
Voila un nouvel article sur le site " [url=www
identitecomtoise.net]Identité Comtoise[/url] " qui fait suite à la première étape d'une campagne de collage d'affiches.

http://www.identitecomtoise.net/action_landye.php
C'est le moins qu'on puisse dire !Message original: Ivydoubs
Vous n'y êtes pas allé de main morte ce coup là !!
tout 'afait d'accord avec toi Mitcht, au Lycée le Proviseur est Breton est parle le Breton, je trouve que c'st bien de pouvoir aussi garder son identité par la langue de sa région.Message original: Mitch
C'est le moins qu'on puisse dire !
Bon, je déplore un peu que la francisation de tout le pays soit décrit unqiement comme une "bien triste mission" (ça a tout de même été un moyen d'unifier le pays), mais je trouve formidable votre argumentaire en faveur des langues comtoises.
J'espère de tout coeur que votre action sera suivie et couronnée de succès.
C'est un peu fort ça quand même ! Des relents de 3ème Reich !!!????? Mais oohh ??? Faut que tu m'expliques honnêtement et tranquilement pourquoi tu dis ça ! C'est des accusations fausses, gratuites, et même GRAVES qui sentent le stéréotype à plein nez ! Tu dois avoir été trop marqué par le stéréotype : langue régionale / culture régionale en dehors des recettes de cuisine = nostalgiques de la pureté des origines, nazismes, fascimes, ...Ouais, je suis vachement dubitatif sur ce coup-là. J'aime ma région natale à n'en point douter mais je trouve que l'identité comtoise telle qu'elle est revendiquée, ça a un peu relent de 3ème Reich avec le bel Aryen... Franchement, moi qui ai des origines italiennes (grand'mère), alsaciennes (arrière-grand père), suis-je bon comtois ? A l'heure de l'ouverture sur le monde, je doute de l'intérêt du biliguisme français / franc-comtois pour mes gosses...
Ca, ca montre une réelle méconnaissance du bilinguisme et de l'enseignement des langues " régionales ". J'ai presque pas envie de répondre tellement ça montre que tu n'es pas renseigné ( ou obtu à ce genre de chose ) sur le sujet ...je doute de l'intérêt du biliguisme français / franc-comtois pour mes gosses...
Merci de le rappeler ! IC a même pris des précautions pour qu'il n'y est pas de fausses idées ! Les quelques messages de personnes qui n'apprécient pas notre " mise en garde " de la page d'accueil nous montrent qu'on a eu bien raison de le faire !Bisontin, je pense qu'il faut vraiment que tu fasses un tour sur le site IC et que tu prennes le temps de bien t'impregner de l'esprit qu'il y règne avant de lancer des inépties de ce genre à l'emporte pièce. IC affiche clairement son opposition à toutes formes d'extremismes me semble-t-il.
Tout le monde délire sur des sujets concernant les origines d'Alesia (c'est intéressant mais ça ne changerait pas ma vie de savoir où est Alesia !) et dés qu'on parle de quelque chose de concret du monde d'aujourd'hui ( en tout cas qui peut l'être ) : il faut faire attention, on est traité de nazis !Un sujet comme la langue Comtoise mériterait un débat énorme (où même ceux qui y sont opposés pourraient avoir le dernier mot) mais je crois qu'on a peur des bétises que l'on pourrait y lire à cause de zélés qui voient le vagin de Gaïa dans chaque trou de taupe du Jura.
Rien à dire : je suis d'accord à 100% !Assez de méfiance. Pendant que l'on parle de sujets un peu frivoles type recettes de cuisine, ce sont les parties d'extrême droite qui se les approprient et les dénaturent à leur sauce. La meilleure façon d'éviter les thèses extremistes, c'est encore de parler et d'être informé pour pouvoir les discrediter sans attendre de la façon la plus forte possible.
Je me demande si ça vaudrait pas un avertissement des modérateurs du forum. Je suis désolé, je suis plutôt conciliant et calme mais c'est trés énervant ce genre de chose !Oui, avant qu'on me gaze pour racines comtoises non prouvées jusqu'à l'ère d'Alésia...
