SOS planète

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Beuillot
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Message par Beuillot »

Message original: Murie

Mais c'est terrible, ça... Qu'est-ce qu'on va devenir ?
Des désaxés. :invis:
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Domi
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entech news 169


1. France : maïs OGM banni des champs

La France interdit provisoirement la culture de la variété de maïs transgénique MON 810. Un groupe d'experts mis en place par le président Sarkozy a conclu à l'existence de «doutes sérieux» concernant ce maïs. Notamment la dissémination à longue distance, par le vent, de pollens transgéniques dont les effets négatifs se répercutent non seulement sur les parasites du maïs mais vraisemblablement aussi sur les vers de terre (lombrics), lesquels sont indispensables à l'aération et à l'ameublissement des sols. Pour protester contre le maïs OGM, José Bové et 25 sympathisants avaient auparavant entamé une grève de la faim. (taz,14.1.08)


2. Agrobusiness : concentration et bénéfices colossaux

Il y a 25 ans, il existait dans le monde entier 7000 entreprises de culture dont les parts de marché étaient toutes inférieures ou égales à 1%. A l'heure actuelle, 10 firmes détiennent quasiment 50% de l'offre en matière de semences. Plus de 90% de la totalité des plantes transgéniques dans le monde proviennent de la firme US Monsanto. (brazzilmag, 11.12.07)


3. Inde : pas de coton OGM à Maharashtra

Le gouvernement de Maharashtra conseille aux paysans de renoncer au coton transgénique. Les coûts sont bien trop élevés par rapport à une production qui demeure faible. Désespérés, de nombreux producteurs de coton ont mis fin à leurs jours. (new Indian Express, 19.12.07)


4. USA : villes contre le génie génétique en agriculture

Neuf villes de l'Etat du Massachusetts ont adopté une résolution contre le génie génétique en matière de produits alimentaires et d'agriculture. (Nofa/Mass, 2007)


5. USA : agriculture bio et réchauffement climatique

Un parallèle établi à long terme entre méthode de culture conventionnelle et méthode de culture biologique prouve: la culture bio permet une réduction massive des gaz à effet de serre. Si les USA adoptaient le bio pour cultiver leur maïs et leur soja, ils réussiraient à atteindre plus de 70% des objectifs de Kyoto en matière de réduction de CO2. (The Rodale Institute,USA)


Vous pouvez consulter les références et les articles de fond correspondants sur la rubrique "Gen-Lex-News français" de notre site http://www.blauen-institut.ch.

Le bulletin est rédigé par Florianne Koechlin du Blauen Institut (en collaboration avec le Groupe suisse de travail sur le génie génétique GTG).


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Domi
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Message par Domi »

le concept O. I. F peut-il vraiment sauver le monde ?

Article publié le 24/01/2008 à 12:08 par Francis Rousseau

Les milieux scientifiques américains s'agitent beaucoup depuis quelques semaines autour d'un concept encore au stade expérimental et appelé O.I.F. (Ocean Iron Fertilisation). Selon ce concept on pourrait stocker les millions de tonnes de CO2, tenu pour responsable du réchauffement climatique, au fond des océans.

Comment ? Tout simplement en accélérant la croissance de certaines microalgues marines par un fertilisant à base de fer dissous. Cette idée, qui peut paraître à première vue farfelue, a suffisamment intrigué, entre autres, la très sérieuse revue Science pour qu'elle décide d'aller y regarder de plus près.

En réalité, ce concept a été inventé, il y a une vingtaine d'années, par John Martin, océanographe et directeur du Moss Landing Marine Labs. Il aurait été parmi les premiers à découvrir que le fer était un élément trace augmentant de façon substantielle la photosynthèse dans la plupart des océans du globe. Cette découverte rapprochée d'un procédé déjà connu sous le nom de Pompe Biologique (Biogical Pump) appelée aussi "pompe à carbones" consistant dans la capture par les microalgues (ou phytoplancton) au fond des océans de 80 % du CO2 contenu à la surface du globe, est à l'origine du concept O.I.F.

Seule ombre au tableau : il a fallu mille milliards d'années (un billion donc!) à la pompe biologique pour capturer les 80% de CO2 en question. D'où l'idée de stimuler la capture par l'ajout de fer dissous qui accélère la croissance des microalgues.

