Nous distinguons les cavaliers passer entre deux collines, et se diriger sur l'arrière de l'oppidum.

C'est un plan comme ça qu'il faut présenter avec la position du camp du rempart et de la plaine.jost a écrit :Mais tous les sites ont un plan général, là encore je ne comprends pasvieux sage a écrit : n'y a que deux sites qui présentent un plan général du site : ALISIIA et ALESIA : pour quelle raison les autres sites n'en font ils pas autant ?![]()
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obelix a écrit :T'inquète Vieux-Sage, c'est pas dans la poche ...![]()
Obé ...
Ah ?vieux sage a écrit : Malheureusement pour lui et pour ceux qui ont continué son oeuvre, le site de Salins a démontré au cours de ce forum, toutes ses imperfections.
Vieux Sage,vieux sage a écrit :C'est un plan comme ça qu'il faut présenter avec la position du camp du rempart et de la plaine.
Tu déplaces quelque peu le problème, car un autre élément apparaît : la plaine.vieux sage a écrit :Christian de Mérona écrivait : "Si donc la plaine s'étendait devant l'oppidum, si le camp gaulois se trouvait devant l'oppidum du côté oriental, le lecteur LE MOINS DOUÉ conclurait inévitablement que le camp au soleil levant et la plaine se trouvaient tous deux placés du même côté de l'oppidum."
Tes conclusions, là encore sont superficielles et expéditives.vieux sage a écrit :Sa remarque judicieuse souligne la contradiction du plan alisien avec les écrits : le camp est au soleil levant et la plaine est à l'opposé
Le côté du soleil levant concerne tout le côté qui se trouve à l'EST (comme ta ligne jaune le souligne) et pas seulement la partie qui se trouve au sud-est.jost a écrit :Comme tu dis quelque fois que "spectabat ad orientem solem" "regardait le soleil naissant" : "c'est l'EST"
Voilà ce que cela donne :
La partie que tu désignes ci-dessous est le NORD-ESTvieux sage a écrit :Le côté du soleil levant concerne tout le côté qui se trouve à l'EST (comme ta ligne jaune le souligne) et pas seulement la partie qui se trouve au sud-est.]jost a écrit :Comme tu dis quelque fois que "spectabat ad orientem solem" "regardait le soleil naissant" : "c'est l'EST"
Voilà ce que cela donne :
jost a écrit :Excuses je n'ai pas vu la flèche
Donc l'est se siturerait comme ci-dessous
jost a écrit :Je ne comprends plus![]()
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Ci-dessous ta maquette
jost a écrit :
Il en va de même pour le camp des Gaulois situé par César. L’exégèse est nécessaire.
En conséquence, sont à prendre en considération :
1. Premièrement : le mur. Plus précisément son orientation, et pour faire simple, elle peut être Nord-Sud ou Est-Ouest.
2. Deuxièmement la partie, et que la partie, de la colline oppidale « qui regarde l’Est ».
Comme tu cites le Comte De Merona :
Tu déplaces quelque peu le problème, car un autre élément apparaît : la plaine.vieux sage a écrit :Christian de Mérona écrivait : "Si donc la plaine s'étendait devant l'oppidum, si le camp gaulois se trouvait devant l'oppidum du côté oriental, le lecteur LE MOINS DOUÉ conclurait inévitablement que le camp au soleil levant et la plaine se trouvaient tous deux placés du même côté de l'oppidum."
Pour la situer il n’y a que le texte Césarien : DEVANT cet oppidum, et par conséquence, devant la colline oppidale. Le « devant » (ante) est déterminé par César. Or, nul ne dit que le camp gaulois est dans la plaine : il est sous le mur, tout simplement.
Par après, nous apprenons qu’un combat de cavalerie oppose les Gaulois de ce camp aux Romains, appuyés par les Germains, mais là encore rien ne permet d’affirmer que le camp est dans la plaine. Un détail pourrait y faire croire, c’est que les Gaulois à l’intérieur de la « macéria » apercevant les légions en position, en avant du camp romain de la plaine, pensent qu’elles allaient marcher sur eux. Mais c’est tout.Tes conclusions, là encore sont superficielles et expéditives.vieux sage a écrit :Sa remarque judicieuse souligne la contradiction du plan alisien avec les écrits : le camp est au soleil levant et la plaine est à l'opposé
Sur ce point là, précisément sur l’orientation, les arguments d’Alise, de Chaux et de Salins tiennent aussi la route.
Là encore soyons précis.vieux sage a écrit :Tu as raison de t'appesantir sur les détails car nous n'avons que cela pour étudier le site.
Au VII, 68, 3, César écrit : "Voyant les ennemis terrifiés, épouvantés, (perteritisque)..."
Pour que César s'aperçoive que les Gaulois étaient épouvantés, il ne fallait pas qu'ils soient éloignés, ni au sommet d'une colline.
Je ne vois pas commentvieux sage a écrit :comment établir le camp de cavalerie gaulois sur la partie EST du Saint-André
Je me le demande aussi.vieux sage a écrit :pourquoi établir ce camp dans le goulet de la Saine à Chaux
Oui c’est possibleVieux Sage a écrit : A Alise, on peut établir un camp du côté EST,
César écrit : «reliquis ex omnibus partibus » « le reliquat de toutes autres parties »Vieux Sage a écrit : mais comme César écrit que tous les autres côtés sont occupés par des collines,
Je ne connais pas sa démontration.Vieux Sage a écrit : la plaine se trouve forcément du même côté que le mur ; ce que Christian de Mérona avait parfaitement démontré.
Certes, voici comment Christian de Mérona tire de la phrase de César : "UNE partie d'un flanc quelconque qui, cette partie là, regardant vers le soleil levant, se trouvait entièrement remplie par les Gaulois."Vieux Sage a écrit : la plaine se trouve forcément du même côté que le mur ; ce que Christian de Mérona avait parfaitement démontré.
Pourquoi donc parler du Saint-André compte tenu de ce qui précède ? Le camp gaulois peut se trouver ailleurs et trouve même parfaitement sa place à Grange Salgret. Au passage, j'ai déjà montré notammet à Olif que ce camp sous LE mur n'était pas un camp de cavalerie.vieux sage a écrit :comment établir le camp de cavalerie gaulois sur la partie EST du Saint-André
Je suis d'accord :Thierry39 a écrit :Certes, voici comment Christian de Mérona tire de la phrase de César : "UNE partie d'un flanc quelconque qui, cette partie là, regardant vers le soleil levant, se trouvait entièrement remplie par les Gaulois."