Recherche sur champ de tir artillerie pontarlier et moulin c
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bonjour à tous
Je suis nouveau sur le site je vis a Paris et je m adresse à vous tous pour m indiquer les sources ( archives,
temoignages, documentation, bibliographie..)relatives au moulin de
chaffois et au champ de tir de l artillerie qui a existé entre
pontarlier et chaffois de 1880 à 1930
Je m engage a vous faire part de la synthese des reponses
merci d avance
PAUL
Je suis nouveau sur le site je vis a Paris et je m adresse à vous tous pour m indiquer les sources ( archives,
temoignages, documentation, bibliographie..)relatives au moulin de
chaffois et au champ de tir de l artillerie qui a existé entre
pontarlier et chaffois de 1880 à 1930
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PAUL
- olif
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Rhhoooo! Elle ne sait pas où est Chaffois! Ben près de Pontarlier, pardi! Chaffois est pour l'instant célèbre pour son Festival de la Paille, même si ça ne durera peut-être pas éternellement, elle est un peu mouillée en ce moment.Message original: Karine
Bienvenue à toi !
Désolée, je ne pourrai pas t'aider... j'sais même pas où c'est Chaffois !
Concernant le moulin de Chaffois, je ne vois pas vraiment de quoi il peut s'agir. Et le champ de tir non plus! Mais bon, je ne suis pontissalien que depuis à peine 20 ans et je n'étais pas né en 1930!
Désolé...
Olif
"- A Chaux, il n'y a que des murets!
- Des murets agricoles?
- Des murets agricoles!"
Ben elle est Redde, celle-là!
"Alesia jacta est"
- Des murets agricoles?
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Ben elle est Redde, celle-là!
"Alesia jacta est"
- olif
- Cancoillotte Addict
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J'ai quand même un peu cherché, Karine! Le moulin de Chaffois est en ruines, il se situait au bord du Drugeon et il ne doit vraiment plus en rester grand chose. Il a été le théâtre d'un événement tragique pendant la Révolution, en 1794, où un prêtre s'y était caché avant d'être découvert puis massacré, à ce que j'ai cru comprendre. Ou quelque chose dans le genre! Mais c'est antérieur à la période évoquée par Courtom1!
Olif
Olif
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- Une tartine à chaque repas
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Avant 1914, Pontarlier ne sentait pas que l'absinthe et l'encens, mais aussi la poudre.
Il y avait une école d'artillerie. Les exercices avaient lieu dans la plaine de l'Arlier. Il existe des cartes postales de cette époque. Il me semble que l'école a été ensuite transférée à Valdahon.
Le musée de Pontarlier, ou Les Amis du Musée (même adresse) doivent avoir des choses la-dessus.
D.
Il y avait une école d'artillerie. Les exercices avaient lieu dans la plaine de l'Arlier. Il existe des cartes postales de cette époque. Il me semble que l'école a été ensuite transférée à Valdahon.
Le musée de Pontarlier, ou Les Amis du Musée (même adresse) doivent avoir des choses la-dessus.
D.
- Domi
- Cancoillotte Addict
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Voilà qui pourra peut être d'aider Karine!!Message original: Karine
Bienvenue à toi !
Désolée, je ne pourrai pas t'aider... j'sais même pas où c'est Chaffois !
Chaffois, village de 750 habitants du canton de Pontarlier, est situé au bord de la plaine d'Arlier, un peu à l'écart du Drugeon. Son ancien moulin sur cette rivière non loin de Sainte Colombe, a été le refuge pendant la Révolution de prêtres réfractaires dont Dom Lessus, lâchement dénoncé, jugé et éxécuté à Pontarlier en 1792
Le relief calcaire a donné naissance à plusieurs gouffres dont le "Trou de Jardelles" d'une profondeur de 120 mêtres et dans lequel ont été déversées quelques 3000 tonnes d'obus pendant la Grande Guerre
Le tacot Pontarlier-Besançon faisait halte à Chaffois; la gare située au bas du village est toujours présente
L'église située sur le haut du village a été construite après l'incendie d'un édifice plus ancien qui brûla en 1904De la chapelle du Mont , érigée en 1946 et surplombant le village, on a un joli aperçu de toute la Chaux d'Arlier
http://perso.orange.fr/cpa25/intro_topic37.html
- belenos
- Une tartine à chaque repas
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Bonjour, je comptais la mettre un peu en veilleuse pour ne pas écraser ce forum vivant et réactif, mais il se trouve que Chaffois est à coté de chez moi. Encore un curieux hasard qui va me permettre de justifier ma démarche.
Comme j'essaie de l'affirmer, mes assertions sur notre identité et notre histoire se basent principalement sur l'Archéologie et l'étude des peuplements du massif jurassien et de ses marges.
Voici donc une petite anecdote qui va peut être vous aider sur vos recherches du coté de Pontarlier.
