape, Comté et Champagne. Je crains malheureusement d'être absent ce week-end-là! nnOlif

nndate : le 21/09/2004 à 07:31nauteur : J-Minsujet : n

Un rapide bilan de ce que représente le comté : : première AOC française. Production annuelle : 49 000 tonnes. Capacités de production : 189 ateliers de fabrication ou fruitières et 20 maisons d'affinage et de commercialisation dans la région. Activités dépendant du comté : 3 250 exploitations agricoles et laitières en Franche-Comté. nn Le comté fera la fête les 9 et 10 octobre à Nancray. Un événement fort et fédérateur pour porter très haut l'image de ce produit phare. nnFabrication de Comté en plein air, défilé des plus belles Montbéliardes, découverte de l'affinage et des autres métiers de la filière du fromage-roi, initiation aux accords comté-vins et comté-épices, démonstration de cuisine au comté et même un état des lieux des connaissances scientifiques sur le fromage détenteur de la première AOC de France... Entre autres, toutes ces animations seront proposées au public franc-comtois par le musée des Maisons comtoises de Nancray les 9 et 10 octobre prochains, à l'occasion des premières Comtéales. Pédagogie, gourmandise et ambiance festive sont les maîtres-mots de cet événement dédié à la toute la filière et présenté ce vendredi sur le site d'accueil par Paulette Gunchard-Kunstler, députée du Doubs et présidente du Musée, Claude Vermot-Desroches, président du Comité interprofessionnel du gruyère de Comté (CIGC), en présence de Maurice Corgini, président de la commission agricole du Crédit mutuel de Franche-Comté.nnPour Paulette Gunchard-Kunstler, comme pour Claude Vermot-Desroches, à côté des Routes et de la Maison du Comté, il manquait un événement fort et fédérateur pour porter très haut l'image de ce produit phare. Malgré l'irritation de certains Jurassiens, de l'avis de l'ancienne ministre, les Maisons comtoises sont le lieu approprié pour accueillir une telle manifestation. " Le Musée, c'est le patrimoine et ce qui nous intéresse, c'est de nous appuyer sur le potentiel de ce patrimoine pour aller vers l'avenir ", explique la députée. Pour désigner cet avenir, Claude Vermot-Desroches ne va pas par trente-six chemins et il ressemble à tout sauf à une guerre de clochers. " Nous avons besoin de l'adhésion de tous. Le vent du libéralisme est très fort et il y a besoin de marquer nos positions de façon aussi forte. Si le massif jurassien est ce qu'il est, c'est grâce à ses AOC et pour ce qui nous concerne, le Comté. Il faut réussir les Comtéales pour renforcer notre esprits d'appartenance et contribuer à notre défense ", plaide-t-il avec l'assentiment sans équivoque de la présidente du musée.nnPour organiser cette résistance " Nous nous sommes naturellement tournés vers le musée de Nancray et le Crédit mutuel qui rappelle et cultive ses racines rurales et, ensemble, nous avons immédiatement pensé à cette fête ", poursuit le président du CIGC. La banque mutualiste apporte aux Comtéales un soutien financier d'un montant de 50 000 €. On l'a compris, les organisateurs ont choisi l'authenticité pour faire du musée de Nancray qui allumera, en décembre prochain, sa vingtième bougie, une citadelle de la résistance, dans la joie et la bonne humeur, du comté. Au total, trente-cinq animations sont prévues pour le week-end des Comtéales. Elles se déclineront en rendez-vous du goût, vie à la ferme, festival de la découverte et pour les plus studieux, en univers à partager, un espace orienté vers l'histoire et la culture du fromage-roi.nnhttp://www.lepays.net

nnnChampignonsnndate : le 21/09/2004 à 00:18nauteur : Thiernsujet : Champignonsn

Un message d'encouragement a été posté sur le Livre d'Or par un certain Robs, de Montbéliard. Pour ceux qui ne l'auraient pas lu, il se trouve qu'il donne l'adresse d'un site hyper complet sur les "Champignons de Franche-Comté" dont il est un des webmasters.nEn ce premier jour d'automne, c'est l'occasion de chausser les bottes, d'enfiler le ciré et d'aller aux trompettes !nnhttp://perso.wanadoo.fr/champi.fc/

nnnLa Haute-Foire gastronomique de Pontarliernndate : le 01/09/2004 à 15:20nauteur : olifnsujet : La Haute-Foire gastronomique de Pontarliern

Les amateurs de Mont-D'Or vont à nouveau bientôt pouvoir se lècher les babines, la Haute-Foire gastronomique de Pontarlier approche à grands pas! Les chapiteaux sont en train d'être érigés place Pergaud pour accueillir l'événement qui signera le début de commercialisation du célèbre fromage du Haut-Doubs avec la traditionnelle coulée du Mont-D'Or!nnInvités d'honneur, les Antilles et la Communauté de Communes de Frasne et du Val du Drugeon!nnCela se passe à Pontarlier, du 9 au 13 septembre, et il devrait y avoir à boire et à manger!nnOlifnn*** Message édité par olif le 09/09/2004 21:19 ***nnnnn*** Message édité par olif le 13/09/2004 20:04 ***nnn

nndate : le 09/09/2004 à 21:23nauteur : olifnsujet : n

La Haute Foire, c'est parti aujourd'hui! La Mont d'Or nouveau a fini d'être coulé, vous allez pouvoir vous ruer chez le crémier du coin! Les vrais amateurs patienteront encore quelques semaines jusqu'à ce que l'affinage soit optimal!nnJe pense y faire un saut ce Week-end, j'essaierai de vous raconter!nnOlif

nndate : le 10/09/2004 à 07:38nauteur : J-Minsujet : n

Les membres de la confrérie du Mont d'Or ont descendu des alpages hier soir le premier fromage de la saison à Pontarlier. Au maire, la première dégustation. nTradition oblige, la coulée du Mont-d'Or est au fromage ce que le vin est à la percée du vin jaune. Et Pontarlier capitale du Mont-d'Or se devait d'accueillir hier soir le premier fromage de la saison. Tous les membres de la confrérie très reconnaissables à leurs bouses noires, un foulard crème nouée autour du cou et un béret grenat, porté à gauche (comme celui des chasseurs alpins) étaient présents pour offrir à la dégustation le premier Mont-d'Or de la saison au maire de Pontalier, Patrick Genre. Une cérémonie haute en couleurs et musique avec le son des clarines et le chant des Armaillies.nTout le monde défile de l'église Saint-Bénigne à la mairie qui se trouve au centre de la ville. Ces hommes du terroir se sont engagés dans une mission commune, celle de faire partager l'excellence d'un produit du terroir unique, qui se fabrique seulement six mois dans l'année, du 15 août au 15 mars. Le Mont-d'Or est une merveille de fromage qui commence sa gestation dans les pâturages à partir de 700 m de la source du Doubs à Mouthe, au saut du Doubs du côté de Viller-le-Lac. On suit sa trace depuis XVIIIe siècle et on le retrouve même à la table de Louis XV. Après avoir passé l'été dans les pâturages, les troupeaux regagnent l'étable et on fabrique le Mont-d'Or à partir du lait cru, le divin fromage appelle aussi " fromage de bois ", de " crème " ou encore de " boîte ". Après la traditionnelle remise de cloche à " Miss Mont-d'Or " entendez par là, la meilleure laitière du plateau, les membres de la confrérie ont offert du Mont-d'Or aux spectateurs, venus nombreux hier soir soutenir les producteurs laitiers et les fromagers. C'est le maire de Pontarlier, Patrick Genre qui a eu l'honneur de remettre cette cloche de 5 kg à Oléonie, une belle montbéliarde du Gaec des Fougères à Jougne. Ensuite, place à la dégustation, et là, le maire sait de quoi il parle, dès la première cuiller de cette crème onctueuse, il s'exclame en fin connaisseur : " C'est un bon millésime, il est meilleur que l'année dernière. Il a une odeur boisée, avec une réminiscence de champignon et de pommes de terre. Le Millésime 2004-2005 a la particularité d'être savoureux et authentique. Il sent bon l'épicéa. " Et de continuer la dégustation avec un verre de vin du Jura à la main. Sa saveur si spécifique dessine sa personnalité et le range d'emblée dans une catégorie de choix : celle des gourmets !nnSource : http://www.lepays.net

nndate : le 10/09/2004 à 07:42nauteur : J-Minsujet : n

Avec comme références géographiques le tropique du Cancer et le Drugeon, points géographiquement très éloigné l'un de l'autre, mais réunis l'espace de cinq jours sur le territoire franc-comtois, la 17e édition de la Haute-Foire gastronomique 2 004 met à l'honneur comme chaque année son terroir, son Mont d'Or et ses métiers de bouche, mais aussi la fantaisie colorée des pays chauds qui vont exercer leurs charmes du jeudi 9 au lundi 13 septembre. Au menu de la Haute-Foire de Pontarlier, un creuset d'animations, de soirées exceptionnelles, de jeux et de bonne humeur. Un peu de style " auberge espagnole ", les Antilles et la Communauté de communes permettront à chacun de trouver ce qu'il recherche et l'inviteront à partager l'ambiance d'un univers dépaysant et chaleureux.nnAu programme :nVendredi : ouverture au public à 10 h 30, 12 h 30 : intronisations de personnalités locales par la confrérie du Mont d'Or, 15 h, démonstration de sanglage de Mont d'Or, 21 h : soirée cabaret français avec le groupe " Reviens ". Samedi : de 14v à 17 h présentation des activités culturelles de la CFD : les Bannan'as (folklore de carnaval), le Big Bang (musique du monde, jazz, funk), démonstration de Judo, concert fanfare des sapeurs-pompiers. De 15 à 18 h 30 : dégustation des nouveaux Mont d'Or et en soirée concert gypsy avec le groupe " Santiago ". Dimanche : de 15 à 18 h 30 défilés de mode, 20 h 30 : spectacle cabaret tropical avec le groupe " Color Latino ". Dégustation tout au long de la foire de cocktails antillais, et d'Absinthe de Pontarlier.nnsource : http://www.lepays.netnnNe manquent plus que les photos d'Olif nn*** Message édité par J-Mi le 10/09/2004 07:42 ***nnn

nndate : le 12/09/2004 à 12:06nauteur : olifnsujet : n

Ne manquent plus que les photos d'Olif

nnElles arrivent, Jean-Mi, elles arrivent! Le temps de boucler mon compte-rendu!nnOlif

nndate : le 12/09/2004 à 12:46nauteur : olifnsujet : Petit tour à la Haute Foire Gastronomique de PONTARLIERn

Un petit tour très partisan, en fait, car même si un grand chapiteau est réservé à l'habitat, je me suis essentiellement centré sur le 3ème mot de l'intitulé. Et qui dit gastronomie dit bon vin, et je dois encore confesser que mon petit tour de 2 heures s'est résumé à 2 belles dégustations, l'une de Jura, l'autre de Banyuls. Impressions d'ensemble!nnnnLe parking bien plein en cette fin d'après midi un peu menaçante, un peu de monde dans les travées, je ne sais si les espérances des organisateurs seront comblées. 20000 personnes sur 4 jours, cela fait pas mal, mais ils compte sur un coup de pouce de la météo, à savoir un dimanche un peu maussade, pour encourager une petite visite, histoire de meubler sa journée.nnAmbiance un peu bruyante, un brouhaha même pas couvert par une sono un peu forte, pas toujours du goût des exposants.nn Le Cellier des Templiers, ambassadeur des vins de Banyuls en foire-expo!nnCette vénérable institution qu'est le Cellier des Templiers, à la force de vente éprouvée, inspirée des méthodes de feu notre Henri Maire jurassien, était bel et bien présente dans le Haut-Doubs à l'occasion de la Haute foire Gastronomique de Pontarlier. L'occasion d'un petit dépaysement et d'un passage en revue de (presque) toute la gamme.nnnnOn attaque par les Collioure, de solides vins rouges vinifiés de façon parcellaire. Après 3 belles bouteilles, le Domaine de La Banette 2001, le Château des Abelles 2003 et l'Abbaye de Valbonne 2002, il est temps de passer aux Banyuls!nnPlusieurs cuvées, toutes aussi belles les unes que les autres dont un superbe Banyuls Rimatge 2002, une petite bombe de fruits, framboisée, veloutée, caressante et gouleyante, malgré ses 16°. Un vin dangereusement bon! Coup de coeur et superbe rapport Q/P!nnUne très belle gamme, malheureusement Hors Commerce, c'est à dire qu'il faut passer par un agent commercial pour s'en procurer, minimum par caisse de 12 (6 pour les Banyuls). Il est conseillé de se regrouper pour profiter d'un échantillonnage intéressant! nnnDomaine Martin Faudot, 120 ans de tradition, une petite heure de dégustation!nnnLe seul domaine jurassien présent à la Haute Foire Gastronomique de Pontarlier, on croit rêver! Mais on aurait pu tomber plus mal!nnL'occasion d'une rencontre avec Jean-Mary GROS, responsable d'une grosse part de l'activité commerciale du domaine, que je connais déjà pour fréquenter régulièrement les séances de dégustation des Jardins de Saint-Vincent en Arbois, tout cela en compagnie de Rémi Jobard, un vigneron de Meursault, en week-end dans sa famille pontissalienne, avec qui nous allons éplucher les vins du domaine!nnnnnBeaucoup de vins médaillés, ce qui ne signifie pas obligatoirement quelque chose (mais là, en l'occurence, ce sont des médailles de la Foire de Paris!) et de citations avec coup de coeur dans le Guide Hachette. Mention spéciale pour le Savagnin 2000, bientôt plus disponible, et le Vin Jaune 1996, absolument superbe. Un bien beau domaine, que je recommande vivement!nnnnJe complète mon petit tour de la Foire par un arrêt et une discussion avec une charcutière basque, avec qui j'échange des souvenirs de mes vacances là-bas l'année dernière, renifle un peu un superbe banc d'épices orientales, puis décide de regagner ma voiture, les bras chargés de cartons (de vin du Jura) et de jambon (basque).nnOlif, envoyé spécial de Cancoillotte.net sur la Haute Foire, mais qui reconnaît avoir pris du bon temps!

[Mitch]

La "Vache qui rit" explose ...rnrndate : le 08/09/2004 à 19:20rnauteur : Perle39rnsujet : La "Vache qui rit" explose ...rn

Enfin ... ce sont ses ventes qui explosent.nnUn cardiologue américain vante les bienfaits de la marque lédonienne pour la santé, ce qui a pour conséquence directe de dopper les ventes outre-atlantique.nn*** Message édité par perle39 le 08/09/2004 19:21 ***nnn

nndate : le 09/09/2004 à 11:43nauteur : daniel25nsujet : n

en effet j'ai vu hier soir 08/09/2004 sur France3 BFC, ce reportage.nVive le rugissement et le cocorico!!!

nndate : le 09/09/2004 à 11:51nauteur : Thiernsujet : n

C'est sur que c'est une aubaine pour la marque Bel, mais je pense que nos amis Américains ont encore d'énormes progrès à faire en matière de goût dans les fromages, car on ne peut pas dire que la "Vache qui rit" soit un must, comparé au Comté et autres spécialités fromagères régionales !

nndate : le 09/09/2004 à 12:46nauteur : daniel25nsujet : n

Tout à fait d'accord. Mais il vaut mieux commencer à les initier avec "le moins bon" et finir avec le best of de la région.nMais bon, c'est tout de même bien pour faire connaître la région outre-atlantique. C'est un bon début.

