Ratrait, si les probléme d'eau se pause dans la région de Pontus ont est mal barrer...........
pourtant le probléme de l'eau est aussi un problémé dans notre pays......desriviéres des ruisseaux sont complétement assécher non pas du fait de la sécheresse mais de l'exploitation de l'eau par l'irrigation.........
La mort d'un cour d'eau c'est la mort de toute sa biodiversité ............
Aujourd'hui ont arrose jour et nuit des culture gourmande d'eau (le maïs par ex) déjà si ont commencait à irriguer le soir et la nuit et à des heures fixes 1 à 2 heures.
Article intérresant à méditer pour notre pays , qui à son capital eau potable passablement en baisse.....
IRRIGATION A GRANDS FRAIS
L'irrigation représente près de 70 % de l'utilisation globale de l'eau douce, cette part atteint cependant couramment 90 % dans les pays en voie de développement contre moins de 40 % dans les pays industrialisés, à de grandes exceptions près toutefois comme aux Etats-Unis, au Canada ou en Espagne où l'irrigation atteint des taux de consommation très élevés.
La liste des méfaits imputés à cette irrigation massive est longue :
dégradation des sols par suite de l'engorgement et de la salinité ;
pollution des eaux de surface ;
contamination des eaux souterraines ;
sans compter les gaspillages dus aux installations défectueuses.
Nombre de pays en développement dépensent deux fois plus par hectare que les pays développés pour, en définitive, des rendements trois fois moins élevés.
Cette faiblesse des rendements affecte notamment les zones arides ou semi-arides comme la vallée de l'Euphrate ou le bassin inférieur de l'Indus.
Il faut ici se rappeler que des grands projets agricoles ont parfois (au Moyen-Orient bien sûr mais aussi au Maghreb) caché des arrière-pensées de stratégie nationale (le projet marque le territoire), si le projet ne soutenait pas aussi tout simplement un idéal national (ainsi le croyance très solidement ancrée chez les Maghrébins que la conquête des immensités sahariennes seraient la clé du développement et de la prospérité).
Ceci explique aussi que les prélèvements pour l'agriculture sont toujours peu, ou même pas du tout rémunérés, ce qui aggrave la dévalorisation de l'eau et fait obstacle aux investissements.
Au cours des vingt prochaines années, les cultures irriguées devront pourtant assurer 80 % des nouvelles ressources vivrières exigées par l'augmentation de la population mondiale.
Reste à leur en fournir les moyens sans pénaliser les autres utilisateurs, sans entamer de trop le capital "bleu" de la planète.