Les américains y croient dur comme fer (si on peut dire), et commencent à monter, sur le papier fort heureusement, de véritables usines à gaz de comptabilité de permis de produire du CO2 en vue d'une capture future par les micro algues boostées au fer dissous. Une société s'est même constituée, Climos, qui pourrait faire profession d'aider les industriels à enfouir dans les profondeurs océanes le CO2 qu'ils produisent en surnombre.

Mais il y a un petit problème : cette idée d'injecter du fer dissous dans le fond des mers, même sous forme d'engrais marin, ne plaît guère aux défenseurs de l'environnement et aux autorités fédérales qui réclament aujourd'hui des études d'impacts approfondies sur la flore et la faune sous marine sous avant toute poursuite de ce projet. Sage précaution !

Article : Francis Rousseau

Sources : Science / Alternative Energy News


http://www.enerzine.com/443/Le-concept- ... patif.html
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Nicolas
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soutenir l'association Kokopelli

Message par Nicolas »

A l'initiative de l'association Kokopelli

La semence, essence même de la vie, est aujourd'hui menacée. 12 000 ans de construction collective patiente et réfléchie ont abouti à la création d'un patrimoine végétal, technique et culturel inestimable, commun à toute l'humanité. Cet héritage court aujourd'hui le risque d'être confisqué par une infime minorité.

L'aliénation de la semence par l'agro-industrie, constitue un danger sans précédent pour l'avenir : l'indépendance alimentaire et la santé des peuples. Les vendeurs de pesticides bricolent dans leurs laboratoires des chimères génétiquement modifiées, qu'ils osent appeler semences, générant des plantes dépendantes entraînant une régression technique pour les paysans, les jardiniers et les amateurs.

Les lobbys, aidés par l'Etat, pour obtenir le monopole de ce qui appartient à tous, veulent supprimer le droit inaliénable de chacun de ressemer sa récolte. Les sélections de terroir garantissent des plantes saines et savoureuses. La semence industrielle est malade, elle ne peut vivre sans pesticides, engrais chimiques ou manipulations génétiques. Polluante pour l'environnement, elle est le point de départ de la mal-bouffe. Comme les générations qui nous ont précédés, nous avons le devoir de transmettre à nos successeurs, la possibilité d'orienter et de choisir leur avenir.

- Conscient que le maintien de la biodiversité est facteur de sécurité, d'indépendance alimentaire et de nourritures abondantes pour demain,
- Conscient que la semence est un bien commun à tous les peuples,
- Je demande que la loi AFFIRME le droit inaliénable de toute personne de cultiver, semer, multiplier, acheter, échanger, offrir, céder, transmettre, tout végétal (graine, bouture, plant, tubercule, etc.) sans restriction légale d'aucune sorte.

- Je revendique le droit de me procurer et de consommer librement la nourriture issue du produit des semences de population, de pays, de famille, dites anciennes : toutes, graines de vie.

En signant cette pétition, je défends ma liberté, un patrimoine et permet, avec l'association Kokopelli, la transmission de la biodiversité et de la fertilité aux générations futures.

Outre votre signature immédiate, vous pouvez télécharger la pétition pour l'imprimer pour la diffuser autour de vous, et si vous avez un site Internet, faire un lien vers cette page : http://www.univers-nature.com/signez/?code=cat

Signez la pétition : http://www.univers-nature.com/signez/?code=cat
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Beuillot
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Message par Beuillot »

Message original: Domi

Seule ombre au tableau : il a fallu mille milliards d'années (un billion donc!) à la pompe biologique pour capturer les 80% de CO2 en question.
Il semble que l'on attribue à l'univers un âge de quelques milliards d'années (dans les 14). :what:
Si j'y suis t'été, c'est pas pour y rêtre.

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lionel
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Message par lionel »

Donc environ 71,43 univers. A l'heure de Mouthe, oeuf corse ! ::D
A bove ante, ab asino retro, a stulto undique caveto.
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Message par Domi »

Abou Dhabi construit la première cité totalement écologique au monde

2008-02-10

ABOU DHABI (Source vérifiée)

Le riche émirat pétrolier d'Abou Dhabi a commencé dimanche la construction de la première cité au monde prévue pour fonctionner avec un niveau zéro d'émission de gaz carbonique, a déclaré un porte-parole du projet.

