Karine a écrit :Merci Domi, si tu ne les retrouve pas, ce n'est pas grave, je sais où les trouver.
Pour Beuilot, quand on l'a ce satané concours, c'est plus rien. C'est comme le bac. Mais quand on ne l'a pas, on doute, on joue une année en six heures de temps et on sait qu'on n'a qu'une chance sur quatre de réussir. Même moins maintenant.
Je sais bien, Mamour. Ce que je veux dire, c'est qu'au pied du mur, il ne s'agit plus de courage: a pus l' choix. Le courage ne tient pas dans le fait de passer une épreuve, mais dans les sacrifices que l'on consent pour s'y préparer.
Personnellement, quand j'ai passé pour la 2ème fois le concours d'entrée en 2ème année de médecine (et donc en médecine tout court), ce n'est pas une année que j'ai joué, car on n'a que deux chances... Tout ça pour dire que les enjeux en quelques heures, je connais.
