J'te l'avais promis.
Saint Vit
A l'école primaire, deux gaichons (garçons) étaient comme tous les gachenots (garçons) de leur age , et surtout par la suite, obsédés par les gachottes (filles), mais en particulier par ce qu'il y avait sous leurs robes. Un beau jour, vers la fin de l'année scolaire, il faisait du beau temps, ils décidèrent de savoir et organisèrent un concours de ''miss de l'école''. Bien évidemment, ils étaient le jury tout puissant.
Comme ils avaient vu faire à la télé, ils les firent parader une par une puis en maillot de bain et quand les gamines (filles)étaient en confiance ils leur demandaient de soulever leur camisole (chemisier). ''Les seins, vite !'' était devenu leur leitmotiv. Les seins, vite ! les seins, vite ! Décus, ils ne voyaient pas de différence avec les poitrines de leurs copains ou les leurs. Ils ne voyaient que des piqures de tavins (taon), ou des oeufs au plat. Le Dam en avait plus , lui !
Complètement dégoutés, ils décidèrent d'annuler le concours ; Il est dommage que la maitresse n'eut pas participé au concours, elle aurait gagné facile (facilement), haut la main.
Comprenant qu'elles avaient été victimes d'une escroquerie, les deux plus grandes filles de Cm2 décidèrent de leur rendre la monnaie de leur tunes (piécettes), A leur tour elles se mirent à monter le concours du ''meilleur garçon de l'école''. Le processus fut en tout point semblable. Après un tour de podium derrière l'école, là où le maitre ne pouvait pas les beuiller (observer). Puis vint le tour des maillots de bain, puis tout nus. Puisque nous voulons les meilleurs, alors les saints, vos vits ! Dépéchez vous, enlevez les slips ! Les saints, vite !
En fait de vits, elles ne virent que des quéquettes. Les garçons en ont fait une spécialité là-bas.
Allez voir le club de volley, vous verrez que c'est leur spécialité, les quéquettes. A tous les matchs, ils en abusent pour gagner. Au grand dam de Dam qui regarde tout ça des tribunes.
le riolu.
ndlr. La quéquette, aussi appelée feinte, est une attaque qui semble ètre puissante, mais la trajectoire de la balle se termine mollement derrière le contre, et qui empèche ainsi la défense basse de remonter le dit ballon, marquant ainsi un point et minant le moral adverse par son semblant de facilité.