"La construction de Masdar City commence aujourd'hui", a-t-il dit, évoquant le projet qui s'étendra sur 6,5 Km2, coutera 22 milliards de dollars et doit être achevé en 2015.

Masdar City, qui signifie "source" en arabe, fonctionnera exclusivement au moyen d'énergies renouvelables, dont l'énergie solaire, une ressource constante dans le désert de l'émirat.

Ses 50.000 habitants circuleront en utilisant des tramways et une série d'autres moyens de transport automatiques.

Contrairement aux somptueuses tours de la ville d'Abou Dhabi, une maquette de Masdar City, conçue par le groupe Foster and Partners, montre des constructions basses et équipées en panneaux solaires sur les toits.

Malgré l'abondance du soleil, seuls les parcmètres sont alimentés en énergie solaire aux Emirats qui, à l'instar des autres monarchies pétrolières du Golfe, utilisent peu l'énergie solaire.

La cité sera située non loin de la mer et un mur de ceinture devra la protéger de l'air chaud soufflant du désert et du vacarme de l'aéroport d'Abou Dhabi, voisin.

Abou Dhabi détient le gros des réserves de pétrole et de gaz de la fédération des Emirats arabes unis, pays classé respectivement au quatrième et cinquième rang mondial. Les réserves prouvées de brut des Emirats sont suffisantes pour durer encore quelque 150 ans.

Mais à l'instar des autres pays pétroliers, les Emirats cherchent à diversifier leur économie pour réduire leur dépendance vis-à-vis du pétrole.

La nouvelle cité s'inscrit dans le cadre d'un ambitieux programme lancé par le gouvernement d'Abou Dhabi en 2006.
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Message par Beuillot »

Mouais. Un petit pays richissime qui se permet de présenter ce genre de choses à la face du monde après s'être fait des gesticules en or grâce au seul pétrole, je ne sais pas quoi en penser, mais ça sent la poudrozieux. Ils veulent monter l'exemple au Nigéria?
Peut-être fais-je du mauvais esprit.
Allez, je vais la fermer, ça vaudra mieux.
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Message par Domi »

La France se prépare aux conséquences d'un accident de type Tchernobyl sur son sol

Près de trente ans après l'accident nucléaire de Three Mile Island (Etats-Unis, 1979), plus de vingt après l'explosion du réacteur nº4 de Tchernobyl (Ukraine, 1986), la France affronte un tabou. Elle esquisse une "doctrine" afin de se préparer à gérer les conséquences d'une catastrophe nucléaire sur son sol. Dans les prochains jours, le premier ministre sera destinataire d'une lettre du Comité directeur pour la gestion de la phase post-accidentelle d'une situation d'urgence radiologique (Codirpa) présentant des éléments de réflexion susceptibles de fonder cette doctrine.

Ce courrier est le fruit de travaux conduits par l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) en lien avec des services et agences de l'Etat, les opérateurs nucléaires et certains acteurs associatifs, à la suite d'une directive interministérielle d'avril 2005. Il témoigne d'un changement radical dans la façon dont les autorités envisagent l'aléa nucléaire. Pendant des décennies, elles se sont montrées obsédées par la sûreté, insistant sur les mécanismes de défense et des statistiques rassurantes, l'accident n'ayant qu'une chance sur un million d'advenir, assurait-on fréquemment. Elles se placent désormais dans la perspective où il surviendrait bel et bien, avec des conséquences environnementales et sanitaires de moyen et long terme.

"Jusqu'à présent, les textes géraient la phase d'urgence d'un accident, jusqu'à la fin des rejets radioactifs, ce qui donne lieu à une dizaine d'exercices par an, témoigne Jean-Luc Lachaume, directeur général adjoint de l'ASN. Le post-accidentel, c'est explorer ce qui se passe ensuite : comment revenir à une situation vivable, si tant est qu'elle le soit, dans les zones touchées."

