Hyper facile
- Murie
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Attends, un indice : c'est (presque) sur la route entre Valdahon et Morteau... Comme il a été dit plus haut, le nom est en deux mots, et le pour le premier mot il y a aussi un village qui s'appelle comme ça dans le Jura entre Dole et Besançon. C'est aussi le nom d'un quartier de Besac....

Vous n'voulez pas aouâr facile d'en faire façon 

- olif
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Ronchamp, c'est en haute-Patate. Le nom recherché finit bien à la campagne mais son début n'est pas géométrique, il est précieux! 
Par contre, le gugusse en plâtre, je ne sais pas du tout à quoi il correspond!
Olif

Par contre, le gugusse en plâtre, je ne sais pas du tout à quoi il correspond!
Olif

- Des murets agricoles?
- Des murets agricoles!"
Ben elle est Redde, celle-là!

"Alesia jacta est"
- Murie
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on applaudit notre sympathique gagnant !!! (et dieu sait si c'est douloureux à reconnaîte... de la part de c'te viôsse de BretonMessage original: lionel
Orchamps ? Je suis pas très doué pour les rébuts.
Orchamps-Vennes, pour rester dans le Doubs.![]()

C'est bien orchamps-Vennes. Pour le "gugus" en plâtre (uin peu de respect cher Docteur !!


Vous n'voulez pas aouâr facile d'en faire façon 

- olif
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Pour être plus précis, il s'agit du chemin de croix de Gabriel Saury, un artiste incompris à son époque (années 50) et réhabilité depuis. Mais bon, personnellement, avant que Murie ne me fasse me pencher sur la question, je ne connaissais pas particulièrement. Je ferai donc pénitence! 
Olif

Olif

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"Alesia jacta est"
- Murie
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Il s'agit donc, comme le dit si bien Olif, du Chemin de Croix de l'église D'orchamps-Vennes, dont les touristes, allemands notamment, sont assez friands.
Pour plus de précisions, je me permets de citer presque intégralement l'article paru dans la Terre de chez nous du 08/11/2003, par ma copine Florence Mourey :
Entre 1947 et 1950, l'artiste Gabriel Saury (1911-1978), alors âgé de 46 ans, réalise les quatorze stations du Chemin de Croix, en terre cuite chamottée. A cette époque, il est déjà atteint d'une forme de tuberculose qui provoque la cécité. En plus de cette maladie, Gabriel Saury était ce que l'on peut appeler un «artiste maudit», vivant dans la pauvreté. Son chemin de crucifié lui ressemble un peu. Et c'est peut-être pour cette raison que l'artiste le considère comme son Å“uvre essentielle. Sur cet aspect Claude Louis-Combet écrit : «Il n'est pas de grand art sans effet de miroir. Tout ce que crée l'artiste contribue à définir et à renforcer son identité. Aussi n'y a-t-il rien d'étonnant à ce que la vie de l'artiste devienne à son tour une manière d'Å“uvre d'art et que la destinée de Saury s'inscrive au long d'une authentique via dolorosa.»
Une fois le Chemin de Croix achevé, surgit la polémique. Cette Å“uvre d'art, défendue par l'abbé Guillaume qui en fit la commande, et par son successeur l'abbé Farine, fut dénoncée auprès du Vatican comme scandaleuse. En 1955, le Chemin de Croix, sur une décision du Saint-Office, est retiré de l'église, pour être relégué dans une salle du presbytère où il restera jusqu'en 1970 !
[...] On peut se demander alors ce qui a tant choqué à l'époque pour faire interdire cette Å“uvre. Le retable d'Issenheim, exécuté en 1512-1515 par Matthias Grünewald, n'a pas connu pareille polémique, pourtant sa force expressive, notamment celle du Christ crucifié, est considérable. Gabriel Saury donne à son Christ une figure très humaine, il apparaît abattu, les épaules voûtées, tête baissée, lorsqu'on le dépouille de ses vêtements (station X), tordu de douleur lorsqu'on le cloue sur la croix (station XI)...
Ce Chemin de Croix, sculpté «dans la grande tradition expressionniste de la statuaire chrétienne» est proche de «l'esprit de Rouault et de Germaine Richier». De l'artiste, Claude Louis-Combet reconnaît une force expressive : «Saury offre non seulement au croyant mais à tout homme conscient de sa misère existentielle, l'image d'un Christ pétri d'humanité, poussant le mystère de son Incarnation jusqu'au cÅ“ur de l'abjection».
Aujourd'hui le Chemin de Croix attire les visiteurs, venus découvrir ces «personnages tragiques, solitaires, torturés».
===========================
C'est très... particulier en effet, et pas à mourir de rire, mais je crois que c'est à voir...
Pour plus de précisions, je me permets de citer presque intégralement l'article paru dans la Terre de chez nous du 08/11/2003, par ma copine Florence Mourey :
Entre 1947 et 1950, l'artiste Gabriel Saury (1911-1978), alors âgé de 46 ans, réalise les quatorze stations du Chemin de Croix, en terre cuite chamottée. A cette époque, il est déjà atteint d'une forme de tuberculose qui provoque la cécité. En plus de cette maladie, Gabriel Saury était ce que l'on peut appeler un «artiste maudit», vivant dans la pauvreté. Son chemin de crucifié lui ressemble un peu. Et c'est peut-être pour cette raison que l'artiste le considère comme son Å“uvre essentielle. Sur cet aspect Claude Louis-Combet écrit : «Il n'est pas de grand art sans effet de miroir. Tout ce que crée l'artiste contribue à définir et à renforcer son identité. Aussi n'y a-t-il rien d'étonnant à ce que la vie de l'artiste devienne à son tour une manière d'Å“uvre d'art et que la destinée de Saury s'inscrive au long d'une authentique via dolorosa.»
Une fois le Chemin de Croix achevé, surgit la polémique. Cette Å“uvre d'art, défendue par l'abbé Guillaume qui en fit la commande, et par son successeur l'abbé Farine, fut dénoncée auprès du Vatican comme scandaleuse. En 1955, le Chemin de Croix, sur une décision du Saint-Office, est retiré de l'église, pour être relégué dans une salle du presbytère où il restera jusqu'en 1970 !
[...] On peut se demander alors ce qui a tant choqué à l'époque pour faire interdire cette Å“uvre. Le retable d'Issenheim, exécuté en 1512-1515 par Matthias Grünewald, n'a pas connu pareille polémique, pourtant sa force expressive, notamment celle du Christ crucifié, est considérable. Gabriel Saury donne à son Christ une figure très humaine, il apparaît abattu, les épaules voûtées, tête baissée, lorsqu'on le dépouille de ses vêtements (station X), tordu de douleur lorsqu'on le cloue sur la croix (station XI)...
Ce Chemin de Croix, sculpté «dans la grande tradition expressionniste de la statuaire chrétienne» est proche de «l'esprit de Rouault et de Germaine Richier». De l'artiste, Claude Louis-Combet reconnaît une force expressive : «Saury offre non seulement au croyant mais à tout homme conscient de sa misère existentielle, l'image d'un Christ pétri d'humanité, poussant le mystère de son Incarnation jusqu'au cÅ“ur de l'abjection».
Aujourd'hui le Chemin de Croix attire les visiteurs, venus découvrir ces «personnages tragiques, solitaires, torturés».
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C'est très... particulier en effet, et pas à mourir de rire, mais je crois que c'est à voir...

