obelix a écrit :Rien de mieux pour Salins, si on admet tout un tas de restrictions telles que la définition du jugum telle que tu la décris, la surface de la colline qui doit accueillir une bataille rangée de cavalerie, une rivière qui doit être assez grosse pour stopper les cavaliers en fuite et retarder de deux heures au moins la poursuite, et j'en passe ...
Oui
Mais indépendamment de cela, rien de mieux. Pourtant c'est important, Alésia est tout au plus à un jour de marche.
Mais ne te gênes pas fait comme tout le monde, prends des chaines de collines, des lignes de crêtes, etc… Et présente-nous un lieu plausible.
A Dole tout est présent :
- 15 km avant plusieures routes possibles en direction de la Province.
- une approche vaste permettant le déploiement des armées
- une colline à droite suffisamment grande et plate pour un combat de cavalerie
- un cours d’eau assez éloigné qui justifie une poursuite.
Elément important, sur le sommet du joug de droite, ce ne sont pas quelques centaines de cavaliers qui s’opposent, mais plusieurs milliers (les Germains étaient estimés à 6 000), aussi les Gaulois avaient commencé à couper la route de César, ils descendaient donc les pentes ou s’apprêtaient à les descendre. Le cours d’eau ne peut pas être au pied de la colline, il n’y aurait pas «fugientes usque ad flumen, » fuite jusqu'à la rivière, mais embouteillage sérieux. Voilà pourquoi je pense que le cours d’eau est assez éloigné du Joug.
- un cours d’eau qui fait un peu obstacle, ralentissant les mouvements.