Faut-il s'inquièter ?
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Faut-il s'inquièter ?
Suite à la rumeur d'une forte tempète localisée dans le sud de la France, annoncée hier sur ce site, je me rends compte, aujourd'hui, qu'il n'y a aucune nouvelle relative à cela à la radio. Faut-il croire que cette tempète, déclarée très localisée, ravagea une ville, en Poussan un peu le bouchon, tellement rapidement, que personne ne pu donner l'alerte. Cette ville perdue dans la garrigue, et donc isolée du monde, n'existe peut-être plus à l'heure actuelle. J'éspère tout de même qu'il y ait des survivants à ce drame, et que ceux-ci nous donnerons bientôt des nouvelles... Sinon, je ne crains qu'il ne faille prévenir les autorités, qui n'ont pas l'air avisé de ce qui est, je le répète, une catastrophe pseudo-humaine....
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Re: Faut-il s'inquièter ?
Maintenant, on sait qui est le boulet. 

A bove ante, ab asino retro, a stulto undique caveto.
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Re: Faut-il s'inquièter ?
IL Y A DES SURVIVANTS...... 

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Re: Faut-il s'inquièter ?
Je te le disais bien hier, que 60 noeuds, c'est pas grand chose ici. On est beaucoup plus nombreux ! 

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Re: Faut-il s'inquièter ?
un méchant survivantMoblot a écrit :IL Y A DES SURVIVANTS......


nouvelle série Le survivant de Poussan !!


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Re: Faut-il s'inquièter ?
Je suis rassuré...lionel a écrit :Je te le disais bien hier, que 60 noeuds, c'est pas grand chose ici. On est beaucoup plus nombreux !
FAut-il faire tout de même une collecte ? Qu'avez-vous besoin : saucisses, jambons, cancoillotte.....
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Re: Faut-il s'inquièter ?
Qui c'est qui commence l'histoire.....Domi a écrit :nouvelle série Le survivant de Poussan !!pas dans l'autre sens ........s'il vous pait Pousser pas trop loin le bouchon !!
On pourrait faire cela chacun notre tour, comme un cadare exquis, mais dont on verrait les phrases d'avants tout de même.
ALors, euh, euh .....
" Il était une fois, perdu dans la garrigue, un village qui fut dévasté par une tempête. Il y eut des survivants, dont leur chef, Yoyo le Rouge, ....."
A vous....
Re: Faut-il s'inquièter ?
" Il était une fois, perdu dans la garrigue, un village qui fut dévasté par une tempête. Il y eut des survivants, dont leur chef, Yoyo le Rouge, ....."
... Yoyo le Rouge broyait du noir, tout en regardant son frigo blanc éventré. Ça carburait à fond sous sa casquette jaune à petits pois fuchsia. Et tandis que, tel Dali dans une période d'intense cogitation, Yoyo faisait tourner le bout des moustaches poivre et sel, des journalistes télévisuels, accourus par milliers à l'annonce de la catastrophe, pouvaient constater que des gouttes de rage perlaient sous les aisselles malodorantes du chef de la tribu meurtrie : Le beurre (le "") avait-il survécu au carnage de Dâme Nature, qui, dans sa furie aveugle, avait déjà dévasté le stock entier de SJ du sous-sol ?
... Yoyo le Rouge broyait du noir, tout en regardant son frigo blanc éventré. Ça carburait à fond sous sa casquette jaune à petits pois fuchsia. Et tandis que, tel Dali dans une période d'intense cogitation, Yoyo faisait tourner le bout des moustaches poivre et sel, des journalistes télévisuels, accourus par milliers à l'annonce de la catastrophe, pouvaient constater que des gouttes de rage perlaient sous les aisselles malodorantes du chef de la tribu meurtrie : Le beurre (le "") avait-il survécu au carnage de Dâme Nature, qui, dans sa furie aveugle, avait déjà dévasté le stock entier de SJ du sous-sol ?
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Re: Faut-il s'inquièter ?
Moblot" Il était une fois, perdu dans la garrigue, un village qui fut dévasté par une tempête. Il y eut des survivants, dont leur chef, Yoyo le Rouge, ....
