Halloween
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
L'If : Ngetal (28 octobre - 24 novembre)
Divinité : Goibniu ou Govannon
Particulièrement cher aux druides qui en aspiraient les vapeurs pour renforcer leurs pouvoirs de clairvoyance, l'If est l'une des espèces d'arbres qui vivent le plus longtemps en Europe du Nord. Cette longévité, synonyme d'immortalité, l'a néanmoins lié aux lieux de sépultures, en l'associant au symbolisme de la transformation qui accompagne la mort et la renaissance.
(?)
Divinité : Goibniu ou Govannon
Particulièrement cher aux druides qui en aspiraient les vapeurs pour renforcer leurs pouvoirs de clairvoyance, l'If est l'une des espèces d'arbres qui vivent le plus longtemps en Europe du Nord. Cette longévité, synonyme d'immortalité, l'a néanmoins lié aux lieux de sépultures, en l'associant au symbolisme de la transformation qui accompagne la mort et la renaissance.
(?)
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
L'histoire de la Chandeleur
La Chandeleur, dans l'esprit de tout le monde, c'est la fête de la crêpe. Mais qui aujourd'hui connaît l'origine de cette fête bien sympathique?
CHANDELEUR, CA VIENT DE CHANDELIER ? Oui, ou plutôt de chandelle.
Une fois de plus, comme nous l'avons vu pour la fête d'Halloween ; rattachée maintenant aux festivités qui entourent la Nativité - la fête de la Chandeleur est liée à la LUMIERE. Mais aussi à la PURIFICATION, la FECONDITE, la PROSPERITE, toujours très proches dans les croyances et traditions.
(?)
La Chandeleur, dans l'esprit de tout le monde, c'est la fête de la crêpe. Mais qui aujourd'hui connaît l'origine de cette fête bien sympathique?
CHANDELEUR, CA VIENT DE CHANDELIER ? Oui, ou plutôt de chandelle.
Une fois de plus, comme nous l'avons vu pour la fête d'Halloween ; rattachée maintenant aux festivités qui entourent la Nativité - la fête de la Chandeleur est liée à la LUMIERE. Mais aussi à la PURIFICATION, la FECONDITE, la PROSPERITE, toujours très proches dans les croyances et traditions.
(?)
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
D'abord les Romains...
Ensuite, il faut rappeler que l'on trouvait un rite lié à la PURIFICATION chez les Celtes, encore eux, ceux qui craignaient tant le noir et le froid au soir de la grande nuit d'Halloween. A l'inverse, l'hiver tirait à sa fin en février : la fête d'Imbolc le 1er février (à noter qu'ils avaient à nouveau un jour d'avance sur la fête catholique !) était fête de la purification de l'eau, pour s'assurer fertilité et fécondité avec le retour de la vie en cette fin d'hiver.
lCe disque doré rappelle lui aussi le soleil, dont le retour commençait enfin à se préciser les peuplades du Nord de l'Europe et pour les Celtes.
(?)
Ensuite, il faut rappeler que l'on trouvait un rite lié à la PURIFICATION chez les Celtes, encore eux, ceux qui craignaient tant le noir et le froid au soir de la grande nuit d'Halloween. A l'inverse, l'hiver tirait à sa fin en février : la fête d'Imbolc le 1er février (à noter qu'ils avaient à nouveau un jour d'avance sur la fête catholique !) était fête de la purification de l'eau, pour s'assurer fertilité et fécondité avec le retour de la vie en cette fin d'hiver.
lCe disque doré rappelle lui aussi le soleil, dont le retour commençait enfin à se préciser les peuplades du Nord de l'Europe et pour les Celtes.
(?)
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
Les lieux de culte et sanctuaires :
Ils se situaient le plus souvent dans les bois ou les clairières, sur des collines ou près des lacs, des sources, des rivières. Dans les bois sacrés on trouvait de nombreux autels et souvent un seul arbre (chêne ou hêtre) tenait lieu de sanctuaire.
Plus tard, les Celtes ont construit des temples, les fana (singulier : fanum) rectangulaires ou ronds. Les sanctuaires prennent des formes différentes selon les lieux : dans le midi de la Gaule, ils peuvent être en pierre et on y expose (ou cloue), à l'entrée, les têtes coupées des ennemis...