Moi je suis tout à fait ouvert aux gens qui ont un autre avis que moi et tu es libre de donner ton point de vue et on peut débatre tranquilement. Mais là, tu nous as agressé gratuitement en nous accusant d'avoir des inspiration du 3e Reich. J'ai une question : si tu m'avais rencontré et qu'on avait discuté hors d'internet, tu m'aurais dis en face à face ce que tu as affirmé complaitement arbitrairement ou c'est la magie d'internet qui fait qu'on se sent libre de dire n'importe quoi ?Que je sache, on est sur un forum de discussion. On a le droit de n'être pas d'accord avec tout le monde comme tout le monde peut ne pas être d'accord avec vous. La phrase que vous avez à l'égard de Bélénos est à cet égard édifiante...
Oui, c'est vrai que ton discours " sent la tolérance à pleins nez " ...La tolérance, c'est dans les deux sens !
Concernant le billinguisme, tu as le droit de ne pas être d'accord, même si j'ai l'impression qu'il y a déja dans ton mode de pensée une hostilité aux langues dites "régionales". Le fait que les langues " minorisées " soient coupées de toute rentabilité économique (actuelement en tout cas) est un des premiers barrage dans l'esprit des gens. Ca donne des réponses que j'ai beaucoup de mal à comprendre moi mais qui sont compréhensibles : oui un jeune ne voudra pas apprendre l'occitan en considérant qu'il faut mieux apprendre une langue rentable économiquement que sauver une langue qui risque de mourrir ( même si dans le Val d'Aran Espagnole par ex, cette langue est la langue de l'administration et de la politique ).Concernant le bilinguisme, je maintiens que ce que j'ai dit : mes gosses seront mieux armés avec une 2ème langue du type anglais / allemand / chinois que franc-comtois (et en plus, lequel des dialectes : le franco-provençal ou la langue d'oïl ?). Je bosse dans une société internationale et je regrette de ne pas être trilingue français / anglais / italien. Les exemples de la Bretagne, du Pays Basque ou de Tataouine m'inspirent exactement la même réaction : ce n'est pas parce que tout le monde va se jetter dans le Doubs que je vais les suivre.[/
«la France à besoin de fabriquer des informaticiens parlant anglais et on va fabriquer des bergers parlant breton ou occitan »
(Claude Allègre / 2001)
Tu as toute la liberté d'exprimer tes convictions mais pas de nous agresser de manière arbitraire, fausse, odieuse et insultante.Je revendique mon identité comtoise fondée sur mes propres convictions, elle est différente de la vôtre, je l'exprime et je m'exprime dans ce forum de discussion, point barre. Si vous ne supportez pas la contestation, vous pouvez le quitter ; personnellement, je m'y sens très bien !
«(...) pourquoi sauver une langue qui ne leur servirait jamais à rien ? »
(Françoise Morvan, Les Temps Modernes, 31 Mai 2000)
«Les annonces faites dans les trains, c'est fait pour que ce soit compris et utile. C'est un service. Est-ce que ça apporte quelque chose de le faire en breton ? »
(Adrien Jégo, chargé de la communication de la SNCF à Rennes, mai 2000)
Déclaration du porte-parole de la SNCF au sujet du licenciement d'un contrôleur coupable d'avoir osé anoncer les gares en allemand, anglais, francais et surtout breton.
