Nos beaux oiseaux

[Beuillot]

Mésange huppée?

[Domi]

et oui mon ami !!
c'est un bel oiseau qui se fait de plus en plus rare et surtout très discret!

nous avions un club qui s'appelait la Mésange huppé lorque j'était plus jeune et c'est ce Monsieur en retraite qui à prit cette belle photo ! et oui mon cher Instituteur !! du CM2 !!

[Domi]

France Télécom au secours des oiseaux


L'opérateur téléphonique s'engage à obturer ses poteaux métalliques creux qui piègent les animaux.

France Télécom a signé une convention avec l’association EPOB (Etude et Protection des Oiseaux en Bourgogne). Objectif : obturer 24 500 poteaux téléphoniques creux. Ceux-ci constituent un piège mortel pour les oiseaux qui pénètrent à l’intérieur et y restent bloqués.





Les poteaux téléphoniques creux attirent nombre de petits mammifères (écureuils, loirs …) et surtout beaucoup d’oiseaux dits cavernicoles (mésanges, sittelles, pics, chouettes…). Ces animaux, qui aiment se nicher dans des cavités, entrent par le haut du poteau et tombent au fond.

D’ici 8 ans, France Télécom s’engage à traiter 24 500 poteaux métalliques situés en Bourgogne, dans les départements de Côte-d’Or, de Saône-et-Loire et de l’Yonne. Ces poteaux seront fermés par des obturateurs. Si des obturateurs en plastique sont déjà en place, ils seront remplacés par des obturateurs plus durables. Et si cela est nécessaire, certains poteaux seront remplacés par des modèles en bois ou des poteaux métalliques d’un modèle différent qui font l’objet d’une obturation en force réalisée en usine.

L’association EPOB (Etude et Protection des Oiseaux en Bourgogne) –qui correspond à la fédération régionale des associations ornithologiques bourguignonnes – signalera les zones où les animaux sont le plus exposés.

[Beuillot]

pénètrent à l’intérieur

tombent au fond

La foire aux pléonasmes n'a pas été signalée dans "manifestations".
Plus sérieusement ( ), je ne vois pas l'intérêt, sur un poteau creux, d'avoir une face supérieure ouverte, porte d'entrée pour l'eau de pluie.

[lionel]

Tu as raison. Perso, j'ai un poteau creux et je n'en fais pas toute une histoire.

[Beuillot]

Tu me le présentera?

[lionel]

Tu me le présentera?

Tu en oublies ta grammaire ? Avec plaisir, copaing !

[Domi]

Danger pour les oiseaux de l'utilisation de poteaux téléphoniques creux
Question écrite n° 06360 de M. Paul Malassagne (Cantal - RPR) publiée dans le JO Sénat du 28/05/1987 - page 837

M.Paul Malassagne attire l'attention de M. le ministre délégué auprès du ministre de l'industrie, des P. et T. et du tourisme, chargé des P. et T., sur l'urgence d'une action de la part de son administration afin que soit stoppée la mort de millions d'oiseaux du fait de l'utilisation de poteaux téléphoniques métalliques creux.

En effet, ces poteaux constituent des pièges mortels pour certains oiseaux " cavernicoles ". Des promesses avaient été faites dès 1978 par l'administration des P. et T. Elles n'ont pas été tenues, aussi lui demande-t-il s'il n'estime pas nécessaire d'entreprendre une action immédiate.