Perle39"... Yoyo le Rouge broyait du noir, tout en regardant son frigo blanc éventré. Ça carburait à fond sous sa casquette jaune à petits pois fuchsia. Et tandis que, tel Dali dans une période d'intense cogitation, Yoyo faisait tourner le bout des moustaches poivre et sel, des journalistes télévisuels, accourus par milliers à l'annonce de la catastrophe, pouvaient constater que des gouttes de rage perlaient sous les aisselles malodorantes du chef de la tribu meurtrie : Le beurre (le "") avait-il survécu au carnage de Dâme Nature, qui, dans sa furie aveugle, avait déjà dévasté le stock entier de SJ du sous-sol ?...............suite
le principal c'est qu'il était en vie peut importe ce qui lui restait, il avait survécu cela le réconfortait au fond de lui , lui le fière et Authentique Yoyo le Rouge, pourrais ton dorénavant douter de son autoriser sur sa tribut?
Ça pupille se dilatait à l'idée qu'il pourrait bientôt avoir plein pouvoir sur toute la garrigue, personne ne pourrait plus lui consterner son autoriser m^me le Beuillot, celui qui bien des fois l'avait mis à nu , se rappelant de cela de grosses gouttes de sueurs coulât sur son front comme si elles sortaient de sa vieille casquette jaune à pois fuchsia !
Ah !! il là tenait sa revanche et peut importe la perte de son stock de SJ ..............le Beuillot n'aurais plus .........
Perle39"... Yoyo le Rouge broyait du noir, tout en regardant son frigo blanc éventré. Ça carburait à fond sous sa casquette jaune à petits pois fuchsia. Et tandis que, tel Dali dans une période d'intense cogitation, Yoyo faisait tourner le bout des moustaches poivre et sel, des journalistes télévisuels, accourus par milliers à l'annonce de la catastrophe, pouvaient constater que des gouttes de rage perlaient sous les aisselles malodorantes du chef de la tribu meurtrie : Le beurre (le "") avait-il survécu au carnage de Dâme Nature, qui, dans sa furie aveugle, avait déjà dévasté le stock entier de SJ du sous-sol ?...............suite
le principal c'est qu'il était en vie peut importe ce qui lui restait, il avait survécu cela le réconfortait au fond de lui , lui le fière et Authentique Yoyo le Rouge, pourrais ton dorénavant douter de son autoriser sur sa tribut?
Ça pupille se dilatait à l'idée qu'il pourrait bientôt avoir plein pouvoir sur toute la garrigue, personne ne pourrait plus lui consterner son autoriser m^me le Beuillot, celui qui bien des fois l'avait mis à nu , se rappelant de cela de grosses gouttes de sueurs coulât sur son front comme si elles sortaient de sa vieille casquette jaune à pois fuchsia !
Ah !! il là tenait sa revanche et peut importe la perte de son stock de SJ ..............le Beuillot n'aurais plus .........
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Re: Faut-il s'inquièter ?
Qu'à bien se tenir, se cacher dans sa ville perdu de l'est de la france. Un rictus commença à poindre sur les commissures de ces levres. Puis il eructa d'une force terrible, qui fit tremler les pans de mur encore debout.... C'était lui le chef, il venait de s'exprimer ainsi, afin d'assoir encore plus sa puissance de mâle dominant. Il s'avança parmis ses sujets, qui tremblaient devant son pas lourd...Domi a écrit :
le principal c'est qu'il était en vie peut importe ce qui lui restait, il avait survécu cela le réconfortait au fond de lui , lui le fière et Authentique Yoyo le Rouge, pourrais ton dorénavant douter de son autoriser sur sa tribut?
Ça pupille se dilatait à l'idée qu'il pourrait bientôt avoir plein pouvoir sur toute la garrigue, personne ne pourrait plus lui consterner son autoriser m^me le Beuillot, celui qui bien des fois l'avait mis à nu , se rappelant de cela de grosses gouttes de sueurs coulât sur son front comme si elles sortaient de sa vieille casquette jaune à pois fuchsia !
Ah !! il là tenait sa revanche et peut importe la perte de son stock de SJ ..............le Beuillot n'aurais plus .........
La nuit allait tomber. Une onde parcouru la garririgue, faisant frémir les mostaches de Yoyo le rouge, ses narines frémisserent. Et sa superbe commença à s'effacer : il venait de sentir la présence du Gros René......................suite
- lionel
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Re: Faut-il s'inquièter ?
Alors, là, c'est vraiment n'importe nawouak !Domi a écrit : m^me le Beuillot, celui qui bien des fois l'avait mis à nu

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Re: Faut-il s'inquièter ?
