obelix a écrit :A Salins, on doit l'admettre, c'est la double colline qui pose un problème ...




obelix a écrit :A Salins, on doit l'admettre, c'est la double colline qui pose un problème ...
Oui justement , si chacun voulait bien situer l'endroit où devait se trouver le rempart de l'oppidum !obelix a écrit :
A Salins, on doit l'admettre, c'est la double colline qui pose un problème ...
Et à Chaux ce serait la partie "ad orientem solem" ... A ce sujet, on a jamais vu sur plan, la situation exacte du mur de l'oppidum, me semble-t-il ...
Obé ...
Tu veux parler de" l'oppidum ipsum" celui que je désigne plus haut par "le lieu fort" ?vieux sage a écrit :si chacun voulait bien situer l'endroit où devait se trouver le rempart de l'oppidum !
Tout a fait juste.obelix a écrit :C'est d'ailleurs la chose la plus importante pour le déroulement de combats de cavalerie. Il faut un espace suffisament grand et dégagé ...
Au dire de quelques-uns (Plut. Cæs. 22. Opp. 1, 90), César tenait un journal de ses campagnes (έφημερίδες)obelix a écrit :Peut-être qu'il avait de la mémoire aussi!jost a écrit :Oui en effet, il a probablement écrit le BG à partir de notes prises sur le terrain.olif a écrit :Tu penses donc que César a fait un mix de ces deux points de vue pour décrire le site d'Alésia?![]()
Obé ....
Natürlich rien à voir avec "dicke Bertha" und seine Kanone von 420 mn.B loiseau a écrit : c'est francisé comme Montbeliard par exemple qui se nommait Montem Billiardae en 935 non qui viendrait d’un prénom féminin d’origine allemande.
D'après ce que j'ai lu, il y a deux origines possibles pour les lieu-dits "enseigne" et dérivés . La première d'origine celtique (saigne et sagne) désigne des lieux humides, marécageux . La deuxième provient de seigneur et désignait les lieux où s'effectuaient les corvées dues au seigneurs . Pour l'instant je n'ai rien trouvé sur enseigne = enseigne de guerre .B loiseau a écrit :Vieux Sagevieux sage a écrit :Pourquoi aller chercher dans une langue germanique, que je sache le français est une langue romane ?B loiseau a écrit :pour Eteronz vérifie l'origine du nom. Je te donne une indication sur ce que tu a imaginé etre un toponyme qui parles des enseignes prisent par César: Enseingnes, du germanique sunni ; terre soumise à un droit que l'occupant payait au seigneur A+
Latin : INSIGNITUS = pourvu d'un étendard !
ROBERT :
Signus a abouti à SEING que nous retrouvons dans l'orthographe du lieu-dit : les enSEINGnes !
Tu devrais allez aux archives départementales car dans ce genre d'endroit il y a énormément d'ouvrage sur la toponymie en franche comté, et tu y trouvera l'origine de ce nom en franche comté.
il y a eu beaucoup de noms qui viennent de differentes origines et qui ont évolués au cours du temps, et parmis eux enseingnes c'est francisé comme Montbeliard par exemple qui se nommait Montem Billiardae en 935 non qui viendrait d’un prénom féminin d’origine allemande.
Légèrement ... Du coup ce ne serait plus vraiment une plaine ...jost a écrit :Penserais-tu que des collines gêneraient un peu, dans une plaine, où un combat de cavalerie va se dérouler ?obelix a écrit :Entièrement d'accord avec Vieux-Sage pour la version "espace laissé libre entre (ou par) les collines" ! C'est d'ailleurs la chose la plus importante pour le déroulement de combats de cavalerie . Il faut un espace suffisament grand et dégagé ...
Il me semble que le mot "oppidum" désigne indifféremment les fortifications ou le site fortifié . Il m'apparaît logique, à la lecture du texte que César utilise le mot "ipsum" pour préciser qu'il parle des fortifications (murs ou talus) . En fait il indique que les murs sont construits sur une hauteur qui empeche toute approche au moyen d'une tour et de mantelets comme l'exigerait une prise d'assaut en règle . Du coup, il ne lui reste plus qu'une possibilité, assiéger la ville !jost a écrit :Hé bien voilà !
Nous sommes d’accord sur une chose : le « précisément » permet de faire une distinction.![]()
Quant au reste, nous ne considérons pas le site de la même façon.![]()
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En lisant tes expressions « oppidum ville » « oppidum place forte » etc…
Il me vient l’idée d’attribuer des mots différents à « oppidum » et à oppidum ipsum » (SVP ne chipotons pas sur l’exactitude des termes choisis) :
OPPIDUM = « la place forte »
OPPUDUM IPSUM = « le lieu fort » car c’est celui qui rend le tout imprenable.
Donc :
1. César poursuit Vercingétorix jusqu’à Alésia, « place forte » des Mandoubiens.
2. Il examine attentivement la position de la ville
3. Le « lieu fort » était au sommet d’une colline, lieu tellement élevé qu’il n’était prenable que par un siège.
Honnêtement rien ne permet de placer la ville sur les pentes d’une colline, rien ne l’interdit non plus.
