J'étais hier à Carrefour en train d'acheter un grand sac de croquettes Fido pour notre chienne Noisette et j'étais dans la queue pour payer.
Une femme derrière moi me demande si j'ai un chien. (Question con....)
J'étais un peu dans les vapes, sur une impulsion, je lui dis :
"Non, je recommence mon régime Fido. Encore que je ne devrais pas, vu que la dernière fois, j'ai terminé à l'hôpital.
Mais j'ai perdu 25 kilos avant de me réveiller aux soins intensifs avec des tubes partout et une perfusion dans chaque bras '
A ce moment là, les yeux commençaient à lui sortir de la tête.
J'ai continué avec mon invention de régime, elle avait totalement gobé le truc.
Je lui dis que c'est facile et pas cher, qu'il suffit de remplir ses poches ou son sac avec les croquettes, et d'en manger une ou deux chaque fois que la faim se fait trop sentir.
L'emballage dit que cette nourriture est complète, et donc j'allais encore essayer.
Je dois dire qu'à ce point presque tout le monde dans la file était fasciné par mon histoire.
Horrifiée, elle me demande si quelque chose m'a intoxiqué dans cette nourriture, et si c'est pour ça que j'ai terminé à l'hôpital ?
J'ai dit : "Non, j'étais assis au milieu de la rue en train de me lécher le c** quand une voiture m'a percuté'.
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Modifié en dernier par Beuillot le sam. 05 sept. 2009, 20:21, modifié 1 fois.
Raison :masquage de "ul" , ça se répète, not' riolu.
Parler beaucoup est une chose, parler à bon escient en est une autre.
Sophocle.
3 cigognes se rencontrent dans le ciel et se demandent les unes aux autres:
Tu vas où ? »
La première :
Je vais chez un couple qui essaie d'avoir un enfant depuis 10 ans.... Je leur apporte une petite fille. C'est cool ! Et toi ?
La seconde :
Je vais chez une dame qui n'a jamais eu d'enfants. Je lui apporte un petit garçon ! C'est bien, je suis sûre qu'elle va être vraiment heureuse !
Et toi ? Demandent les deux à la troisième cigogne.
Moi ? Je vais juste là à côté, au couvent. Je ne leur apporte jamais rien mais j'adore leur foutre la trouille.
lionel a écrit :
Peux-tu définir "femme disposée", stp ?
Ce serait une femme qui n'a ni froid ni trop chaud, ni faim ni trop mangé, ni soif ni trop bu, qui n'a mal nulle part, qui n'est pas fatiguée, qui n'a rien à faire, qui n'a aucun souci en tête et qui n'est pas indisposée.
Parait que ça existe mais je suis plus que sceptique.
lionel a écrit :
Peux-tu définir "femme disposée", stp ?
Ce serait une femme qui n'a ni froid ni trop chaud, ni faim ni trop mangé, ni soif ni trop bu, qui n'a mal nulle part, qui n'est pas fatiguée, qui n'a rien à faire, qui n'a aucun souci en tête et qui n'est pas indisposée.
Parait que ça existe mais je suis plus que sceptique.
" Ca fait penser à la place des Prés Saintes Marie, le lendemain de la fête du Faubourg, quand il ne reste plus sur le terrain que les emballages vides et les papiers gras ..."
Un jeune homme veut offrir un cadeau d’anniversaire à sa petite amie,
Ils sortent ensemble depuis peu, donc il décide, après mûres réflexions, de lui offrir une paire de gants. C’est romantique, et ce n’est pas trop direct !
En compagnie de la sœur de sa chère et tendre, il se rend donc dans un magasin d’habillement et achète une paire de gants blancs. La sœur en profite pour s’acheter deux petits slips de coton blanc.
Malheureusement, pendant l’emballage, le vendeur échange les deux paquets : la sœur se retrouve avec les gants, alors que notre jeune ami récupère les petits slips.
Sans faire plus attention au contenu du paquet, le jeune-homme le met dans un colis à destination de sa chère et tendre, accompagné de la lettre suivante :
" Mon amour, Je les ai choisis car j’ai remarqué que tu n’avais pas I' habitude d’ en mettre lors de nos rendez-vous. Ta sœur n’aurait pas été là, j’aurais choisi le modèle avec des boutons, mais elle en " porte des plus courts qui sont faciles à enlever. Ils sont de couleur claire, mais la vendeuse m’a montré ceux qu’elle porte depuis trois jours, et ils n’étaient quasiment pas sales. Je lui ai fait essayer les " tiens, qui lui allaient très bien.
" J’aurai souhaité être là lorsque tu les étrenneras car, j’en suis sûr, d’autres mains que les miennes les toucheront avant que j’aie la chance de te revoir. Quand tu les enlèves n’oublie pas de souffler " dedans, car ils deviennent naturellement humides lorsqu’on les porte. Pense seulement au nombre d’occasions que j’aurais de les embrasser dans l’année qui vient.
" J’espère que tu les porteras pour moi vendredi soir, Avec tout mon amour.
" PS: il est à la mode de les porter légèrement repliés, avec un peu de fourrure visible...