Car si Yoyo le Rouge règnait sans partage sur son peuple, la garrigue toute entière appartenait au Gros R'né. Yoyo le Rouge tremblait à l'idée de devoir un jour l'affronter, car il sentait que ce combat serait cause perdue. Rien ni personne n'avait jamais eu raison du gros R'né, tellement puissant qu'il pouvait encercler Poussan à lui seul, tellement rapide qu'il pouvait, de nulle part, fondre sur sa proie qui n'avait aucune chance. Il n'existait pas de témoin vivant d'une attaque du Gros R'né.
Jamais les habitants de Poussan ne se risquaient dans la garrigue après la tombée du jour et, lorsque le soleil était encore haut dans le ciel, ils ne le faisaient qu'en cas d'absolue nécéssité, se déplaçant au minimum par deux, toujours dos à dos, tous les sens en éveil, prêts à détaler à la moindre alerte en jetant derrière eux des chèvres gonflables pour ralentir la progression de la bête en détournant, entre autres, son attention.
Cette fois, Yoyo sentait que le Gros R'né n'avait jamais été aussi proche de Poussan. Il allait certainement profiter des dégats infligés par la tempête aux hautes murailles qui protégeaient le fief de Yoyo le Rouge pour y pénétrer, profiter du stock de beurre sauvé des intempéries (et il se moquait bien qu'il soit salé ou non), et ainsi profiter de ce qu'une grande partie de la population avait été décimée pour anéantir les survivants. Mais surtout, il allait provoquer leur chef en combat singulier.
Yoyo le rouge savait que, cette fois, il ne pourrait éviter le combat. Il n'y avait plus pour lui que deux destins possibles : périr ou devenir maître de la garrigue. L'éventualité de la défaite le déchirait intérieurement, et cette crainte n'était pas sans fondement.
A suivre...
Jamais les habitants de Poussan ne se risquaient dans la garrigue après la tombée du jour et, lorsque le soleil était encore haut dans le ciel, ils ne le faisaient qu'en cas d'absolue nécéssité, se déplaçant au minimum par deux, toujours dos à dos, tous les sens en éveil, prêts à détaler à la moindre alerte en jetant derrière eux des chèvres gonflables pour ralentir la progression de la bête en détournant, entre autres, son attention.
Cette fois, Yoyo sentait que le Gros R'né n'avait jamais été aussi proche de Poussan. Il allait certainement profiter des dégats infligés par la tempête aux hautes murailles qui protégeaient le fief de Yoyo le Rouge pour y pénétrer, profiter du stock de beurre sauvé des intempéries (et il se moquait bien qu'il soit salé ou non), et ainsi profiter de ce qu'une grande partie de la population avait été décimée pour anéantir les survivants. Mais surtout, il allait provoquer leur chef en combat singulier.
Yoyo le rouge savait que, cette fois, il ne pourrait éviter le combat. Il n'y avait plus pour lui que deux destins possibles : périr ou devenir maître de la garrigue. L'éventualité de la défaite le déchirait intérieurement, et cette crainte n'était pas sans fondement.
A suivre...
Si j'y suis t'été, c'est pas pour y rêtre.
Comme ça. Pour rien.
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Re: Faut-il s'inquièter ?
Il était une fois, perdu dans la garrigue, un village qui fut dévasté par une tempête. Il y eut des survivants, dont leur chef, Yoyo le Rouge, ....."
Yoyo le Rouge broyait du noir, tout en regardant son frigo blanc éventré. Ça carburait à fond sous sa casquette jaune à petits pois fuchsia. Et tandis que, tel Dali dans une période d'intense cogitation, Yoyo faisait tourner le bout des moustaches poivre et sel, des journalistes télévisuels, accourus par milliers à l'annonce de la catastrophe, pouvaient constater que des gouttes de rage perlaient sous les aisselles malodorantes du chef de la tribu meurtrie : Le beurre (le " vrai") avait-il survécu au carnage de Dâme Nature, qui, dans sa furie aveugle, avait déjà dévasté le stock entier de SJ du sous-sol ?
le principal c'est qu'il était en vie peut importe ce qui lui restait, il avait survécu cela le réconfortait au fond de lui , lui le fière et Authentique Yoyo le Rouge, pourrais ton dorénavant douter de son autoriser sur sa tribut?