Réponse du ministère : Postes et télécommunications* publiée dans le JO Sénat du 02/07/1987 - page 1050

Réponse. -Dès que le problème est apparu, les services des télécommunications ont recherché une solution en procédant à l'étude et à la mise au point d'un obturateur, simple et efficace, empêchant les oiseaux de pénétrer à l'intérieur des poteaux et leur évitant ainsi le risque de s'y trouver enfermés.
Ce matériel a été approvisionné à partir de 1979. Toutefois, compte tenu du grand nombre de poteaux de l'espèce (environ 3 millions) et des moyens en personnel nécessaires, la pose de cet obturateur ne peut se faire que progressivement, à l'occasion de travaux effectués par les équipes techniques sur les artères en place. Pour accélérer cette opération, certains services locaux ont signé avec des associations de protection de la nature des conventions permettant à ces dernières de procéder elle-même à la pose à l'aide de matériel mis gracieusement à leur disposition (obturateurs bien sûr, mais aussi perches télescopiques permettant la pose à partir du sol).
Une enquête menée à la fin de 1985 avait montré qu'environ les deux tiers des poteaux métalliques étaient obturés. Les prévisions donnaient à penser que, sous l'effort conjugué des services des télécommunications et des associations précitées, l'opération pourrait être terminée, dans certaines régions tout au moins, pour la fin de 1987.

Une nouvelle enquête vient d'être entreprise, qui permettra de mieux cerner les progrès accomplis depuis dix-huit mois.

[Domi]

l'actualité : faire obturer les poteaux France Télécom

Avec votre aide on peut obtenir des résultats !

Le problème : poteau non obturé = énorme mortalité
Les oiseaux cavernicoles (chouettes, mésanges), certains petits mammifères (écureuils, chauves-souris), pénètrent dans ces poteaux pour un chercher refuge, abri ou s'y reproduire.

La verticalité des parois, l'absence d'aspérités, l'étroitesse du "tube", leur interdisent de remonter lorsqu'ils sont tombés à l'intérieur du poteau.

http://www.indrenature.net/actu/clos.jpg

Si les nouveaux poteaux de France Télécom sont obturés en usine



une grande partie des anciens sont ouverts ou mal obturés.Celui-ci est probablement encore plus mortel du fait de sa proximité avec une haie.

Les enjeux :
Les poteaux téléphoniques en métal sont creux. Beaucoup sont ouverts au sommet. Ce sont des pièges terribles pour les oiseaux principalement les chouettes, mais également les mésanges ou les petits mammifères tels que les chauves-souris ou les écureuils qui recherchent des orifices pour se nourir ou se reproduire.

Une opération menée conjointement par Indre Nature et France Télécom il y a plus de 15 ans avait permis d’en obturer un grand nombre dans les zones les plus sensibles, mais ces obturateurs étaient trop fragiles et n’ont pas toujours résisté au temps.


reperer les poteaux !! et prevenez France Télécom

Quelles compétences sont nécessaires ?

Des yeux, si possible des jumelles, un carnet, une paire de jambes ou un vélo, pourquoi pas un cheval !
Une bande d’amis et d’enfants est optionnelle, mais cela peut être l’occasion d’une sortie bien sympatique.

Les oiseaux comptent sur vous !

[Thierry39]

LES DEPECHES LE PROGRES
www.leprogres.fr

Article du lundi 16 février 2009


Le groupe ornithologique s’inquiète de la baisse des effectifs d’oiseaux

C’est devant une cinquantaine d’adhérents réunis au Centre social qu’Alain Joveniaux a ouvert les débats de l’assemblée générale du Groupe ornithologique du Jura (GOJ). Seize sorties ont été proposées en 2008 à 159 participants et 76 espèces ont été observées à Petit-Noir. Les comptages des oiseaux hivernants sur les plans d’eaux du Jura ont été effectués d’octobre à mars. L’enquête sur les hirondelles a été poursuivie sur onze villages et ont permis de dénombrer 250 couples d’hirondelles rustiques et 154 couples d’hirondelles de fenêtre. L’année aura été dramatique pour l’hirondelle rustique avec une baisse des effectifs de 42 % (7 % pour l’hirondelle de fenêtre). Deux sites de Desnes ont recensé 113 couples d’hirondelles de rivage avec une baisse de 32 % sur 2007 tandis qu’à la carrière de Crotenay, 121 nids étaient occupés avec une baisse de 50 % par rapport à 2007. Le comptage des héronnières dans les étangs a enregistré 375 nids de hérons cendrés pour un total de vingt-deux colonies. Le recensement des sites de la pie-grièche grise a confirmé l’effondrement des effectifs. Le président Joveniaux a évoqué les différentes actions entreprises au stade de la protection : travaux de restauration de la gravière de Desnes Vincent, le Parc Antier, le Grand-duc à Revigny et le Grand cormoran. Le renouvellement du conseil d’administration n’a suscité aucune objection de même que le rapport financier.

