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La Bourgogne Franche-Comté gagne six étoiles
Le guide Michelin a publié ce lundi son édition 2008. Six tables obtiennent une étoile dans notre région.
Les heureux élus sont quatre en Franche-Comté et deux en Bourgogne:
Le Saint-Martin à Montbéliard (Doubs)
Le France à Villiers-le-Lac (Doubs)
La Chaumière à Dole (Jura)
Chateau du Mont-Joly à Sampans (Jura)
La table de Chaintré à Chaintré (Saône-et-Loire)
L'Amaryllis à Sennecey-le-Grand (Saône-et-Loire)
Mais il y a aussi les établissements qui perdent une étoile :
Le pot d'étain à Danjoutin (Territoire de Belfort)
Les gourmets à Marsannay-la-Côte (Côte-d'Or)
Le bec fin à Dole (Jura)
Les Lavaults à Quarré-les-Tombes (Yonne)
Le guide Michelin a publié ce lundi son édition 2008. Six tables obtiennent une étoile dans notre région.
Les heureux élus sont quatre en Franche-Comté et deux en Bourgogne:
Le Saint-Martin à Montbéliard (Doubs)
Le France à Villiers-le-Lac (Doubs)
La Chaumière à Dole (Jura)
Chateau du Mont-Joly à Sampans (Jura)
La table de Chaintré à Chaintré (Saône-et-Loire)
L'Amaryllis à Sennecey-le-Grand (Saône-et-Loire)
Mais il y a aussi les établissements qui perdent une étoile :
Le pot d'étain à Danjoutin (Territoire de Belfort)
Les gourmets à Marsannay-la-Côte (Côte-d'Or)
Le bec fin à Dole (Jura)
Les Lavaults à Quarré-les-Tombes (Yonne)
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http://www.lalsace.fr
Article du mardi 4 mars 2008
Franche-Comté
Gastronomie : Le Territoire de Belfort disparaît du guide Michelin 2008

Olivier Prévôt-Carme et son épouse Christine, du restaurant le « Saint-Martin » à Montbéliard ont obtenu leur première étoile. Photo Jean Becker
De nouvelles étoiles franc-comtoises apparaissent dans le guide Michelin, en revanche, le seul restaurant belfortain étoilé disparaît.
Être dans le guide Michelin est une véritable consécration pour le chef d’un établissement. C’est la reconnaissance officielle de sa gastronomie. Et c’est toujours difficile de perdre une étoile.
En Franche-Comté, l’édition 2008 du petit livre rouge de la gastronomie est positive, certains établissements retrouvent une étoile perdue, d’autres en obtiennent contre un seul qui est rayé du firmament culinaire régional, le restaurant Le Pot d’Étain à Belfort. Du coup, le Territoire ne possède plus un seul restaurant étoilé.
La grande nouveauté nous vient du pays de Montbéliard, où le restaurant Le Saint-Martin obtient sa première étoile, et du coup, la première étoile pour la Cité des princes. Une belle promotion pour Olivier Prévôt-Carme, qui œuvre depuis 22 ans dans son établissement.
Parmi les nouveautés, notons aussi la belle promotion dans le Jura de La Chaumière qui offre à ses clients une cuisine créative. De retour également dans le giron de la galaxie gastronomique, Le France, à Villers-le-Lac, qui avait perdu son étoile il y a deux ans. Un juste retour des choses quand on sait le mal que se donne le chef pour offrir à ses convives des plats régionaux tels que les escargots du Jura à l’infusion d’absinthe, ou la pyramide de chocolat au macvin.
Une cohérence dans l’assiette
Olivier Prévôt-Carme et son épouse Christine avaient du mal à cacher hier leur émotion et leur joie à l’annonce de cette nomination, surtout quand est tombé sur le fax un petit mot chaleureux de félicitations de Bernard Loiseau.
« On a voulu marquer notre empreinte à Montbéliard, et c’est vraiment une surprise. Cela va changer nos projets, mais quelle récompense », jubile le chef du Saint-Martin, qui emploie huit personnes au total derrière les fourneaux et en salle. Et d’ajouter : « Notre essence première, ce sont les clients ».
Au Saint-Martin, pas vraiment de spécialité, à part les poissons frais qui viennent directement de la criée, mais explique le chef, « je cherche le plus souvent des produits de saison, et par un travail technique, j’essaie d’obtenir une cohérence dans l’assiette ».
Sa carte de base est classique, mais tous les jours on peut trouver des plats qui changent en fonction de l’humeur et du marché. Cette sensibilité, Oliver Prévôt-Carme veut la transmettre à ses clients.
