J'en conclue qu'il ne pleut pas chez toi. A Dole pas question de tondre le gazon!municio a écrit :Bon dommage,j'ai du gazon à couper et dois vous quitter pour un bon moment.

J'en conclue qu'il ne pleut pas chez toi. A Dole pas question de tondre le gazon!municio a écrit :Bon dommage,j'ai du gazon à couper et dois vous quitter pour un bon moment.
Ils n'y sont pas terribles les praerupta...obelix a écrit :Ces lignes sont les courbes de niveaux que j'ai tracées à l'aide de l'indicateur d'altitude de Google Earth. En réalité, j'ai relié des points, ce qui explique quelques anomalies, si on regarde de près. La ligne la plus extérieure est la courbe de niveau à 5 m au dessus du niveau de la mer, la suivante à 10 m, ensuite à 15 m, et la dernière à 20 m.
Comme je l'ai dit tout à l'heure, il me semble que "fastigio", dans le cas qui nous intéresse ne désigne pas le sommet, mais bien la pente. Ainsi, l'ablatif de "fastigio" se traduirait par "en pente", et l'ablatif de "leniore" serait dû à l'accord de celui-ci avec "fastigio". On aurait donc pour " paulo leniore fastigio", "une pente un peu plus douce". SurIntellego.fr, on peut trouver ça:municio a écrit : Je vois les choses comme ceci:
Il y a une pente abrupte qui part du sommet du côté d'Utique et qui devient plus douce dans la partie basse qui rejoint cette ville (Utique).
Pour moi le complément du comparatif est "fastigio".
Celui ci peut s'exprimer à l'ablatif (voir les 2 manières dont peut s'exprimer le complément du comparatif en latin).
Autrement dit c'est autour du sommet ou en partie supérieure ("fastigio") que se trouve la pente la moins douce et donc la plus abrupte.
Quand à l'adjectif "leniore" à l'ablatif,il s'accorde et est en relation directe avec "ab ea parte" également à l'ablatif qui qualifie la partie basse plus douce qui s'étend jusqu'à Utique.
Je suis en accord avec ce raisonnement.obelix a écrit :Comme je l'ai dit tout à l'heure, il me semble que "fastigio", dans le cas qui nous intéresse ne désigne pas le sommet, mais bien la pente. Ainsi, l'ablatif de "fastigio" se traduirait par "en pente", et l'ablatif de "leniore" serait dû à l'accord de celui-ci avec "fastigio". On aurait donc pour " paulo leniore fastigio", "une pente un peu plus douce". SurIntellego.fr, on peut trouver ça:
Demain matin à l'aube et je choisis les armes! Ce sera donc un duel à la bière!jost a écrit : C'est tout platibus comme à Montbéliard.![]()
Oui quelques étages comme à Montbéliard.obelix a écrit :Et pourtant l'endroit est idéal pour asseoir un camp; "quod is locus peridoneus castris habebatur". Il faut tout de même se représenter un tel promontoire de la hauteur d'un immeuble de huit à douze étages (il y a une partie qui atteint les 30 m). Je ne vois pas les romains construire une tour aussi haute ...
Dans ce cas, il faudrait traduire par "en calotte plus douce"? Je ne vois pas bien ce que ça pourrait bien vouloir dire ...jost a écrit :Je suis en accord avec ce raisonnement.obelix a écrit :Comme je l'ai dit tout à l'heure, il me semble que "fastigio", dans le cas qui nous intéresse ne désigne pas le sommet, mais bien la pente. Ainsi, l'ablatif de "fastigio" se traduirait par "en pente", et l'ablatif de "leniore" serait dû à l'accord de celui-ci avec "fastigio". On aurait donc pour " paulo leniore fastigio", "une pente un peu plus douce". SurIntellego.fr, on peut trouver ça:
Sauf que fastigio n'est pas la pente, mais la coiffe, ou la calotte de deux pentes. C'est cette calotte qui à partir du sommet, là où se trouve le camp, s'évase vers Utique.
Même un rocher de deux mètre domine la mer.jost a écrit :Oui quelques étages comme à Montbéliard.obelix a écrit :Et pourtant l'endroit est idéal pour asseoir un camp; "quod is locus peridoneus castris habebatur". Il faut tout de même se représenter un tel promontoire de la hauteur d'un immeuble de huit à douze étages (il y a une partie qui atteint les 30 m). Je ne vois pas les romains construire une tour aussi haute ...
Mais je suis désolé à 20 m, même à 30 m dans un paysage, surtout avec le dénivelé que tu nous présentes, le site ne domine pas la mer.