Pour se projeter dans cette situation, le Codirpa a imaginé deux scénarios – rupture de tube de générateur de vapeur, fusion partielle du cœur du réacteur – comprenant des rejets respectivement d'une heure et d'une journée. Faut-il ou non autoriser le retour des populations dans les territoires contaminés, et si oui à quelle échéance ? Comment organiser leur suivi sanitaire, gérer les déchets, dimensionner les indemnisations ? Une masse d'interrogations est née de ces exercices spéculatifs, conduits dans des groupes de travail spécialisés.

En décembre 2007, un séminaire a permis de synthétiser ces contributions, et de mesurer le chemin qui reste à parcourir. Par exemple, "la méthodologie reste à définir sur l'évaluation de la dose reçue par la population, note M. Lachaume. Il faut introduire un débat scientifique, à froid, sur ce point controversé." Plus concrètement : décontaminer les maisons au jet, pour prévenir l'incrustation des radionucléides, ne va-t-il pas induire des pollutions dans les réseaux d'eau ? Dans les zones agricoles, faudrait-il moissonner pour concentrer la radioactivité et s'en débarrasser, ou chercher sa dilution ?

En 2008, le Codirpa va commencer à donner des instructions aux préfets, organiser de nouveaux exercices de crise pour tester l'ébauche de"doctrine", engager des discussions avec les milieux associatif, éducatif, médical et médiatique. N'est-il pas inquiétant d'être encore au milieu du gué ? "On sait bien gérer la première phase accidentelle, assure Jean-Luc Lachaume. On serait capable de bien réagir en cas de crise plus longue." "On peut modéliser, supputer ; de toute façon, rien ne se passera comme prévu", estime Monique Sené, du Groupement des scientifiques pour l'information sur l'énergie nucléaire, qui a pris part aux travaux du Codirpa. La physicienne salue l'effort de l'Etat pour combler ses lacunes, mais estime qu'une des priorités consiste à associer la population.

Fin connaisseur de la situation en Ukraine et en Biélorussie, touchées au premier chef par le nuage radiologique de Tchernobyl, Jean-Claude Autret, de l'Association pour le contrôle de la radioactivité dans l'Ouest, a lui aussi participé au Codirpa. "On travaille sur des accidents très minorés par rapport à Tchernobyl, rassurants pour les autorités", regrette-t-il, notant que le champ de recherche est "énorme".

Il se félicite cependant du changement de mentalité au sein de l'ASN, tant "il est dur d'appréhender le sacrifice d'un territoire pour plusieurs siècles, voire des millinaires''

Hervé Morin

Article de lemonde.fr en cliquant ici



Edit de Perle39 : retouche de la "présentation du lien" pour éviter la déformation du forum :;)
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SOS Beuillot!!
:;) :;) ::D ::D


Ouganda, Rwanda et Congo s'unissent pour protéger les gorilles

Reuters

L'Ouganda, le Rwanda et le Congo ont lancé un effort conjoint pour protéger les gorilles de montagne menacés d'extinction dans la jungle située aux confins des trois pays d'Afrique centrale.

On estime à moins de 720 le nombre de ces grands singes disséminés dans les collines de Virunga.

Les gorilles sont une source de revenus non négligeable grâce aux touristes qui paient jusqu'à 500 dollars par jour le droit de les observer.

"Pour la première fois, les trois pays ont décidé de protéger les grands singes qui sont menacés d'extinction et d'insécurité dans la région", s'est félicité Moses Mapesa, directeur de l'autorité ougandaise chargée de la protection de la faune (UWA), lors d'une conférence de presse à Kampala.

Son homologue rwandaise, Rosette Rugamba, a déclaré que les gorilles étaient menacés par le braconnage, par les conflits et par la progression des humains sur leur territoire. La zone de vie des gorilles des montagnes, dans l'est du Congo, est le théâtre d'affrontements sanglants depuis des années.

Les trois pays ont mis au point un plan stratégique transfrontalier sur dix ans, a expliqué Rosette Rugamba, qui "identifiera les groupes et communautés qui affectent la vie dans la région de Virunga et s'attaquera de front à l'envahissement et au braconnage".