A la fin du 19 e siècle, un jeune officier d'Artillerie faisant exécuter des tirs sur des tertres anodins au pied de Chaffois, dans la plaine marécageuse de l'Arlier, s'est aperçu ayant éventrés ces monticules terreux pierreux que ceux-ci recelaient un mobilier funéraire datant de l'époque celtique. Il fit donc un rapport en règle. Des fouilles s'ensuivirent mais, avec l'armée « la grande muette » impossible d'avoir le moindre résultat de fouille. Il fallut attendre la fin du 20 e siècle pour que quelques érudits locaux entreprennent sérieusement d'ouvrir ces tertres appelés « tumulus » . Dans leur rapport figure la description de tout un mobilier datant parfois de l'age du bronze XI e siècle avant JC ; Voilà donc la preuve irréfutable d'un rituel inconnu jusqu'alors sur ce massif. Je vous joins ce lien
http://www.appeldesmonts-jura.com/pages/VESTIGES.html
Voilà, si vous le désirez, je peux développer sur un forum spécial, je serai peut être plus à mon aise que dans des sujets politique. Bien que l'histoire ayant souvent besoin d'être revisitée, nous engage à la polémique.
http://www.appeldesmonts-jura.com/pages/VESTIGES.html
Comme j'essaie de l'affirmer, mes assertions sur notre identité et notre histoire se basent principalement sur l'Archéologie et l'étude des peuplements du massif jurassien et de ses marges.
Voici donc une petite anecdote qui va peut être vous aider sur vos recherches du coté de Pontarlier.
A la fin du 19 e siècle, un jeune officier d'Artillerie faisant exécuter des tirs sur des tertres anodins au pied de Chaffois, dans la plaine marécageuse de l'Arlier, s'est aperçu ayant éventrés ces monticules terreux pierreux que ceux-ci recelaient un mobilier funéraire datant de l'époque celtique. Il fit donc un rapport en règle. Des fouilles s'ensuivirent mais, avec l'armée « la grande muette » impossible d'avoir le moindre résultat de fouille. Il fallut attendre la fin du 20 e siècle pour que quelques érudits locaux entreprennent sérieusement d'ouvrir ces tertres appelés « tumulus » . Dans leur rapport figure la description de tout un mobilier datant parfois de l'age du bronze XI e siècle avant JC ; Voilà donc la preuve irréfutable d'un rituel inconnu jusqu'alors sur ce massif. Je vous joins ce lien
http://www.appeldesmonts-jura.com/pages/VESTIGES.html
Voilà, si vous le désirez, je peux développer sur un forum spécial, je serai peut être plus à mon aise que dans des sujets politique. Bien que l'histoire ayant souvent besoin d'être revisitée, nous engage à la polémique.
http://www.appeldesmonts-jura.com/pages/VESTIGES.html
- belenos
- Une tartine à chaque repas
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- Enregistré le : ven. 08 juil. 2005, 15:28
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Le document joint ci dessus comporte une image de Chaffois et des tumulus; photo tirée du livre "les celtes dans le jura" ouvrage sortit à l'occasion d'un colloque à Pontarlier ily a une quinzaine d'années à propos de l'implantation celtique dans le jura. A cette occasion une tumulus avait été reconstitué dans une expo au musée.
l'ecole dartillerie etait a besancon voie le site racine comtoise ou patrimoine comtois
Il reste des traces du champ de tir par exemple le pont des artilleurs sur le drugeon et de nombreux dechets de tir (eclats de fonte billes deplomb..;)
Il s etendait des hauteurs qui surplombent la nouvelle zone comerciale des planchants (?) ( proches de lancienne scierie pasteur aujourd hui magasin de bricolage ) et s etendait jusqu a chaffois et la route qui en part direction frasne.
Il a ete demembré en parcelles vendues aux encheres en 1926.
Il y avait des casernes apontarlier casernes marguet ou doit se tenir encore le marché (victimes d un incendie ily a peu de temps) , la troupe logeait au camp des pareuses (au dessus du pont des chevres..)
Si cela t interesse je pourrai te faire part de mes recherches d amateur.
Il reste des traces du champ de tir par exemple le pont des artilleurs sur le drugeon et de nombreux dechets de tir (eclats de fonte billes deplomb..;)
Il s etendait des hauteurs qui surplombent la nouvelle zone comerciale des planchants (?) ( proches de lancienne scierie pasteur aujourd hui magasin de bricolage ) et s etendait jusqu a chaffois et la route qui en part direction frasne.
Il a ete demembré en parcelles vendues aux encheres en 1926.
Il y avait des casernes apontarlier casernes marguet ou doit se tenir encore le marché (victimes d un incendie ily a peu de temps) , la troupe logeait au camp des pareuses (au dessus du pont des chevres..)
Si cela t interesse je pourrai te faire part de mes recherches d amateur.
je te conseille ce site et tu peux voir ds google aussi d autres sites
http://musee-artillerie.chez-alice.fr/c ... g2btxt.htm
En 1765, l'année de la réforme proposée par Jean-Baptiste Vaquette de Gribeauval, lieutenant-général, cette artillerie est remise à la marine et la séparation est définitive en 1769.
Les sept brigades de l'artillerie de terre du Corps-Royal sont converties en un nombre équivalent de régiments portant le nom des villes où ils ont leurs écoles : La Fère, Metz, Besançon, Grenoble, Strasbourg, Auxonne et Toul.
http://musee-artillerie.chez-alice.fr/c ... g2btxt.htm
En 1765, l'année de la réforme proposée par Jean-Baptiste Vaquette de Gribeauval, lieutenant-général, cette artillerie est remise à la marine et la séparation est définitive en 1769.
Les sept brigades de l'artillerie de terre du Corps-Royal sont converties en un nombre équivalent de régiments portant le nom des villes où ils ont leurs écoles : La Fère, Metz, Besançon, Grenoble, Strasbourg, Auxonne et Toul.