Si tu veux les pentes abruptes, plongent de part et d'autre vers la mer, alors que depuis la partie vers Utique s'évase une calotte (partie supérieure de deux pentes, fastigio) plus douce (non dit : une pente plus douce)obelix a écrit :Dans ce cas, il faudrait traduire par "en calotte plus douce"? Je ne vois pas bien ce que ça pourrait bien vouloir dire ...
On voit que tu n'es jamais allé sur mon site!jost a écrit : Je te signale que sur ton site les pentes ne sont pas abruptes de part et d'autre.
C'est pas compliqué! Nous avons deux site très ressemblants deux collines ou promontoires entourés l'un de deux rivières, l'autre par la mer. Tous les deux ont une hauteur de 20 à 30 m. Les deux possèdent des abrupts raides sans pour autant être verticaux. Et ces deux lieux ont été des lieux fortifiés à l'époque de César. Le premier, Kalaate al Andalouss est qualifié d'approprié à la défense par César et un camp se trouvait sur sa partie sommitale, le second a été trouvé approprié à la défense puisqu'un oppidum existait à l'époque de la guerre des Gaules sur sa partie sommitale.jost a écrit : Je te signale que sur ton site les pentes ne sont pas abruptes de part et d'autre.
A la limite, je t'invite à aller sur place pour escalader les pentes de l'oppidum et tu me diras ce que tu en penses ...jost a écrit : Je te signale que sur ton site les pentes ne sont pas abruptes de part et d'autre.
C'est ta vérité, et je la respecte. Elle n'est pas mienne.obelix a écrit :C'est pas compliqué! Nous avons deux site très ressemblants deux collines ou promontoires entourés l'un de deux rivières, l'autre par la mer. Tous les deux ont une hauteur de 20 à 30 m. Les deux possèdent des abrupts raides sans pour autant être verticaux. Et ces deux lieux ont été des lieux fortifiés à l'époque de César. Le premier, Kalaate al Andalouss est qualifié d'approprié à la défense par César et un camp se trouvait sur sa partie sommitale, le second a été trouvé approprié à la défense puisqu'un oppidum existait à l'époque de la guerre des Gaules sur sa partie sommitale.jost a écrit : Je te signale que sur ton site les pentes ne sont pas abruptes de part et d'autre.
Deux sites éloignés l'un de l'autre de 1200 kms, très similaires et tous deux choisis pour leurs défenses naturelles.
Dans ce site, quand on vient de l'est, ce n'est pas 30 m qu'il faut gravir, c'est 0 mètrejost a écrit :C'est ta vérité, et je la respecte. Elle n'est pas mienne.obelix a écrit :C'est pas compliqué! Nous avons deux site très ressemblants deux collines ou promontoires entourés l'un de deux rivières, l'autre par la mer. Tous les deux ont une hauteur de 20 à 30 m. Les deux possèdent des abrupts raides sans pour autant être verticaux. Et ces deux lieux ont été des lieux fortifiés à l'époque de César. Le premier, Kalaate al Andalouss est qualifié d'approprié à la défense par César et un camp se trouvait sur sa partie sommitale, le second a été trouvé approprié à la défense puisqu'un oppidum existait à l'époque de la guerre des Gaules sur sa partie sommitale.jost a écrit : Je te signale que sur ton site les pentes ne sont pas abruptes de part et d'autre.
Deux sites éloignés l'un de l'autre de 1200 kms, très similaires et tous deux choisis pour leurs défenses naturelles.
20 à 30 mètres dans un paysage ce n'est pas saillant, sauf à être verticale dans une plaine.
La lecture des textes ne me fait pas croire aux sites que tu exhibes.
Eminens : proéminant, saillant
Fastigio : en partie supérieure, en calotte, en coiffe, etc...
Rien sur ton site tunisien ne me fourni ces éléments, les camps n'y sont pas du tout en sécurité !!!
Mais je veux bien aller à Montbéliard avec toi, j'ai toujours grand plaisir de te voir.
jost a écrit :
20 à 30 mètres dans un paysage ce n'est pas saillant, sauf à être verticale dans une plaine.
La lecture des textes ne me fait pas croire aux sites que tu exhibes.
Eminens : proéminant, saillant
En plus d'une sortie agréable, je n'en doute pas te connaissant, ça amènerait des éléments dans la discussion.jost a écrit :
Mais je veux bien aller à Montbéliard avec toi, j'ai toujours grand plaisir de te voir.