Les quatre premières années de financement du plan, soit 4,1 millions d'euros, seront versées par le gouvernement des Pays-Bas.

Selon l'UWA, le nombre de gorilles dans la "forêt impénétrable de Bwindi", un sanctuaire réservé aux primates dans le sud-ouest de l'Ouganda, s'élève à 340, ce qui en fait le premier groupe dans la région.

On estime que 250 autres vivent dans la partie rwandaise de la région. Un plus petit nombre se trouve au Congo, où au moins dix d'entre eux ont été tués l'an dernier.

Le nombre des gorilles de montagne est tombé à son niveau le plus bas - autour de 370 - dans les années 1980. Mais le parc de Bwindi a vu sa population de primates croître de 12% ces dix dernières années grâce à une meilleure protection contre le braconnage.

Version française Jean-Stéphane Brosse

http://www.lexpress.fr:80/info/infojour ... 65288&1204
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Chine: une association réclame l'interdiction du commerce de viande de chien

2008-02-18

PARIS (Source vérifiée)

La Chine reste le plus gros consommateur de viande de chiens, abattus dans des conditions atroces ou ébouillantés vivants, selon l'association française One Voice qui a enquêté pendant un mois sur place et réclame l'interdiction de ces pratiques avant les Jeux Olympiques.

One Voice estime à plusieurs millions le nombre de chiens abattus chaque année, souvent tués de "manière lente et cruelle", à coups de gourdin, saignés à blanc ou ébouillantés vivants.

"Ce commerce a lieu partout dans le pays, même dans les grandes villes. Bien qu'à Pékin les autorités soient en train de le repousser à la périphérie dans la perspective des JO", a expliqué à l'AFP Muriel Arnal présidente et fondatrice de One Voice, association de défense des animaux.

La viande se retrouve servie au restaurant ou vendue dans certains supermarchés, sous vide ou en conserve.

Après les chiens Saint-Bernard il y a trois ou quatre ans, les Bergers allemands sont désormais parmi les plus visés, "y compris les animaux de compagnie, volés, qui ont encore un collier autour du cou", a souligné Mme Arnal.

"Nous avons préparé cette recherche pendant plus de six mois et enquêté sur le terrain pendant plus de trois semaines, à Pékin et à travers le pays, en liaison avec des associations chinoises", a-t-elle poursuivi.

Les équipes se sont notamment "infiltrées" dans plusieurs restaurants où elles ont pu rester assister à l'abattage des chiens sur le trottoir et à la préparation de la viande.

"Outre la tradition, les Chinois continuent de goûter la viande de chien pour ses qualités aphrodisiaques, en particulier le pénis, le morceau le plus prisé qui a été servi à nos enquêteurs", a affirmé la présidente de One Voice.

Alors qu'en Asie, les Philippines ou Taïwan ont officiellement interdit la consommation canine. Mais la Chine populaire, à l'exception de Hong Kong, n'a aucune législation de cet ordre, ni aucune loi protégeant les animaux, a-t-elle ajouté.

Profitant de l'attention portée à la Chine avec les Jeux de Pékin, One Voice a lancé une pétition en France et en Angleterre pour réclamer l'adoption d'une telle loi.

Son rapport, abondamment illustré d'images pénibles, est également consultable sur internet

http://www.onevoice-ear.org/campagnes/c ... hiens.html
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Génétique : Le premier clonage commercial

La société RNL Bio compte sur un véritable marché du clonage d’animaux de compagnie, pour les personnes les plus riches.©DRLa société Sud-Coréenne RNL Bio lance un service commercial de clonage de chiens en partenariat avec une équipe de chercheurs l’université de Séoul. La première cliente, américaine, va faire ressusciter son Pitbull moyennant 100 000 euros.