[Domi]

Excuse moi Thiérry j'ai complétement oublier de te remercier pour l'article sur les oiseaux je vais voir si je peux en s'avoir davantage

Merci !!

[Domi]

pas mal de manifestations en Mars pour la LPO Franche Comté ,et de sortie Noctune pour découvrir et compter quelques chouettes donc le chévêche !!

Le programe est là http://franche-comte.lpo.fr/publication ... 202008.pdf


donc une belle sotie du côter des Salines et de bels articles pour fabriquer des nichoirs
A lire !!

[Thierry39]

LE PAYS
www.lepays.fr

Article du mardi 17 mars 2009


Aire urbaine
Observation : le faucon pèlerin, prince de la nature sauvage


Georges Contejean veille sur un couple de faucons pèlerins fidèle au site. Photo Patricia Louis

Tous les ans, avant que le printemps pointe son nez, des bénévoles répertorient des faucons pèlerins sur une trentaine de sites francs-comtois. Derniers bastions de l’espèce en France.

Une corpulence modeste, des couleurs sobres et brillantes, un plumage métallique, un bec crochu et assez court et des yeux noirs qui impressionnent. Pour beaucoup d’observateurs, incontestablement le faucon pèlerin est le prince de la nature sauvage.
Petit matin frisquet sur une falaise rocheuse du pays de Montbéliard. Georges Contejean passe des heures à observer un couple de faucons pèlerins qui ont choisi ce site depuis quelques années. Ce n’est pas le fruit du hasard.
« L’attrait du faucon pèlerin pour la falaise lui permet de localiser sa proie et de piquer sur elle à grande vitesse ».
Une technique de chasse très au point. Ce rapace diurne se nourrit exclusivement d’oiseaux de petite et moyenne taille (pigeons, étourneaux, grives…).
Pas le moindre battement d’aile dans les jumelles. Cette fois, les oiseaux ne sont pas au rendez-vous et l’ornithologue est mécontent. Il vient de découvrir des branches d’arbres qui ont été coupés et peste. « Un rien perturbe ces oiseaux qui ont horreur d’être dérangés ».
Comme chaque année, il suit l’évolution du couple fidèle à son rocher après les frimas de l’hiver. « Nous sommes un groupe informel d’ornithologues à faire le comptage en général jusqu’à fin février mais cette année, nous avons pris du retard. Il faut savoir que la Franche-Comté est le dernier bastion de l’espèce en France ».
Ailleurs, ils ont été chassés par la pollution
Aujourd’hui, la protection légale de l’espèce est assurée par la Convention de Washington, celle de son biotope, largement dégradé, reste insuffisante. L’aménagement de sites artificiels constitue une alternative à la préservation de l’espèce.
En Franche-Comté des mesures complémentaires ont été adoptées par arrête préfectoral. Du 15 février au 15 juin, il est interdit notamment de couper les arbres au-dessus du nid, de faire du parapente…
Pendant plusieurs semaines, Georges Contejean couvera des yeux le couple. Début juin, il suivra attentivement les jeunes volants. Mais la reproduction ne réussit pas toujours. Les œufs sont parfois éparpillés ou volés par d’autres prédateurs. Dure loi de la nature.


Patricia Louis

[Domi]

Merci Thierry , j'ai eu la chance de faire la m^me chose sur quelques air de Pèlerin autour de mon village c'est un très bel oiseau et je pense que je vais 'pondre' un article un de ses quatre merci !!

Nostalgie !!