nndate : le 10/09/2004 à 06:03nauteur : Perle39nsujet : n

Le marché américain sourit à la " Vache qui rit ". La " Laughing Cow " coiffe la renommée du Camembert depuis qu'un livre de diététique, écrit par un cardiologue de Miami, préconise dans ses menus amaigrissants une version allégée du fromage à tartiner inventé en 1921 par le Jurassien Léon Bel.nnAux Etats-Unis, la consommation de " Vache qui rit " a augmenté de 250 % en un an et la filiale américaine du groupe Bel n'arrive plus à suivre. Du coup, l'usine de Lons-le-Saunier a mis en place une équipe de week-end qui, depuis le mois de mai, travaille spécialement pour approvisionner le marché outre-Atlantique.nnLes salariés ont joué le jeu sans en faire un fromage. Aux rumeurs de version allégée sur les effectifs, ils préfèrent le plein régime.nnSource : www.estrepublicain.fr

nndate : le 12/09/2004 à 12:40nauteur : J-Minsujet : n

L'article du Pays pour être complet sur le sujet nnUn régime alimentaire à la mode permet au fromage fabriqué à Lons-le Saunier de faire une percée inattendue aux états-Unis. nnDes milliers de portions de " Vache qui rit " sortent quotidiennement de l'usine historique du groupe fromager Bel, à Lons-le-Saunier, pour alimenter le marché américain, en pleine croissance grâce au dernier régime en vogue outre-atlantique. " Habituellement, les états-Unis n'entrent pas dans notre zone de production, nous fournissons surtout la France et l'Europe; mais, depuis plusieurs mois, la demande américaine est telle que nous avons été appelés en renfort ", explique Jean-Paul Relange, directeur de l'usine. La production de " Vache qui rit " destinée aux états-Unis atteint désormais 8 % de l'activité du site. L'usine américaine du groupe Bel, qui fabrique dans le Kentucky la Laughing Cow procède de son côté à une augmentation de ses capacités de production, afin de faire face à la demande. Et pour cause : l'augmentation des ventes du fromage à tartiner, inventé par le Jurassien Léon Bel, en 1921, a atteint 250 % aux états-Unis entre l'été 2003 et l'été 2004. Une évolution d'autant plus spectaculaire que la consommation de " Vache qui rit ", présente depuis plus de vingt ans sur le marché américain était jusqu'ici " plutôt confidentielle ", reconnaît éric de Poncins, directeur de la stratégie et du développement du groupe Bel.nn" La courbe des ventes s'est affolée après le lancement de la version " light " du produit, début 2003, suivie de la parution du livre The South Beach Diet, l'ouvrage d'un diététicien américain qui préconise la consommation de " Vache qui rit " dans le cadre d'un régime alimentaire équilibré ", explique éric de Poncins. écrit par un cardiologue de Miami Beach, le Dr Arthur Agatson, The South Beach Diet est devenu la dernière bible diététique à la mode aux états-Unis où l'ouvrage s'est vendu à plusieurs millions d'exemplaires. Dans ce livre, plusieurs menus amaigrissants proposés au lecteur intègrent la Laughing Cow, dont la version " light " affiche un taux de matière grasse de 9 %. Après la forte croissance de 2003-2004, Bel souhaite désormais " stabiliser ce nouveau courant de consommation ". " Nous nous méfions des effets de mode : sans doute fallait-il un petit quelque chose pour démarquer ce produit sur un marché américain difficile, il nous faut maintenant l'installer dans la durée ", explique-t-on au siège parisien. A Lons-le-Saunier, la mesure est également de mise : " Le marché américain demeure malgré tout très modeste parmi les 90 pays dans lesquels " La Vache qui rit " est implantée. Nous avons " dépanné " l'usine américaine le temps qu'elle adapte ses capacités de production. Cette activité est pour nous provisoire ". A moins, évidemment, que la bonne parole du docteur Agatson trouve le même écho hors des frontières américaines.nnSource : http://www.lepays.netnn*** Message édité par J-Mi le 12/09/2004 12:41 ***nnn

nnnle 12 septembre : cinquième Patate Party à Chaux-la-Lotière(70)nndate : le 09/09/2004 à 20:32nauteur : Silviensujet : le 12 septembre : cinquième Patate Party à Chaux-la-Lotière(70)n

Marché de produits fermiers et fête au menu, dimanche 12 septembre à Chaux-la-Lotière.nn"La Haute Patate fut longtemps le surnom de la Haute-Saône" explique l'association du Coq sans tête de Chaux-la-Lotière.nPartant de là, elle a voulu positiver ce terme en le prenant comme nom de baptême de la fête du village dont la première édition date de l'an 2000.nCette année là était lancée une nouvelle pomme de terre : la Champcomtoise cultivée sur place sur un terrain de 20 ares, arrachée avec machines et chevaux et vendue sur le site de la fête.nnFort de la réussite des quatre éditions passées, le Coq sans tête s'est associé avec le comité des fêtes, la commune et l'association "la Champcomtoise" de la chambre régionale d'agriculture pour offrir une édition 2004 haute en couleurs sur plus de 1 100 m² de chapiteaux, dimanche 12 septembre.nnCette cinquième fête s'ouvrira à 9h30 par un marché des produits fermiers.nA 14h, le "show" commencera avec l'arrachage d'un champ, la mise en sac et la vente des patates, sans oublier les nombreuses animations (le Fakir Bruno, le clown Zucco, le concours d'épluchage...).nUn repas chaud (12 euros), un spectacle cabaret "musical story" et un grand feu d'artifices (à 21h45) clôtureront la journée.nnEntrée : 2 euros, gratuit jusqu'à 12 ans.nnRenseignements : 06 08 18 55 91nnsource : la Presse de Gray

nndate : le 10/09/2004 à 15:46nauteur : J-Minsujet : n

Y'aura-t'il un défilé de lingerie patate ???nnnnn Oui oui je sais

nnnConfrérie de la Cancoillottenndate : le 07/09/2004 à 22:29nauteur : Thiernsujet : Confrérie de la Cancoillotten

En faisant des recherches sur l'existence d'une éventuelle Confrérie de la Cancoillotte, dont j'ai déjà vaguement entendu parler, je suis tombé sur cet excellent site de cyclistes de l'Est de la France, gastronomes... en culottes courtes : cela va de soi ! nnhttp://flac.cyclo.monsite.wanadoo.fr/

nndate : le 07/09/2004 à 22:56nauteur : J-Minsujet : n

Et ceux qui font "cancoillotte et pétanque" , tu connais ??nnhttp://www.peif.net/cancoill.htm

nndate : le 07/09/2004 à 23:03nauteur : Thiernsujet : n

Oui, mais merci de nous rafraîchir la mémoire !

nndate : le 09/09/2004 à 11:21nauteur : Thiernsujet : n

Si quelqu'un dispose d'informations sur une Confrérie de la cancoillotte, merci de les communiquer à la suite de ce post.

nnnSamedi 02 Octobre : saveurs d'automne à Pouilley-Français (25)nndate : le 08/09/2004 à 21:03nauteur : Silviensujet : Samedi 02 Octobre : saveurs d'automne à Pouilley-Français (25)n

Le 02 octobre, se tiendra la 14ème Foire aux saveurs d'automne, à 10 minutes de Besançon.nnPlus de 13 000 visiteurs sont attendus à cette manifestation organisée par l'association Foire aux saveurs d'automne et l'association bisontine de Pomologie. 140 exposants, en grande partie des Francs-Comtois, seront présents.nnDans une ambiance d'autrefois, dans ce village de 600 habitants, des produits gastronomiques et biologiques sont proposés : légumes, fruits, noisettes, biscuits, miel, pain d'épices, noix, fleurs, salaisons, sel de Guérande, confitures, fromages, pains, sirops, ails, curbitacées (courges, potirons, coloquintes...), champignons, légumes bio, oeufs, gâteaux, hydromel, vin bio, vin de pays, chocolats, gelées au miel, gaudes, pommes de terre, eau-de-vie, pâte d'amande, escargots, foie gras, terrine, volailles, gibiers, confits de canard, et bien d'autres.nnDes démonstrations de produits du terroir sont également au programme de cette journée, ainsi que diverses expositions.nnUne agréable façon de rapprocher les consommateurs de fruits et légumes des producteurs, afin qu'ils puissent échanger des techniques et des secrets de récolte.nnA Pouilley-Français, au centre du village, samedi 2 octobre de 09h à 18h.nnContact : 03 81 87 75 19nnsource : est magazine

nnnCancoillotte en bloc solide ?nndate : le 03/09/2004 à 21:17nauteur : Thiernsujet : Cancoillotte en bloc solide ?n

bonjourn nma grand mère est originaire de franche comté elle achetais de la cancoillote en bloc solide qu'elle faisais venir de sa régions , cette cancoillote avait un autre gout que celle que l'on trouve en pot .npouvez vous me dire si on trouve toujours ce fromage sous cette forme et si eventuellement ça peut s'acheter via internet? nmercinnDe la part de Claire C.

nndate : le 03/09/2004 à 21:22nauteur : J-Minsujet : n

C'est du metton, non ??

nndate : le 03/09/2004 à 21:25nauteur : Thiernsujet : n

Du metton carré, je ne vois que ça !!!

nnnCrèmerie Clémentnndate : le 03/09/2004 à 21:14nauteur : J-Minsujet : Crèmerie Clémentn

Bon je n'ai pas trouvé trace de ce site sur le forum, mais étant donné que la crèmerie est située à Saint-Claude, qu'il y a des références de patois, je me dis que ce n'est pas possible que l'on soit passé à coté nnhttp://perso.wanadoo.fr/cremerie.clement/nnnn

nndate : le 03/09/2004 à 21:17nauteur : Perle39nsujet : n

Je connais très bien ce magasin.nnUn endroit où s'arrêter à Saint-Claude : un magasin qui propose beaucoup de spécialités régionales, avec un choix de fromages régionaux triés sur le volet.

nnnGoustot... à dégusternndate : le 02/09/2004 à 12:15nauteur : Silviensujet : Goustot... à dégustern

Les Lurons auront bientôt le plaisir de découvrir une nouveauté sucrée, grâce au maître chocolatier de la cité, Guy Gründisch, de la " Perle d'amour ". nnGuy Gründisch, propriétaire de la Perle d'amour, avenue de la République à Lure, adhère au syndicat des pâtissiers de la Haute-Saône et participe au lancement d'un nouveau gâteau. Il partage ainsi avec plusieurs professionnels la paternité d'un nouveau venu dans la longue liste des saveurs qui illustrent avec majesté la richesse du terroir. nnUne spécialité pleine de caractère, avouent les créateurs. Le gâteau sera prêt le 15 septembre pour être intronisé, ou plutôt dégusté, très officiellement, lors d'une cérémonie organisée à Fougerolles. Les Grandes distilleries Peureux, placées sous la responsabilité de Bernard Baud, qui est également président de la Fédération française des eaux de fruits et du Groupe de travail européen, ont pris une part importante à la réalisation de ce projet, après avoir lancé, en début d'année, la Croissantine (viennoiserie aux griottines).nnLe nouveau gâteau, qui aura la lourde mais insigne mission de porter les valeurs et les saveurs départementales a pour nom Le Goustot qui est une danse folklorique annonçant la fin de la cueillette des cerises. Il sera composé de biscuit et de griottines, entre autres, on l'aura compris. Ce gâteau permettra de mettre en exergue le professionnalisme des pâtissiers et celui des producteurs et distillateurs. Il deviendra une spécialité du pays de la cerise. à déguster bientôt chez Guy Grundisch, Le Goustot, sans modération.n nsource : http://www.lepays.netnn

nnnLa deuxième vie du Saut de la Truitenndate : le 31/08/2004 à 05:58nauteur : Thiernsujet : La deuxième vie du Saut de la Truiten

GIROMAGNY (90)nnUn nouveau chef aux fourneaux, un projet d'espace de remise en forme, les nouveaux propriétaires voient l'avenir en grand. nLes nouveaux propriétaires du Saut de la Truite, André et Nathalie Schmidt entendent bien donner un nouvel élan à leur établissement. Un nouveau chef vient d'arriver, mais les nouveautés ne seront pas uniquement dans les assiettes. Un projet pour le moins novateur devrait voir le jour avec le développement due la partie hôtelière et un espace bien être. Un bâtiment de près de 300 m² devrait sortir de terre à hauteur du parking actuel. Un passage sur la rivière permettra de communiquer avec la partie existante sans avoir à affronter les intempéries et la route. " Ce bâtiment viendra s'intégrer parfaitement dans le paysage. C'est le site qui nous a amenés ici, nous ne voulons pas le dénaturer. " Précise André Schmidt à l'intention de ceux qui craindraient pour l'environnement. Outre une structure hotelière jusqu'ici inexistante en pays sous-vosgien, l'établissement proposera un lieu où le client pourra poser ses valises et profiter de services tels sauna, hammam, piscine et possibilité de massages. Le tout complété par une salle de séminaires. Bref, un grand projet qui devrait contribuer au développement touristique du secteur tant prêché par les élus. L'espace bien-être est encore à l'état de projet. La table du Saut de la Truite est déjà opérationnelle. Depuis un peu plus d'un mois, Olivier Outrey, un jeune chef de 31 ans succède à Emmanuel Goepfert derrière les fourneaux de l'établissement. Originaire de Dole, ce jeune cuisinier est tombé dans les métiers de bouche quand il était petit. D'abord avec un brevet professionnel de charcutier qu'il a mis en pratique durant sept ans dans un service de traiteur.nnLa truite au caramel d'orangenAttiré par la cuisine, Olivier Outrey change alors son fusil d'épaule et passe son CAP de cuisinier à Paris. Diplôme en poche, il entre à l'hôtel Mercure à Danjoutin puis part travailler en Suisse avant de venir poser ses valises au Saut de la Truite. " Je suis très attaché à la cuisine traditionnelle et aux produits frais et de qualité. Je compte aussi développer des nouveautés ", affirme le nouveau chef plein d'ambitions et qui ne cache pas faire régulièrement un tour du côté des marchés à la recherche du bon produit. L'établissement est connu pour ses truites à toutes les sauces. Olivier en ajoute une : la truite au caramel d'orange. Côté viandes il y a aussi du nouveau avec un magret de canard sauce caramel d'épices et un grenadin de veau au cidre.nnSource : http://www.lepays.netn n

[Mitch]

L'accueil du terroirrnrndate : le 23/06/2004 à 07:18rnauteur : Silviernsujet : L'accueil du terroirrn

Testés en Haute-Saône, les " Mardis du terroir " s'étendent à toute la région. n nLe premier rendez-vous de l'agenda est fixé au mardi 29 juin à l'Office du tourisme de Luxeuil-les-Bains. Ce sera le lancement des " Mardis du terroir et de l'accueil ", une opération charme à destination des touristes de l'été. Testée avec succès l'an dernier en Haute-Saône, elle s'étend cette année à toute la région.nnChaque mardi jusqu'au 31 août, dans les offices de tourisme se tiendront des animations autour de la découverte et de la dégustation de produits francs-comtois : salaisons, vins, alcools, fromages, douceurs... Elles auront lieu chez un producteur ou dans les locaux des offices de tourisme, et pourront s'agrémenter de concerts, visites de ville, démonstrations culinaires, expositions et ventes d'artisanat. Après la visite et la dégustation, les vacanciers pourront composer eux-mêmes leur panier garni.nnQuarante offices et syndicats d'initiative participeront alternativement à l'opération dans un grand tour de Franche-Comté des saveurs en mettant sur pied 175 animations d'été.nnL'opération est menée en collaboration par le comité régional du tourisme, la fédération régionale des offices de tourisme et syndicats d'initiative, les unions départementales et les chambres d'agriculture et des métiers. Elle est co-financée par le comité de promotion des produits régionaux.nnLes organisateurs poursuivent un triple objectif : faire connaître aux touristes l'artisanat et les produits du terroir comtois ; inciter les habitants et les vacanciers à aller découvrir les artisans et producteurs locaux chez eux ; associer tourisme et gastronomie pour faire apparaître la Franche-Comté comme une destination gastronomique reconnue.nnLe dépliant-programme est disponible dès maintenant dans tous les offices de tourisme, et consultable sur http://www.franche-comte.org.nnsource : http://www.estrepublicain.frn

nndate : le 04/07/2004 à 15:21nauteur : Silviensujet : Découverte de l'héliciculturen

Dans le cadre de l'opération régionale " Les mardis du terroir ", l'office de tourisme des Monts-de-Gy (70) organise le 13 juillet le premier rendez-vous du terroir et ses richesses.nnC'est à Frasne-le-Château(entre Vesoul et Gray), de 10 h à 12 h, que Vincent Loigerot fera découvrir sa ferme, son métier d'héliciculteur avec une visite des parcs à escargots, de l'exploitation, suivie d'une dégustation de ses produits. L'office de tourisme complétera cette dégustation avec d'autres spécialités locales.nnLes personnes intéressées sont invitées à s'inscrire au préalable en appelant le 03.84.32.93.93. Participation (visite exploitation et dégustation) : 3 euros par personne, gratuit moins de 12 ans. RdV à 10 h devant l'église de Frasne-le-Château.nnsource : http://www.estrepublicain.frn

nndate : le 25/07/2004 à 08:15nauteur : Silviensujet : n

L'Office du tourisme des Monts-de-Gy en Haute-Saône, vous propose de découvrir, mardi 27 juillet, de 10 h à 12 h, le domaine viticole du " Chierenard " sur les coteaux de Bucey-lès-Gy. Le jeune viticulteur Vincent Cheviet vous accueillera pour vous faire visiter ses vignes et vous commenter son métier et sa méthode particulière de plantation. Ensuite, rendez-vous à la ferme pour y découvrir une cave typique du village et y déguster le vin de pays accompagné de spécialités d'escargots de Frasne-le-Château, de miel de pays, de vin de groseilles, de fromages, de brioche à l'orange, de griottines...nnPour participer à cette rencontre originale entre le savoir-faire local et les spécialités du terroir, il suffit de vous inscrire auprès de l'Office de tourisme ou en appelant le 03.84.32.93.93 (répondeur en cas d'absence) et de vous rendre pour 10 h sur le parking de la salle polyvalente de Bucey-lès-Gy où Séverine vous accueillera. Participation : 3 € adultes, gratuit pour enfants de moins de 12 ans.nnsource : http://www.estrepublicain.fr

nndate : le 30/08/2004 à 07:22nauteur : Silviensujet : Visite nocturne de Montbéliardn