La firme sud-coréenne RNL Bio propose le premier service commercial de clonage de chiens. Pour la modique somme de 100 000 euros, la première cliente, une Américaine, va faire Cloner son Pitbull mort depuis six mois. Le clonage en lui-même est réalisé par une équipe chercheurs de l’université de Séoul, qui demeure, depuis 2005, la seule à avoir réussi à cloner un chien. RNL ne se charge que de la partie commerciale. La société table déjà sur plus de 500 contrats de clonage des chiens pour le compte de personnes riches. Une initiative qui soulève des interrogations d’ordre éthique.

http://www.innovationlejournal.com:80/s ... rticle2115
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Climat: le jour du "Jugement dernier" se rapproche, selon le prince Charles

2008-02-14

BRUXELLES (Source vérifiée)

Le prince Charles, connu pour son activisme en faveur de l'environnement, a appelé jeudi l'Europe à faire encore davantage pour lutter contre le réchauffement climatique, prévenant que l'heure du "Jugement dernier" se rapprochait dangereusement.

"L'horloge du jour du Jugement dernier pour le changement climatique avance toujours plus vite vers les douze coups de minuit. Nous n'agissons tout simplement pas assez vite" pour faire face au défi du réchauffement, a affirmé l'héritier de la couronne dans un discours devant le Parlement européen à Bruxelles.

Si le monde ne prend pas la mesure des défis à venir, "le résultat sera une catastrophe pour tout le monde", a-t-il mis en garde.

"La banquise au pôle Nord fond si rapidement que certains scientifiques prévoient qu'elle disparaîtra complètement l'été dans sept ans", s'est-il inquiété. "Le simple fait qu'un tel événement soit concevable constitue un nouvel appel à se ressaisir, alors que nous progressons tels des somnambules vers le bord du gouffre", a ajouté le prince Charles.

Il a notamment plaidé pour associer plus étroitement le secteur privé aux efforts des pouvoirs publics et des ONG dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Il a salué les récentes propositions de la Commission européenne pour parvenir à l'objectif d'une réduction des émissions de gaz à effet de serre dans l'UE de 20% par rapport à leurs niveaux de 1990 d'ici à 2020 et, sur cette même période, de porter à 20% la part des énergies renouvelables dans la consommation.

Mais il a estimé qu'il faudrait aller "bien plus loin". Et il a invité l'Europe à intensifier ses efforts pour convaincre les Etats-Unis et les grands pays émergents de s'associer plus nettement aux efforts sur le climat.

L'UE doit oeuvrer à "forger un dialogue réellement efficace avec la Chine, l'Inde et les Etats-Unis, qui reconnaisse clairement les implications du changement climatique en termes de sécurité" pour la planète, a-t-il dit.
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Abandon des tests de toxicité sur les rongeurs

Les tests de toxicologie aiguë menés sur les petits rongeurs pour tester les nouveaux médicaments avant qu'ils n'entrent en phase I d'essais cliniques chez l'Homme sont une méthode du passé, si l'on en croit un rapport publié par un groupe de 18 organismes européens et compagnies pharmaceutiques. Le rapport publié indique un large soutien de l'European Federation of Pharmaceutical Industries and Associations (EFPIA) et du National Centre for Replacement, Refinement and Reduction of Animals on Research (NCR3s) qui a notamment en coordonnant les discussions.

Ces tests, jusqu'à présent obligatoires pour tout médicament expérimental, servaient à déterminer la dose unique minimale conduisant à des effets de toxicité aiguë chez l'animal. Ils représentent environ 4% de la totalité des animaux de laboratoires utilisés en Europe, soit près d'un demi-million de rats et de souris par an. Alors que ces tests avaient été utilisés pour la première fois en 1927, les auteurs du rapport estiment qu'ils sont peu fiables en ce qui concerne les risques potentiels pour l'être humain et que de nouveaux tests plus précis ont été mis au point ces dernières années, qui ne nécessitent pas l'utilisation d'animaux de laboratoires (par exemple des tests pharmacologiques en culture cellulaire ou tissulaire). Ce sont ainsi plusieurs milliers de rongeurs qui seront épargnés chaque année.

Le rapport reflète également un nombre toujours plus important d'initiatives visant à : (i) accélérer le développement de nouveaux médicaments ; (ii) réduire les échecs et l'escalade des prix du développement des nouveaux médicaments ; (iii) identifier les effets secondaires et les problèmes potentiels de manière plus rapide.