Ça pupille se dilatait à l'idée qu'il pourrait bientôt avoir plein pouvoir sur toute la garrigue, personne ne pourrait plus lui consterner son autoriser m^me le Beuillot, celui qui bien des fois l'avait mis à nu , se rappelant de cela de grosses gouttes de sueurs coulât sur son front comme si elles sortaient de sa vieille casquette jaune à pois fuchsia !
Ah !! il là tenait sa revanche et peut importe la perte de son stock de SJ ..............le Beuillot n'aurais plus ...
Qu'à bien se tenir, se cacher dans sa ville perdu de l'est de la France. Un rictus commença à poindre sur les commissures de ces lèvres. Puis il éructa d'une force terrible, qui fit trembler les pans de mur encore debout.... C'était lui le chef, il venait de s'exprimer ainsi, afin d'assoir encore plus sa puissance de mâle dominant. Il s'avança parmi ses sujets, qui tremblaient devant son pas lourd...
La nuit allait tomber. Une onde parcouru la garrigue, faisant frémir les moustaches de Yoyo le rouge, ses narines frémissement. Et sa superbe commença à s'effacer : il venait de sentir la présence du Gros René...................
Car si Yoyo le Rouge régnait sans partage sur son peuple, la garrigue toute entière appartenait au Gros R'né. Yoyo le Rouge tremblait à l'idée de devoir un jour l'affronter, car il sentait que ce combat serait cause perdue. Rien ni personne n'avait jamais eu raison du gros R'né, tellement puissant qu'il pouvait encercler Poussan à lui seul, tellement rapide qu'il pouvait, de nulle part, fondre sur sa proie qui n'avait aucune chance. Il n'existait pas de témoin vivant d'une attaque du Gros R'né.
Jamais les habitants de Poussan ne se risquaient dans la garrigue après la tombée du jour et, lorsque le soleil était encore haut dans le ciel, il ne le faisaient qu'en cas d'absolue nécessité, se déplaçant au minimum par deux, toujours dos à dos, tous les sens en éveil, prêts à détaler à la moindre alerte en jetant derrière eux des chèvres gonflables pour ralentir la progression de la bête en détournant, entre autres, son attention.
Cette fois, Yoyo sentait que le Gros R'né n'avait jamais été aussi proche de Poussan. Il allait certainement profiter des dégâts infligés par la tempête aux hautes murailles qui protégeaient le fief de Yoyo le Rouge pour y pénétrer, profiter du stock de beurre sauvé des intempéries (et il se moquait bien qu'il soit salé ou non), et ainsi profiter de ce qu'une grande partie de la population avait été décimée pour anéantir les survivants. Mais surtout, il allait provoquer leur chef en combat singulier.
Yoyo le rouge savait que, cette fois, il ne pourrait éviter le combat. Il n'y avait plus pour lui que deux destins possibles : périr ou devenir maître de la garrigue. L'éventualité de la défaite le déchirait intérieurement, et cette crainte n'était pas sans fondement
Enlevant doucement sa vielle casquette fuchsia Yoyo le Rouge se gratta le haut du crâne et pendant quelque instant se rappela tout ses moments intense passer dans son village Poussan, il se rappela que personne ne lui avait jamais contester son autorité à part le Beuillot, ce souvient aussi des rencontre en Gros R'nè est lui elle n'avait été toujours brèves et concis ,car ses deux mâles se respectaient mutuellement , chacun ayant son territoire!
Mais depuis cette tempête la donne avait changer , le peuple de Yoyo le Rouge avait été décimé il ne lui restait plus de beurre , nourriture indispensable qui lui procurait une sorte de jouissance lorsqu'il en mangeait , il se sentait alors invisible!le peuple le craignait à cause de cette force , lui Yoyo le Rouge , petit homme, flèle , seul ces moustaches poivre et sel lui donnait un air de dominateur , ce trait était marque par sa vielle casquette , symbole d'une royauté bientôt déchue!
Et oui serait il bientôt déchue de sa position de chef ? Serait il un roi sans trône? Sans peuple?
Qu'allait 'il faire ? n'avait il pas surmonter jusqu'à maintenant des situations plus terrible?pourrait 'i l s'allier avec le Beuillot celui qui avait su toujours le mettre à nu pour venir à bout du Gros R'né?
Reposant doucement sa casquette sur son crane dénuder , les pupilles dilatantes , un léger rictus des lèvres lui donnait un air d'un conquérant , et oui pensa' il n'est il pas Yoyo Le Rouge , jamais personne n'a douter de sa souveraineté , et ce n'est pas Gros R'né qui le ferra aujourd'hui . celui là n'est pas encore née pensa t'il !