Dans le cadre des "mardis du terroir et de l'accueil", l'office du tourisme du pays de Montbéliard, propose, mardi 31 août, une visite guidée nocturne du coeur historique de Montbéliard, assurée par l'association "les Flambeaux de l'Allan" sur un scénario de l'atelier du patrimoine. nnAu cours de la visite, l'on pourra se laisser surpendre par des personnages sortis tout droit de l'histoire du pays de Montbéliard. Il sera possible d'assister aux négociations qui ont présidé en 1397 au mariage de Henriette de Montbéliard avec Eberhardt, héritier du duché de Wurtemberg, et par là, à l'union pendant plus de quatre siècles de Montbéliard et du Wurtemberg, de rencontrer ensuite le cardinal Matthieu et Heinrich Schikhardt qui s'entretiennent de leurs églises respectives. Enfin, Armand Peugeot et Frédéric Rossel expliqueront leurs stratégies d'industriels éclairés. nnA l'issue de cette visite, les participants se rendront dans la salle de garde du château où le tavernier des Flambeaux de l'Allan leur servira, accompagné de pain d'épice, son hypocras, une boisson médiévale dont la recette est tenue secrète. Les Compagnons du Boitchu seront également présents et présenteront la traditionnelle saucisse de Montbéliard. nnTarifs, adultes 4 €, étudiants et enfants de plus de 12 ans 2 €, gratuit pour les moins de 12 ans.nnY ALLERnVisite nocturne de la ville de Montbéliard, mardi 31 août. Rendez-vous à 20h à l'office du tourisme, 1 rue Mouhot. Inscriptions obligatoires au 03.81.94.45.60.n nsource : http://www.lepays.net

nnnHaut-Doubs, l'escapade naturenndate : le 27/08/2004 à 22:02nauteur : olifnsujet : Haut-Doubs, l'escapade naturen

Le Haut-Doubs à l'honneur du n°135 de Saveurs, Le Magazine de l'Art de Vivre Gourmand, en ce mois de septembre 2004. avec un reportage d'une dizaine de pages, alternant idées de balades, bonnes adresses, recettes savoureuses et originales (filets de truite à l'absinthe de Marc Faivre, du Bon Accueil de Malbuisson, parfait aux Morilles de Hugues Droz, de l'Hôtel de France, à Villers le Lac,...), ainsi que quelques jolies photographies de paysages sauvages et très "nature" reflétant bien la diversité de ce haut pays cher à mon coeur.nnPontarlier est bien représenté aux rayons "Bonnes Adresses", avec Le Trou de Souris, Simplement Chocolat (miam!), Le Chalet, Côté Pont, la table fort sympathique d'Arlette Laude, et bien évidemment,...la distillerie Guy, chère aux coeur de beaucoup de cancoillonautes!nnUn numéro incontournable!nnOlif

nnnMycophile, mycophage ou mycose toujours...?nndate : le 24/08/2004 à 18:31nauteur : olifnsujet : Mycophile, mycophage ou mycose toujours...?n

Des vertus d'un été humide! 2004 sera un grand millésime pour les champignons qui poussent actuellement...comme des champignons!nnAu menu ce soir, cèpes, girolles et pieds de moutons, tout beaux tout frais, de ma propre cueillette. Juste revenus dans l'huile d'olive avec de l'échalote et du persil.nnAvec la saison qui commence, ce sera bientôt l'ouverture des salons et celui de Pontarlier ouvre en général le bal le premier WE de septembre.nnL'occasion de rappeler l'existence d'un excellent livre sur les champignons, pas tout à fait comme les autres, celui de Max André et Jean-Marc Moingeon, de la Société d'Histoire naturelle du Haut-Doubs, aus éditions NEO, Les Champignons de la montagne jurassienne, couvrant tout le massif, du nord d'Aix les Bains au Jura Suisse, avec présentation des différentes espèces selon leur milieu, là où on peut les trouver, avec en bonus, dix itinéraires permettant de découvrir et d'apprécier la diversité mycologique de la région. Cela change de l'archivage méthodique par espèce de champignons.nnOlif

nndate : le 26/08/2004 à 08:42nauteur : J-Minsujet : Terre de champignonsn

A voir dans "Le Pays" aujourd'hui, une page complète sur les champignons.nEn voici un article en extrait : nn La Franche-Comté héberge dans ses sous-bois une population de champignons d'une grande diversité. Les plus rares viennent d'être répertoriés.nnL'est de la France et particulièrement la Franche-Comté dont son originaire de grands naturalistes comme Lucien Quélet ou Georges Becker, est connu comme étant une zone privilégiée pour les champignons. A tel point, que Jean-Pierre Chevrolet, le président de la toute nouvelle fédération mycologique de l'Est, demande la mise en réserve d'une zone comprise entre le Malsaucy et Giromagny. Cette nouvelle fédération, créée à l'initiative de Jean-Pierre Chevrolet, président de la société mycologique du Territoire de Belfort, s'est fixée pour principale mission la mise en commun des connaissances sur la composition de la population de champignons de nos régions et comme objectif principal l'évaluation de la valeur patrimoniale des champignons de chacune d'elles. C'est ainsi, que Daniel Sugny, qui avait dès 1995 initié la construction de la liste des champignons en pays comtois, a proposé ses services à cette fédération mycologique de l'Est, qui regroupe la Franche-Comté, l'Alsace et la Lorraine.nnDaniel Sugny a proposé de réaliser une étude sur les espèces rares ou menacées. Les résultats de cette étude en partenariat avec tous les mycologues de Franche-Comté ont permis d'éditer un magnifique ouvrage scientifique sur les champignons rares ou menacés de notre région. " Ce travail approfondi devrait permettre à la Franche-Comté de progresser de manière accélérée sur la voie de la mycologie conservatoire " affirme Jean-Pierre Chevrolet. Marquée par un passé géologique mouvementé et soumise à des conditions climatiques particulières, la Franche-Comté présente une morphologique très accusée : montagnes, plateaux, collines, zones escarpées, plaines et marais. Elle possède une riche palette de sols formant de vastes prairies ou recouverts de forêts aux essences variées, tout ceci constituant des milieux très différents hébergeant des populations fongiques d'une grande diversité. 3 900 espèces sont déjà répertoriées dans cette sorte de paradis mycologique, parmi lesquelles figurent quelques grandes raretés de la mycoflore française. Pourquoi dès lors se lancer dans la protection des champignons ? Jean-Pierre Chevrolet est révolté contre les nombreuses pollutions qui déciment les milieux naturels ou poussent les champignons. Selon lui, établir une liste précise devrait permettre de mieux les protéger à l'avenir. Et " les pollutions sont nombreuses, explique le président : le dépérissement forestier, les pollutions d'ordre climatique, les pluies acides, l'utilisation d'engins forestiers lourds, les coupes à blanc, les produits chimiques utilisés par les agriculteurs, les phénomènes naturels tels que tempête, les cueillettes excessives, et les pratiques agricoles modernes... "nnPour l'auteur de l'ouvrage Les champignons rares ou menacés, " la liste établie est surtout destinée à informer l'ensemble des acteurs régionaux de la gestion des milieux naturels sur la sensibilité de certains biotopes hébergeant des champignons rares ou menacés ". " Le but de cette démarche, précise Daniel Sugny, est de permettre la mise en place d'une politique de préservation ou de restauration de ces habitats au niveau régional. Elle est basée principalement sur l'étude des relations existant entre les champignons et leur environnement spécifique, c'est-à-dire leur écologie. Pour Jean-Pierre Chevrolet, mycologue confirmé, mais aussi féru protecteur de la nature " une connaissance plus complète de la sensibilité des milieux naturels francs-comtois et de la flore qu'ils hébergent devrait faciliter leur gestion, afin que notre région puisse préserver son précieux patrimoine végétal et fongique. "nnSource : http://www.lepays.net

nnncancauillote ou cancouaillote?nndate : le 24/08/2004 à 20:34nauteur : Morbacknsujet : cancauillote ou cancouaillote?n

Bonjour tout le monde, je suis le fils d'un consommateur en masse de cancoillote.nA la maison, personne n'aime ça et tout le monde trouve que ça pue, mais mon pere, lui, adore ça...nQuand on est a table et qu'il se met à en manger, on dit "oh non!! tu manges encore de la cancoillote!!!" et la on ne sai jamais si ça se prononce cancauillotte, ou cancouaillote...nQuelqu'un aurait-il la réponse???nn*** Message édité par Morback le 24/08/2004 20:35 ***nnnnn*** Message édité par Morback le 24/08/2004 20:36 ***nnn

nndate : le 24/08/2004 à 20:48nauteur : olifnsujet : n

"Cancouaillotte", c'est une certitude! Ce qui est également certain, c'est que ce délicieux fromage ne pue pas le moins du monde! Tout est affaire de goût! Moi, par exemple, je ne supporte pas le Channel n°5! nnOlifnn

nndate : le 24/08/2004 à 21:39nauteur : Chuncknsujet : n

Bonsoir.nnEnfin un forum qui traite de sujets sérieux.nJe suis le fameux père qui "dévore" la Cancoillotte, malgré les critiques et sous les huées de la famille.nEh bien je tiens ce soir à déclarer, tout à fait solennellement, que RIEN ni PERSONNE ne me fera changer d'avis : la Cancoillotte, c'est ABSOLUMENT DELICIEUX, et je parle aussi de son arôme.nnVoilà.nDe plus, je ne vous cache pas que je ferai TOUT pour convertir les pauvres gens (même mes enfants!) qui ne l'aprécient pas encore.nnChunckn

nndate : le 24/08/2004 à 23:44nauteur : Thiernsujet : n

Bienvenue à Papa Chunck et à tous ses petits Morbacks qui, j'en suis sûr, finiront bien par succomber au goût inimitable de notre "kankwouayotte" régionale ! ::DnTiens, à propos d'arômes, il y a tellement de sortes de cancoillottes (il y en a en effet pour tous les goûts !) qu'on pourrait les répertorier toutes et lancer un petit sondage. Qu'en pensez-vous ?

nndate : le 25/08/2004 à 00:42nauteur : Thiernsujet : n

Sur la prononciation du mot "cancoillotte", lire aussi le post suivant : detail.php?forumid=3&id=669&p=2nn[i]*** Message édité par J-Mi le 16/11/2004 19:19 ***[/i]nnn

[Mitch]

Terroirs sans frontières!rnrndate : le 21/08/2004 à 19:30rnauteur : olifrnsujet : Terroirs sans frontières!rn

Une rencontre devenue traditionnelle maintenant, la vitrine du savoir-faire de l'Arc Jurassien franco-suisse. La manifestation a cette année élu ses quartiers à la Grand' Borne, sur la frontière, en lieu et place du petit marché franco-suisse, annuel et alternant, entre Les Fourgs et L'Auberson. nnManifestation conviviale et éminemment sympathique, au cours de laquelle on peut goûter et faire provision de quelques denrées montagnardes ...ou de la plaine!nnLe point d'orgue de cette rencontre, c'est l'élaboration du désormais célèbre Contrebandier, un fromage réalisé sur place chaque année avec 500 l de lait français, 500 l de lait suisse, un soupçon d'Absinthe...et quelques gouttes d'eau, car la pluie semble vouloir s'inviter à ce marché de façon systématique. Affinage pendant un an et commercialisation l'année d'après. Un vrai fromage collector! nnProfitant d'une éclaircie, qui permet de contempler la majesté du cadre, entre Chasseron et Aiguilles de Baulmes, je m'en suis allé y faire un tour, mon p'tit panier sous l'bras. Les quelques rayons de soleil et un vent plutôt frais avaient beau avoir "ressuyé" un peu le terrain, il valait mieux être équipé de bottes de jardin que de sandales. Tant pis pour moi !nnPremier stand, premier arrêt! Vignoble Guillaume, Charcenne! L'occasion de faire connaissance avec le vigneron, puisque les vins, je les connais déjà ! Enfin, cela ne m'empêche pas d'y goûter quand même! Mais tout d'abord, je m'enquiers de quelques précisions sur ce terroir haut-saônois de Gy et de Charcenne, où la vigne est implantée depuis le XIème siècle grâce aux archevêques de Besançon : les vignes sont exposées de sud à ouest sur des sous-sols du Jurassique recouverts d'argiles à chailles d'une part, et d'argilo-calcaire d'autre part. Des terres rouges, ferrugineuses, et des terres blanches, séparées par une faille géologique, et qui marquent les vins différemment.nnTrès belle impression d'ensemble pour une gamme assez complète et plutôt homogène, aussi bien en ce qui concerne le Pinot Noir que le Chardonnay. J'ai moins apprécié le Gamay 2003. Très belles cuvées Collection Privée, dans le haut de gamme. Les 18 et 19 septembre prochains, les caves seront ouvertes et se visiteront dans le cadre de la journée du patrimoine. On pourra y déguster de vieux millésimes, en quelque sorte le patrimoine de la famille Guillaume.nnPoursuite du petit tour d'horizon de ce sympathique marché, histoire de s'approvisionner en Contrebandier et en délicieuses saucisses séchées helvétiques, aromatisées à l'ail et au cumin, puis pour constater que quelques producteurs suisses habitués sont présents (M. Ryser, D. Gaille), dont je n'aurai malheureusement pas le temps de goûter les vins, ma fille piaffant de froid et d'impatience dans la boue. Les Jurassiens ne sont pas en reste avec quelques domaines inconnus pour moi mais pas moyen de faire connaissance pour les mêmes raisons qu'exposées ci-dessus. nnJuste une curiosité avant de rentrer, le Rubis de César, une boisson fermentée à base de groseilles, élaborée comme du vin en fait, mais sans raisin, qui existe en deux versions (brut et doux, selon le taux de sucre), et également originaire de Haute-Saône. nIl est intéressant de noter comme l'acidité de la groseille porte loin en bouche. Une boisson originale, qui titre quand même 14°, chaudement recommandée par son propriétaire, Marc Guillaumot de Chariez. nnOlif, cancoillonaute sans frontièresnn

nndate : le 22/08/2004 à 10:27nauteur : Thiernsujet : n

Je suppose qu'il est très difficile de trouver le "Contrebandier", fromage que je découvre avec beaucoup d'intérêt. Si tu connais des adresses où l'on peut se le procurer, fais-nous signe !nAutre chose : ma belle mère fabrique tous les ans du vin de groseilles avec les fruits récoltés au verger de Vandelans. Je ne sais pas si c'est du "Rubis de César", mais en tout cas, ça y ressemble ! Si quelqu'un veut la recette, je peux la lui demander.

nndate : le 22/08/2004 à 22:07nauteur : olifnsujet : n

Thier,nnLa meule de Contrebandier produite lors de ce marché Franco-Suisse est commercialisée sur place l'année suivante par le fromager de L'Auberson et, en général, tout est vendu avant même la fin du deuxième jour du marché.nnPour s'en procurer, une seule solution, grimper sur le toit du Doubs le 3ème ou 4ème WE d'août!nnnEn ce qui concerne le vin de groseilles de ta belle-mère, qui doit présenter des similitudes avec celui que réalise parfois ma mère, je doute qu'il soit élaboré comme le Rubis de César, qui lui est travaillé comme un vrai vin (vinifié ou groseillifié?) dans de grandes cuves, les mêmes qui sont utilisées par les vignerons, avec uniquement le jus des groseilles que l'on laisse fermenter. Monsieur Guillaumot va même produire bientôt un mousseux méthode traditionnel avec l'aide des jurassiens!nIl faudrait envisager une dégustation comparative Rubis de César-vins de groseilles de mère ou de belle-mère pour sélectionner le meilleur! nnnnOlif

nndate : le 23/08/2004 à 10:50nauteur : Thiernsujet : n

Je m'en doutais : pas le choix, il va donc falloir se résoudre à se lancer à la poursuite des derniers contrebandiers le moment venu.nConcernant le vin de groseille, la méthode employée par Monsieur Guillaumot m'a l'air à peine plus poussée que celle de ma belle mère ! Et mon goût a tendance à pencher pour la première, n'en déplaise à belle maman ! ::PnMais rien ne vaut en effet une bonne dégustation comparative.

nnnMorteau fête sa "Belle"nndate : le 19/08/2004 à 21:07nauteur : Samnsujet : Morteau fête sa "Belle"n

Ce week-end, la ville de Morteau fête sa saucisse. 2 jours (et nuits) de festivité avec tout un tas d'animations. nnQuelques détails :nnVendredi 20 août :nsoirée : concert du Groupe GOLDnnsamedi 21 août : nmatin : ouverture officiellenAprès midi : animation en ville et sous le chapiteau géant dressé place du champ de foire.nsoirée : Bal et souper dansant avec l'orchestre TEQUILLAnnnDimanche 22 août :nnmatin : messe en présence de nombreuses confreriesnnAprès midi : 14 h 30 : Grand défilé dans les rues de la ville sur le thème : LA SAUCISSE DE MORTEAU JOUE LA COMEDIE. Présence des confréries, des musiques et des chars confectionnés par les associations partenaires du comité des fêtes. A noter que cette année, l'entrée est gratuite au défilé.nPuis animmations diversesnnSoirée : Bal et souper dansant avec l'orchestre MACADAMnnnDurant tout le week-end, possibilité de se restaurer sous le grand chapiteau.nnPour quelques aperçu et pour en savoir plus : http://morteau.monsite.wanadoo.fr/nnBonne visite dans le Haut Doubs nnnnnnnnnnn*** Message édité par Sam le 19/08/2004 21:12 ***nnn

nnnLe comté perd son présidentnndate : le 19/08/2004 à 11:46nauteur : Perle39nsujet : Le comté perd son présidentn