[Thierry39]

LES DEPECHES LE PROGRES
www.leprogres.fr

Article du jeudi 16 avril 2009


Le grand tétras de la Vattay tué par des braconneurs


/ Photo DR


Alors que s'ouvre le Congrès des réserves naturelles à l'initiative de celle de la Haute-Chaîne du Jura, ce braconnage risque de faire du bruit. Le grand tétras de La Vattay a en effet été abattu, tout près des pistes de ski de fond. Le décès de l'animal remonterait à la période allant du 29 mars au 5 avril (après la fermeture des pistes), mais les témoins n'ont signalé les faits que ce week-end à la gendarmerie. Des traces de ski et de sang ainsi que des plumes ont été retrouvées à l'endroit où le grand tétras avait pris l'habitude d'être. Il avait été surnommé le « coq fou ». Il avait un comportement des plus étranges. Alors que ces gallinacés sont généralement des animaux discrets, celui-ci se laissait anormalement approcher, et avait des attitudes qui ressemblaient à celles de la période nuptiale, mais bien avant la saison normale des amours. Il avait même fini par devenir une sorte d'attraction bien malgré lui. La gendarmerie a en tout cas ouvert une enquête pour interpeller le ou les auteurs de cet acte particulièrement idiot. D'autant que la population du grand tétras est déclinante, au point qu'il fait figure de l'espèce la plus menacée de la réserve naturelle.

[Domi]

Rien à dire mais j'en pense pas mal de chose !!

Merci Thierry !!

[Pivoine]

LES DEPECHES LE PROGRES
http://www.leprogres.fr

Article du jeudi 16 avril 2009


Le grand tétras de la Vattay tué par des braconneurs
.

Quel dommage ! C'est comme l'Arlésienne j'en entends beaucoup parler mais je n'ai jamais eu la chance de le voir.
Mais dans quel but ? Il se mange ?

[Domi]

Oui ça se mange mais c'est protéger par le loi , je dit pas encore si c'est une personne dans le besoin ça passe encore mais c'est sans doute pour le trophée et un taxidermiste va se débrouiller pour le naturalisé ( tu change ou inverse deux lettres à Taxidermiste ça fait taxi_er_iste)
N'oublions pas que ce monsieur n'a pas le droit de le faire mais j'en connait quelques 'uns qui s'en fiche royalement

j'ai eu la chance d'en voir un , comme celui là un Mâle un peu déranger , faut dire sauf en période de chant , dans des endroit ou 'arènes ' bien défini il est très difficile de le voir (le mâle ) et alors la femelle c'est pratiquement impossible !!

Autrement un autre article de Thierry et je pense quelques pages plus loin il y avait un sujet sur le Tétra !

viewtopic.php?f=54&t=3375&start=0

[lionel]

j'ai eu la chance d'en voir un , comme celui là un Mâle un peu déranger

Un taxidermiste ?

[Domi]

Les oiseaux migrateurs, toujours plus au nord

L'hirondelle, c'est désormais établi, fait de plus en plus précocement le printemps. Et elle n'est pas la seule. Un nombre croissant d'oiseaux reviennent de leur migration plus tôt qu'il y a vingt ans et repartent plus tard, tandis que d'autres hivernent sur le littoral atlantique ou le bassin méditerranéen plutôt que de gagner des zones transsahariennes.




Principale cause de ces bouleversements : le réchauffement climatique. Celui-ci pourrait avoir, pour ces voyageurs de haut vol, des répercussions autrement sportives. Selon des travaux publiés, mercredi 15 avril, dans le Journal of Biogeography, il leur faudra en effet remonter notablement plus au nord pour passer leurs quartiers d'été sous des cieux favorables à leur reproduction.