Tout vient de l’image que nous avons les uns et les autres de « oppidum » "place forte". Il est bon de rappeler que ce mot n’implique pas nécessairement un lieu élevé.
Tu l'as fait, Vieux-Sage ?vieux sage a écrit :Oui justement , si chacun voulait bien situer l'endroit où devait se trouver le rempart de l'oppidum !obelix a écrit :
A Salins, on doit l'admettre, c'est la double colline qui pose un problème ...
Et à Chaux ce serait la partie "ad orientem solem" ... A ce sujet, on a jamais vu sur plan, la situation exacte du mur de l'oppidum, me semble-t-il ...
Obé ...
On va avoir du mal à s'accorder ...jost a écrit :Tout a fait juste.obelix a écrit :C'est d'ailleurs la chose la plus importante pour le déroulement de combats de cavalerie. Il faut un espace suffisamment grand et dégagé ...![]()
Les collines dans une plaine : mieux vaut en tenir compte pour un combat de cavalerie.![]()
C’est pourquoi César parle de collines « intermissam »
Si elles n'étaient pas cette plaine : pourquoi les évoquer ?
Le fait de prendre des notes n'ote pas la mémoire, au contraire ... Je pense qu'une victoire telle que celle d'Alésia doit laisser de belles traces dans la mémoire ...jost a écrit :Au dire de quelques-uns (Plut. Cæs. 22. Opp. 1, 90), César tenait un journal de ses campagnes (έφημερίδες)obelix a écrit :Peut-être qu'il avait de la mémoire aussi!jost a écrit :
Oui en effet, il a probablement écrit le BG à partir de notes prises sur le terrain.![]()
Obé ....
Pendant que tu y es.obelix a écrit :Par contre j'imagine que César a pu utiliser un nègre pour écrire le BG ...
Mais qui parle d'une plaine entrecoupée ?obelix a écrit :Alors qu'une plaine entrecoupée de collines, pour moi, ça devient plusieurs plaines ...
Là tu as raison mon cher Olif !olif a écrit :Non, non, Jost! Il s'agit bien d'un deuxième oppidum, à mon avis. Je l'ai même lu sur ce forum, du clavier d'un éminent salinois: oppidum de Château su Salins et oppidum du fort Saint-André. Je n'ai pas vraiment le temps de rechercher où exactement. César n'a jamais parlé d'un double oppidum ni d'un oppidum à double colline. Tu préfères y voir une citadelle parce que ça t'arrange, mais pour moi, il s'agit bel et bien d'un deuxième oppidum, distinct du premier, avec en prime un fort au-dessus. Sur ce point précis, vous aurez beau retourner le texte dans tous les sens, vous aurez toujours vraiment du mal à convaincre!jost a écrit : Tu sais que t’as une bonne vue ?
Non seulement tu vois un oppidum, mais celui que tu prends pour un deuxième, n’est autre que la citadelle. Quant aux possibles oppida « trois » et « quatre » rassures-toi, ce sont les collines qui ceignent « le reliquat de toutes les autres parties ».
Olif
Pour cette photo qui n'est pas un paysage karstique comme chez nous, César aurait sans doute employé le participe passé de "spagere" et pas "intermissam" (dans l'espace entre) ...jost a écrit :J'ai souvenance d'un des mes voyagesobelix a écrit :On va avoir du mal à s'accorder ...
César évoque une plaine entre des collines quoi de plus naturel en somme ?
C'est même logique, une plaine est forcément entre des collines ... Alors qu'une plaine entrecoupée de collines, pour moi, ça devient plusieurs plaines ...
Je n'arrive pas à imaginer une plaine entrecoupée de collines, il faudrait me faire un dessin ...
Obé ...![]()
Comment appellerais-tu ce paysage ?
Par ailleurs je répète une nouvelle fois une question posée à Olif, "comment dénommer le paysage situé à Marnoz Aiglepierre " ? Plaine, plateau, collines, chaine de collines,etc ...
http://www.interface-tourism.fr/img_con ... midres.jpg
Je vous trouve quand même fort de café.
Vous êtes là les uns et les uns à chipoter, alors que tout le monde parle de la plaine de Marnoz. Si déjà, vous affirmez que ce lieu n’est pas une plaine, alors dites au moins ce qu’il est.
Que veux-tu dire : "sur la colline oppidale" ?obelix a écrit : Entièrement d'accord avec Vieux-Sage pour la version "espace laissé libre entre (ou par) les collines" ! C'est d'ailleurs la chose la plus importante pour le déroulement de combats de cavalerie . Il faut un espace suffisament grand et dégagé ...
A mon avis, le principal problème pour Eternoz est le fait que la plaine se situe sur la colline oppidale, ce qui ne me paraît pas conforme aux écrits .
A Salins, on doit l'admettre, c'est la double colline qui pose un problème ...
Et à Chaux ce serait la partie "ad orientem solem" ... A ce sujet, on a jamais vu sur plan, la situation exacte du mur de l'oppidum, me semble-t-il ...
Obé ...