D'un pas décider il se dirigea …............
Yoyo le Rouge broyait du noir, tout en regardant son frigo blanc éventré. Ça carburait à fond sous sa casquette jaune à petits pois fuchsia. Et tandis que, tel Dali dans une période d'intense cogitation, Yoyo faisait tourner le bout des moustaches poivre et sel, des journalistes télévisuels, accourus par milliers à l'annonce de la catastrophe, pouvaient constater que des gouttes de rage perlaient sous les aisselles malodorantes du chef de la tribu meurtrie : Le beurre (le " vrai") avait-il survécu au carnage de Dâme Nature, qui, dans sa furie aveugle, avait déjà dévasté le stock entier de SJ du sous-sol ?
le principal c'est qu'il était en vie peut importe ce qui lui restait, il avait survécu cela le réconfortait au fond de lui , lui le fière et Authentique Yoyo le Rouge, pourrais ton dorénavant douter de son autoriser sur sa tribut?
Ça pupille se dilatait à l'idée qu'il pourrait bientôt avoir plein pouvoir sur toute la garrigue, personne ne pourrait plus lui consterner son autoriser m^me le Beuillot, celui qui bien des fois l'avait mis à nu , se rappelant de cela de grosses gouttes de sueurs coulât sur son front comme si elles sortaient de sa vieille casquette jaune à pois fuchsia !
Ah !! il là tenait sa revanche et peut importe la perte de son stock de SJ ..............le Beuillot n'aurais plus ...
Qu'à bien se tenir, se cacher dans sa ville perdu de l'est de la France. Un rictus commença à poindre sur les commissures de ces lèvres. Puis il éructa d'une force terrible, qui fit trembler les pans de mur encore debout.... C'était lui le chef, il venait de s'exprimer ainsi, afin d'assoir encore plus sa puissance de mâle dominant. Il s'avança parmi ses sujets, qui tremblaient devant son pas lourd...
La nuit allait tomber. Une onde parcouru la garrigue, faisant frémir les moustaches de Yoyo le rouge, ses narines frémissement. Et sa superbe commença à s'effacer : il venait de sentir la présence du Gros René...................
Car si Yoyo le Rouge régnait sans partage sur son peuple, la garrigue toute entière appartenait au Gros R'né. Yoyo le Rouge tremblait à l'idée de devoir un jour l'affronter, car il sentait que ce combat serait cause perdue. Rien ni personne n'avait jamais eu raison du gros R'né, tellement puissant qu'il pouvait encercler Poussan à lui seul, tellement rapide qu'il pouvait, de nulle part, fondre sur sa proie qui n'avait aucune chance. Il n'existait pas de témoin vivant d'une attaque du Gros R'né.
Jamais les habitants de Poussan ne se risquaient dans la garrigue après la tombée du jour et, lorsque le soleil était encore haut dans le ciel, il ne le faisaient qu'en cas d'absolue nécessité, se déplaçant au minimum par deux, toujours dos à dos, tous les sens en éveil, prêts à détaler à la moindre alerte en jetant derrière eux des chèvres gonflables pour ralentir la progression de la bête en détournant, entre autres, son attention.
Cette fois, Yoyo sentait que le Gros R'né n'avait jamais été aussi proche de Poussan. Il allait certainement profiter des dégâts infligés par la tempête aux hautes murailles qui protégeaient le fief de Yoyo le Rouge pour y pénétrer, profiter du stock de beurre sauvé des intempéries (et il se moquait bien qu'il soit salé ou non), et ainsi profiter de ce qu'une grande partie de la population avait été décimée pour anéantir les survivants. Mais surtout, il allait provoquer leur chef en combat singulier.
Yoyo le rouge savait que, cette fois, il ne pourrait éviter le combat. Il n'y avait plus pour lui que deux destins possibles : périr ou devenir maître de la garrigue. L'éventualité de la défaite le déchirait intérieurement, et cette crainte n'était pas sans fondement
Enlevant doucement sa vielle casquette fuchsia Yoyo le Rouge se gratta le haut du crâne et pendant quelque instant se rappela tout ses moments intense passer dans son village Poussan, il se rappela que personne ne lui avait jamais contester son autorité à part le Beuillot, ce souvient aussi des rencontre en Gros R'nè est lui elle n'avait été toujours brèves et concis ,car ses deux mâles se respectaient mutuellement , chacun ayant son territoire!