Leur trajet en sera allongé d'autant. Ce surplus d'effort pourrait être fatal à certains passereaux, lesquels, déjà, pour accomplir leur périple, atteignent les limites de l'endurance. "Chaque année, environ 500 millions d'oiseaux migrent d'Afrique vers l'Europe et l'Asie. Les plus petits ne pèsent pas dix grammes, et n'en parcourent pas moins d'une traite des milliers de kilomètres. Pour tenir de telles distances, certains doublent leur poids avant le départ, d'autres rétrécissent leurs organes internes pour dépenser moins d'énergie. A ce niveau-là, tout ce qui rend le voyage plus long peut les mettre en péril", explique Stephen Willis, coordinateur de cette recherche au Centre pour la science des écosystèmes de l'université de Durham (Grande-Bretagne).

Menée à l'aide de modèles informatiques, son étude s'est résolument tournée vers le futur. Le principe : confronter les grands scénarios climatologiques prévus pour la fin du siècle aux données bio-écologiques disponibles sur les passereaux européens. Pas sur tous : la tâche aurait été interminable. Mais sur ceux appartenant au genre Sylvia, mieux connus sous le nom de fauvettes.

Pourquoi les fauvettes ? Peut-être parce que celle dite "à tête noire" est récemment devenue plus familière aux chercheurs de Durham, puisqu'elle a résolu la question du réchauffement climatique en passant désormais ses hivers en Angleterre. Mais surtout parce que les nombreuses espèces recensées en Europe, par la diversité de leurs habitudes alimentaires et géographiques, offrent un bon aperçu de ce qui attend la communauté des oiseaux migrateurs dans son ensemble.

ZONES D'ESCALE

"On trouve parmi les fauvettes des migratrices au long cours, d'autres qui se déplacent sur de petites distances, d'autres enfin qui ne bougent pas du tout", précise Stephen Willis. De plus, toutes n'ont pas les mêmes exigences concernant leur habitat.
Selon qu'elles soient méridionales ou septentrionales, selon qu'elles peuplent un vaste territoire ou non, elles s'adapteront différemment aux variations climatiques à venir.

Soumises au pouvoir de prédiction des ordinateurs, les fauvettes ont donc livré aux chercheurs leurs conclusions. Et celles-ci sont inquiétantes : à l'horizon 2071-2100, neuf des dix-sept espèces recensées en Europe - notamment celles qui traversent le Sahara - devront allonger leur voyage. Parfois de 400 kilomètres. Car lorsque la température globale s'élèvera de quelques degrés, leurs zones de reproduction se déplaceront vers le nord, sans que leurs zones d'hivernage - moins sensibles aux bouleversements climatiques - aient changé de latitude. De plus, la nature ne faisant pas toujours bien les choses, les plus grandes migratrices seront celles qui devront allonger le plus leur vol printanier.

Mauvaise nouvelle ? "Les oiseaux de nos régions n'ont pas attendu le réchauffement climatique pour voir leur survie menacée, tempère Michel Métais, directeur de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO). Il ne s'agit que d'un paramètre de plus à intégrer dans les stratégies futures de préservation." Un défi auquel l'Union européenne commence à s'atteler dans le cadre de sa directive Oiseaux, qui vient de célébrer ses trente années d'existence.

"Les oiseaux sauvages, dont la plupart sont des migrateurs, constituent un patrimoine commun à tous les Etats membres", a rappelé à cette occasion Stavros Dimas, le commissaire européen à l'environnement.

Leur conservation, inconcevable sans une réelle coopération internationale, passe notamment par la mise en place de zones de protection spéciale (ZPS). Réparties dans les vingt-sept pays membres et intégrées dans le réseau écologique Natura 2000, ces ZPS couvrent aujourd'hui plus de 10 % du territoire de l'Union et d'importantes zones maritimes côtières.

Leurs gestionnaires devront à l'avenir prendre en compte les nouveaux territoires et parcours de migration qu'imposeront les changements climatiques. Et, peut-être, prévoir des zones d'escale afin de permettre à ces voyageurs au (très) long cours de s'alimenter et de reprendre force.

Catherine Vincent
Article paru dans l'édition du 19.04.09. http://www.lemonde.fr