La généalogie passe-temps favori des seniors

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Thierry39
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La généalogie passe-temps favori des seniors

Message par Thierry39 »

LES DEPECHES LE PROGRES
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Article du mardi 4 décembre 2007


La généalogie passe-temps favori des seniors


Remonter le temps et reconstituer l'histoire de la famille passionne de plus en plus les seniors


D'après un sondage Ipsos réalisé en juin 2006, un Français sur deux s'adonne à la recherche généalogique et une famille sur deux dispose d'un arbre généalogique.
Plus de trois cents associations regroupent des personnes intéressées ou passionnées car la généalogie est une activité « chronophage ». C'est dire si cette passion est très largement partagée. La recherche généalogique ne se limite pas seulement à une collection de patronymes inscrits sur un arbre ! Elle implique une véritable recherche historique afin de « donner vie » à ses ancêtres, de retrouver leur cadre d'existence et leur quotidien.
Deux types de recherche existent.
Soit la généalogie dite ascendante si l'on s'intéresse uniquement aux ancêtres portant le nom de famille (on parle alors d'ascendance agnatique).
Mais ce type de recherche est restrictif car il ne tient pas compte de l'ensemble des ancêtres réels. Une généalogie ascendante se doit d'être complète.
Elle étudie la totalité des ancêtres paternels et maternels dont le nombre double à chaque génération.
Autre type de recherche, la généalogie descendante. Elle établit la descendance de tel ou tel de vos ancêtres. Elle tient donc compte de tous les collatéraux (oncles, cousins, neveux, etc.).
C'est une recherche longue et fastidieuse qui demande un dépouillement attentif des registres d'état civil. Dans la pratique on ne peut l'envisager qu'après avoir déjà réalisé une généalogie ascendante.
Enfin il est difficile de se fixer une date limite de remontée dans le temps.
Tout dépend de la richesse des archives disponibles, mais aussi de la « notoriété » de votre famille : certaines familles nobles peuvent parfois « remonter » leur arbre très loin dans le temps !
Dans les dépôts d'archives publiques, on peut consulter directement tous les documents, à l'exception de ceux en trop mauvais état, et de ceux soumis à des délais de consultation (état civil de moins de 100 ans).

Gisèle Lombard
glombard@leprogres.fr

> NOTE
Renseignements et informations : http://www.journalreel.info



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La recherche difficile mais passionnante
La recherche généalogique est parfois difficile mais les moyens mis à disposition sont nombreux. On peut ainsi s'adresser moyennant finances à des généalogistes professionnels.
A défaut, les associations de généalogie mettent presque toutes à disposition des listes de patronymes, des dépouillements de registres, des généalogies publiées, une bibliothèque, une revue interne.
Pour trouver la plupart des adresses de ces associations, on peut consulter deux sites, Heredis et guidegenealogie.com. De nombreux livres et revues sont également disponibles en librairies ou en bibliothèque.
Pour les internautes, parmi les logiciels de généalogie trois logiciels gratuits et deux logiciels payants se détachent nettement : Heredis et Généatique.
Il n'existe pas d'études comparatives. Il semble que les logiciels payants soient plus complets.
Enfin, les listes de discussion et les forums permettent de publier des petites annonces, d'échanger des idées, des conseils avec d'autres particuliers.
A noter que les serveurs sur le Minitel possèdent des bases de données très riches mais dont la consultation est payante et onéreuse.
Reste ensuite à exploiter au mieux les données recueillies. Plusieurs solutions sont possibles comme dresser son arbre généalogique, déposer les données sur une base de données ou dans les fichiers d'une association, ou organiser une réunion de famille pour raconter la vie des ancêtres telle qu'on a pu la percevoir et l'imaginer.
On peut aussi écrire l'histoire de la famille. Un projet si l'on est passionné, qui nécessite à la fois le goût de l'écriture et de la recherche généalogique.
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !
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Juju du 90
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Message par Juju du 90 »

Moi, je trouve ça bien la généalogie, si ça ne coûtait pas si cher...Ca étancherait ma curiosité! @+
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Thierry39
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Message par Thierry39 »

