plus haut que hierobelix a écrit :superioribus diebus = jour arrière ...

plus haut que hierobelix a écrit :superioribus diebus = jour arrière ...
J'aime bien le Latin ...obelix a écrit :
superiorum castrorum ( dont fait partie le camp nord) = on traduit souvent par "Camp supérieur", mais je pense qu'il faut traduire par camps antérieurs (l'arrière par rapport au devant où se trouve la plaine) A ce sujet, voir au mot "superior" dans le Gaffiot, par exemple ...
Fred ...
Donc le passé MONTE, je suppose que le Futur descend ?jost a écrit :plus haut que hierobelix a écrit :superioribus diebus = jour arrière ...
Regardes mon dessin ! C'est pas du Français ...Raisonnement Latin.obelix a écrit :Dans le gaffiot on lit qu'on peut traduire superior par antérieur ... Donc pas arrière ...
J'ai vu !jost a écrit :Regardes mon dessin ! C'est pas du Français ...obelix a écrit :Dans le gaffiot on lit qu'on peut traduire superior par antérieur ... Donc pas arrière ...
OUPS !!!jost a écrit :Donc tous au plus haut.
Y'en avait pas tant !
un est au Nord (A)
un à droite dans le sens d'attaque des Gaulois de l'armée de secours.(B)
l'autre doit être vu du N et au mois entendu de la plaine.(C)
Ok ?
A est différent de C
Donc sur les 3 "supérior" nous avons 2 un pour la colline du Nord et un à droite.obelix a écrit :An définitive, je pense que superioribus touche à ce qui concerne les hauteurs, donc les collines ...
Justement mon cher Obé, César ne cite jamais la présence de rivières dans la plaine : il écrit qu'elles baignent les racines de la colline. Tu dis très bien que si une rivière traversait la plaine il aurait été inutile de la dévier dans les lieux -bas, elle y aurait été naturellement . Dans l'élaboration de son portrait robot Andrea Palladio avait commencé par placer les 2 rivières en dehors de la plaine, mais baigant le pied sur deux parties de "l'oppidum ipsum" : donc au fond de "interjecto spatio " .obelix a écrit :Salut Jost !
J'aurais voulu qu'on aborde le problème des rivières ... C'est plutôt important, non ?
Si une rivière coule dans la plaine de 3000 pas, elle ne doit pas lécher la colline tout le long, puisque si tel était le cas, il aurait été inutile de dévier ses eaux pour noyer le fossé interireur . La rivière aurait largement rempli cet office ...
Obé ...
Toi tu prépares les duo duabus partibus,vieux sage a écrit : oppidum ipsum veut dire ville elle-même...
Il ya longtemps qu'il n'y a plus rien à préparer ! Tout y est !!!jost a écrit :Toi tu prépares les duo duabus partibus,vieux sage a écrit : oppidum ipsum veut dire ville elle-même...
C'est vrai, tout y est bien arranger.vieux sage a écrit :Il ya longtemps qu'il n'y a plus rien à préparer ! Tout y est !!!jost a écrit :Toi tu prépares les duo duabus partibus,vieux sage a écrit : oppidum ipsum veut dire ville elle-même...
A partir du moment que le (ou les) cours d'eau n'influe pas sur les combats ou sur les travaux d'encerclement, absolument aucune chance pour que César ne les cite.vieux sage a écrit :Justement mon cher Obé, César ne cite jamais la présence de rivières dans la plaine
Je suis d'accord avec cela.vieux sage a écrit :Tu dis très bien que si une rivière traversait la plaine il aurait été inutile de la dévier dans les lieux -bas, elle y aurait été naturellement .
Tu es venu sur place, où as-tu vu une rivière dans la plaine ? Par contre on voit très bien la trace du fossé noyé !jost a écrit :Je suis d'accord avec cela.vieux sage a écrit :Tu dis très bien que si une rivière traversait la plaine il aurait été inutile de la dévier dans les lieux -bas, elle y aurait été naturellement .
Mais les lieux bas évoqués ne sont pas forcément ceux des rives d'un cours d'eau, d'autres lieux bas peûvent être sur une autre partie de plaine.
Je ne parle pas de ton site !!!vieux sage a écrit :Tu es venu sur place, où as-tu vu une rivière dans la plaine ? Par contre on voit très bien la trace du fossé noyé !jost a écrit :Je suis d'accord avec cela.vieux sage a écrit :Tu dis très bien que si une rivière traversait la plaine il aurait été inutile de la dévier dans les lieux -bas, elle y aurait été naturellement .
Mais les lieux bas évoqués ne sont pas forcément ceux des rives d'un cours d'eau, d'autres lieux bas peûvent être sur une autre partie de plaine.
C'est assez curieux cette myopie !
jost a écrit : [Je ne parle pas de ton site !!!
C'est fou !!! Tu ramènes tout à Eternoz. Ne doutes-tu jamais ?
As-tu au moins fais analyser ces traces blanches que l'on voit ? D'où viennent-elles ?
Gergovie et Alésia sont deux sites différents, dans l'un César explique qu'il faut grimper une pente pour atteindre l'oppidum, dans l'autre aucune informations concerant le relief !jost a écrit :GERGOVIE « perspecto urbis situ, quae posita in altissimo monte … »
ALESIA « Perspecto urbis situ, ….. Ipsum erat oppidum Alesia in colle summo admodum edito loco…”
Déjà,
aux vues de ces deux phrases la structure est différente !
César place la première (urbi) au sommet, c’est clair une ville est au sommet, il passe par un relatif afin de lier.
Pour Alésia c’est la place forte proprement dite (oppidum ipsum) qui est au sommet, il utilise une nouvelle proposition, comme pour passer à autre chose...
Ensuite,
comment peux-tu prendre le raccourci et affirmer que "oppidum ipsum" = "ville elle-même". Deux vocables, aux significations distinctes, sont exposés. Nous ne pouvons que les maintenir en l’état et developper.