Yves Goguely, ancien président du comité interprofessionnel du Comté est décédé à l'âge de 63 ans le 17 août, après une longue période de coma consécutif à une chute grave.nnToute la filière comté est en deuil, et autour d'elle le monde professionnel agricole et plus particulièrement celui des AOC.nnYves Goguely a été président du comité Interprofessionnel du Gruyère de Comté (CIGC) pendant 15 ans. Son action aura contribué à la progression de la filière comté. Il a été, de 1995 à 2002, président de la fédération nationale des Appellations d'Origine Contrôlée (FNAOC) qu'il avait contribué à fonder.nnDepuis deux ans il était président du comité national des Produits Laitiers (CNPL) et de l'Institut National des Appellations d'Origine (INAO). La disparition de président est donc une lourde perte pour la filière Comté, et pour l'ensemble des AOC.nnYves Goguely a beaucoup oeuvré pour les AOC en général, celle du comté en particulier.nnSource : http://www.lepays.net

nnnHuuummm une bonne tarte aux myrtilles....nndate : le 16/07/2004 à 07:52nauteur : J-Minsujet : Huuummm une bonne tarte aux myrtilles....n

Sur le versant haut-saônois du Ballon d'Alsace, la fête de la myrtille de Belfahy, le 25 juillet, reste dédiée à l'artisanat. nnPour la septième édition de la Fête de la myrtille, plusieurs milliers de personnes sont encore attendus, le 25 juillet prochain, à Belfahy, village perché à 950 mètres d'altitude sur le versant haut-saônois du Ballon d'Alsace. Organisée par l'association Belfahy nature portée à bout de bras par Mme Lahore et son fils, cette fête n'est " pas une foire, plutôt une fête de l'artisanat traditionnel où les exposants qui sont là vendent des choses véritablement originales et fabriquées de manière artisanale ". Le nombre de 57 exposants enregistré l'an passé devrait être dépassé pour ce rendez-vous particulièrement prisé et extrêmement sélectif. " Les exposants viennent de plus en plus loin, parfois de Marseille ou de la vallée du Rhône et ils sont de plus en plus insistants pour que l'on organise cette fête sur deux jours. Pour l'instant, on en reste au dimanche ", indique Mme Lahore qui apprécie l'intérêt croissant des Alsaciens, qu'ils soient exposants ou visiteurs- pour cette manifestation estivale.nnComme toujours, l'entrée à la 7e édition de la fête de la myrtille sera gratuite. " C'est pour nous un impératif sur lequel nous ne transigerons pas ", indique encore Mme Lahore qui souligne la faible participation (28€) demandée aux exposants pour participer à cette fête de la nature. " En principe, quand ils viennent une fois, ils reviennent l'année suivante ", indique l'organisatrice de Belfahy Nature qui compte beaucoup sur le programme d'animations de cette édition 2004. Parmi les nouveautés, le baptême en hélicoptère est sûrement l'innovation la plus spectaculaire puisque c'est un rapide tour au-dessus du Ballon d'Alsace et du massif vosgien qui est proposé. Sûrement l'animation la plus bruyante mais pas la plus excitante de cette fête dédiée à l'artisanat traditionnelle mais où la myrtille est reine. Plus de 700 kg de myrtille devraient être engloutis en une journée si la production 2004 est suffisante. La canicule de l'été 2003 suscite en effet quelques inquiétudes sur ce point.nnSource : http://www.lepays.netn

nnnAprès l'Elixia, le Faustinnndate : le 15/07/2004 à 06:49nauteur : Perle39nsujet : Après l'Elixia, le Faustinn

A Champagnole, après la limonade artisanale, Hugo Sublet relance le " rouge limé " de nos grands-pères. Le " Faustin " du Jura est " tendance " car sans alcool.nnCHAMPAGNOLE.nDepuis l'enfance, Hugo Sublet a toujours rêvé de diriger une société. Le jeune jurassien voulait faire carrière dans l'audio-visuel. Court-circuité par l'arrivée d'Internet, il abandonne la production de films vidéo professionnels et cherche un créneau dans l'air du temps. Il le trouvera à Champagnole, dans la vieille limonaderie de ses beaux-parents fermée depuis dix ans.nnEn 2001, Bruno écoule 5.000 bouteilles de limonade Elixia, fabriquée selon une recette familiale ancestrale. Puis il élargit sa gamme aux limonades aromatisées, et entame des recherches avec le laboratoire de l'Enil bio à Poligny sur une version sans alcool des rouges et blancs " limés " d'autrefois. Les " Faustin " sont commercialisés depuis un mois. Hugo Sublet se lance dans l'export et table cette année sur une production globale de 200.000 bouteilles.nn" Je vais essayer "nn" Ma boîte d'audio-visuel ne décollait pas, dans le même temps mon beau-père voulait mettre ses machines à la ferraille. Je n'ai pas réfléchi longtemps, on parlait de retour aux racines, aux saveurs du terroir. J'avais l'opportunité de relancer une entreprise artisanale. J'ai dit je vais essayer ".nnAu 54, rue Maréchal Foch à Champagnole, la limonaderie Girardet, fondée en 1856 par Faustin Girardet, est fermée depuis 1990. Hugo restaure les machines, en achète d'autres et, tout seul, relance l'activité avec une nouvelle marque " Elixia ", et une nouvelle image. La recette de la limonade créée en 1856 est gardée secrète. Tout juste sait-on qu'elle comporte du sucre de canne.nnHugo contrôle la production du début à la fin et colle même les étiquettes à la main, sur les bouteilles traditionnelles de 75 cl en verre reclycable et fermeture céramique. Il démarche les clients, particuliers et épiceries du Jura, et vise aussi une clientèle touristique.nn" Pour évoluer, il fallait que je pénètre le marché des cafés-hôtels-restaurants ", dit-il. C'est chose faite avec le lancement de " petites 33 cl ", écoulées aussitôt à 25.000 exemplaires. Elles passent les frontières du département, et la palette des produits s'étoffe avec des limonades aromatisées à la fraise des bois, au sapin, à la myrtille, à la mirabelle, " sans colorant, sans arôme artificiel et sans conservateur ", précise le patron d'Elixia.nnPremière commande pour LondresnnLe succès en appelle d'autres et suscite de nouvelles idées. " J'avais ce souvenir des anciens trinquant au rouge ou au blanc limé. J'avais la limonade, il fallait trouver le juste dosage pour créer une boisson aussi goûteuse, désaltérante et rafraîchissante, mais sans alcool ". Hugo Sublet confie son idée aux chercheurs du laboratoire viticole de Poligny.nnIl faudra 18 mois de tests avec l'Enil bio pour trouver l'équilibre entre assemblage de vins français, limonade Elixia nature et extraits de vin. La boisson titre un degré, ce qui la classe dans les breuvages non alcoolisés. En rouge et blanc, en 75 ou en 33 cl, elle porte le nom de " Faustin ". Le fondateur de la limonaderie Girardet méritait bien cet hommage. " Il fallait un nom un peu vieille France, quelque chose qui allie la tradition du goût et de l'artisanat et la modernité du plaisir sans alcool ".nnDepuis un mois, les " Faustin " sont en vente dans les cafés du Jura. Ils suivront la limonade Elixia, sur les rayons des épiceries fines en France et à l'étranger, et seront présentés au prochain salon de l'alimentation à Paris.nnPour assurer une production globale évaluée à 200.000 bouteilles cette année, Hugo Sublet a investi dans une chaîne d'étiquetage. Il vient d'acheminer ses premières commandes pour les bistrots branchés de Londres, et les vitrines de Fairway, l'équivalent de Fauchon à New-York et Long Island.nnEt déjà il caresse un nouveau rêve : installer la fabrication dans des locaux plus vastes du XIXe siècle " pour conserver le cachet ", et ouvrir en parallèle un musée de la limonade. Ce pourrait être l'an prochain. Pas loin d'Arbois.nnSource : http://www.estrepublicain.frnn*** Message édité par perle39 le 15/07/2004 19:08 ***nnn

nnnLe chef de Varsovienndate : le 30/06/2004 à 07:18nauteur : Silviensujet : Le chef de Varsovien

Alain Colnot, originaire de Fougerolles, est devenu le cuisinier en chef de l'ambassade de France à Varsovie après avoir servi à Matignon pour Edouard Balladur. n nSon métier, Alain Colnot l'a hérité d'un culte du bon goût cultivé dans la tradition familiale : " A la maison on a toujours eu l'habitude de bien manger ".nnDès 16 ans, préférant le travail à l'école, il se dirige en cuisine avec un seul objectif en tête : atteindre un certain niveau de perfectionnement. Après quelques brèves expériences, qui lui font comprendre la nécessité de viser plus haut, il se met en quête des meilleures écoles de cuisine de la région Est. L'une d'elles, le lycée Raymond-Mondon de Metz, le sollicite à la suite d'un désistement. Un coup de pouce du destin : " Quand j'ai reçu mon dossier, il portait encore le nom de l'élève qui venait de se retirer... ".nnAprès avoir travaillé pour le recteur d'académie de Lorraine et l'hôtel-restaurant de la Résidence (Val d'Ajol), sous l'autorité du chef François Renard, le service militaire lui ouvre les portes des cuisines de Matignon. Le voilà qui sert des petits plats à la famille Balladur et l'accompagne dans une résidence de vacances. Ou découvre les coulisses de Roland Garros avec le traiteur parisien Potel Chabot. nnA Edouard Balladur, qui l'interroge sur ses ambitions, il exprime son souhait : travailler en ambassade. Les places sont rares et convoitées. Mais la chance sourit plus facilement avec l'appui d'un premier ministre. Quand le poste de cuisinier de l'ambassade de France en Pologne se libère, il n'hésite pas et boucle ses valises en une semaine.nnA Varsovie, les difficultés se présentent : son prédécesseur ne l'attend déjà plus et toute une équipe doit être remise sur pied. Comme il ne parle pas un mot de polonais, pas simple de se faire comprendre : " En cuisine je jetais un peu de farine sur le plan de travail pour tracer à la main les quantités d'ingrédients à respecter... J'ai bien failli faire demi-tour au bout d'un mois ".nn" Il y a 8 ans, les grandes surfaces de la capitale étaient de qualité moyenne. Faire la queue sur le marché, j'ai bien connu ça ! " se souvient Alain Colnot qui, opiniâtre, va réussir à se faire sa place. Les différents ambassadeurs lui délèguent l'organisation complète de la résidence. Cela passe par l'organisation du feu d'artifice du 14 juillet, un an après son arrivée (services, sponsors, coordination de la cuisine avec l'événement). nnSes recettes à la télé nnLe Franc-Comtois se plaît à Varsovie où il compte de nombreux amis polonais et a fondé un foyer avec sa femme (polonaise) et leur enfant Alexandre. Sa famille lui rend régulièrement visite : " Après tout, depuis Fougerolles en bus, il n'y a que 24 h de route ! ". nnC'est l'occasion pour ses invités de goûter les recettes franco-polonaises de son invention, dont ses escalopes de foie gras accompagnées d'une purée de betteraves légèrement vinaigrée. Des créations qui lui valent de passer à la télévision polonaise. Ou de faire la Une d'un magazine populaire, style Gala, pour présenter une démonstration de crêpes aux côtés de l'actrice Grazyna Szapolowska. nnIl mijote aussi le projet d'éditer un recueil de ses inventions culinaires. Une autre cerise sur le gâteau de cet enfant de Fougerolles à peine âgé de 32 ans. nnsource : http://www.estrepublicain.frnn

nnnLe trou de sourisnndate : le 15/06/2004 à 22:16nauteur : J-Minsujet : Le trou de sourisn

Je pense que je trouverai une place dans le portail pour cette enseigne nnhttp://www.letroudesouris.com

[Mitch]

Boutique a Morteauxrnrndate : le 12/06/2004 à 23:59rnauteur : Pat78rnsujet : Boutique a Morteauxrn

Je ne connais pas assez le contenu de "cancoillotte.net" pour savoir si ce site a deja été noté (et j'ai pas cherché, trop flemarde la Pat !), mais je suis tombée sur ce site assez bien fait et la boutique a l'air d'une tres bonne adresse pour les adorateurs de fromage...nhttp://www.fruitiere-morteau.com/nn*** Message édité par Pat78 le 13/06/2004 00:01 ***nnn

nndate : le 14/06/2004 à 16:56nauteur : Samnsujet : n

Très bonne adresse en effet.... On y retrouve de nombreux et d'excellents produits régionaux.nnDans ma jeunesse, elle était tenue par la famille Rième, déjà réputée dans la région et ailleurs pour la célèbre cave et limonaderie du même nom dans cette même ville et dont le site est référençé dans le portail gastronomique.nnCe qui confirme que la charmante ville de Morteau est un berceau de la gastronomie franc-comtoise. (un peu chauvin, le Sam ... )

nnnJusqu'en Russie !!!nndate : le 31/03/2004 à 23:16nauteur : J-Minsujet : Jusqu'en Russie !!!n

Regardez moi ça si c'est pas beau !!!nEt allez jusqu'en bas de la page voir la jolie carte, apprenez à écrire "Jura"....nnhttp://www.cheese.hobby.ru/comte.htm

nndate : le 31/03/2004 à 23:25nauteur : Thiernsujet : n

Pour une trouvaille, c'est une TROUVAILLE ! Bravo J-Mycos et un grand Merci pour nous le faire partager !!!

nndate : le 01/04/2004 à 12:17nauteur : Thiernsujet : n

Dîtes, que diriez-vous d'écrire aux Webmasters de ce site pour leur faire découvrir la cancoillotte, qui à ce jour ne fait pas partie de leur catalogue ?

nndate : le 01/04/2004 à 13:00nauteur : J-Minsujet : n

Ben ça ne coute rien !!nCancoillotte.net vers un jumelage ????

nndate : le 01/04/2004 à 13:07nauteur : Silviensujet : n

Bonne idée effectivement,nMais, la grande question est : qui parle russe ou va apprendre ????nJe préviens tout de suite, je ne suis pas douée pour les langues

nndate : le 01/04/2004 à 18:05nauteur : J-Minsujet : n

Je ne ferai aucun commentaire.....

nndate : le 26/04/2004 à 13:27nauteur : Lacuzonnsujet : n

Ben dis ... Je suis impressioné !

nndate : le 01/06/2004 à 20:29nauteur : Le Dindon Comtoisnsujet : n

J'ai un de mes meilleurs amis qui parle courrament russe Si l'idée est toujours d'actualité je pourrai lui demander de faire une traduction ! Vous n'avez qu'a poster vos "brouillons" de lettre à la suite de ce message ! Je n'oserai pas prendre l'initiative de dicter moi-même la lettre qui servira peut-être (pourquoi pas, gardons espoir ) à populariser la cancoillotte en Russie !

nndate : le 01/06/2004 à 22:06nauteur : Thiernsujet : n

Excellente initiative ! Je prépare la lettre et je te l'envoie.

nndate : le 10/06/2004 à 22:56nauteur : J-Minsujet : n

J'en ai trouvé un autre...ça me fait vraiment délirer ces trucs là moi nnnhttp://www.infrance.ru/tourisme/franche-comte/ ... comte.html

nndate : le 11/06/2004 à 10:28nauteur : Thiernsujet : n

Dindon Comtois : tu trouveras ci-dessous, un modèle de lettre que tu pourras soumettre à ton ami. Quand ce sera fait, peux-tu nous faire suivre la traduction, de manière à ce qu'on l'envoie depuis l'adresse mail du site et insérer notre logo. Un grand Merci.nnBonjour,nnBravo pour votre site internet sur les fromages de France : ça fait chaud au coeur de voir que la gastronomie française fait des adeptes jusqu'en Russsie !nPar contre, nous aimerions vous signaler un fromage qui manque à votre liste, à savoir la "cancoillotte" dont vous pouvez trouver plus d'informations sur notre site qui porte son nom : http://www.cancoillotte.net , lequel est consacré plus largement à la région Franche-Comté (dans l'Est de la France).nN'hésitez pas à nous contacter pour plus d'informations.nComtoisement.nnL'Equipe de http://www.cancoillotte.netn

nndate : le 12/06/2004 à 21:38nauteur : Le Dindon Comtoisnsujet : n

Oki c'est noté ! Je vais voir s'il peut traduire ça, normalement ça ira ! Peut-être le "comtoisement" à la fin de la lettre sera dur à traduire, le jeux de mot ne marchant peut-être pas avec la langue russe ! Je vous préviens dès que j'ai le résultat, il me reste plus qu'à contacter mon ami et à lui confier ce travail ! (Je me demande quelle réaction il va avoir lorsque je vais lui demander de traduire une lettre pour faire connaitre la cancoillotte en Russie !) nn*** Message édité par Le Dindon Comtois le 12/06/2004 21:39 ***nnn

nndate : le 12/06/2004 à 21:47nauteur : Thiernsujet : n

OK merci. Tu as raison : je n'avais pas pensé au "comtoisement" ! Désolé, c'est l'habitude d'utiliser cette formule. :;)nJe suis en tout cas très impatient de découvrir la lettre en russe...

