Un jour un résistant polonais du nom de Piotr,est venu à la maison,il était porteur d'une lettre pour ma mère,cette missive venait de mon père,compagnon de stalag,de ce Piotr,qui mui s'était évadé.
Ce jour là,comme souvent,j'étais puni,et au piquet dans l'entrée,lorsque cet homme arriva.
Ma mère,pressa cet envoyé,de questions concernant mon père,absent depuid maintenant 3 ans.
Je voyais ansi s'envoler la promenade que nous devions faire ce jour là.
Ne pouvant pas bougé,j'observe les alentours,et suis intrigué par la poche gonflée de la veste de Piotr,pendue à la patère,je lève le rabat,et vois un morceau d'étoffe jaune,je tire,hourra,c'est un drapeau.
Un petit fanion triangulaire,d'un jaune lumineux ourlé de rouge,comme les trois lettre du milieu :F.F.I.,il y a aussi une croix.
Je cache ma trouvaille sous mon pull,et attends le départ de notre visiteur.
Une fois parti,je m'active,il me faut un support,je prends le manche à balai que je scie,et c'est parti,le roi n'est pas mon cousin.
Je cours à toute vitesse,afin de faire flotter au maximum mon trésor,et comme le champ d'action de la cour,se trouve un peu court,je décide de m'aventurer dans l'avenue Fontaine-Argent,je passe donc sous le porche,et tourne à droite ,et là.....................
A suivre.................
Piotr
- pieradam
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Piotr suite
après 2 déconnexions,je continue.
La première personne que je rencontre ou plutôt que je téléscope,c'est un officier allemand, il m'attrape par un bras,arrache le fanion,le fourre dans sa poche,et me demande:Où hapites-tu ?
Sans me lâcher,il me reconduit chez ma mère,là j'éclate en sanglots,je sais d'avance que ça va barder pour moi,d'abord j'ai scié le balai,et puis reconduit par un allemand,c'est sûr ,ça va suiffer.
Il frappe à la porte,et sans attendre de réponse,il attaque ma mère bille en tête:
Matame,fous defriez surfeiller tafantache fotre carson !
Mais qu'a-t-il fait,il était là il y a 10 minutes
Ce qu'il à fait,recardez ! ( en sortant de sa poche le fanion )
C'est un trapeau terrorriste!!!!Afec une croix de Lorraine ! Hein !!!!
Où afez fous troufé ça ?
Ma mère et l'allemand me regarde,j'opte pour dire que je l'ai trouvé dans la cour.
A suivre...............
La première personne que je rencontre ou plutôt que je téléscope,c'est un officier allemand, il m'attrape par un bras,arrache le fanion,le fourre dans sa poche,et me demande:Où hapites-tu ?
Sans me lâcher,il me reconduit chez ma mère,là j'éclate en sanglots,je sais d'avance que ça va barder pour moi,d'abord j'ai scié le balai,et puis reconduit par un allemand,c'est sûr ,ça va suiffer.
Il frappe à la porte,et sans attendre de réponse,il attaque ma mère bille en tête:
Matame,fous defriez surfeiller tafantache fotre carson !
Mais qu'a-t-il fait,il était là il y a 10 minutes
Ce qu'il à fait,recardez ! ( en sortant de sa poche le fanion )
C'est un trapeau terrorriste!!!!Afec une croix de Lorraine ! Hein !!!!
Où afez fous troufé ça ?
Ma mère et l'allemand me regarde,j'opte pour dire que je l'ai trouvé dans la cour.
A suivre...............
- pieradam
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Piotr suite et fin
Cette cour du 14,qui servait de traje,pour rejoindre la rue de la Mouillère,était très utilisée pendant la guerre,car elle permettait de se déplacer après le couvre-feu,et ainsi d'échapper aux patrouilles allemandes.
Celà dut suffire,car l'officier repartit en agitant son index sous le nez de ma mère en lui disant:Achtung,Matame,c'est grafe,c'est très grafe,ce que fais fotre carçon.
Une fois parti,je savais d'avance la ronflée qui m'attendait.
Et bien non,rien,il m'a même semblé que ce jour là,ma mère m'a serré un peu plus fort et un peu plus logtemps que d'habitude.
J'avouerai quelques années plus la vérité sur la provenance de ce drapeau.
Je pense que si j'avais dit la vérité à cet allemand,je n'écrirais pas ces lignes aujourd'hui.
Mon père rentra 5 mois plus tard,il eut vent de mes actions de (résistant ) avant l'heure,et je crois qu'il en était fier.
DES SALES GOSSES EN SOMME.
Celà dut suffire,car l'officier repartit en agitant son index sous le nez de ma mère en lui disant:Achtung,Matame,c'est grafe,c'est très grafe,ce que fais fotre carçon.
Une fois parti,je savais d'avance la ronflée qui m'attendait.
Et bien non,rien,il m'a même semblé que ce jour là,ma mère m'a serré un peu plus fort et un peu plus logtemps que d'habitude.
J'avouerai quelques années plus la vérité sur la provenance de ce drapeau.
Je pense que si j'avais dit la vérité à cet allemand,je n'écrirais pas ces lignes aujourd'hui.
Mon père rentra 5 mois plus tard,il eut vent de mes actions de (résistant ) avant l'heure,et je crois qu'il en était fier.
DES SALES GOSSES EN SOMME.
- Bisontin la vertu
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Re: Piotr suite et fin
Je croyais que c'était à Besançon ?pieradam a écrit :DES SALES GOSSES EN SOMME.
