En ce qui me concerne pour le site de Montbéliard.
Le « in colle summo admodum edito loco” ne me gêne pas trop, car subjectif à partir du relief environnant.
Mais, avec un fort pourcentage de pente qui lui justifie le siège, alors que César n'a jamais désigné le mur comme obstacle.
Cependant quelques principes de base restent immuables.
Ainsi :
- Devant : une plaine
- Le reliquat, c’est tout le reste, hormis « devant » : cela implique sur les côtés et derrière.
- Un espace médiocre.
- Des collines de la ceinture de même hauteur que l’oppidum (pour le moins entre elles).
- Sur la plaine : une colline plus extérieure, cela veut dire que d’autres s’y trouvent déjà, elle sont moins extérieures.
- Au Nord une immense colline, toute proche d’une montagne.
Personnellement je trouve analyse de Bernard Loiseau beaucoup plus conforme au texte.
Avec tout de même une grande question, valable aussi pour la bataille préliminaire de Salins :
pourquoi César n’a-t-il pas cité le DOUBS ?