nndate : le 12/06/2004 à 21:50nauteur : Perle39nsujet : n

Ce serait sympa qu'elle soit publiée ici.nnRien que pour voir l'effet que ça fait, dans la mesure où les caractères cyrilliques soient compatibles avec ceux du forum...

nnnFerme auberge, gite...nndate : le 13/04/2004 à 22:46nauteur : J-Minsujet : Ferme auberge, gite...n

J'ai souvent entendu dire du bien de cette ferme-auberge....à tester !!!nnhttp://laforgedisidore.com

nndate : le 10/06/2004 à 23:16nauteur : J-Minsujet : n

ça m'a l'air bien sympathique tout ça....nnhttp://maisonduhaut.free.fr

nnnFerme auberge à Crenansnndate : le 10/06/2004 à 18:03nauteur : Perle39nsujet : Ferme auberge à Crenansn

Je viens de recevoir "Les Routes de Comté" 2004 (en double exemplaires, comme Thier ).nnEn le feuilletant, je vois que "La Bergerie" à Crenans (Jura) y est répertoriée. En plus, ils ont un site Internet.nnJe souligne l'endroit car je suis allée y manger il y a quelques années : accueil chaleureux, cadre "authentique", bonne bouffe...nnLe détour vaut le coup si vous venez dans la région. Crenans se trouve à quelques kilomètres de Moirans-en-Montagne.nnLa BergerienM. et Mme BARON Hélène et Francisn39260 CrenansnTél. : 03.84.42.00.50

nnnPortes Ouvertes Gastronomiquesnndate : le 06/06/2004 à 23:44nauteur : Samnsujet : Portes Ouvertes Gastronomiquesn

Pour les amoureux de la gastronomie francs comtoise, la boucherie charcuterie "Aux Produits Saugets" organise des portes ouvertes le week-end des 12 et 13 juin.nnComme son nom l'indique, elle est située en plein coeur du haut Doubs, dans la célèbre république du Saugeais, plus exactement à Maison du Bois (RD 437 entre Montbenoit et Pontarlier). nLa famille VONIN vous y acceuillera chaleureusement.nnAu programme : dégustations de fumés régionaux et de salaisons (saucisses, jambons, jésu, brési, terrines et autres ...), visite du thuyé, buvette, restauration.nA noter que la boucherie a remporté le concours de la "Morteau d'Or" en 2003, concours organisé pour récompenser le meilleur fabricant de saucisses de Morteau.nnPour en savoir plus :nhttp://www.saugets.fr/n

nndate : le 09/06/2004 à 23:09nauteur : Thiernsujet : Tuyaun

Pour info : c'est l'oncle de Sam qui tient la boutique ! Dîtes-lui que vous venez de sa part et vous aurez peut-être quelques léchottes de lard en plus !

nnnFête des cerises à Fougerollesnndate : le 08/06/2004 à 20:59nauteur : Silviensujet : Fête des cerises à Fougerollesn

Les 3 et 4 juillet, Fougerolles, capitale du Kirsch, vivra au rythme de la cerise. Le thème de cette 41ème fête sera axée sur les douze mois de l'année symbolisée par des chars.nnLe samedi, à partir de 21h, grande soirée dansante sous chapiteau avec l'élection de Miss Cerises 2004 nnLe dimanche, un grand défilé, des musiques, du folklore et diverses animations, mettront une nouvelle fois en effervescence les rues de la citénn

nnnLa fête des fromages à Trepotnndate : le 08/06/2004 à 20:37nauteur : Silviensujet : La fête des fromages à Trepotn

La fête des fromages et le marché paysan se tiendront dimanche 4 juillet, dés 10h, autour de la fromagerie-musée de Trepot.nnSituée dans un pittoresque village franc-comtois, à vingt kilomètres de Besançon dans la zone des fruitières à Comté, la fromagerie de Trepot a gardé son caractère typique d'atelier à fabrication du Comté : cuves en cuivre rouge, foyer roulant, presses à vis, barattes, charettes.nnnProgramme de la fête : n - A 10h45, intronisations gastronomiques avec la Confrérie des fromagers Comtois et dix autres confréries venues de Franche Comté, Lorraine et Belgique.n - A 14h30 est prévu un grand défilé agricole et folklorique. La Franche-Comté reçoit l'Alsace, invitée d'honneur avec l'ensemble folklorique de MulhousennCôté pratique : nnLes visites guidées (payantes) de la fromagerie-musée sont organisées toute l'année sur rendez-vous.nnContact : http://www.pays-ornans.comnnnsource : est magazine

nnnProduits franc-comtois au Japonnndate : le 02/06/2004 à 08:41nauteur : Gifunsujet : Produits franc-comtois au Japonn

Bonjour à tous, nnAlors que la cancoillotte japonaise devrait bientôt être lancée sur le marché, sous le nom original de " la colle", une nouvelle opportunité de faire connaître notre Franche-Comté bien aimée au Japon va voir le jour demain 3 juin 2004.nIl s'agit de l'ouverture d'un petit magasin, " Le Coin ", dont la spécialité sera les produits français et si possible franco-comtois (nourriture, mercerie, quincaillerie, horlogerie, jeux... et j'en passe et des meilleurs).nBref, une chance peut-être pour les enteprises comtoises (et françaises à l'occasion) qui voudraient faire connaître leurs produits chez les Nippons.nPour l'heure, je suis à la recherche par exemple de fabricants de jeux de dames en bois... ça existe sans doute chez nous. Comme ce jeu est inconnu sur l'Archipel, je me dis qu'il a peut-être une chance de se faire une petite place... Merci pour les adresses que vous pourrez m'envoyer (et bien sûr, si vous avez d'autres idées !!!).nnA bientôt, nnGilles Guerrinnnhttp://www.gifu-u.ac.jp/~guerrin/nhttp://www.c ... dex_f.html <---- allez voir ce site si un séjour au japon vous intéresse...net bientôt la page du Coin également

nndate : le 02/06/2004 à 19:12nauteur : Thiernsujet : n

Excellente nouvelle ! Peux-tu nous donner l'adresse exacte du "Coin", afin que nous l'ajoutions sur le site ?

nndate : le 03/06/2004 à 07:39nauteur : J-Minsujet : n

Je t'ai aperçu ce matin sur le forum Gilles....mais au pays du soleil levant, il est déjà tard nJe vais fouiner pour te trouver des adresses de sites d'entreprises....nEn attendant mieux, tu peux jeter un oeil ICInDans "Adultes" - "Stratégie", il y a notamment un jeu de dames fabriqué dans le jura...

nndate : le 03/06/2004 à 20:41nauteur : J-Minsujet : n

Voir aussi ceux-ci : nhttp://www.janod.comnhttp://www.arbre-a-jouer. ... erie.comnn!! SCOOP !! nnGilles n'est pas précurseur..... nnhttp://www.vilac.com/news.htm nnnnn*** Message édité par J-Mi le 03/06/2004 21:05 ***nnn

nndate : le 04/06/2004 à 02:08nauteur : Gifunsujet : n

Arrrghhh !!!!nMoi qui croyais être le premier !nOn est bien bien peu de chose...nnEn tout cas, merci pour les liens... j'y vais de ce pas... heu... ce clic

nnnProduits laitiersnndate : le 03/06/2004 à 13:02nauteur : J-Minsujet : Produits laitiersn

TERROIR : Jura bleu n nLe Comité national des produits laitiers de l'INAO (Institut national des appellations d'origine) a, dans sa séance du 18 mai dernier, approuvé la révision des conditions de production et de l'aire géographique de l'AOC " bleu de Bresse Haut Jura " ou " bleu de Septmoncel ", un fromage au lait cru à pâte persillée, une appellation reconnue depuis 1935. L'aire géographique de ce fromage comprend certaines communes ou parties des communes des cantons de Gex, Collonges, Ferney-Voltaire, Bellegarde-sur-Valserine, Brenod, Oyonnax et Nantua dans l'Ain et des cantons de Bouchoux, Morez, Saint-Claude et Saint-Laurent-en-Grandvaux dans le Jura.nnLe comté à la première placennPar ailleurs, la nouvelle aire géographique de production du fromage AOC roquefort a été fortement réduite suite à une décision du Comité national des produits laitiers de l'INAO La nouvelle aire géographique, qui voit la disparition d'environ 4000 communes dans des régions aussi éloignées que les Pyrénées et la Corse, comporte seulement 560 communes dans six départements : Aveyron, Tarn, Hérault, Lozère, Aude et Gard. Le roquefort, avec 17 989 tonnes produites en 2003, est le troisième fromage AOC en France derrière le comté et le cantal.n nSource : http://www.lepays.net

[Mitch]

La cancoillotte japonaise...rnrndate : le 25/07/2003 à 10:19rnauteur : Gifurnsujet : La cancoillotte japonaise...rn

Bonjour à tous,nnAlors que la cancoillotte en boite semble de plus en plus faire partie d'une histoire révolue (il y a bien la maison Bernard qui étudie une solution en terrine de verre http://www.alorsregarde.com/cancoillotte/) et comme il n'est pas toujours simple d'en avoir au japon (il faut commander au moins 15 pots à la fois là où je suis et compter au moins 15 jours et de 12 à 15 euros par pots de 250 Raguin pour l'avoir), je me suis résolu à chercher une entreprise qui accepte de fabriquer de la cancoillotte au Japon et j'en ai trouvé une !!! Si !nIl s'agit d'une petite fabrique laitière de la préfecture de Gifu et ils veulent envoyer deux stagiaires, deux dames, en Franche-Comté pour étudier pendant une quinzaine de jours la fabrication du metton et de la cancoillotte. Ceci devrait se faire vers la fin octobre.nEnsuite, ils veulent faire venir un(e) Franc-comtois(e) sachant fabriquer le metton et la cancoillotte une quinzaine de jours à Gifu vers le début décembre pour superviser leur travail (tous frais payés).nSi tout va bien, la colle japonaise (j'ai suggéré qu'ils l'appellent ainsi parce que cancoillotte est un peu trop dur à dire pour les Nippons) verra très bientôt le jour. nJe suis en ce moment à la recherche d'entreprises pouvant accueillir nos deux stagiaires et d'un(e) spécialiste de la cancoillotte pouvant faire le déplacement à Gifu.nJe serai en Franche-Comté pendant les dix premiers jours d'août environ et je compte passer mon temps à démarcher auprès des entreprises franc-comtoises. Si vous avez des conseils et des contacts à me donner, merci d'avancennGilles Guerrinnhttp://www.gifu-u.ac.jp/~guerrin/

nndate : le 25/07/2003 à 12:28nauteur : Thiernsujet : n

Je n'en reviens pas de la cancoillotte fabriquée au Japon ! Je vois déjà l'étiquette "Made in Japan" sur les pots ! nJe trouve l'initiative excellente mais regrette toutefois que les entreprises franc-comtoises soient incapables de voir plus loin que le bout de leur nez, fassent preuve d'un manque d'ambition certain ou du moins d'une frilosité regrettable.nPermettez-moi l'expression mais les Nipons sont moins c... !!! nMais ce qui compte, c'est quand même de satisfaire les consommateurs de cancoillotte, toi le premier Gilles, car tu es sûrement le meilleur ambassadeur en dehors de nos frontières. Et grâce à la colle, tu vas pouvoir rapprocher un peu plus nos deux peuples !

nndate : le 25/09/2003 à 15:22nauteur : kafer-spiritnsujet : n

Eh ben alors qu'en est-il de ce projet???nvoilà 2 mois que ce post est arrivé et personnellement je suis assez interressé par l'issue de ce projet.nJ'ai pu constater que ce que les Japonnais entreprennent réussit dans la majorité des cas. Je suis prêt à parier que si la colle japonnaise voit le jour on la verra sous peu sur nos étals.... un comble non????nJ'en profite d'ailleurs pour pousser un coup de gueule, la France avec ses grands principes et ses grandes gueules n'est même pas fichue de garder ses propres produits et pour que les traditions perdurent il faut se tourner vers l'étranger...nQue font nos industriels???? on vient nous dire que la conjoncture est difficile et qu'il est difficile de trouver des idées inovantes, pas besoin de chercher midi à 14 heures, voilà l'idée toute trouvée... nMais bon ce n'est pas à la pointe de la technique, ce n'est pas du high tech, mais il serait temps de se rendre compte que de nombreuses personnes recherchent un retour aux sources et un mode de vie plus naturel, loin du matériel et du tape à l'oeil...Les vraies choses de la vie en somme....nNous avons des traditions et un savoir-faire et sous des prétextes de risques de rentabilité on donne NOS idées à qui voudra ou saura bien les reprendre... nAhlalalala pauvre France....mais bon mes propos n'engagent que moi et moi seul...nQuoi qu'il en soit Gilles, tiens nous au courant de la suite de l'affaire...nnnkafer-spirit...nnn*** Message édité par kafer-spirit le 25/09/2003 15:23 ***n

nndate : le 07/11/2003 à 13:07nauteur : Thiernsujet : n

Gilles, je voulais te poser une question : il n'y a pas de problème de label pour la cancoillotte ?

nndate : le 02/06/2004 à 09:18nauteur : Gifunsujet : n

Bon, ça fait longtemps que j'ai pas parlé de " la colle ", la cancoillotte japonaise. C'est qu'ils sont encore à faire des essais... hé oui ! c'est pas si facile que ça en a l'air.nToujours est-il que j'en ai déjà coûté deux fois (on a fait en avril une journée dégustation gratuite à Nagoya), et je peux dire qu'elle est au moins au point en ce qui concerne le goût.nQuant au conditionnement, c'est encore à l'étude... c'est bête à dire, mais les Japonais n'ont par exemple pas trop l'habitude du pain... et la cancoillotte sans pain, c'est pas si simple. nAlors, on cherche, on cherche... mais, ce qui est sûr, c'est que compte tenu de la faible teneur en matière grasse, c'est un produit qui devrait marcher...nEn core un peu de patience.

nndate : le 02/06/2004 à 18:38nauteur : Thiernsujet : n

Heureux de voir que tu te portes bien et merci pour ces infos toutes fraîches. J'en profite pour réitérer ma question au sujet du label pour la cancoillotte ? N'as-tu pas été confronté à ce problème ?

nndate : le 03/06/2004 à 07:42nauteur : Gifunsujet : n

Ben, je ne pense pas qu'il y ait de problème. D'une part, le produit va s'appeler La Colle (qui plus est en caractères japonais) et seul le nom "cancoillotte franc-comtoise" fait, je crois, l'objet d'une protection AOC ou quelque chose comme ça.n

nnnDu Pont à... TOULOUSE !!nndate : le 01/06/2004 à 22:16nauteur : Pat78nsujet : Du Pont à... TOULOUSE !!n

Bonjour !nnUne grande découverte lors d'une balade à Toulouse ! Une bouteille d'absinthe cotoiyant des bouteilles de vodka et autres alcools dans la vitrine d'un marchand de spiritueux nous interpelle : on pousse la porte par curiosité et quelle surprise de ne pas voir des yeux éberlués à la question "avez vous du pontarlier ?", mais d'entendre comme réponse : sucré ou non ? Trop fort !! nEvidemment, c'est cher, vu que la boutique est tournée vers des grands vins de France, foies gras et autres specialitées, le pontarlier se transforme presque en produit de luxe à 23 euros le litre. On le deguste avec plus de respect du coup ! nnVoila l'adresse de choix, à 2 pas de la place du Capitole :nnBUSQUETSn10 rue de rémusatn31000 Toulousen05 61 21 22 16n

nndate : le 01/06/2004 à 22:26nauteur : Thiernsujet : n

Excellent ! Voilà une adresse à ajouter dans la rubrique "Sortir" à côté du "Pont à Paname". Hein Lacuzon !

nnnEpiphanie....nndate : le 26/05/2004 à 22:41nauteur : J-Minsujet : Epiphanie....n

