10 Franc-Comtois aux JO de Pekin

[Angusdels]

C'est ballot...

[Moulin à rata]

Et les handballeurs français sont champions olympiques ! Bravo à eux

Il est l'heure de la cérémonie de clôture, à tous les athlètes, à dans 4 ans à Londres (pour lesquels j'irais bien faire un tour...)

[Angusdels]

Et maintenant, attendons les résultats des tests anti dopage...

[Angusdels]

Qui elle ?
L'olympiade de Londres ou la cérémonie de clôture ?

[Thierry39]

LE PAYS
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Article du samedi 23 août 2008

Actus JO 2008
Khedafi Djelkhir : un boxeur bisontin médaille d'argent



Khedafi Djelkhir a remporté la médaille d'argent des poids plume de boxe (57 kg) des jeux Olympiques après avoir été battu par arrêt de l'arbitre lors de la première reprise par le vice-champion du monde ukrainien Vasyl Lomachenko, samedi à Pékin

Djelkhir, 24 ans, est le dix-huitième médaillé olympique français de l'histoire de la boxe, le 6e en argent. Il a apporté à la France sa 38e médaille à Pékin, la 15e en argent.

Le Turc Yakup Kilic et l'Azerbaïdjanais Shahin Imranov, battus en demi-finales vendredi, sont médaillés de bronze.

«Cette médaille, c'est l'aboutissement d'un gros travail, d'un gros investissement. Elle est autour de mon cou mais elle appartient à pas mal de monde», a commenté Djelkhir qui a cependant demandé un peu de temps pour se remettre de sa défaite.

«Je viens de perdre une finale olympique. Il va falloir attendre un petit peu pour que je sois joyeux, a-t-il dit. Un petit peu cela peut être une demi-heure, une heure, je ne sais pas».

«Mais je suis deuxième et je ne vais pas me plaindre», a-t-il ajouté.

Concernant sa finale, le Bisontin a estimé qu'il était «peut-être trop bien» entré dans le combat. «Je contrôle, j'oublie ses qualités et il me surprend par sa crainte et sa peur», a-t-il expliqué, assurant que l'Ukrainien «n'a jamais été au-dessus» de lui.

«Je peux le battre huit fois»

«Il a été plus fort aujourd'hui mais sur dix combats, je peux le battre huit fois», a-t-il estimé

Lomachenko, 20 ans, qui menait 9-1 au moment de l'arrêt de l'arbitre, était néanmoins le grand favori de cette finale.

Dès le premier tour, il avait pris sa revanche sur la finale des Championnats du monde contre le Russe Albert Selimov (14-2). Ses adversaires suivants avaient également été surclassés: l'Ouzbek Bahodirjon Sultonov (13-1), le Chinois Li Yang (12-3) et Yakup Kilic (10-1).

Pour arriver en finale, Djelkhir avait lui battu l'Australien Paul Fleming (13-9), l'Américain Raynell Williams (9-7), le Mexicain Arturo Santos Reyes (14-9) puis Shahin Imranov (abandon sur blessure à l'entame de la 2e reprise).

Djelkhir a apporté à la boxe française sa deuxième médaille des Jeux de Pékin. Vendredi, Alexis Vastine avait décroché le bronze en 64 kg (super-légers), battu en demi-finales par le Dominicain Felix Diaz (12-10).

Dimanche, un dernier tricolore, Daouda Sow, tentera de décrocher l'or lors de la finale des 60 kg (légers) contre le Russe Alexey Tishchenko et permettre ainsi au clan tricolore de réaliser la même performance qu'à Anvers en 1920 avec l'or, l'argent et le bronze.

[Thierry39]

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Article du jeudi 28 août 2008

Tous les sports
Leveaux Retrouvailles en famille


Le double médaillé d’argent des Jeux de Pékin a pu partagé ses médailles avec Isabelle, sa maman, hier du côté de Belfort. Photo Jean Becker



Amaury Leveaux, médaillé d’argent sur 4x100 m et 50 m nage libre est rentré hier chez sa maman, à Grandvillars (Territoire de Belfort).
« Ah, je suis vraiment fier de mon grand, mais il est fatigué, il a besoin de vacances », lâche Isabelle, la maman d’Amaury Leveaux hier dans son petit appartement de Grandvillars.
Amaury, est à la recherche de ses deux médailles. « Elles sont où ? » demande-t-il à sa mère. « Mais elles sont là, dans ta sacoche ». Amaury est fatigué. Il s’explique : « Après une semaine de compétition, on s’est lâché pour devenir de vrais supporters. Tous les jours j’ai assisté à des finales dans des disciplines différentes. J’ai partagé l’or des handballeurs français.»

