J'en profite donc pour saluer :
Tatie Ginette (du coté de chez Murie) ;
Cousine Brigitte (tout près de Lionel) ;
Sœurette Manu (cf. du coté de Moulinette et Framb) ;
Tonton Gaston ;
Mon amie Valérie ;
Ma collègue Yas ;
Mon Dédé (pas besoin de la gratter ) ;
Mon minou qui roupille sur le canapé aussi au Père-Noël, qui chacun le sait, est à Alésia ;
et aussi à mon bout de viande qui cuit
Pour ma part, je suis juste à côté du temple, entre les deux bars de Mandeure! celui qu'a tenu ta famille est un bar de nuit, encore bien fréquenté, puisque j'y vais de temps en temps...
Dans la tradition de Pierre Jeandot qui cherchait l'origine du nom Mandubiens dans la racine MAND, voici un nouvel avis sur la question :
Thierry Teinturier défenseur du site de Guillon m'écrit :
" Reprenons sur la Mandubie. Je propose comme explication : « Ceux qui (plutôt des prêtres)
– pratiquaient des rites anciens relatifs au déchirement rituel des animaux sacrifiés » ? = (avec une
interrogation !) C’est un peu long, mais c’est une proposition ; nous n’avons pas la science infuse,
et l’université pourtant plus scientifique que nous, non plus également.
Pourquoi ?: Parce que Manducare = / déchirer / manger / en latin. Terme latin de César pour
nommer un petit peuple inconnu de lui ? ; peuple de prêtres de l’ancienne cité d’Alésia ? Il est
peut-être possible, alors, que latin et langue gauloise furent mélangé. Proposition donc. Je ne sais pas
si cela est exact. Mais c’est au moins une relation avec une cité considérée comme le vieux
sanctuaire sacré – religieux – des Celtes. Et si les Celtes, ou plus près de nous, nos braves ancêtres
gaulois employaient eux-mêmes ce terme depuis longtemps ; disons dans ce latène qui eût une
relation avec le Latium, III ème siècle av. J-C ? par les causes d’échanges et de mercenariat que
nous connaissons, pourquoi pas une racine latine restée dans le langage celtique ? Qui le sait ? Enfin,
mon allusion avec les antiques rituels de déchirement des victimes sacrifiées vient justement que ces
rites furent pléthoriques dans la mythologie grecque.
Et nous savons que même aux époques homériques, ils ne connaissaient déjà plus les raisons
des racines des mythes déjà en usages. Racines totémiques peut-être, entre autres. Déchirement des
animaux sacrés sacrifiés, donc, par cause de la sacralité – justement – de ces animaux. Ce qui n’est
pas sacré n’est jamais sacrifié, évidement. Bref, passionnant sujet. Vous avez dit Mandubie… ?
‘’Moi je sait ! mais je ne dirais rien !!’’ répondit Abraracourcix.»»
vieux sage a écrit :Dans la tradition de Pierre Jeandot qui cherchait l'origine du nom Mandubiens dans la racine MAND, voici un nouvel avis sur la question :
Thierry Teinturier défenseur du site de Guillon m'écrit :
" Reprenons sur la Mandubie. Je propose comme explication : « Ceux qui (plutôt des prêtres)
– pratiquaient des rites anciens relatifs au déchirement rituel des animaux sacrifiés » ? = (avec une
interrogation !) C’est un peu long, mais c’est une proposition ; nous n’avons pas la science infuse,
et l’université pourtant plus scientifique que nous, non plus également.
Pourquoi ?: Parce que Manducare = / déchirer / manger / en latin. Terme latin de César pour
nommer un petit peuple inconnu de lui ? ; peuple de prêtres de l’ancienne cité d’Alésia ? Il est
peut-être possible, alors, que latin et langue gauloise furent mélangé. Proposition donc. Je ne sais pas
si cela est exact. Mais c’est au moins une relation avec une cité considérée comme le vieux
sanctuaire sacré – religieux – des Celtes. Et si les Celtes, ou plus près de nous, nos braves ancêtres
gaulois employaient eux-mêmes ce terme depuis longtemps ; disons dans ce latène qui eût une
relation avec le Latium, III ème siècle av. J-C ? par les causes d’échanges et de mercenariat que
nous connaissons, pourquoi pas une racine latine restée dans le langage celtique ? Qui le sait ? Enfin,
mon allusion avec les antiques rituels de déchirement des victimes sacrifiées vient justement que ces
rites furent pléthoriques dans la mythologie grecque.