Je sais que ce n'est pas de saison, mais voilà le fruit ( on est dans la rubrique gastronomie) de mes navigations internettiennes de ce soir : nnExtraits du site http://www.choco-club.com :nn-En Franche-Comté, les enfants se déguisaient en Roi mage et portaient ceinture dorée sur une chemise constellée d'étoiles. Ils allaient de porte en porte en chantant et en agitant des sonnettes réclamer leur part. nn-En Franche-Comté, c'est la galette de goumeau (Voir la recette) qui peut peser jusqu'à 150 kilos qu'on appelle aussi galette de goumeau bisontine, galette des rois ou papet. Faite de pâte briochée, on la retrouve chez tous les boulangers pâtissiers bisontins et quelques autres du département du Doubs. nnPetit rappel pour les amateurs, la recette de galette des Rois comtois présente sur le site : nnhttp://www.cancoillotte.net/Gastronomie/Recett ... e_Rois.htm nn::D Oui je suis gourmand, vous en doutiez ?? Certains amis de Silvie en ont fait les frais

nnnFête de la cancoillottenndate : le 07/06/2003 à 10:39nauteur : Silviensujet : Fête de la cancoillotten

Bonjour à tous,nnLe 08 Juin, dans le secteur Graylois, se déroule la fête de la cancoillotte et de l'artisanat, cela dure toute la journée, énormément de monde, de la musique, des artisans, alors, pour tous ceux que cela tente, vous êtes les bienvenus nn@ pluche,nnSilvie

nndate : le 07/06/2003 à 11:19nauteur : J-Minsujet : n

Il y a ausi le FIMU à Belfort, beaucoup de musique et.....d'étudiantes !!

nndate : le 03/04/2004 à 05:56nauteur : Thiernsujet : Edition 2004n

Silvie : as-tu déjà des infos sur l'édition 2004 ? Ce serait bien si on pouvait monter un stand et se retrouver là-bas pour l'occasion !

nndate : le 08/04/2004 à 10:53nauteur : Thiernsujet : n

Rien en vue Silvie ?

nndate : le 08/04/2004 à 12:26nauteur : Silviensujet : n

HellonnAlors, en ce qui concerne la fête de la cancoillotte, il n'y a pas encore de nouvelles pour cette année .... Par contre, si cette édition a lieu, ça devrait être la dernière.nnJe pense pouvoir donner plus d'infos la semaine prochaine ....nnBonne journéennSilvie

nndate : le 08/04/2004 à 21:11nauteur : Thiernsujet : n

Merci Silvie pour ces infos.nn

Par contre, si cette édition a lieu, ça devrait être la dernière.

nnCe n'est pas bien grave : nous prendrons le relais !

nndate : le 08/04/2004 à 21:29nauteur : Silviensujet : n

Bon, dernières infos :nnA priori, la fête de la cancoillotte n'aura pas lieu cette année, pas assez de temps pour la préparer, pas assez de bénévoles, enfin rien qui va ... nnLa suite au prochain épisode .....nnSilvie

nndate : le 20/05/2004 à 21:31nauteur : Silviensujet : Fête de la cancoillotte reportée en 2005n

L'association des "Gais Lurons" n'organisera pas de fête de l'artisanat et de la concoillotte à la Pentecôte 2004.nL'association fêtera ses 10 ans d'existence en 2005 et promet, pour l'anniversaire, une journée mémorable pour fêter l'événement. nCette année sabbatique sera utilisée à préparer au mieux cette nouvelle édition 2005 qui sera exceptionnelle.nnSource : La presse de Gray

nnnQuelques bonnes adresses de restaurants jurassiens...nndate : le 07/11/2003 à 18:48nauteur : Perle39nsujet : Quelques bonnes adresses de restaurants jurassiens...n

Le Jura ayant l'air quelque peu méconnu, je me permets de vous donner quelques bonnes adresses de restaurants (Haut-Jura), pour déguster de bons plats. Tous ces lieux ont été testés à plusieurs reprises.nnLe Pré Fillet (mon préféré)n39310 Les Molunes. Tél. : 03.84.41.62.89nAmbiance très chaleureuse. Langue fumée salée exceptionnelle. Prix très abordables.nnLes Bois Rondsn39370 La Pesse. Tél. : 03.84.42.72.06nPoulet aux morilles et vin jaune. Pain gratiné aux aulx et comté, etc. Comme son nom l'indique, le restaurant est construit en bois ronds. Ambiance détendue assurée, autour d'un feu de bois.nnAu Retour de la Chassen39200 Villard St-Sauveur. Tél. : 03.84.45.44.44nLa qualité des mets proposés, leur présentation et le service justifient (en partie) un tarif assez élevé.nnAuberge Jurassiennen39260 Charchilla. Tél. : 03.84.42.69.83nEn hiver, on y mange au coin d'un bon feu de cheminée, sur lequel peut cuire éventuellement la bonne cote de boeuf que vous allez déguster.nnRestaurant Burdetn39370 La Pesse. Tél. : 03.84.42.70.12nSpécialités jurassiennes (nous y avons fait notre repas de noces ).nnEn espérant que ses adresses rendront un jour service... Bon appétit

nndate : le 07/11/2003 à 19:23nauteur : Thiernsujet : n

Merci perle39 pour toutes ces bonnes adresses, qui correspondent tout à fait aux tables que nous aimons mettre en valeur et bravo pour tes commentaires qui donnent vraiment envie de les essayer !nNous allons ajouter tous ces restaurants dans la rubrique du même nom. Si tu pouvais à l'occasion récupérer les cartes de visites et nous les scanner (ou les envoyer) ce serait génial !nC'est grâce à ce genre de messages que nous arriverons à combler les lacunes que nous avons sur le département du Jura. nn*** Message édité par Thier le 07/11/2003 18:27 ***nnn

nndate : le 09/11/2003 à 00:44nauteur : Thiernsujet : n

A propos d'adresses de bons restaurants dans le Haut-Jura, perle39, as-tu déjà eu l'occasion de tester "La Combe aux Bisons" à La Pesse, où tu as cité 2 autres adresses ? Nous nous sommes arrêtés devant et avons préféré photographier quelques specimens de ces charmants animaux plutôt que de déguster leur chair ! nNous étions cet été en chambres d'hôtes dans le village des Rouges Truites et le couple qui nous hébergeait nous avait fortement conseillé Le Pré Fillet qu'ils qualifiaient eux aussi de "valeur sûre". Mais notre itinéraire en a voulu autrement et nous avons opté pour L'Auberge du Tilleul à Charézier (dans la région des Lacs), ferme auberge dont je ne saurais trop vous recommander à tous la visite. Il faudra vraiment que nous l'ajoutions dans notre liste de restos préférés...nOn parlait de retravailler cette rubrique, qui est l'une des premières à avoir vu le jour lors de la création du site, mais là je crois vraiment que ça s'impose !

nndate : le 09/11/2003 à 14:38nauteur : Perle39nsujet : n

Et bien non, malheureusement, je n'ai pas testé la Combe aux Bisons, du point de vue restaurant du moins.nNous sommes cependant aller souvent nous promener à La Pesse avec nos enfants. Le coin est magnifique (La Borne aux Lions). De bonnes promenades (à pied ou en VTT) sont possibles.nLes bisons sont un point de chute motivant pour les enfants. Nous avons donc pris à plusieurs reprises "le 4 heures" à La Combe aux Bisons (charcuterie ... de bisons, tarte maison, etc.) dehors, sur une table en bois massif, à l'ombre de tipis.nC'était ma foi bien délicieux. Ambiance conviviale, sans chichis. On s'y sent tout de suite chez soi.

nndate : le 10/11/2003 à 17:43nauteur : Thiernsujet : Combe aux bisonsn

Pour ceux que ça intéresse, voici le site internet du restaurant La Combe aux bisons dont nous avons parlé avec perl39 : http://www.hautescombes-valserine.massi ... auxbisons/

nndate : le 15/05/2004 à 07:33nauteur : Perle39nsujet : n

Je susis allée manger hier soir au restaurant "Les Bois Ronds" à La Pesse..nLes propriétaires ont changé depuis ma dernière visite (octobre 1994) mais c'est toujours aussi bon et beau.nnAu menu pour moi :nCroûte Fromage (jambon à l'os, comté) : 6.00 EURnTourte de ma grand-mère : 5.50 EUR.nnIls n'avaient malheureusement plus de carte à donner. Celles-ci sont en cours de ré-édition... Dommage.nPar contre, ils ont leur propre site internet : http://lesboisronds.free.fr/.nnSi vous venez dans le coin, vous pouvez y aller sans soucis. De plus, le paysage est splendide, à toutes saisons...nnPS : J'ai récupéré le dépliant concernant les locations, avec photos et tarifs. Faut-il le scanner et vous le faire parvenir ?

nndate : le 15/05/2004 à 15:10nauteur : Thiernsujet : n

Cool Perle. Mets tout ça de côté. Nous nous en servirons lorsque l'interface sera opérationnelle et que nous pourrons nous consacrer pleinement au contenu.

nnnEntreprisenndate : le 12/05/2004 à 21:30nauteur : J-Minsujet : Entreprisen

Voir le site de cette entreprise d'Avoudrey (25)....à mettre dans le portail ??nnhttp://www.jean-louis-amiotte.frnn

nnnLe comté en fête le 10 octobre à Nancraynndate : le 07/05/2004 à 07:20nauteur : Silviensujet : Le comté en fête le 10 octobre à Nancrayn

nLe musée des maisons comtoises de Nancray (Doubs) accueillera le 10 octobre la grande fête de la filière comté. Le musée de plein air, où a été reconstruite en 1991 la fruitière du hameau des Plans, est en contact étroit depuis des années avec le CIGC, le comité interprofessionnel du comté, ce qui explique le choix de ce site idéal pour un tel rendez-vous. Fabrications de comté en plein air, ateliers de traite, de transformation du lait, défilé de montbéliardes, démonstration des travaux des champs et découverte de l'affinage seront quelques unes des animations proposées. Côté gustatif, les papilles seront elles aussi à la fête avec des ateliers étonnants d'initiation aux accords comté et vins, ou comté épices, un atelier " tartines " et évidemment des démonstrations de cuisine au comté surprenantes et très variées. Spectacles, expositions, animations historiques sont également prévues.nnnsource : http://www.estrepublicain.fr

nnnHuuuummmm ça avait l'air bonnndate : le 03/05/2004 à 18:59nauteur : J-Minsujet : Huuuummmm ça avait l'air bonn

nnLa 16e foire à la saucisse de Saint-Hippolyte a connu un succès sans précédent hier avec plus de 12000 personnes venues dés le matin fêter un des produits du terroir. nLa saucisse de Saint-Hippolyte, une saucisse qui année après année veut se différencier de ses deux grandes soeurs, la saucisse de Morteau et celle des Boitchus de Montbéliard. Si les deux dernières sont labellisées depuis déjà un certain temps, celle de Saint-Hippolyte attend toujours une reconnaissance officielle. Pour les commerçants locaux, c'est l'occasion de faire connaître un chef lieu de canton pittoresque au pied du Haut-Doubs, son Comté, sa saucisse et ses salaisons traditionnelles. Saint-Hippolyte est aussi une petite ville dont l'histoire est passionnante avec encore aujourd'hui tous ses commerces et de nombreux restaurants. La saucisse est la reine du jour, on peut la déguster partout cuite, crue, sèche, avec un petit verre de Jura ou de vin d'Alsace... Elle est fabriquée selon un cahier des charges bien précis avec des ingrédients sélectionnés avec soin. Le défilé de 14 h 30 a rassemblé une foule compacte le long du parcours avec la participation de sociétés musicales, des chars des sociétés et des artisans et commerçants de la localité. Participaient aussi à ce défilé, les jeunes agriculteurs, les motos rétros, les vieux tracteurs, les pompiers et leur pompe à bras... La fête c'était aussi l'occasion d'un grand déballage forain avec une quarantaine de commerçants non sédentaires et d'un vide-greniers toujours très prisé. C'était donc l'occasion de réaliser de bonnes affaires tout en découvrant la saucisse de Saint-Hippolyte.nnSource : http://www.lepays.net

[Mitch]

Gaudes : Idées recettes ?rnrndate : le 15/08/2003 à 19:50rnauteur : Lacuzonrnsujet : Gaudes : Idées recettes ?rn

Des amateurs de Gaudes ici ? Je cherche des recettes autres Gaudes + Crème + Sucre C'est bien bon, mais changer ce serait sympa ! Alors si vous avez des manières agréables d'accomoder le plat National comtois, postez ici !

nndate : le 16/08/2003 à 21:28nauteur : Lecuistotnsujet : n

Bonsoir ,nune idée qui pourrait être sympa : faire tes gaudes ( dans lesquelles tu auras rajouté une pointe de noix de muscade ) .nEtaler sur une plaque d'environ 2 cm d'épaisseur .nFaire refroidir nUne fois les gaudes bien fermes les couper en petits carrés ou avec un emporte piece .nLes passer à la poêle dans un peu de beurre .nCela accompagnera trés bien une viande rouge ou un jambon chaud au madère .nTu peux aussi les paner avant de les passer à la poêle , cela ajoutera une note croustillante à l'ensemble .nTu peux préparer tes gaudes la veille et les découper le lendemain.nnEn espérant avoir été assez clair , sinon je reste à ta disposition pour d'autres explications.nnLecuistot.

nndate : le 19/08/2003 à 11:16nauteur : Thiernsujet : n

Lecuistot : Ton idée de variante a été ajoutée dans la recette des Gaudes déjà présente sur le site. Merci du tuyau et Vive la Gaude !

nndate : le 08/10/2003 à 13:55nauteur : J-Minsujet : n

Notre ami Le Cuistot a changé d'enseigne, retrouvez-le désormais sur : nnnhttp://www.123recettes.comnnnMettez vos favoris à jour !!

nndate : le 26/04/2004 à 19:02nauteur : Nicolasnsujet : n

Concernant les gaudes, il existe tout un recueil de recettes paru récemment aux Editions du Grand Tétras (l'éditeur de la Racontotte), récoltées par Henri Meunier.nnA +nnNico

nnnVachement bon !nndate : le 16/04/2004 à 05:47nauteur : Thiernsujet : Vachement bon !n

16 avril 1921nLéon Bel, fromager, invente un fromage fondant et dépose le nom : "La vache qui rit". L'image est inspirée d'un dessin de Benjamin Rabier qui servait d'enseigne à "l'autobus de ravitaillement en viande fraîche" pendant la guerre de 1914-1918. Très souvent imitée mais jamais égalée, la célèbre vache rouge et hilare s'adaptera néanmoins à toutes les modes, traversant le temps sans que son sourire ne prenne une seule ride !nnLa fromagerie Bel fait d'ailleurs toujours son beurre à Lons-le-Saunier ! nnSource : evene.fr, un site culturel que je vous recommande vivement, notamment pour ses critiques de bouquins, ses citations et ses quizz : http://www.evene.fr/livres/index.phpnn*** Message édité par Thier le 16/04/2004 05:52 ***nnn

nnnMa-gni-fique !!!nndate : le 14/04/2004 à 21:20nauteur : J-Minsujet : Ma-gni-fique !!!n

Ce site est à visiter de toute urgence !!nnIl fera une entrée fracassante dans le portail très prochainement....nnhttp://www.hameaudufromage.com

nndate : le 14/04/2004 à 21:38nauteur : Thiernsujet : n

Pas la peine J-Mi : il y figure déjà !

nndate : le 14/04/2004 à 21:56nauteur : J-Minsujet : n

Qu'est-ce que je fais ?? Je me pends, je me jette depuis le Lion de Belfort ?? nnBon il faut vraiment "réparer" le moteur de recherche du site alors.....

nndate : le 14/04/2004 à 22:03nauteur : Thiernsujet : n

Oui, à ce propos, je vais regarder pour le moteur de recherche et les pages qui pointent sur Free : je pense qu'il faut que je le paramètre en fonction de l'adresse du nouveau serveur. Réponse prochaine dans le post approprié.

nnnRecettes franc-comtoises de nos grands-mèresnndate : le 14/04/2004 à 20:42nauteur : J-Minsujet : Recettes franc-comtoises de nos grands-mèresn

Yves Bielinski avait une tante Jeanne et une grand-mère Lisa, deux fins cordons bleus. Et une soeur qui " ne jetait jamais rien ", surtout pas les cahiers de recettes des femmes de la famille. Exilé en Vendée, l'ancien journaliste franc-comtois a succombé à la nostalgie des papilles et de l'enfance et commis un agréable ouvrage consacré aux traditions et à la cuisine comtoise.nSi l'idée n'est pas nouvelle, le contenu et la présentation de " Recettes francs-comtoises de nos grands-mères " sont néanmoins très attrayants : nombreuses photos sépia, anecdotes, points d'histoire, et " petits trucs " de cuisinières, ponctuent un voyage parmi plus de 150 recettes régionales d'antan issues de la " généreuse nature " de notre contrée. Et surtout faciles à préparer.nYves Bielinski fait la part belle aux soupes et aux plats à base de fromages, comté oblige, mais offre d'abord une plongée dans les saveurs saisonnières, de l'agneau pascal aux pâtisseries de Noël, des poissons de nos rivières aux gibiers de nos forêts. Une douzaine de préparations de champignons, autant de petits plats en sauce à base de vins et d'alcools de nos terroirs, sont à la carte. On n'évite pas la saucisse de Montbéliard et la morteau, elles sont indéboulonnables, mais on découvre aussi le veau aux mousserons, le poulet à la Vésulienne, et les perches au vin blanc.nCitons encore une collection de recettes à base de châtaignes, quelques préparations de gaudes pour les puristes, et un rayon confitures digne de bonne maman. Enfin, si vous aimez les douceurs, le sirop de mûre, le ratafia de cassis, le vin de noix et l'apéritif à la pousse d'épine n'auront plus de secret pour vous.nn" Recettes franc-comtoises de nos grands-mères " par Yves Bielinski, éditions CPE, 128 pages, 23 €. En librairie et chez l'éditeur, 5, allée de la Tuilerie, BP 57, 41202 Romorantin. Site http : //www. cpe-editions. comnnSource : http://www.estrepublicain.fr

nnnBière...Sochaux....nndate : le 02/04/2004 à 07:45nauteur : J-Minsujet : Bière...Sochaux....n

