obelix a écrit :letouriste a écrit :
Il faut quand même rappeler que la position des lignes dans la plaine de Syam comme tout autour de l'oppidum n'ont pas été dictées par la théorie , fût elle basée sur l'irr... et le Dir... , mais sur des observations terrain ; si les chercheurs qui se sont succédés au fil des ans avaient trouvé des traces différentes , les lignes seraient différentes et ça c'est irréfragable ou dirimant au choix !!!

Il ne faudrait pas fuir le débat qui est, je le rappelle, "les traces qui sont présentes sur
tous les sites, sont-elles celles d'Alésia ? Parce que des traces il y en a aussi à Salins!
Même si à Salins on a un peu moins de bouchon, ne l'oubliez pas, il y a des traces! Ne faites pas les fanfarons! Chaux possède encore de nombreuses incohérences, même si dans l'ensemble il propose de meilleurs atouts qu'Alise Sainte Reine ...
Obé ...

Le Touriste
Dans cette affaire le seul contemporain qui nous a laissé une trace est César est son BG.
Par la précision de l’auteur, il se dégage SUR LE PAPIER la vérité Césarienne, c'est-à-dire ce qu’il voulait réellement écrire. Nul doute, que sa description de Besançon, et je le répète, SUR LE PAPIER est irréfragable et dirimante.
Le terrain, quant à lui, apporte également sa vérité.
Dans le cas présent, le texte dit, que les Gaulois attaquant de nuit, craignaient d être contourné sur leur droite, par les Romains depuis un Camp situé dans les hauteurs. Cela doit être situé sur le PAPIER.
La réponse d’Olif me convient donc « En ce qui concerne le camp sur les hauteurs, il doit s'agir de celui de Chatelneuf, au lieu-dit la Fullie, légèrement en retrait, donc, mais qui donne accès directement au bois de la Liège, occupé par les Romains et qui permet un accès sur la plaine sans parapente à son extrémité nord. »
Ainsi je peux placer :
- Un camp à la droite des Gaulois, un peu en retrait…
- Faire un trajet tout le long de la colline « Bois de Liège » jusqu’à son extrémité
- Déterminer l’accès à la plaine.
- Constater qu’il s’agit là d’une sortie de près de 6 km en territoire ennemi.
Les spécialistes militaires et autres, jugeront si les Gaulois avaient raison de craindre une attaque de ce côté-là.