Message original: Juju du 90
Moi, je trouve ça bien la généalogie, si ça ne coûtait pas si cher...Ca étancherait ma curiosité! @+
Qu'est ce qui coûte cher dans la généalogie ?
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !
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Juju du 90
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Message par Juju du 90 »

Les recherches des ancêtres, surtout si C à l'étranger...Et aussi, si tu veux rechercher loin, au-delà des arrières grand-parents...Tout ça! @+
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Thierry39
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Message par Thierry39 »

Message original: Juju du 90
Les recherches des ancêtres, surtout si C à l'étranger...Et aussi, si tu veux rechercher loin, au-delà des arrières grand-parents...Tout ça! @+
A l'étanger peut-être. Mais mes parents ont fait pas mal de généalogie au delà des arrières grands-parents (disons qu'avant ce n'est pas de la généalogie, normalement ça ne nécessite pas de recherche) et ça ne nous a pas couté grand chose, à part de l'essence et des restos. C'est vrai qu'on a surtout eu à chercher en Saône et Loire et dans le Doubs. Mais les registres d'Etat Civil sont en libre accès dans les mairies pour ceux qui ont plus de 100 ans. Et pour avant 1793, les registres paroissiaux aussi en général.
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !
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Juju du 90
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Message par Juju du 90 »

Ah tiens, je ne savais pas tout ça, je me basais juste sur ce qu'on a m'a dit...
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Comtoise
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Message par Comtoise »

Je fais des recherches généalogiques et je suis d'accord avec Thierry39; Je pense même qu'on peut voir accès aux registres des décès de moins de 100 ans.
Pour éviter de faire trop de km à droite, à gauche, allez sur internet :
http://www.francegenweb.org/
http://geneanet.org/
Il y a des arbres en ligne sur (recherches par lieu ou par nom). Avec un peu de chance un cousin éloigné a déjà fait des recherches qui vous permettent d'avancer dans les vôtres. Pour la Franche-Comté, il y a http://www.cegfc.org/www/index.php3 ou http://www.racinescomtoises.net/
Vous pouvez, aussi, aller aux archives départementales. On y trouve les microfilms de tous les registres d'état civil des villes et villages du département, des renseignements sur les soldats de 14 par exemple et tant d'autres choses encore. L'accès est gratuit, il faut juste s'inscrire à l'entrée.
J'ajoute que c'est passionnant, qu'il faut de la patience et du temps, mais qu'on devrait si intéresser avant la retraite. Je regrette de ne pas avoir commencé mes recherches plus tôt, car mes grands-parents ne sont plus là pour me renseigner sur mes ancêtres, la vie de leur temps, l'histoire du village, le patois...
"Dans l'horizon des monts que les sapins effrangent
J'aime à revoir chaque an le vieux pays comtois...
J'aime entendre au penchant ombragé des collines
Les cloches des troupeaux égrener dans le vent..." Charles DORNIER


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obelix
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Message par obelix »

En ce qui me concerne, j'ai eu la chance de retrouver la tombe où sont enterrés tous mes ancêtres nés depuis 1790 environ . Le dernier en date à occuper les lieux est le cousin germain de mon grand-père paternel, le dernier de la branche ainée puisqu'il était vieux-garçon . La maison familiale, une ferme, se situe à Grandfontaine, près de Besançon . Juste à côté se trouve le hameau "le chatelet, je suppose qu'il a à voir avec mon nom de famille puisque je m'appelle Chatelain .
Solem lucerna non ostenderent
La Marie
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Message par La Marie »

Mon Papa s'est occupé de celà au début de sa retraite . Le choc du passage "je travaille " puis " je ne fais plus rien plus rien " a été moins fort comme celà . Il avait toujours une raison pour aller voir des villages ou tout simplement sortir , contacter de nouvelles personnes aussi .
Et nous avons été trés émus d'apprendre qu'une branche de notre famille était venue de Suisse juste aprés la guerre de 10 ans . J' étais en train justement de beaucoup potasser cette période oubliée dans nos apprentissages scolaires .
Il a quand même du avoir recours , je crois, à un spécialiste pour les périodes trés anciennes , textes en latin ou en français difficile à lire et documents pas toujours tenus avec la logique de maintenant .
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