vieux sage a écrit :simone guillou a écrit :Disons le comme cela, ''Simone aime bien Vieux sage et regrette bien d'être confrontante envers lui !'' ou plus justement dit, envers son hypothèse, ton hypothèse. C'est dommage qu'on ne se comprenne pas au sujet de l'avis de César lorsqu'il décrit sommairement ce qu'il voit d'Alésia, que tous les traducteurs traduisent ainsi ou presque : l'oppidum proprement dit était au sommet d'une haute colline. On peut gloser sur cela, on peut voir un coteau saillant, mais je vois Alésia comme une colline, ou un coteau saillant émergeant bien du paysage. Pour être plus claire, il s'agit d'une colline pour moi. Or Vieux sage, tu nous présentes un plateau qui, certes, est entouré par ses flanc ouest de profondes gorges, ce qui lui donne évidemment un côté saillant, mais là on bute sur cette sémantique latine...
Et je vois moi aussi une rivière couler dans la plaine ! Ce qui n'est pas le cas de la plaine d'Eternoz.
Mais je t'apprécie quand même...sauf lorsque tu parles de ton site en faisant comme si c'était, ad hoc et bien entendu, le site d' Alésia ! Cela mon ami on ne le saura pas avant longtemps !
Je lui dois de m'avoir ouvert les yeux à cette époque, grâce à ses avis dans les topics, que l'hypothèse d'Alésia à Syam-Chaux était une erreur. Qu'il était impossible qu'Alésia soit là et j'avoue que ces arguments étaient objectifs.
Tant que tu seras fana de Guillon tu ne pourras pas le savoir.
Les arguments d'ASINUS ne sont pas objectifs - voir ce qu'il écrit en parlant de RADICES.
Je me permet de décrire les élémnts du site d'Eternoz comme je les vois et comme ils correspondent aux écrits de César.
Parlant de l'oppidum il n'écrit pas qu'il se trouve au sommet d'une HAUTE colline, il écrit "edito loco" que R. Weil traduit "bien saillante", et ensuite il écrit que cette colline n'est pas plus haute que les collines rapprochées qui la ceinturent.
La colline oppidale est de même hauteur que celles qui l'entourent.
Voici le flanc NORD

Voici le flanc SUD ; falaises de 80 mètres

Vieux sage tu ne vas pas jouer sur les mots tout le temps et plier ton site dans tous les sens pourvu qu'il devienne celui de César ! Tu m'excuseras mais je fais des propositions, ou plutôt je reprends celles d'autres personnes avant moi, et je n'impose pas Guillon telle une évidence comme toi tu le fais pour Eternoz ! Alésia à Guillon, je suis assez séduite, mais je n'en sais rien. Toi tu imposes Eternoz comme Alésia et il y a une différence mon ami ! C'est toi le fana de ton site, moi pas.
Et je ne vois pas pourquoi la ceinture de collines qui va de droite à gauche, située au nord du site de Guillon, ne serait pas les collines qui, de tous les autres côtés ( autre que la plaine) forment le site selon César. Et ces collines sont de même hauteur. Cela n'empêche nullement que la colline la plus centrale, la plus septentrionale, soit aussi la colline nord.
Et je répète que la traduction de M. De Wailly, au XVIIIème siècle, un siècle où le Latin était encore près usité par beaucoup, est celle-ci pour ce qui nous intéresse tous le plus dans la description du site d'Alésia par César (je respecte l'écriture de l'époque ) : '' Elle était fituée fur le haut d'un côteau très élevé, en forte qu'elle lui parut ne pouvoir être emportée que par un fiège en forme. Au pied du côteau couloient deux rivières, l'une d'un côté, l'autre de l'autre. Il y avoit dans la ville une plaine d'environ une lieue de long ; de tous les autres côtés des collines peu éloignées et de la même hauteur entouraient la place.''
Que vous le vouliez ou non il y a plusieurs descriptions possibles, plusieurs cas de figure qu'on peut mettre sur le papier. les vôtres - une plaine entourée de collines - et celui de Guillon aussi - une plaine très vaste (entrecoupée de collines) et d'autres collines de l'autre côté de l'oppidum. Les cours d'eau semblent bien, dans cette traduction, couler respectivement de par et d'autres de la colline d'Alésia. Il y aurait donc un cours d'eau dans la plaine ? Apparemment. L'autre cous d'eau coulant entre des collines et l'oppidum d'Alésia ? Apparemment aussi. Et ce serait ces lieux là, entre les collines et l'oppidum qui seraient étroits.
Aussi : et puisque plus loin et toujours traduit par de Wailly : '' Pendant qu'on travailloit à ces ouvrages il se donna un combat de cavalerie dans la plaine qui, comme nous l'avons dit plus haut avoit une lieue d'étendue...''
Et n'allez pas, Obélix et Vieux sage, considérer que M. De Wailly n'était pas un bon traducteur... parce que vos sites ne correspondent pas à sa traduction, surtout pour la ''plaine entrecoupée de collines''...
Ayez au moins la célérité d'accepter cette traduction comme également possible.
Et puis je lis bien pour la traduction de INTERMISSAM : ENTRECOUPE dans un dictionnaire Latin Francais.
Ne vous en sortez pas par des pirouettes sur ce mot !
fatiguée ce soir je ne peux faire plus pour démontrer qu'il y a d'autres possibilitéq que les vôtres.
Sourire de Simone.