Et nous savons que même aux époques homériques, ils ne connaissaient déjà plus les raisons
des racines des mythes déjà en usages. Racines totémiques peut-être, entre autres. Déchirement des
animaux sacrés sacrifiés, donc, par cause de la sacralité – justement – de ces animaux. Ce qui n’est
pas sacré n’est jamais sacrifié, évidement. Bref, passionnant sujet. Vous avez dit Mandubie… ?
‘’Moi je sait ! mais je ne dirais rien !!’’ répondit Abraracourcix.»»
Pourquoi pas, mais j'ai un peu de mal à y croire.
Sinon deux questions :
Que pensez-vous du site de Guillon ? Pour moi il est hors jeu (car hors Franche-Comté ) ? Mais je ne l'ai jamais étudié de près. Le site est il cohérent avec le texte ?
Pourquoi parler de Mandubie (ou Mandoubie) ? Ni César ni aucun auteur ne parle d'un pays Mandubie. Seul César parle des Mandubiens mais rien ne dit qu'il existait un "Etat mandubien".
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !
Thierry39 a écrit :
Que pensez-vous du site de Guillon ? Pour moi il est hors jeu (car hors Franche-Comté ) ? Mais je ne l'ai jamais étudié de près. Le site est il cohérent avec le texte ?
Le site de Guillon est encore plus à l'ouest qu'Alise et il correspond encore moins topographiquement aux écrits de César. Les vestiges de murs attestent d'une activité humaine certaine sur la colline de Verre, mais le bon état de ces fortifications donnent à penser quelles n'ont pas 2000 ans.
Cordialement.
Thierry39 a écrit :
Que pensez-vous du site de Guillon ? Pour moi il est hors jeu (car hors Franche-Comté ) ? Mais je ne l'ai jamais étudié de près. Le site est il cohérent avec le texte ?
Le site de Guillon est encore plus à l'ouest qu'Alise et il correspond encore moins topographiquement aux écrits de César. Les vestiges de murs attestent d'une activité humaine certaine sur la colline de Verre, mais le bon état de ces fortifications donnent à penser quelles n'ont pas 2000 ans.
Cordialement.
Donc on est d'accord au moins la-dessus. C'est vrai qu'ils ont des remparts impressionnants mais Alésia ne devait être la seule forteresse de l'est de la France.
vieux sage a écrit :Je viens d'entendre à la radio que les MANDUBIENS ont battu les ROMAINS par 3 Gaules à zéro.
TSS; TSS; TSS, Vieux sage tu deviens sourd !!!
L'information était celle-ci :
Les MANCUNIENS ont battu les ROMAINS par trois gaol à zéro !
Et dans la banlieue de la ville des Mancuniens, il y a la ville de Sale ...
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !
Redevenons sérieux !
Le tracé du pélérinage de Saint-Jacques de Compostelle étant "saturé"- environ 4000 pélerins par jour -, Le tracé de la VIA FRANCIGENA* prend de plus en plus d'importance. * Via francigena", Chemin des Francs, de Canterbury à Rome.
Aujourd'hui au journal de 13 h de FR3, Pierre Blondeau est venu pour développer ce projet de balisage et remise en état du parcours Franc-Comtois.
Il existe des divergences sur le tracé Besançon-Pontarlier. Voici ce qu'en dit Charles Pommeau de la "Société Scientifique du Bourbonnais" qui avait accompli ce parcours en août 2004 (voir carte plus haut, éditée par cette association: "Il est admis que la VOIE ROMAINE passait par Saône et contournait la Loue mais je pense que le CHEMIN GAULOIS passait, lui, par Ornans. Le dénivellé n'effrayait pas les Gaulois."