Bon, un petit mot vite fait sue ce Rolling Saône, quand même. Un grand cru, à mon avis, et un beau succès en terme de fréquentation, parce que samedi soir, le festival a fait le plein, je pense!
Rien à dire sur le faux bond de la Grande Sophie le vendredi, je l'ai manqué aussi! Heureusement qu'Aldebert était là pour me remplacer!
Le samedi, j'ai également loupé Valium, mais je n'étais pas en manque. Bien goûté au reggae de Legalizik, par contre, plutôt sympa.
Les adieux de Daisybox à la scène furent émouvants, même si je n'avais pas suivi l'actualité du groupe de façon assidue. Du rock en français plutôt bien léché, joué parfois de façon un peu mécanique, mais un petit frisson sur les derniers morceaux, à partir de "Les mains dans les poches", où ils se sont lâchés un peu.
Superbus a assuré grave, par contre. Jennifer Ayache, c'est de la bombe! Elle a enflammé les teen-agers du 1er rang! Les papys, derrière, ils n'avaient même pas besoin de se mettre sur la pointe des pieds pour voir se trémousser la belle et ne pas la quitter des yeux!

Du live un peu plus pêchu que l'album, heureusement, un peu moins variétoche. Du coup, ça m'a réconcilié. Jéromine était contente, moi aussi. On est repartis avec une affiche et un tee-shirt Lova Lova!
La suite, ce fut devant une pizza et un verre, désolé pour les autres groupes!
Aperçu l'ami Rolling Saône, mais je n'avais pas mis mon tee-shirt Cancoillotte, alors je n'ai pas voulu le déranger, surtout qu'il était fort occupé à dépendre une brochette d'andouilles grimpée sur des échafaudages.
Le festival semble monter en puissance et devrait devenir un incontournable de la saison prochaine. Bravo aux organisateurs!
Olif