obelix a écrit :de toute façon, je suis d'accord sur le principe . Et je pense que ça ne contredit en aucune façon ce qu'on a dit jusqu'à présent . A savoir César se dirige vers le camp nord depuis les retranchements de la ceinture de colline où se trouvent les "loca praerupta", d'où il venait de retablir le combat contre les assiégés . Reste à valider le shéma suivant:
En effet César a rétabli la situation à son avantage aux lieux escarpés (loca praerupta) de la ceinture de colline, il se dirige, à l’intérieur de ses lignes, vers la colline du Nord.
Il sait qu’il gagne, pour la circonstance il revêt son manteau rouge, son heure de gloire est arrivée et, se rend sur le point précis d’où tous ceux qui combattent encore peuvent le voir : « les declivia et devaxa ».
Tout le monde est d’accord pour partie, car se sont bien les retranchements (munitionibus) la plaine qui répondent à la clameur des deux camps (Les Gaulois et Les Romains) de la montagne du Nord, mais aussi la clameur de LA PALISSADE (vallo au singulier) entre laquelle César descend
en parade* les pentes (declivia) en devers (devexa).
*En parade : en effet ce genre de descente s'entreprend par le biais, pour compenser le devers de la pente, l'effet parade est des plus remarquable car le cavalier montre toute son adresse à maitriser la situation. César est dans toute sa gloire !
vieux sage a écrit :Il est totalement illusoire de vouloir établir un portrait robot de l'ensemble des combats d'Alésia avec le peu de détails et toutes les interprétations que l'on peut en faire.
Seul un portrait robot de l'oppidum, de la plaine peut être réalisé.
Seulement après la découverte de ce site on peux étudier la suite.
Absolument pas.
Quand tout le monde aurait compris que le texte impose, une descente en devers le long de la palissade et une clameur en réponse depuis les retranchements de la plaine, ce plan évoluera