(?)
Ils se situaient le plus souvent dans les bois ou les clairières, sur des collines ou près des lacs, des sources, des rivières. Dans les bois sacrés on trouvait de nombreux autels et souvent un seul arbre (chêne ou hêtre) tenait lieu de sanctuaire.
Plus tard, les Celtes ont construit des temples, les fana (singulier : fanum) rectangulaires ou ronds. Les sanctuaires prennent des formes différentes selon les lieux : dans le midi de la Gaule, ils peuvent être en pierre et on y expose (ou cloue), à l'entrée, les têtes coupées des ennemis...
(?)
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
Les animaux sacrés:
Les Celtes ont aussi des animaux et plantes sacrés : le sanglier (il représente la force guerrière), le cerf (le messager entre le monde des dieux et des hommes), le corbeau, le cheval, le taureau, le chêne (pour la cueillette du gui, la plante sacrée qui guérit tout), l'if (symbole d'immortalité).
(?)
Les Celtes ont aussi des animaux et plantes sacrés : le sanglier (il représente la force guerrière), le cerf (le messager entre le monde des dieux et des hommes), le corbeau, le cheval, le taureau, le chêne (pour la cueillette du gui, la plante sacrée qui guérit tout), l'if (symbole d'immortalité).
(?)
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
La place de la femme chez les Celtes. La Gauloise portait-elle les braies?
Chez les Celtes, les structures sociales étaient celles de tous les peuples Indo-européens, le premier rang était dévolu à l'homme (société patriarcale).
Toutefois, en étudiant les textes, on s'aperçoit que la condition de la femme celte était avantageuse par rapport à certaines autres sociétés.
La femme celte était relativement indépendante de l'homme, elle pouvait posséder des biens propres : bijoux, bétail... Si la propriété foncière était collective chez les Celtes, à côté, la propriété mobilière individuelle était admise. La femme pouvait user de ses biens personnels à sa guise, elle les conservait en cas de mariage et pouvait les reprendre en cas de divorce.
(?)
Chez les Celtes, les structures sociales étaient celles de tous les peuples Indo-européens, le premier rang était dévolu à l'homme (société patriarcale).
Toutefois, en étudiant les textes, on s'aperçoit que la condition de la femme celte était avantageuse par rapport à certaines autres sociétés.
La femme celte était relativement indépendante de l'homme, elle pouvait posséder des biens propres : bijoux, bétail... Si la propriété foncière était collective chez les Celtes, à côté, la propriété mobilière individuelle était admise. La femme pouvait user de ses biens personnels à sa guise, elle les conservait en cas de mariage et pouvait les reprendre en cas de divorce.
(?)
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
Le mariage était une institution souple, résultat d'un contrat dont la durée n'était pas forcément définitive.
En théorie, la femme choisissait librement son époux et lorsque c'est elle qui possédait plus de biens que son mari, c'est elle qui dirigeait toutes les affaires du ménage sans demander l'avis à son époux.
Si la fortune de l'homme et de la femme étaient à égalité, le mari ne pouvait gérer les biens sans en référer à son épouse.
En se mariant, la femme n'entrait jamais dans la famille de son mari, elle appartenait toujours à sa famille d'origine, et le prix que versait le mari pour l'achat de sa femme n'était qu'une compensation donnée à la famille de celle-ci.
(?)
En théorie, la femme choisissait librement son époux et lorsque c'est elle qui possédait plus de biens que son mari, c'est elle qui dirigeait toutes les affaires du ménage sans demander l'avis à son époux.
Si la fortune de l'homme et de la femme étaient à égalité, le mari ne pouvait gérer les biens sans en référer à son épouse.
En se mariant, la femme n'entrait jamais dans la famille de son mari, elle appartenait toujours à sa famille d'origine, et le prix que versait le mari pour l'achat de sa femme n'était qu'une compensation donnée à la famille de celle-ci.
(?)
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
En cas de divorce, la femme retournait dans sa famille d'origine.