Alors que la saison des saint-jacques se termine, va débuter au Saint-Martin, les asperges, les grenouilles et l’agneau de lait vont arriver pour la période de Pâques. Sa recette est toujours de décliner un bon produit, le tout arrosé d’une bouteille de ses 250 références en cave.
Voilà un petit coin de Montbéliard qui mérite le détour. Cet orfèvre des produits régionaux collectionne tous les guides Michelin. La seule différence, « je serai dans le prochain qui sort la semaine prochaine », se réjouit-il.
Jean Becker
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Article du mardi 4 mars 2008
Franche-Comté
Gastronomie : Le Territoire de Belfort disparaît du guide Michelin 2008

Olivier Prévôt-Carme et son épouse Christine, du restaurant le « Saint-Martin » à Montbéliard ont obtenu leur première étoile. Photo Jean Becker
De nouvelles étoiles franc-comtoises apparaissent dans le guide Michelin, en revanche, le seul restaurant belfortain étoilé disparaît.
Être dans le guide Michelin est une véritable consécration pour le chef d’un établissement. C’est la reconnaissance officielle de sa gastronomie. Et c’est toujours difficile de perdre une étoile.
En Franche-Comté, l’édition 2008 du petit livre rouge de la gastronomie est positive, certains établissements retrouvent une étoile perdue, d’autres en obtiennent contre un seul qui est rayé du firmament culinaire régional, le restaurant Le Pot d’Étain à Belfort. Du coup, le Territoire ne possède plus un seul restaurant étoilé.
La grande nouveauté nous vient du pays de Montbéliard, où le restaurant Le Saint-Martin obtient sa première étoile, et du coup, la première étoile pour la Cité des princes. Une belle promotion pour Olivier Prévôt-Carme, qui œuvre depuis 22 ans dans son établissement.
Parmi les nouveautés, notons aussi la belle promotion dans le Jura de La Chaumière qui offre à ses clients une cuisine créative. De retour également dans le giron de la galaxie gastronomique, Le France, à Villers-le-Lac, qui avait perdu son étoile il y a deux ans. Un juste retour des choses quand on sait le mal que se donne le chef pour offrir à ses convives des plats régionaux tels que les escargots du Jura à l’infusion d’absinthe, ou la pyramide de chocolat au macvin.
Une cohérence dans l’assiette
Olivier Prévôt-Carme et son épouse Christine avaient du mal à cacher hier leur émotion et leur joie à l’annonce de cette nomination, surtout quand est tombé sur le fax un petit mot chaleureux de félicitations de Bernard Loiseau.
« On a voulu marquer notre empreinte à Montbéliard, et c’est vraiment une surprise. Cela va changer nos projets, mais quelle récompense », jubile le chef du Saint-Martin, qui emploie huit personnes au total derrière les fourneaux et en salle. Et d’ajouter : « Notre essence première, ce sont les clients ».
Au Saint-Martin, pas vraiment de spécialité, à part les poissons frais qui viennent directement de la criée, mais explique le chef, « je cherche le plus souvent des produits de saison, et par un travail technique, j’essaie d’obtenir une cohérence dans l’assiette ».
Sa carte de base est classique, mais tous les jours on peut trouver des plats qui changent en fonction de l’humeur et du marché. Cette sensibilité, Oliver Prévôt-Carme veut la transmettre à ses clients.
Alors que la saison des saint-jacques se termine, va débuter au Saint-Martin, les asperges, les grenouilles et l’agneau de lait vont arriver pour la période de Pâques. Sa recette est toujours de décliner un bon produit, le tout arrosé d’une bouteille de ses 250 références en cave.
Voilà un petit coin de Montbéliard qui mérite le détour. Cet orfèvre des produits régionaux collectionne tous les guides Michelin. La seule différence, « je serai dans le prochain qui sort la semaine prochaine », se réjouit-il.
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Y en a enfin un qui a essayé de cuisiner autre chose que des saucisses à l'eau? Se serait-il jeté corps et âme dans un accompagnement raffiné à base de patatalos?Thierry39 a écrit :Le Saint-Martin obtient sa première étoile, et du coup, la première étoile pour la Cité des princes

Si j'y suis t'été, c'est pas pour y rêtre.
Comme ça. Pour rien.