En 2012 avec son frère

Quant à Isabelle, sa maman : « Je suis dans les lessives, pensez donc après un mois. » Mais elle est heureuse, et en parlant de son fils, elle ne peut s’empêcher de retenir une larme.
Son petit frère, Aurélien, champion de France du 50 m papillon chez les juniors, est également présent. « La relève. Il sera avec moi à Londres en 2012 », annonce le grand frère.
Mais Amaury n’y pense pas encore, il y a d’abord les vacances, et après « mon objectif ce sont les championnats du monde à Rome l’année prochaine. » Mais hier, Amaury avait la tête ailleurs. Son meilleur souvenir de Pékin, « c’est l’équipe de France, le dynamisme de cette équipe, on s’entendait tous très bien. Nous étions tous solidaire, c’était vraiment super, on formait une vraie équipe de France à l’instar des Américains. On avait une couleur à défendre : la France.»


Jean Becker

[Thierry39]

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Article du jeudi 28 août 2008


L’arrivée triomphale de « Kedou » à Besançon


Khedafi et sa maman à Besançon : « Quand il faut être présent pour le public, il n’y a pas de problème.


Le boxeur bisontin, médaillé d’argent à Pékin, est rentré dès mardi soir dans « sa » ville pour partager sa médaille avec les siens.

BESANÇON

Plusieurs centaines de fans, au premier rang desquels sa maman, attendaient le champion olympique sur la place du 8-Septembre. Un podium avait été installé, d’où Khedafi Djelkhir est intervenu à plusieurs reprises, timidement, mais en exprimant avec cœur toute la reconnaissance envers tous ceux qui lui ont permis d’accéder à cette performance.
« Pour nous, ta médaille d’argent vaut de l’or », a affirmé le président du Besançon-Ring Athlétic en suscitant l’enthousiasme de la foule reconnaissante envers « Kedou » d’avoir quitté les festivités parisiennes pour se retrouver avec les siens.
Avant de signer des centaines d’autographes, il a été accueilli par le maire, la présidente du conseil régional et un représentant du conseil général du Doubs.
Très ému, le grand frère du boxeur a simplement déclaré que Khedafi avait toujours été « très sérieux ». « On est très très fier de lui aujourd’hui », a-t-il poursuivi.
Quant à Jean-Louis Fousseret, il a souligné « la modestie et la discrétion » qui caractérisent « l’enfant de Montrapon qui a toujours porté les couleurs de Besançon et de la Franche-Comté ». De son côté, Marie-Guite Dufay a exprimé sa satisfaction de saluer « un talent sportif qui vient de nos quartiers ».
Visant désormais une carrière professionnelle, le boxeur bisontin affiche également l’ambition de « donner du plaisir aux autres ».
« Quand il faut être présent pour le public, il n’y a pas de problème », a-t-il affirmé devant des fans plus que jamais conquis.

[Beuillot]

Genre le journaliste français qu'avait saluer une jolie performance chinoise en patinage en disant qu'elle avait mérité son bol de riz

C'est une blague, j'espère ?
Sans rire, il y en a un qui a vraiment dit ça ?

Oui, de mémoire, il s'agissait de Ph. Candeloro (à vérifier)

Je confirme.
A un détail près: la patineuse était japonaise et non chinoise, mais l'esprit est le même (surtout dans la tête de l'auteur).

[Domi]

juste un mot pour dire qu'il ne faut pas oublier les jeux handisport qui vont s'ouvrir et là aussi ils y àquelques FC non!!

c'est vraiment dommage que cela n'est pas montrer à sa juste valeur à la télé je pense ueça ferait pas assez d'audimat pour ces Monsieurs de la télé

dommage , car eux je leur tire mon béret

voilà juste un coup de

[Karine]

Eh ben mon Domi, tu nous reviens en pleine forme...

Il est clair que le handisport n'est pas très médiatisé. Michel et moi étions allés assister aux championnats de France d'athlétisme qui se déroulaient à Montbéliard l'an dernier.

J'avoue que l'on se sent un peu voyeur vis-à-vis de ces athlètes qui changent de prothèse comme nous de chaussures. C'est très particulier. Leurs prothèses de course sont impressionnantes, on dirait des ressorts. Les fauteuils de compétition sont aussi impressionnants de technologie.

Enfin, si ces athlètes sont impressionnants de courage (les prothèses de course sont source de souffrance) comme un jeune Suisse non-voyant que nous avons vu faire du saut en longueur guidé par la voix de son entraîneur, s'ils développent des solutions inattendues, il faut savoir aussi que le doppage existe dans ce milieu et que l'état d'esprit de certains athlètes est particulier : ils veulent gagner et se moquent complètement de ce qui peut leur arriver... puisqu'ils n'ont plus rien à perdre... Leur honneur, leur conscience, non ???