Avec un avatar comme le mien et celui que j'avais avant, je ne pouvais pas passer à coté nnSOCHAUX La bière tient salon nnAvec plus de cent bières à déguster, des bretzels à croquer, des produits à savourer, le salon de la bière qui se tient ce week-end à Sochaux promet d'être original. Organisée en partenariat étroit avec le comité des fêtes, l'amicale des Anciens de la Brasserie et avec le soutien de la ville de la municipalité, cette première édition sera agrémenté par des conférences. nnY ALLER Salon de la bière artisanale, salons de l'hôtel de ville de Sochaux, samedi 3 avril de 14 h à 20 h et dimanche 4 avril de 10 h à 17 h. Entrée : 5 €.nnBon allez, tant que j'y suis, pour ceux qui veulent sortir dans l'aire urbaine ce week-endnn==> http://www.alsapresse.com/pdfs/04/04/02 ... 0.pdfnnn[i]*** Message édité par J-Mi le 02/04/2004 07:48 ***[/i]nnn

nndate : le 02/04/2004 à 22:24nauteur : Saute-gouilletsnsujet : n

Bonsoir,nnJ'imagine que tu vas y aller. Si tu trouves de la bière du gâtinais penses à moi

nndate : le 03/04/2004 à 11:18nauteur : J-Minsujet : n

Non je n'irai pas.nJe ne suis pas chez moi ce WE..... nJe suis chez ma chérie c'est beaucoup mieux !!! nn

nnnFromageriesnndate : le 31/03/2004 à 23:34nauteur : J-Minsujet : Fromageriesn

Je ne sais plus si ces sites sont déjà répertoriés dans le portail.....nnhttp://www.rivoire-jacquemin.comnnhttp://www.f ... -freres.fr

nnnIl n'y a pas que le vin qui m'intéresse !!nndate : le 04/03/2004 à 12:18nauteur : J-Minsujet : Il n'y a pas que le vin qui m'intéresse !!n

SALON DE L'AGRICULTURE Un fromage en or nnMédaillé d'or pour la 3e année consécutive avec son morbier, Hervé Poulet est heureux. C'est une consécration pour un fromage qui, il y a trois ans n'avait pas encore d'AOC.nnAujourd'hui, en raison de la volonté, de l'énergie et de la ténacité du syndicat de défense du morbier, ce fromage franc-comtois connaît une croissance remarquable avec une production toujours en hausse. " De 2750 tonnes en 1999, le morbier est passé à 5500 tonnes en 2003, soit une production doublée en quatre ans ", affirme Joël Alpy, président du syndicat du morbier. Grâce à la qualité du lait, provenant uniquement de montbéliardes, au fromager, à l'affineur et à des règles de fabrication très strictes, le morbier a obtenu l'AOC (Appellation d'origine contrôlée) en 2000. Pour les fromagers francs-comtois, l'appellation d'origine contrôlée est une reconnaissance de leur travail, mais surtout une manière de rendre hommage à tous ceux qui ont façonné, au fil des décennies, des fromages d'histoire liées à leur terroir. Lundi, lors du concours général agricole des fromages, Hervé Poulet, de Granges-les-Baume, village situé sur le plateau au-dessus de Baume-les-Messieurs, a remporté sa troisième médaille d'or pour son morbier. Comme il le dit si bien, " la première, c'était la communion, la seconde, la confirmation, mais cette troisième médaille, c'est la consécration, mais je ne pense pas à la quatrième ".n" Cette médaille est importante au niveau commercial et c'est vraiment un plus pour la vente de mes fromages ", poursuit le fromager du Haut-Jura. Hier après-midi, c'était la joie sous la fruitière en bois du stand de la Franche-Comté qui abrite tous les fromages régionaux sur un même plateau : comté, bleu de Gex, emmental grand cru, mont-d'or et naturellement morbier. Embrassades et applaudissement quand Hervé Poulet revient avec sa médaille (virtuelle) car il ne recevra son diplôme que dans trois ou quatre mois, mais c'est avant tout une satisfaction personnelle pour la reconnaissance d'un travail bien fait. C'était la fête aux sons des clarines. Hervé Poulet, ému, n'en revenait pas de cette troisième médaille. " C'est merveilleux, car cette médaille récompense toute la profession, pour le mal que l'on se donne depuis plusieurs années pour faire connaître notre fromage au niveau national ".nnLe morbier est né il y a plus de deux siècles. A l'époque, on le décrivait comme le petit frère du comté, car il était fabriqué l'hiver lorsque le lait ne suffisait plus la réalisation des meules de comté. Ce petit frère du comté n'a pas été baptisé immédiatement et, de ferme en ferme, il a connu des prénoms avant d'être nommé définitivement morbier, à la fin du 19e siècle. En hiver, les fermes étant très isolées, les paysans ne pouvaient pas livrer le lait à la fruitière du village. Comme le lait d'un seul troupeau ne suffisait à la fabrication des imposantes meules de Comté, les paysans ont alors fabriqué un fromage fermier plus petit, de 8 à 10 kg, en additionnant la traite du matin et celle du soir. Ils faisaient cailler le lait le matin, le mettaient en moule pour ensuite le recouvrir de cendres prises " au cul du chaudron ", dans le but de protéger le pain caillé. C'est ainsi que la fameuse raie noire est apparue. Le soir, ils recouvraient la première partie du fromage avec le lait caillé de la deuxième traite. La légende est née, le Morbier avec sa ligne cendrée entrait dans l'histoire des fromages de caractère. Aujourd'hui la célèbre raie noire est tracée avec du charbon végétal. Le secret d'Hervé Poulet pour remporter ses médailles d'or, et de garder les meilleurs fromages pour le concours, ils les lavent à l'eau salée, trois à quatre fois par semaine et, après 45 jours d'affinage, scrupuleusement surveillés, ils sont prêts à concourir. " La recette est simple, je n'ai pas de secret ", souligne le fromager jurassien. Le morbier peut être servi coupé en petits dés pour l'apéritif ou sur un plateau de fromages à la fin d'un repas. Compte tenu de la subtilité de son goût, il faut le déguster avant les fromages plus forts. Il se laisse aussi très bien cuisiner, notamment en " morbiflette ", petite soeur de la tartiflette. Les vins de son terroir d'origine l'accompagnent flatteusement, comme les vins d'Arbois rouge ou blanc sans oublier le vin jaune du Jura. Mais avec un macvin, cela passe bien aussi, n'est-ce pas Hervé Poulet ?nnSource : http://www.lepays.netnnnn

nndate : le 04/03/2004 à 12:24nauteur : J-Minsujet : Le palmarèsn

Voici les résultats du concours national des fromages. nnFromage à pâte molle et à croûte mixte : médaille d'argent : " Le Sapin du Haut-Doubs, Badoz ", Fromagerie des Gentianes (25). nnCancoillotte au beurre, aromatisée : médaille d'or : cancoillotte Poltrey-Crélerot (25) ; médaille d'argent : cancoillottte Poltrey-Crélerot (25). nnCancoillotte au beurre, non aromatisée : médaille d'argent : " Président ", Marcillat Loulans (70). nnCancoillotte nature, aromatisée : médaille de bronze : " Raguin, Côte du Jura Chardonnay ", Raguin Terroirs Authentiques (25). nnCancoillotte nature, non aromatisée : médaille d'or : " Président ", Marcillat Loulans (70). nnFromages à pâte molle et à croûte lavée, Mont d'Or AOC : médaille d'or : " Le Montagnon ", Fromagerie de Clerval (25) ; médailles de bronze : " Le Mont d'Or ", Longeville Mont d'Or, Fromageries Arnaud Frères (25) ; " Les Monts de Joux ", Coopérative des Monts de Joux (25). nnFromage à pâte persillée, Bleu de Gex ou de Septmoncel AOC : médaille d'argent : " Les Monts de Joux ", Fromagerie Rietmann (39). nnFromages à pâte pressée demi-cuite, autre fromage à pâte pressée demi-cuite : argent : " Le Lomont ", Fromagerie de Clerval (25). nnFromages à pâte pressée demi-cuite, fromage à raclette : médaille d'or : " Président ", Société Fromagère de Vercel (25). nnFromages à pâte pressée et cuite, comté AOC : médailles d'or : " La Vache ", Société Fromagerie (25) ; " Napiot ", Fromagerie Napiot (25) ; médailles d'argent : " Grand Comtois ", Coopérative Fromagère de Chilly-sur-Salins (39), affineur Juragruyère (39) ; " Juraflore ", Coopérative Fromagère (39), Fromagerie Arnaud SAS (39) ; " La Vache ", Société Fromagerie (25), affineur Ets Rivoire Jacquemin ; médailles de bronze : " Juraflore ", Coopérative Fromagère (25), affineur Fromagerie Arnaud SAS (39) ; " La Vache ", Société Fromagerie (25), affineur Ets Rivoire Jacquemin. nnFromages à pâte pressée non cuite, autre fromage à pâte pressée non cuite : médaille d'argent : " Raclette ", Fromagerie Philippe (25). nnFromages à pâte pressée non cuite, morbier ACO : médaille d'or : Fromage Artisanale Hervé Poulet (39) ; médaille d'argent : " Les Monts de Joux Fromagerie Rietmann " (39) ; médailles de bronze : SARL Sancey Richard (25) ; " Les Monts de Joux ", Coopérative des Monts de Joux (25), affineur Coopérative des Monts de Joux (25). nnFromages frais, fromage frais plus de 82 % d'eau : médaille de bronze : Fromagerie Mauron (70).nnSource : http://www.lepays.net

nndate : le 04/03/2004 à 15:07nauteur : olifnsujet : Pas de quoi en faire un fromage!n

nnSur les médailles et les fromages, je serais peut-être légèrement plus circonspect, surtout en ce qui concerne les grandes maisons, qui peuvent présenter d'excellents produits témoignant effectivement de leur savoir-faire, mais, du fait de leur volume de production, ne donnent aucune garantie que ce que l'on va retrouver commercialisé sera équivalent au produit médaillé, surtout dans la grande distribution!nnC'est pour cela que je préfère faire confiance, d'une manière générale, à un crémier spécialisé dans la sélection et l'affinage des fromages. Pour n'en citer qu'un et sans vouloir lui faire de pub (un peu quand même, car ses fromages sont bons et qu'il dispose d'un rayon "cave à vins" intéressant! ), je parlerai du Trou de Souris, à Pontarlier, qui vient de reprendre un étal à fromages sur le nouveau marché de Besançon! Mais je suis également ouvert à toutes les autres bonnes adresses! nnOlifnn

[Mitch]

Pendant ce temps là à Paris....rnrndate : le 01/03/2004 à 12:30rnauteur : J-Mirnsujet : Pendant ce temps là à Paris....rn

Hier matin, les jurys du concours général agricole avaient fort à faire pour déterminer les meilleurs vins du Jura parmi les 92 millésimes sélectionnésnnDIX HEURES ET DEMIE, hier matin, une cinquantaine de jurés, tous oenologues, experts en dégustation ou sommeliers s'attablaient pour déguster les 92 vins sélectionnés qui participe au célèbre concours général agricole pour décerner la médaille d'or, un titre des plus convoités des viticulteurs. pour eux c'est l'assurance de vendre des vins de qualité. Après une première présélection régionale sur 185 vins du Jura, restaient en compétition à Paris 92 étiquettes en lice. "La récompense n'est pas seulement professionnelle, affirme Michel Monnoyeur, directeur des Caveaux des Byards et membre du jury, c'est une force de vente extraordinaire pour les lauréats". Le concours s'érige en défenseur de la qualité et de la diversité des vins. Pour accéder aux honneurs de l'une des trois médailles, or, argent et bronze, le vin doit répondre aux exigences de son caractère sans faille de ces élites nationales. En effet, chaque vin est dégusté par quatre jurés, et ils doivent être d'accord entre eux pour attribuer une note. Chaque vin est noté sur 15, avec 5 points pour le visuel, cinq points pour l'olfactif et cinq points pour le gustatif. "Il faut que nous trouvions tous les quatre un atome crochu sur le même vin. Mais en général, ont est toujours d'accord le goût et le nez." affirme Patrick Coulibeuf, expert en vins et spiritueux. Tous les vins du Jura passe donc au crible. A la table des vins blanc d'Arbois, deux Jurassiens et deux Parisiens sont aux commandes. Sur 1à vins, reconnaissent-ils, il n'y en que deux qui correspondent aux critères des vins d'Arbois, à savoir : un goût de pain grillé, un arôme de fleurs des vergers et une couleur d'or transparente. "Dommage celui-ci est beau, mais je n'aime pas sa fin en bouche, on dirait une mauvaise hygiène", explique Gérard Lepelley. Cette année, c'est-à-dire pour le millésime 2002, les vins sont très floraux, celui-ci par exemple à une odeur de fleur de Lys, c'est original. Quant au goût, cela ressemble à de l'abricot sec, légèrement fruité, c'est un bon signe note Pascal Tissot, viticulteurs en côte du Jura. C'est d'ailleurs la raison pour être membre du jury des vins d'Arbois. C'est à dire un cépage qu'il ne produit pas. Le goût des Jura s'appelle "rancio", c'est une saveur que l'on retrouve seulement dans deux vins, les Arbois et les Banuyls.nnLes membres du jury ne connaissent pas le nom des exploitants viticoles des vins qu'ils dégustent, cela s'appelle la dégustation à l'aveugle. Sur les bouteilles, juste un numéro qui permet aux commissaires d'identifier le vigneron. " Ah!,celui-là un goût de crème rance", s'exclame Patrick. "Je suis obligé de me rincer la bouche avec de l'eau, pour enlever ce mauvais goût. C'est vraiment désagréable", renchérit Pascal Tissot. Les jurés remarquent également que 8 vins sur 10 ont un goût exotique, c'est-à-dire épicé, et qui naturellement ne pourront prétendre à une médaille. Alors que la plupart des jurés recrache le vin goûté, Pascal n'hésite pas à boire, quand le vin est bon, une petite goutte cal ne fait pas de mal, "car plus on en boit, plus on va droit" selon un dicton jurassien bien connu. "La dégustation des vins jaune et des vins de paille est beaucoup plus longue et plus complexe, car se sont des produits de luxe, et nous n'avons pas droit à l'erreur. Nous avons même des discussions animées pour se mettre d'accord", reconnaît Patrick Coulibeuf.nnCette année, les rouges sont d'une belle intensité, la couleur et la matière se marient bien. D'une belle robe, il y a même de l'esprit. Les jurés de cette table doivent retrouver s'il sagit de Trouseau, de Poulssard ou de Pinot, on encore d'assemblage. Les fruits rouges sont caractéristiques des Trousseau, en opposition à un goût très rustique du Poulssard. Sachant que les mélanges des trois vins donnent un cru formidable, avec un assemblage bien équilibré. Pour la première année, les organisateurs du concours éditeront un guide sur la France Gourmande reprenant touts les médaillés du salon 2004, avec notamment les vins du Jura. Tel un autre guide des vins, le public pourra se référer aux médailles pour choisir ainsi son vin. Car chaque table de jurés doit apporter (et cela aussi pour la première fois) un commentaire sur chaque vin médaillé. De bons conseils pour choisir un millésime, du Jura naturellement, en en fonction de son repas.nnSource : http://www.lepays.netnn

nndate : le 01/03/2004 à 12:39nauteur : J-Minsujet : And the winner is.....n

Le palmarèsnnArbois rouge AOC Or : Dugois Daniel (Les Arsures) ; EARL Domaine Martin-Faudot (Mesnay).Argent : Rolet père et fils (Arbois) ; Lornet Frédéric (Montigny-les-Arsures). Bronze : EARL Caveau de Bacchus (Montigny-les-Arsures). nnArbois rosé AOC Or : EARL Domaine Martin-Faudot (Mesnay) ; Rolet père et fils (Arbois). Bronze : Cave coopérative fruitière vinicole d'Arbois (Arbois).nnArbois blanc AOC Or : Domaine de Saint-Pierre (Mathenay). Argent : Domaine de Saint-Pierre (Mathenay) ; Cave coopérative fruitière vinicole d'Arbois (Arbois). Bronze : Caveau des Byards (Le Vernois). nnArbois vin jaune AOC Argent : Rolet père et fils (Arbois). Bronze : André et Mireille Tissot (Montigny-les-Arsures). ==>bouhouh ils ont oublié l'or !! Mais il y a 2 fois l'or pour la catégorie ci-dessous...??nnArbois vin de paille AOC Or : Rolet père et fils (Arbois). Argent : Cave coopérative fruitière vinicole d'Arbois (Arbois). Château-Chalon vin jaune AOC Bronze : Domaine Berthet-Bondet (Château-Chalon.Or : Mossu François (Voiteur, millésime 97). nnnCôtes-du-Jura rouge AOC Or : Domaine Pignier (Montaigu) ; Badoz Benoît (Poligny). Argent : SA Henri Maire (Arbois). nnCôtes-du-Jura rosé AOC Or : Fruitière vinicole de Voiteur (Voiteur). Argent : Caveau des Jacobins (Poligny). nnCôtes-du-Jura blanc AOC Or : Domaine Grands Frères (Passenans). Argent : SA Henri Maire (Arbois). Bronze : Domaine Pignier (Montaigu) ; Caveau des Byards (Le Vernois). nnCôtes-du-Jura vin jaune AOC Or : Badoz Benoît (Poligny). Côts-du-Jura vin de paille AOC Argent : Domaine Grands Frères (Passenans). nnnCrémant du Jura blanc AOC Or : Cave coopérative fruitière vinicole d'Arbois (Arbois). Argent : Rolet père et fils (Arbois). Bronze : EARL Domaine Martin-Faudot (Mesnay) ; André et Mireille Tissot (Montigny-les-Arsures). Argent : Rolet père et fils (Arbois, millésime 2001). nnVin de Pays de Franche-Comté effervescent blanc VP Or : SCP Coteaux de Champlitte (Champlitte).nnSource : www.lepays.netn

nndate : le 01/03/2004 à 22:05nauteur : Saute-gouilletsnsujet : vinsn

bonsoir,nnet merci pour le palmarès.nnLe domaine pignier mérite bien effectivement, mais quid des étoiles ?