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- Thierry39
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Article du mardi 4 mars 2008
Guide Michelin: un Jura quatre étoiles
Le Jura conserve quatre étoilés au guide Michelin, mais avec un changement : l'Auberge de Chavannes à Courlans laisse la place à la Chaumière à Dole. Jean-Paul Jeunet reste la référence
Le Jura persiste et signe ou si vous préférez, le Jura reste fidèle à lui-même Avec quatre chefs étoilés, le département obtient la même prestation dans le Guide Michelin 2008 qu'en 2007. Ainsi, Jean-Paul Jeunet -qui conserve ses deux étoiles- reste la valeur sûre et le patron incontesté de la gastronomie jurassienne.
Pour le reste, si l'Auberge de Chavannes, à Courlans, disparaît, on voit apparaître en revanche, dans la catégorie « Une étoile », la Chaumière, à Dole, établissement tenu par Joël Cesari (voir page 15). C'est une excellente nouvelle car ce chef faisait déjà partie, l'an dernier, des espoirs du fameux Guide. Autrement dit, c'est une confirmation qui risque d'ailleurs de se transformer encore dans les années à venir. Autre résultat, le Château du Mont Joly à Sampans, tenu par Romuald Fassenet, conserve son étoile. C'est un établissement -là aussi- qui tient toutes ses promesses puisqu'il s'agit du « transfert » de Dole à Sampans du fameux Bec Fin. Confirmation toujours, le château de Germigney à Port Lesney garde son étoile. Ce restaurant reste l'un des plus coté du département et c'est bien mérité.
Dans la catégorie du Bib Gourmand, repas soigné à prix modéré, Le Pré Fillet aux Molunes inscrit son nom, de même que La Poutre à Bonlieu. À l'inverse, la Comédie, à Lons, disparaît. Ainsi, à côté des valeurs sûres que sont les restaurateurs cotées, on trouve également des tables qui montent et, fait intéressant, on en trouve aux quatre coins du département. C'est plutôt bon signe, le Jura reste une terre gourmande.
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Article du mardi 4 mars 2008
Guide Michelin: un Jura quatre étoiles
Le Jura conserve quatre étoilés au guide Michelin, mais avec un changement : l'Auberge de Chavannes à Courlans laisse la place à la Chaumière à Dole. Jean-Paul Jeunet reste la référence
Le Jura persiste et signe ou si vous préférez, le Jura reste fidèle à lui-même Avec quatre chefs étoilés, le département obtient la même prestation dans le Guide Michelin 2008 qu'en 2007. Ainsi, Jean-Paul Jeunet -qui conserve ses deux étoiles- reste la valeur sûre et le patron incontesté de la gastronomie jurassienne.
Pour le reste, si l'Auberge de Chavannes, à Courlans, disparaît, on voit apparaître en revanche, dans la catégorie « Une étoile », la Chaumière, à Dole, établissement tenu par Joël Cesari (voir page 15). C'est une excellente nouvelle car ce chef faisait déjà partie, l'an dernier, des espoirs du fameux Guide. Autrement dit, c'est une confirmation qui risque d'ailleurs de se transformer encore dans les années à venir. Autre résultat, le Château du Mont Joly à Sampans, tenu par Romuald Fassenet, conserve son étoile. C'est un établissement -là aussi- qui tient toutes ses promesses puisqu'il s'agit du « transfert » de Dole à Sampans du fameux Bec Fin. Confirmation toujours, le château de Germigney à Port Lesney garde son étoile. Ce restaurant reste l'un des plus coté du département et c'est bien mérité.
Dans la catégorie du Bib Gourmand, repas soigné à prix modéré, Le Pré Fillet aux Molunes inscrit son nom, de même que La Poutre à Bonlieu. À l'inverse, la Comédie, à Lons, disparaît. Ainsi, à côté des valeurs sûres que sont les restaurateurs cotées, on trouve également des tables qui montent et, fait intéressant, on en trouve aux quatre coins du département. C'est plutôt bon signe, le Jura reste une terre gourmande.
- Beuillot
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- Enregistré le : mer. 27 déc. 2006, 23:52
- Localisation : Pars collis ad orientem solem :invis: .
Fabrice Thouret, second de cuisine d'Eric Westermann, qui a repris le Buerehiesel de son père Antoine, est un haut-doubien.
Cet ancien 3* est situé au coeur du parc de l'Orangerie, à Strasbourg. Il me semble que le fils a volontairement laissé tombre la troisième * en raison des contraintes qui vont avec.
Cet ancien 3* est situé au coeur du parc de l'Orangerie, à Strasbourg. Il me semble que le fils a volontairement laissé tombre la troisième * en raison des contraintes qui vont avec.
Si j'y suis t'été, c'est pas pour y rêtre.
Comme ça. Pour rien.
Comme ça. Pour rien.