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- Murie
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En fait, je m'aperçois bien tard que c'est Dudu qui avait deviné le premier, et de loin, où se trouvait le chemin de croix... Désolé OlifMessage original: dudu
Autre confusion
exact en = 2 mots avec trait d'union pour le nom du village (celui auquel je pensais plus un complément) ce qui le mets dans le Doubs
Arrondissement de Besançon
....moderne


Quant à Mel gibson au musée grévin, c'est vrai qu'il y a de ça.... Il devrait faire un peu de vélo, non ?

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- Billy
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Encore plus balèze que Dudu, j'étais vraiment à côté de la plaque !!!!!!!!!!!!!!!! Orchamps-Vennes, mais oui, fallait y penser, chui nul, je le savait!!
" Ca fait penser à la place des Prés Saintes Marie, le lendemain de la fête du Faubourg, quand il ne reste plus sur le terrain que les emballages vides et les papiers gras ..."
Jean-Marie Jacquet
- Billy
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- Localisation : Cernans, Pays de Salins
Bin, pourquoi pas?
Mais bon, y a du boulot
Pendant qu'on est dans les églises, il faut savoir que Salins comptait au moyen-âges, 17 couvent et offices religieux, soit la deuxième ville pieuxe après Besac,
Aujourd'hui, il reste trois église, Saint Anatoile, Saint Maurice, et Saint Jean Baptiste
Ontrouve aussi la fameuse chapelle Notre Dame Libèratrice, plus quemques chapelles dans les champs !!!!
Pas ma pour une ville de 3500 habitants !!!!!


Mais bon, y a du boulot

Pendant qu'on est dans les églises, il faut savoir que Salins comptait au moyen-âges, 17 couvent et offices religieux, soit la deuxième ville pieuxe après Besac,
Aujourd'hui, il reste trois église, Saint Anatoile, Saint Maurice, et Saint Jean Baptiste
Ontrouve aussi la fameuse chapelle Notre Dame Libèratrice, plus quemques chapelles dans les champs !!!!
Pas ma pour une ville de 3500 habitants !!!!!


" Ca fait penser à la place des Prés Saintes Marie, le lendemain de la fête du Faubourg, quand il ne reste plus sur le terrain que les emballages vides et les papiers gras ..."
Jean-Marie Jacquet