Les instances réglementaires européennes, américaines et japonaises n'ont émis aucune objection, et l'abandon des tests sur animal de laboratoire pourrait être inclus au sein de la révision des normes internationales devant prendre place dans les deux ans à venir. Certaines compagnies pharmaceutiques ont déjà réduit l'utilisation de ces tests de 70%, soit à près de 15.000 le nombre de rongeurs utilisés dans le développement de médicaments. Ce nombre d'animaux peut paraître relativement faible par rapport au nombre total d'animaux utilisés en laboratoire, mais il s'agit, selon le docteur Sally Robinson d'AstraZeneca (leader du rapport), d'une étape significative allant dans la bonne direction.

BE Royaume-Uni numéro 83 (15/02/2008) - Ambassade de France au Royaume-Uni / ADIT
http://www.bulletins-electroniques.com/ ... /53065.htm
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Boire de l’eau en bouteille, c’est mal…

Une déclaration assez particulière a été faite par Tim Lang, en poste à la commission des ressources naturelles du gouvernement en Angleterre.
“Nous devons convaincre la population que boire de l’eau à la bouteille est aussi démodé que fumer. Nous avons besoin de mettre en place une campagne similaire, afin de leur faire comprendre que c’est mal.”

Pourquoi cette déclaration ? Une bouteille d’eau représente une émission en CO2 dans l’atmosphère 600 fois plus importante que de l’eau du robinet.

Le ministre de l’environnement Phil Woolas, est également du même avis, et ce, suite à une récente recherche démontrant que boire de l’eau en bouteille avait le même impact sur l’environnement que conduire une voiture sur une distance d’un kilomètre.

En gros, la fabrication d’une “simple” bouteille de Volvic ou d’Evian serait plus nocif pour la planète que de juste ouvrir le robinet.

Dans les pays riches, on se pose la question de savoir comment boire de l’eau, alors qu’ailleurs, on manque d’eau potable…

Affaire à suivre…

http://www.miwim.fr/blog/categories/environnement ::D :;)

conclution
Boire du vin c'est mieux!!! ::D ::D :lang:
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Thierry39
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Message par Thierry39 »

Domi a écrit : Boire du vin c'est mieux!!! ::D ::D :lang:
:plussoie:
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Murie
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Message par Murie »

Je plussoie également, mais pas dès 9 h le matin... :invis:

La Ville de Besançon, très fière de la qualité de son eau du robinet, lui a même donné un nom : La Bisontine... ::)

Elle est effectivement très "bonne" (pour de l'eau... :;)) et Théodule la boit toujours directement au robinet, ce qui prouve qu'elle n'est que peu chlorée.
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Vous n'voulez pas aouâr facile d'en faire façon :invis:
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Domi
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Message par Domi »

Thierry39 a écrit :
Domi a écrit : Boire du vin c'est mieux!!! ::D ::D :lang:
:plussoie:
en plus comme disais mon grand pére ont ne rouille pas en buvant du vin!!! :invis: :lang: :invis: ::D :invis: :invis:
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Thierry39
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Message par Thierry39 »

Murie a écrit : La Ville de Besançon, très fière de la qualité de son eau du robinet, lui a même donné un nom : La Bisontine... ::)

Elle est effectivement très "bonne" (pour de l'eau... :;)) et Théodule la boit toujours directement au robinet, ce qui prouve qu'elle n'est que peu chlorée.
L'eau du robinet de Paris est très bonne aussi. On peut même la boire sans la mélanger à du vin. ::D

En revanche, Friponne n'en boit quasiment jamais dans les récipients mis à sa disposion pour s'abreuver. Elle boit soit de l'eau de source dans le verre de son pépère soit l'eau des vases des fleurs de sa mémère.
Pour qu'elle biove l'eau du robinet, il faut qu'elle soit légèrement tiède et versée dans la cuvette de l'évier de la cuisine. :pilote:

Comment ça c'est compliqué un chat ? ::D
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Beuillot
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Message par Beuillot »

Viendez goûter l'eau de Strasbourg. Je suis prêt à organiser une dégustation chez moi. Allez, disons... une pleine baignoire contre une bouteille de Jura.
L'eau ici est tellement calcaire qu'on peut y vivre sa ménopause tranquille.
Adios ostéoporos! ::D
Si j'y suis t'été, c'est pas pour y rêtre.

Comme ça. Pour rien.
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