
Paul-René MACHIN "le dernier été d'Alésia" :
Drôle de soutient pour Chaux



vieux sage a écrit :César était sous une forte pression mais il attendait l'armée de secours : VII,77, 10 : "Est-ce pour leur plaisir que les Romains s'exercent journellement, là-bas, dans leurs retranchements éloignés" ?
Chacun respecte SA logique !jost a écrit : Sub muro, sous le mur
«… quae pars collis…» : « …laquelle partie de la colline... » Pour que César écrive cela, c’est qu’il en a déjà parlé. Il fait référence à l’oppidum ipsum qui à Salins est un seul élément : une colline oppidale.
« …ad orientem solem spectabat… » : « …regardait le soleil naissant… »
Chaque site respecte sa logique
•Eternoz place le camp gaulois à l’est d’un décrochement dans LEmur. Ce décrochement reste à prouver, ainsi que l’existence de ce mur dont les portes ne sont pas situables. Si Lemur n’avait pas de décrochement le camp gaulois devrait se positionner bien plus à l’EST, c'est-à-dire, au niveau du village d’Eternoz.
•Chaux place le camp sous la partie EST qu’occupe l’oppidum ipsum avec le problème d’exiguïté et de distance par rapport aux retranchements romains soulevé dans nos débats. Position du camp que personnellement je trouve acceptable car nous ne connaissons ni le nombre de cavaliers, ni l’état d’avancement des travaux dans la plaine.
•Salins ne considère que la colline oppidale et y place le camp, bien à l’EST et sous le mur.
La remarque de Vieux Sage vient du fait qu’il considère l’EST du « Tout d’Alésia » Pour Salins, il ne prend pas en compte la séparation des éléments dans un « Tout ».
je parle de l'oppidum ipsum,pas de la ville.vieux sage a écrit :On ne sait pas où vous situez l'oppidum : les Prés du Roi ? La colline "oppidale" ? La ville de Salins ?
Les racines : c'est pas les pieds. Le cours d'eau peut être un peu plus loin.vieux sage a écrit :César ne parle que d'une colline délimitée par les rivières , or La Furieuse délimite le site et le Fort SAINT-ANDRE s'y trouve !
je confirmevieux sage a écrit :Chacun respecte SA logique !
jost a écrit :vieux sage a écrit :César était sous une forte pression mais il attendait l'armée de secours : VII,77, 10 : "Est-ce pour leur plaisir que les Romains s'exercent journellement, là-bas, dans leurs retranchements éloignés" ?
Peut-être pas si loin que ça
Romanos in illis ulterioribus munitionibus animine causa cotidie exerceri putatis?
ULTERIOR : Qui est au-delà, de l’autre côté,
Ulterior pars urbis = l’extrémité opposée de la ville.
Ulterior ripa = la rive opposée
C'est nouveau ?vieux sage a écrit : A cet endroit la plaine proprement dite mesure 1000 m de largeur.
Et plus la MONTAGNE est haute, plus les racines vont loin !jost a écrit :je parle de l'oppidum ipsum,pas de la ville.vieux sage a écrit :On ne sait pas où vous situez l'oppidum : les Prés du Roi ? La colline "oppidale" ? La ville de Salins ?
Les racines : c'est pas les pieds. Le cours d'eau peut être un peu plus loin.vieux sage a écrit :César ne parle que d'une colline délimitée par les rivières , or La Furieuse délimite le site et le Fort SAINT-ANDRE s'y trouve !
Une plaine de 3000 pas de longueur a automatiquement UNE LARGEUR et à cet endroit cette plaine mesure 1000 m de LARGEUR.jost a écrit :C'est nouveau ?vieux sage a écrit : A cet endroit la plaine proprement dite mesure 1000 m de largeur.
La plaine s'ouvre en une longueur de 3000 pas./
tu peux expliquer ?vieux sage a écrit :D'après le texte il semble bien que ces travaux n'étaient pas vus par les assiégés ! Ces travaux se trouvaient au nord puisque les 60.000 de l'armée de secours viennent par ce côté. Que César doit y envoyer des messagers : VII,86 :Lorsqu'il en a connaissance César envoie Labiénus". 87,3 : après avoir rétabli le combat (dans la plaine) César gagne l'endroit où il avait envoyé Labiénus".
C'est le terme "proprement dit" qui m'étonne car il n'existe pas dans le BG.vieux sage a écrit :Une plaine de 3000 pas de longueur a automatiquement UNE LARGEUR et à cet endroit cette plaine mesure 1000 m de LARGEUR.jost a écrit :C'est nouveau ?vieux sage a écrit : A cet endroit la plaine proprement dite mesure 1000 m de largeur.
La plaine s'ouvre en une longueur de 3000 pas./
Dans la plaine , vraiment ? En es-tu sur ?vieux sage a écrit :après avoir rétabli le combat (dans la plaine) César gagne l'endroit où il avait envoyé Labiénus".
Pas dans le cas d'un 1/2 cerclevieux sage a écrit :Une plaine de 3000 pas de longueur a automatiquement UNE LARGEUR et à cet endroit cette plaine mesure 1000 m de LARGEUR.
obelix a écrit :De nombreuses traces de cette civilisation on perduré pendant des siècles et nous sont même parvenues quasiment intactes jusqu'à nos jours . N'avez vous jamais vu quelqu'un jeter une pièce dans une fontaine en faisant un voeu ? C'est une coutume celte! Le coq que l'on trouve au-dessus de nos clocher ? C'est un symbole gaulois! Les vierges noires adorées jadis par les chrétiens, et encore de nos jours par les gens du voyage (entre autres), ça nous vient encore des celtes! D'ailleurs dans la religion chrétienne, la vierge Marie à pris une importance qu'elle n'a pas dans la bible . C'est parce qu'elle a pris la place de la déesse mère des celtes, etc ...peqa a écrit : Sur l'aspect "civilisation" je dirais cependant que César, et derrière lui les Romains puis les Chrétiens, ont éradiqué totalement la civilisation des druides ...
Il subsiste, à mon avis de très nombreuses traces de la civilisation celtique, le tout est de les déchiffrer ...
Obé ...
Etant un humaniste convaincu , je ne peux évidemment pas cautionner les massacres pérpétrés par César , mais je si je prends en compte le contexte de l'époque , je ne pense absolument pas que César était pire que la grande majorité de ses contemporains , mais ceci n'engage que moi ...peqa a écrit : Mon point de vue reste que César était un voyou sanguinaire car il n'avait nul besoin de massacrer partout comme il le fit. Pensée du XXI ième siècle sans doute.
Peqa