Si l'homme décidait d'abandonner sa femme, il devait s'appuyer sur des motifs graves, si non, il devait payer des dédommagements très élevés.
La femme pouvait se séparer de son mari en cas de mauvais traitements, elle pouvait alors reprendre ses biens propres et sa part des biens acquis pendant toute la durée du mariage.
Le divorce pouvait aussi s'effectuer par consentement mutuel, la séparation n'était pas liée à une quelconque culpabilité, c'était simplement un contrat qui cessait.
(?)
Si l'homme décidait d'abandonner sa femme, il devait s'appuyer sur des motifs graves, si non, il devait payer des dédommagements très élevés.
La femme pouvait se séparer de son mari en cas de mauvais traitements, elle pouvait alors reprendre ses biens propres et sa part des biens acquis pendant toute la durée du mariage.
Le divorce pouvait aussi s'effectuer par consentement mutuel, la séparation n'était pas liée à une quelconque culpabilité, c'était simplement un contrat qui cessait.
(?)
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
Dans certaines situations, notamment dans les familles royales, la transmission des biens ou de la souveraineté se faisait par l'intermédiaire de la mère ou de l'oncle maternel.
(l'exemple de Tristan, héros d'une légende médiévale d'origine celtique, héritier de son oncle Mark, en est le plus célèbre).
(l'exemple de Tristan, héros d'une légende médiévale d'origine celtique, héritier de son oncle Mark, en est le plus célèbre).
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
En-dehors du mariage,
il existait une sorte de concubinat réglementé par des coutumes très strictes. Un homme pouvait prendre une concubine, mais s'il était marié, il ne pouvait le faire qu'avec l'accord de son épouse légitime.
La concubine et sa famille recevaient une compensation financière et un contrat stipulait la durée du concubinat (un an jour pour jour, renouvelable).
Cette coutume qu'on a pu appeler "mariage temporaire" ou "mariage annuel" avait le mérite de sauvegarder l'indépendance, la liberté et la dignité de la femme concubine. Si le contrat passé n'était pas respecté par le concubin, la femme concubine pouvait en appeler à la décision d'un juge, en général un druide qui, en plus de ses fonctions religieuses, exerçait des fonctions judiciaires.
(?)
il existait une sorte de concubinat réglementé par des coutumes très strictes. Un homme pouvait prendre une concubine, mais s'il était marié, il ne pouvait le faire qu'avec l'accord de son épouse légitime.
La concubine et sa famille recevaient une compensation financière et un contrat stipulait la durée du concubinat (un an jour pour jour, renouvelable).
Cette coutume qu'on a pu appeler "mariage temporaire" ou "mariage annuel" avait le mérite de sauvegarder l'indépendance, la liberté et la dignité de la femme concubine. Si le contrat passé n'était pas respecté par le concubin, la femme concubine pouvait en appeler à la décision d'un juge, en général un druide qui, en plus de ses fonctions religieuses, exerçait des fonctions judiciaires.
(?)
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30
Le problème des enfants pouvait cependant soulever des difficultés.
En principe, les enfants appartenaient à la famille du père, de ce fait, ils n'étaient jamais abandonnés, d'autant plus que le système du "fosterage" était pratiqué.
Il consistait à envoyer les enfants dans une autre famille afin qu'ils reçoivent une éducation manuelle, intellectuelle ou guerrière, ce qui élargissait le cadre de la vie familiale.
Les enfants pouvaient hériter de leurs deux parents et les filles n'étaient pas écartées de la succession, même si elles étaient défavorisées par rapport aux garçons.
(?)
En principe, les enfants appartenaient à la famille du père, de ce fait, ils n'étaient jamais abandonnés, d'autant plus que le système du "fosterage" était pratiqué.
Il consistait à envoyer les enfants dans une autre famille afin qu'ils reçoivent une éducation manuelle, intellectuelle ou guerrière, ce qui élargissait le cadre de la vie familiale.
Les enfants pouvaient hériter de leurs deux parents et les filles n'étaient pas écartées de la succession, même si elles étaient défavorisées par rapport aux garçons.
(?)
- mandarine-25
- Quasi incurable…
- Messages : 987
- Enregistré le : dim. 29 juil. 2007, 17:30