Désolé de te contredire Lionel mais tu as du lire, si cette revue est compétente que nous trouvons la citation du mot Dubis dans les commentaires de la guerre de gaules de Jules César . LIV 1
http://bcs.fltr.ucl.ac.be/CAES/BGI.html
"César le précède à Besançon
[1,38]
(1) Il était en marche depuis trois jours, lorsqu'on lui annonça que celui-ci, avec toutes ses forces, se dirigeait contre Besançon, la plus forte place des Séquanes, et que, depuis autant de jours, il avait passé la frontière. (2) César crut devoir faire tous ses efforts pour le prévenir, (3) car cette ville était abondamment pourvue de munitions de toute espèce, (4) et sa position naturelle la défendait de manière à en faire un point très avantageux pour soutenir la guerre. La rivière du Doubs décrit un cercle à l'entour et l'environne presque entièrement ; (5) la partie que l'eau ne baigne pas, et qui n'a pas plus de six cents pieds, est protégée par une haute montagne dont la base touche de chaque côté aux rives du Doubs. (6) Une enceinte de murs fait de cette montagne une citadelle et la joint à la ville. (7) César s'avance à grandes journées, et le jour et la nuit, s'en rend maître et y met garnison."
En fait, je connais la version qui tant à nous faire croire que cette appellation vient de la forme sinueuse du Doubs qui va vers la mer du nord puis revient vers la méditerranéen en accomplissant un grand M d'où mon avatar...
Le but est de nous faire accepter la version tirée par les cheveux que le mot DUBIS à été donnée pour exprimer l'aspect DUBITATIF du cour de cette rivière au nom si significatif que l'on retrouve dans le mot MANDUBIENS habitants d' ALESIA ; Liv VII CHAP 68 /71/78
http://bcs.fltr.ucl.ac.be/CAES/BGVII.html
"Vercingétorix à Alésia. César le suit
[7,68]
(1) Voyant toute sa cavalerie en fuite, Vercingétorix fit rentrer les troupes qu'il avait rangées en avant du camp, et prit aussitôt le chemin d'Alésia, qui est une ville des Mandubiens, après avoir fait, en toute hâte, sortir du camp les bagages, qui le suivirent. (2) César laissa ses équipages sur un coteau voisin, les commit à la garde de deux légions, poursuivit l'ennemi tant que le jour dura, lui tua environ trois mille hommes de l'arrière-garde, et campa le lendemain devant Alésia. (3) Ayant reconnu la situation de la ville, et voyant les ennemis consternés de la défaite de leur cavalerie, qu'ils regardaient comme la principale force de leur armée, il exhorta les siens au travail et fit commencer les lignes de circonvallation."
Je ne voudrais pas toujours avoir l'air pédant, en fait quand vous m'aurez compris vous verrez que je suis là juste pour éclairer et non pour vous engager dans un mouvement sectaire. Comme ne manque pas de vous avertir vos enseignants qui finissent par croire en ce qu'ils disent à force d'avoir affaire à des élèves soumis au « dictact » du diplôme.