nndate : le 02/03/2004 à 18:49nauteur : olifnsujet : Le vin et les concours!n

Oui, merci de nous avoir fait connaître pour le palmarès et participer à cette épreuve à travers l'article de pays.net.nnA titre personnel, je trouve que le Concours général Agricole est un des plus "fiables" et toutes les bouteilles primées que j'ai eû l'occasion de goûter sont souvent intéressantes. Pour avoir une certaine valeur, un concours doit forcément être irréprochable dans sa sélection et son attribution de prix. Ceci dit, ce n'est qu'un instantané qui ne retire pas toutes leurs qualités aux vins non sélectionnés ou aux vins qui ne se sont pas présentés.nnOn pourrait presque s'étonner qu'un Arbois jugé atypique ait passé le cap des présélections mais tous les vins ne se goûtent pas de la même façon au même moment et le jury final n'a pas forcément la même sensibilité que le précédent. nnJ'en profite pour rebondir sur les concours de vins en général. Recherchez-vous particulièrement les bouteilles et/ou les producteurs primés? Est-ce que cela change vos habitudes d'achat ou bien restez-vous fidèles à votre producteur favori? D'une manière générale, quelle valeur attribuer aux médailles? Y a-t'il des concours qui vous semblent plus sélectifs que d'autres?nnOlifn

nndate : le 02/03/2004 à 22:11nauteur : Saute-gouilletsnsujet : n

Bonsoir Olif,nnQuand je connais une région, j'ai tendance à rester fidèle aux producteurs que je connais, médailles ou pas. Par contre pour une région moins connue, je me fie effectivement au concours général agricole ou à l'avis de connaisseurs de la région en question. Le CGA me semble effectivement assez fiable, je ne fais pas trop confiance aux autres.nnBonnes dégustations

nndate : le 02/03/2004 à 22:21nauteur : Thiernsujet : n

Moi aussi j'ai mes producteurs auxquels je reste la plupart du temps fidèle, même si parfois je saute sur une occasion pour goûter. Et c'est vrai qu'en se fiant aux médailles, on est rarement déçu.

nndate : le 03/03/2004 à 01:04nauteur : J-Minsujet : n

Je répondrais comme Thier, quand on veut essayer un nouveau vin ou un nouveau producteur, on a tendance à se fier aux médailles, après il est évident que tous les concours n'ont pas les mêmes valeurs !!

nnnLe guide 2004 des routes du comté est parunndate : le 26/02/2004 à 15:10nauteur : J-Minsujet : Le guide 2004 des routes du comté est parun

Le guide gratuit 2004 des routes du comté entièrement remis à jour est dès à présent disponible. nnnEdité à 200.000 exemplaires, ce guide d'accueil de 60 pages couleurs (format 10,5 X 21 cm) contient toutes les informations nécessaires à la réussite de son séjour touristique et gastronomique dans le Massif du Jura (Ain, Doubs, Jura). Cette année, le guide présente en détail 57 fermes de découverte dont la plupart sont membres des réseaux " Bienvenue à la ferme " et " Accueil paysan ", 91 fruitière à comté ouvertes à la visite et six caves d'affinage de la zone AOC comté accueillant du public.nnnLe guide contient également un large éventail d'adresses utiles : Logis de France, Gîte de France, Grandes Traversées du Jura, centre de vacances Franche-Montagne, Artisans Créateurs, etc.nnnLe guide est disponible gratuitement auprès du comité interprofessionnel du gruyère de comté (tél. 03.84.37.37.00) ou par Internet sur le site http://www.lesroutesducomte.com , rubrique " commander des brochures "n

nndate : le 26/02/2004 à 16:25nauteur : Thiernsujet : n

Tiens quel heureux hasard, je l'ai reçu hier par la Poste : comme j'avais commandé le guide 2003, ils m'ont envoyé celui de cette année et en double SVP ! Je t'en amène un ce soir à Bonal J-Mi ? Il est vraiment très bien fait.

nndate : le 26/02/2004 à 17:49nauteur : J-Minsujet : n

Si tu veux !! nEt moi en échange je te ramène des autocollants, ton stock baisse à vue d'oeil !!

nndate : le 26/02/2004 à 18:29nauteur : Thiernsujet : n

C'est justement ce que je voulais te demander... OK ça marche !

nnnL'agriculture comtoise, côté gastronomienndate : le 26/02/2004 à 12:27nauteur : J-Minsujet : L'agriculture comtoise, côté gastronomien

Fromages, salaisons, vin, mais aussi bière ou chocolats représenteront la Franche-Comté au salon de l'agriculture de Paris, qui ouvrira samedi.nnLe Salon de l'agriculture se déroulera à Paris du samedi 28 février au dimanche 7 mars. Le comité de promotion des produits de Franche-Comté y présentera les spécialités régionales à travers un programme varié. Pour la première fois depuis cinq ans, un restaurant tenu par un chef franc-comtois, Emmanuel Artaud, de Beaufort dans le Jura, permettra aux visiteurs de découvrir, humer et déguster les spécialités culinaires de la région. En revanche, comme les années précédentes, un espace de 320 m², sous la forme d'une fruitière traditionnelle en bois, est consacré à la Franche-Comté et se répartit selon trois familles de produits : les fromages, les salaisons et les vins. Dans ce stand, des producteurs de la région viendront tous les jours faire déguster leurs productions locales ou régionales. Le syndicat de défense du fromage Mont-d'or expliquera au public ce qu'il faut savoir sur l'authentique fromage du Haut-Doubs, dont le nom vient de la plus haute montagne du département. Il a obtenu son appellation d'origine contrôlée en 1981. Le Mont-d'or est fabriqué du 15 août au 15 mars et consommé entre le 10 septembre et le 10 mai. Les syndicats du comté, du morbier et de l'emmental ou du bleu seront également présents sous la fruitière, pour assurer la promotion de leurs produits.nnUne bière fumée au tuyénnLa brasserie Rouget-de-Lisle de Lons-le-Saunier, présente tous les ans au salon, profite cette année d'être à Paris pour lancer deux nouvelles bières : " une bière ambrée fumée " où l'orge a été fumée dans un tuyé, cette cheminée qui sert, dans le Haut-Doubs, à fumer les jambons, et qui lui donne un petit goût de fumée ; et " une bière à la farine de gaude " (mais grillé) ce qui lui donne un arôme d'amande grillée. Cette brasserie, artisanale pendant de nombreuses années, est passée à un stade professionnel l'an dernier. Bruno Mangin, dirigeant de cette entreprise, vient au salon depuis sept ans. Son plus grand plaisir est de servir une vraie bière jurassienne aux Parisiens. Les vins du Jura, comme tous les ans, seront bien présents sur le salon. La maison Henri Maire, dont l'Arbois rouge AOC a été médaillé d'argent lors du concours général du salon l'année dernière, lance cette année une cuvée Napoléon en Arbois blanc, corail et rubis. En effet, Napoléon a été sacré empereur en 1804 et, 200 ans après, Henri Maire a voulu marquer l'événement comme il l'a déjà fait pour le centenaire de Victor Hugo.nnUn Savagnin naturé 2000 jaunennLe producteur Château Béthanie de la Fruitière vinicole d'Arbois (quatre vins médaillés au concours général agricole) arrive à Paris avec une nouvelle bouteille : la " Réserve de chasse 2002 ", vin du cépage Trousseau, idéal pour les mets d'hiver à base de gibier. N'oublions pas Rolet père et fils, véritables ambassadeurs des vins du Jura au salon, qui vient à Paris depuis plus de vingt-cinq ans. Aujourd'hui deuxième exploitation viticole jurassienne, ils possèdent une exploitation familiale de 62 hectares répartis parmi les meilleurs coteaux des AOC d'Arbois. Et Jacques Tissot, qui exploite 30 hectares, présentera au salon un Arbois " Savagnin naturé 2000 " jaune et frais. Au stand de la Franche-Comté seront également présents : les salaisons avec Faivre et Guy Barbier de Pont-de-Roide, et le Belfortain Alain Dal Gobbo, qui offrira ses petites montbéliardes ou ses morceaux de comté en chocolat. Un espace partenaire et découverte accueille le Comité régional du Tourisme de Franche-Comté avec sa filière tourisme de gastronomie et terroir, ainsi que " Bienvenue à la Ferme " avec logement et dégustation chez l'habitant. D'ailleurs, tous les jours, se déroulera un jeu concours sous forme de quiz sur la Franche-Comté, et le public pourra découvrir à cette occasion les miels, les fruits et légumes, les vins de pays et les fromages de chèvres de Franche-Comté.nnSource : http://www.lepays.net

nnnUne recette bien......net !!nndate : le 23/02/2004 à 16:13nauteur : J-Minsujet : Une recette bien......net !!n

ESCALOPES DE VEAU COMTOISEnnINGRéDIENTS pour 6 convivesn n6 Escalopes de veau n3 Cuill à S d'huile n100 G de champignons de Paris cuits n6 Tranches de jambon cru fumé n100 G de gruyère râpé n10 Cl de crème fraîche, Sel, Poivre nnPRéPARATION nSaler et poivrer les escalopes, les faire dorer dans l'huile dans une poêle, 10 min de chaque côté. nnLes recouvrir de jambon cru et du gruyère râpé. nnLes placer dans un plat allant au four, réserver au chaud. nnDans la poêle ajouter les champignons émincés et la crème fraîche. Saler, poivrer. Laisser cuire doucement 4 min. nnAssaisonner et napper les escalopes. Servir chaud.nnLe lien pour voir la jolie photo :nnhttp://cuisine-collection.ifrance.com/cuisine-collection/fichiers/f1291.htmn

[Mitch]

Restosrnrndate : le 22/02/2004 à 01:30rnauteur : Samrnsujet : Restosrn

Salut à tous. n Pour ma première participation à ce forum, pour les amateurs de bonne bouffe (et j'ai cru comprendre qu'il y en avait !) j'aimerai vous indiquer quelques bonnes adresses de restos à cuisine essentiellement comtoise dans le secteur de Morteau :nn- L'Auberge de la Combe Geai : sortie Morteau direction la Suisse. Les roëstis y sont excellentes ! Petit bémol, beaucoup de monde, préférable de réserver.n- L'Auberge du Charron : Sur les hauteurs du Val, à proximité des pistes de ski du secteur Le Chauffaud- Le Gardot. Idéal après l'effort. Cadre agréable, ancienne ferme, cuisine de qualité.n- L'Auberge du Chateleu sur le mont du même nom. Un coin tranquille, certe un peu perdu mais le cadre vaut le détour. Un peu du même type que l'auberge précédente.n- Pour ceux qui recherche une cuisine plus "conventionnelle" (et qui en ont les moyens !!!), je propose l'Auberge de La Roche "Chez Feufeu", sortie Morteau direction Pontarlier. Cuisine très raffinée, d'excellente qualité.nnPour terminer, je vous conseille un endroit super sympa sur le Mont d'Or, ça s'appelle "La Petite Echelle", un petit gite d'alpage où on mange à la lueur de la bougie dans un coin super calme et très beau. Toutefois, je le déconseille pour les amateurs de grand confort : ancien relais d'Alpage, à proximité des vaches, mobilier rustique. Bref un site tel que je les aime.nnSur ce, bon appétit !!!

nndate : le 22/02/2004 à 11:10nauteur : olifnsujet : n

Dans le même style, on peut recommander l'Auberge de la Perdrix, à Hauterive la Fresse, entre Les Gras et Pontarlier. Cuisine simple et régionale, cadre hyper sympa, au pied des pistes de fond avec quelques chambres pour dormir. Il y a également un gîte que l'on peut louer, juste à côté, et l'observatoire du ciel du club de Pontarlier. On peut donc dormir aussi la tête dans les étoiles! De préférence pas en hiver! :gogol: nnOlifnn

nndate : le 22/02/2004 à 11:13nauteur : Thiernsujet : n

Bienvenue à toi Sam le Mortuacien et un grand Merci pour toutes ces adresses qui correspondent tout à fait aux restaurants que nous avons envie de faire connaître par le biais du site.nCela tombe bien, car la rubriques "restos" (dans "Sortir") est l'une des plus poussiéreuses du site et nous avons prévu d'y donner un sérieux coup de balai : nous avons l'intention de nous spécialiser dans la gastronomie comtoise en essayant de dresser un panorama des meilleures tables, aux quatre coins de la région (et aussi en France), sans pour autant fermer les yeux sur les autres cuisines : on ne va quand même pas manger des roëstis tous les jours ! :;)nSi tu veux nous aider à empoigner le manche, tu es le bienvenu : l'idéal serait que tu nous donnes les cartes de visites des restos que tu cites... et d'inviter le Comité de dégustation de cancoillotte.net à goûter sur place !!! nnPS : Perle : à ce propos, tes adresses culinaires ne sont pas perdues, mais tu sais qu'actuellement, nous avons d'autres axes de travail à développer !

nndate : le 22/02/2004 à 11:24nauteur : Thiernsujet : n

Olif : nous avons posté nos réponses à Sam en même temps et le contenu de mon message s'adresse aussi à toi. En effet, pour dresser un inventaire de bonnes adresses comtoises, il est indispensable de rassembler des Comtois de tous les départements, ayant la même passion pour leur terroir et l'envie de la partager. Or, actuellement, notre liste de restos est beaucoup trop ciblée Nord-Franche-Comté, région dont les fondateurs du site sont issus.nnJe vous rappelle par la même occasion, qu'il existe une rubrique "Présentations" sur ce Forum, permettant de mieux nous connaître, en particulier "géographiquement".nnPS : Ton avatar en dit beaucoup sur toi Olif !

nndate : le 22/02/2004 à 23:50nauteur : Samnsujet : n

Pour la dégustation, pas de problème, je veux bien faire le guide sur place !!! A mon avis, il faut prévoir ça sur plusieurs jours si vous voulez faire le tour !!!! nnEn contrepartie, je n'ai aucune objection à ce que vous me fassiez découvrir d'autres bonnes adresses !!!

nnnLe triomphe de l'hiver comtoisnndate : le 20/02/2004 à 10:40nauteur : olifnsujet : Le triomphe de l'hiver comtoisn

Dans le n°96 de Cuisine et Vins de France de février 2004, l'hiver comtois est à l'honneur au travers d'un petit article dans la rubrique :"Le Meilleur de la France".nnDécoupage de la région un peu curieux, puisque si le sujet semblait être le massif du Jura, l'hiver et la neige, de Saint-Claude à Morteau, les auteurs font une petite excursion par Arbois, Poligny et Lavans-Vuillafans! nnCe qui permet quand même de rajouter quelques bonnes adresses au carnet (Domaine de la Tournelle, La Balance Mets et Vins et Hirsinger en Arbois)! Et bien sûr, le Trou de Souris à Pontarlier, le roi du fromage qui dispose d'un rayon vins particulièrement fourni!nnhttp://www.cuisineetvinsdefrance.com/nnOlif