Mais quel est l'entrepreneur imbécile qui est allé verser ces tonnes de caillasse, et les faire couler sur les pentes de la colline? Comme si le cra n'avait pas assez de cailloux.
2 points .
Mais pourquoi donc ?
Mais c'est où donc ?
Modifié en dernier par Le riolu le ven. 02 janv. 2009, 7:44, modifié 1 fois.
Parler beaucoup est une chose, parler à bon escient en est une autre.
Sophocle.
Demyn a écrit :Ceci doit avoir un rapport avec le contournement de Besançon, non?
Du côté de Beure?
Non, non, les entrepreneurs de transports de matériaux seraient'ils devenus fous ? perdre de l'énergie pour stocker ainsi des cailloux ? S'ils en faisaient un énorme tas ça pourrait se comprendre, mais là ? Ca a l'air plus vieux que les travaux du contournement.
Parler beaucoup est une chose, parler à bon escient en est une autre.
Sophocle.
Moblot a écrit :C'est à cause du Pier ?
Ils déplacent le tas de cailloux se trouvant à Saone, au lieu dit "les perrières", suite à la recherche du cailloux magiques?
Je vois que tu as bien suivi.
Parler beaucoup est une chose, parler à bon escient en est une autre.
Sophocle.
Il est possible qu'il y ait eu des vignes sur cette colline (la pente est quand même raide). La disparition de la terre de surface a pu laisser à nu la couche inférieure.
héraklès a écrit :Il est possible qu'il y ait eu des vignes sur cette colline (la pente est quand même raide). La disparition de la terre de surface a pu laisser à nu la couche inférieure.
La voilà la solution.
A cause de la maladie du phyloxera les vignes ont disparu. Il ne reste que les terrasses et les murgers. (bonjour Pierreadam).
Les vignerons lançaient les pierres depuis le milieu du champ et c'est ainsi au fil des années que les murgers ont grandi, grandi.
L'explication m'a été donnée par un habitant il y a 40 ans (Halzeimer bonjour, les anciens souvenirs remontent).
Je trouve que mes photos sont peu évidentes. la réalité est plus marquante.
Parler beaucoup est une chose, parler à bon escient en est une autre.
Sophocle.
Rosemont appartient au faisceau anticlinal bisontin. La colline, séparée de son faisceau d'origine par les méandres du Doubs, a été érodée et laisse apparaître des cônes d'éboulis calibrés.(quelques milliers d'années avant l'arrivée de l'Homme)
Aux siècles passés, vergers et vignes ont effectivement occupé ces versants, mais ce ne sont pas les vignerons qui sont responsables de ces formations de pierriers....
Le site est classé en ZNIEFF (Zone Naturelle d'Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique)
Eustache a écrit : Rosemont appartient au faisceau anticlinal bisontin. La colline, séparée de son faisceau d'origine par les méandres du Doubs, a été érodée et laisse apparaître des cônes d'éboulis calibrés.(quelques milliers d'années avant l'arrivée de l'Homme)
Aux siècles passés, vergers et vignes ont effectivement occupé ces versants, mais ce ne sont pas les vignerons qui sont responsables de ces formations de pierriers....
Le site est classé en ZNIEFF (Zone Naturelle d'Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique)
M'aurait'on raconté des rioles ?????
Au secours Denym, je ne sais plus à qui attribuer le point.
En fait si, c'est toujours Hérakles qui a donné la réponse donc
& pour g painblanc
Parler beaucoup est une chose, parler à bon escient en est une autre.
Sophocle.
Je ne souhaitais pas participer à cette énigme, mais je voulais simplement répondre à Héraklès sur l'origine naturelle des pierriers.
L'étude de la géologie du site infirme les croyances des hommes des siècles (décennies) passés qui, ne sachant pas comment expliquer certaines dispositions de terrain quelques fois surprenantes, les ont interprétées avec leurs connaissances... ainsi naissent les légendes...
hderogier a écrit :Je persiste:aupremier plan sur la première photo,le compacteur jaune est sur le chantier de la voie des Mercureaux,deuxième plan le Rosemont.
c'est vrai que c'est la voie (chemin) dont tu parles on ne peut pas encore parler de route, puisqu'on ne peut pas y circuler, mais est ce qu'il a encore ce nom depuis Beure/Besançon ?
Pour le Rosemont : tu as raison.
Parler beaucoup est une chose, parler à bon escient en est une autre.
Sophocle.