Nous faisons le serment solennel de manifester en toutes circonstances et en tous lieux notre irréductible opposition à la signature de la Charte européenne des langues régionales, contraire à l'évolution historique de la nation. De lutter sans trêve et sans défaillance jusqu'à son retrait et d'obtenir que l'effort de la République soit uniquement réservé à assurer l'égalité des citoyens. » (Serment prété par le groupuscule La libre pensée lors d'une manifestation, 11 décembre 1999)
Nous devons résister à la dégénérescence de notre langue, en refusant d'adopter le dialecte des banlieues. Quant aux langues régionales (breton, basque, catalan, etc.), elles doivent demeurer une deuxième langue, que l'on peut accessoirement étudier - lorsque l'on aura acquis une parfaite maîtrise de la langue française (on en est loin pour le moment...). »
(Jean-Pierre Pagès-Schweitzer, N°232, Samedi 18 septembre 1999)
«Non aux identités factices ! »
(Jean-Pierre Chevènement, ministre de l'Intérieur, 1999)
«Il est temps que nous soyons Français par la langue. S'il faut apprendre une autre langue à nos enfants, ne leur faisons pas perdre de temps avec des dialectes qu'ils ne parleront jamais que dans leur village : enseigons-leur le plus tôt possible une langue internationale ! »
(R. Pandraud, extrait des débats sur l'Europe de Maastricht, 13 mai 1992)
«La promotion des langues régionales et la préservation de nos cultures régionales, et en particulier bretonne, sont essentielles. Au 43ème concours de l'Eurovision qui vient d'avoir lieu en Norvège, la France a présenté une chanson bretonne. Mais ne conviendrait-il pas que, dans les organisations internationales, nos représentants s'expriment en français ? Lorsque la langue française est menacée, il est choquant de voir la France représentée par le breton . On n'est pas Breton et Français, on est Français et Breton. Je suis pour l'Europe des États, pas pour l'Europe des régions. »
(Madame Monique Rousseau, député RPR du Doubs, 1996)
«Monsieur Lang ayant créé un Capes de patois breton, pourquoi ne pas créer un Capes de mendicité ? Il y a une culture à préserver , comme on dit de nos jours. »
(Jean Dutourd, France-Soir Magazine, Novembre 1985)
«Rien de plus touchant (...) que les langues, patois et dialectes locaux soient parlés dans le sein de la famille, que les mères endorment leurs enfants avec des berceuses que leur ont transmises leurs mères et leurs grands-mères... » (réponse d'un éminent professeur membre du conseil national de l'Enseignement aux pétitions des enseignants pour la cotation du Breton aux examens, 1969)
« Pour être comprise par tout le monde, l'émission en langue bretonne sera désormais en Français. » (Lorient Roger, ministre de l'Information, Lorient Roger, ministre de l'Information, avril 1969)
«Il n'y a pas de place pour la langue bretonne dans une Europe que la France est appelée à marquer de son sceau . » (Georges Pompidou, président de la République, Discours à Sarre-Union, 1972)
«Bien sûr, le gouvernement réprime la langue bretonne. Mais qu'importe puisque les Bretons parlent Français!
«Ce n'est pas rendre service à des enfants que de les enseigner dans une langue qui n'a pas d'avenir »
(Jean-Pierre Chevènement, ministre de l'Éducation Nationale, 1985)
« Pourquoi vous laisserais-je enseigner un patois que je ne comprend pas ?
«Comment! On veut nous apprendre le dialecte des cavernes! »
(un député socialiste (!), lors du vote de la loi Deixonne, 1951)
Entre 1 et 3 ans :
Seuls les parents, et en particulier la mère, ont un contact avec leurs enfants. Si ces
derniers sont d'origine étrangère elles devront s'obliger à parler le Français dans leur
foyer pour habituer les enfants à n'avoir que cette langue pour s'exprimer.
Les réunions organisées par les associations de mères de familles étrangères
financées par le F.A.S. peuvent inciter ces dernières dans cette direction. Si c'est
dans l'intérêt de l'enfant, les mères joueront le jeu et s'y engageront. Mais si elles
sentent dans certains cas des réticences de la part des pères, qui exigent souvent le
parler patois du pays à la maison, elles seront dissuadées de le faire. Il faut alors
engager des actions en direction du père pour l'inciter dans cette direction.
L'enseignant devra alors en parler aux parents pour qu'au domicile, la seule langue
parlée soit le français. Si cela persiste, l'institutrice devra alors passer le relais à un
orthophoniste pour que l'enfant récupère immédiatement les moyens d'expression et
de langage indispensables à son évolution scolaire et sociale.