vieux sage a écrit :
Si César détourne les eaux d'un flumen dans un fossé, celui-ci doit obligatoirement se trouver plus bas que le cours d'eau ...
Avec un barrage on peut remonter le niveau d'un cours d'eau ...
Et avec un canal, alimenter un fossé ...
Obé ...
Salut mon cher Obé
Toujours le mot qui fait mouche : mais je trouve bizarre de présenter un site sans y faire figurer le tracé du fossé avec la dérivation du cours d'eau : ceci est aussi valable pour Salins et pour Chaux.
Toujours le mot qui fait mouche : mais je trouve bizarre de présenter un site sans y faire figurer le tracé du fossé avec la dérivation du cours d'eau : ceci est aussi valable pour Salins et pour Chaux.
Non seulement il fait mouche, mais il ne semble pas contredire le fait les textes autorisent de penser qu’un flumen soit possible dans la plaine des 3000 pas.
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
Toujours le mot qui fait mouche : mais je trouve bizarre de présenter un site sans y faire figurer le tracé du fossé avec la dérivation du cours d'eau : ceci est aussi valable pour Salins et pour Chaux.
Non seulement il fait mouche, mais il ne semble pas contredire le fait les textes autorisent de penser qu’un flumen soit possible dans la plaine des 3000 pas.
Cours d'eau ou pas dans la plaine, César n'en parle jamais : c'est pourtant là que sont construites les fortifictions romaines.
Tu ne lis pas le message jusqu'au bout : où se trouve la dérivation de la Vache pour noyer le fossé ?
Depuis 50 ans que ce site a été créé par Pierre Jeandot cela aurait dû être trouvé.
vieux sage a écrit :Tu ne lis pas le message jusqu'au bout : où se trouve la dérivation de la Vache pour noyer le fossé ?
Depuis 50 ans que ce site a été créé par Pierre Jeandot cela aurait dû être trouvé.
Tu connais le site aussi bien que moi.
La zone basse de la plaine est à Saint Michel le Bas, et c'est la rivière Vache qui est déviée.
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
vieux sage a écrit :Tu ne lis pas le message jusqu'au bout : où se trouve la dérivation de la Vache pour noyer le fossé ?
Depuis 50 ans que ce site a été créé par Pierre Jeandot cela aurait dû être trouvé.
Tu connais le site aussi bien que moi.
La zone basse de la plaine est à Saint Michel le Bas, et c'est la rivière Vache qui est déviée.
O.K. vu la configuration des lieux ce fossé aurait donc eu environ 200 mètres de long.
Il y a encore beaucoup de choses à étudier sur le site d'Alésia : par exemple le déroulement de la bataille paragraphe VII 84 - 85 où se trouvent Antonius et Trébonius :
La ligne rouge symbolise l'obstacle à franchir par l'armée de secours.
La ligne orange la contrevallation qui encercle les assiégés.
À l'intérieur du cercle la colline surmontée d'une croix où se trouve César : VII,85 :" César a choisi un bon obvervatoire".
De cet endroit César surplombe les combats d'une hauteur d'environ 50 mètres.
vieux sage a écrit :Il y a encore beaucoup de choses à étudier sur le site d'Alésia : par exemple le déroulement de la bataille paragraphe VII 84 - 85 où se trouvent Antonius et Trébonius :
La ligne rouge symbolise l'obstacle à franchir par l'armée de secours.
La ligne orange la contrevallation qui encercle les assiégés.
À l'intérieur du cercle la colline surmontée d'une croix où se trouve César : VII,85 :" César a choisi un bon obvervatoire".
De cet endroit César surplombe les combats d'une hauteur d'environ 50 mètres.
Aux vue de VII 84
"Ce qui contribue beaucoup à effrayer nos soldats, ce sont les cris qui s’élèvent derrière eux, parce qu’ils voient que leur sort dépend du salut d’autrui le danger qu’on n’a pas devant les yeux est, en général, celui qui trouble le plus. "
La ligne rouge devrait être parallèle à la ligne orange.
De sorte que les Romains aient réellement l’ennemi dans le dos, et non sur leur flanc droit, comme le stipule ton plan.
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
jost a écrit :
Aux vue de VII 84
"Ce qui contribue beaucoup à effrayer nos soldats, ce sont les cris qui s’élèvent derrière eux, parce qu’ils voient que leur sort dépend du salut d’autrui le danger qu’on n’a pas devant les yeux est, en général, celui qui trouble le plus. "
La ligne rouge devrait être parallèle à la ligne orange.
De sorte que les Romains aient réellement l’ennemi dans le dos, et non sur leur flanc droit, comme le stipule ton plan.
Pour quelle raison ?
Les bruits ne se propagent-ils qu'en ligne droite ?
Les Romains qui défendent la ligne rouge ont les assiégés sur leur flanc droit et aussi dans le dos.
Ceux qui défendent la ligne orange ont l'armée de secours sur leur flanc gauche.
vieux sage a écrit :Pour quelle raison ?
Les bruits ne se propagent-ils qu'en ligne droite ?
derrière Vieux Sage !!!
Et, César l'explique " le danger qu’on n’a pas devant les yeux est, en général, celui qui trouble le plus. "
Un danger sur les flancs, tu peux le voir. Pas celui qui est dans ton dos.
Donc deux lignes parallèles.
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
jost a écrit :
Et, César l'explique " le danger qu’on n’a pas devant les yeux est, en général, celui qui trouble le plus. " Un danger sur les flancs, tu peux le voir. Pas celui qui est dans ton dos.
Donc deux lignes parallèles.
Tu oublies le probléme de distance :
Si les adversaires qui se trouvent sur ton flanc sont nombreux certains se trouvent à distance, tu ne les vois pas.
vieux sage a écrit :Tu oublies le probléme de distance :
Justement, analyses sur une telle distance, c'est-à-dire en combinant ta ligne rouge et ta ligne orange, tu obtiens un véritable front.
Regardes bien, Vieux Sage, les Romains y combattent quasi côte à côte ; alors que César nous explique qu’ils défendent dos à dos.
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Le texte est formel « derrière eux » !!! "qui post tergum pugnantibus" = "Ceux qui combatent derrière son dos" et pas comme tu le prétends : "a l'autre bout et qu'on ne peut voir..." "pugnatibus" il y a vraiment action de combat, "post tergum", derrière son dos.
Je maintiens deux lignes parallèles et non un front continu.
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
jost a écrit :
Le texte est formel « derrière eux » !!! "qui post tergum pugnantibus" = "Ceux qui combatent derrière son dos" et pas comme tu le prétends : "a l'autre bout et qu'on ne peut voir..." "pugnatibus" il y a vraiment action de combat, "post tergum", derrière son dos.
Je maintiens deux lignes parallèles et non un front continu.
Tu as peut-être raison sur les détails, mon cher Jost : le tracé des fortifications sur mon plan est approximatif.
En effet mon ami Alexis Ponthus m'avait signalé que lors de la construction d'une maison près de l'église, les fondations avaient révélé le tracé d'un fossé. Malheureusement aucune photo n' a été prise.
Il faudrait donc modifier le tracé des fortifications.
Mon cher Vieux Sage
Ce tracé est bien plus conforme aux textes.
J’observe que pour y parvenir tu as placé la ligne rouge en contrebas d’une pente, offrant ainsi aux Gaulois l’avantage du terrain avec possibilité d’attaquer de haut en bas.
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