Mais depuis cette tempête la donne avait changer , le peuple de Yoyo le Rouge avait été décimé il ne lui restait plus de beurre , nourriture indispensable qui lui procurait une sorte de jouissance lorsqu'il en mangeait , il se sentait alors invisible!le peuple le craignait à cause de cette force , lui Yoyo le Rouge , petit homme, flèle , seul ces moustaches poivre et sel lui donnait un air de dominateur , ce trait était marque par sa vielle casquette , symbole d'une royauté bientôt déchue!
Et oui serait il bientôt déchue de sa position de chef ? Serait il un roi sans trône? Sans peuple?
Qu'allait 'il faire ? n'avait il pas surmonter jusqu'à maintenant des situations plus terrible?pourrait 'i l s'allier avec le Beuillot celui qui avait su toujours le mettre à nu pour venir à bout du Gros R'né?
Reposant doucement sa casquette sur son crane dénuder , les pupilles dilatantes , un léger rictus des lèvres lui donnait un air d'un conquérant , et oui pensa' il n'est il pas Yoyo Le Rouge , jamais personne n'a douter de sa souveraineté , et ce n'est pas Gros R'né qui le ferra aujourd'hui . celui là n'est pas encore née pensa t'il !
D'un pas décider il se dirigea …............
Re: Faut-il s'inquièter ?
Vers le cendrier et y écrasa son joint...
Ok, j'me casse...
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- obelix
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Re: Faut-il s'inquièter ?
Solem lucerna non ostenderent
- Moblot
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Re: Faut-il s'inquièter ?
composé d'herbes de sa garrigue, qu'il n'allait peut-être plus jamais revoir, herbes patiemment cueillies puis sèchées. Il avait fumé pour ce donner un peu plus de courage, s'embrouiller aussi l'esprit, afin de ne plus trop pensé au sort cruel qui l'attendait cette nuit. Et cri lugubre le fit sursauté. sa mousatache se frisa. La bête s'approchait, inexorablement.Karine a écrit :Vers le cendrier et y écrasa son joint.....
Yoyo le Rouge, ayant gardé un peu de lucidité, plongeat dans une barrique d'huile d'olive, puis ce roula dans du parmesan rapé, cette sciure dont il n'aurait plus l'utilité pour accommoder ses chères Saint-Jacques, irrémédiablement perdues dans les ruines de sa maison. Puis il alla se placer devant le feu, pour faire secher cela. Il recommença ainsi plusieurs fois cette opération, jusqu'à être presque entièrement recouvert d'une croute épaisse, qu'il pensait protectrice. Mais chaque fois qu'il s'était placé devant le feu, l'odeur de gratiné, qui lui rappelait tant ses coquillages adorés, lui faisait monter des larmes, qui s'écoulaient des ses yeux jaunis, le long de ses joues rugueuses et piquantes, se perdant parmi les poils hirsutes de sa barbe de deux jours.
Pendant ce tant, à plusieurs noeuds de là, dans un café enfumé, ne ce doutant pas de ce qui allait ce passer dans la garrigue, le Beuillot sirotait tranquillement un cocktail de sa composition, en compagnie de..........
- Domi
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Re: Faut-il s'inquièter ?
et il sorti de ce qui restait de sa hutte , la tête encore embué par les vapeurs du cannabis , il marcha d'un pas décider vers la grotte du Beuillot , déterminée à sans faire un allier!Karine a écrit :Vers le cendrier et y écrasa son joint...
Dés son arrivé ; il aperçu le Beuillot occuper à cacher quelques choses à terre ! après maintes précaution Yoyo Le Rouge s'approcha pour ne pas surprendre la Bête !
il le savait un Beuillot surprit peut être dangereux il en avait fait l'expérience plusieurs fois et son corps chétif en avait encore les stigmates!!
QUe cachait il ? il comprit en apercevant l'emballage , il s'agissait de son précieux beurre salé, il n'avait pas été perdu pour tout le monde !! repensant à ses moment de jouissance , d'invincibilité lorsqu'il en consommait , il se laissa à l'idée de sauté sur le Beuillot pour reprendre se qui lui appartenait!
Mais son instinct le retint , en effet............
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Re: Faut-il s'inquièter ?
Pas de mal....Domi a écrit :houp excuse moi Moblot chasser croiser !!