Salon qui aura lieu à Molamboz, près d'Arbois qui réunira des vignerons que l'on peut qualifier de non-conventionnel (ce n'est pas péjoratif!).
Avec une belle fourchette de régions représentées (Ardèche, Beaujolais/Macon, Loire, Sancerre, Languedoc, Bugey, Auvergne, Alsace,..., et le Jura)
Je vous laisse découvrir le programme que notre très cher meilleur bloggueur vinique a repris:
http://olif.typepad.com/le_blog_dolif/2 ... _vign.html
Donc il y a de grande chance que samedi vous m'y aperceviez.
*** Message édité par Trout39 le 23/04/2007 11:26 ***
*** Message édité par Trout39 le 23/04/2007 11:27 ***
(Edit d'Olif pour modification du lien)
*** Message édité par olif le 23/04/2007 11:50 ***
Les vignerons surnaturels
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olif
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Demandez le programme!
Tant qu'à faire, autant le mettre ici. J'y serai également une grande partie du samedi après-midi, je pense. Et peut-être aussi le soir, lors d'une soirée apéritif-concert au camping d'Ounans!
Olif
P.S.: Trout, pour que tu me reconnaisses plus facilement, j'aurai un gros oeillet à la boutonnière!
*** Message édité par olif le 23/04/2007 11:51 ***
- Des murets agricoles?
- Des murets agricoles!"
Ben elle est Redde, celle-là!
"Alesia jacta est"
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Beuillot
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Message original: olif
J'y serai également une grande partie du samedi après-midi, je pense. Et peut-être aussi le soir, lors d'une soirée apéritif-concert au camping d'Ounans!
*** Message édité par olif le 23/04/2007 11:51 ***
Faut bien avouer qu'après une après-midi passée à boire du pinard,ça fait du bien,un petit apéro!
Si j'y suis t'été, c'est pas pour y rêtre.
Comme ça. Pour rien.
Comme ça. Pour rien.
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olif
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Premier salon de vins véritablement surnaturel, il faisait bon y flâner dans un esprit détendu, voire se vautrer dans l'herbe tendre, ce qui ne fatiguait quand même pas trop non plus, y goûter deux ou trois vins, quelques huîtres de pleine mer, puis un des meilleurs chocolats du cosmos, ceux d'Edouard Hirsinger, et enfin se désaltérer avec une bière « franche ». Molamboz (Jura, France, Europe, Monde, Cosmos), un Salon qui tenait de la Garden-Party, idéal pour une fin avril estivale, et qui n'a manqué, toute connotation politique mise à part, aucune de ces promesses.
On commence par les autochtones, pour ne pas froisser les susceptibilités et entretenir le chauvinisme, et on se met en bouche avec les vins du Domaine de la Cybelline, en compagnie de Benoît Royer. L'Arbois rouge 2005 possède une jolie matière bien concentrée, un cran au-dessus du 2004 goûté dernièrement aux Jardins de Saint-Vincent. Le blanc 2005 est égal à lui-même, friand et croquant, un très joli assemblage de chardonnay et savagnin en complantation.
Passage du virtuel au réel avec la rencontre de Thierry39 puis de Trout39 dans la foulée, effectivement vêtu d'un tee-shirt des Hurlements de Léo. Immanquable!
On s'attarde ensemble ensuite en compagnie de Jean-Marc Brignot, le Gentil Organisateur, qui n'a pas hésité un seul instant à transformer sa propriété en Club Med surnaturel pour recevoir ses invités et le grand public potentiel. Le Pet Nat 2005 est un Fin Limé, assemblage de chardonnay et de ploussard pour une couleur légèrement orangée, une véritable invitation au voyage festif. La bulle est gourmande et ravit le palais. Les Arbois rouges 2005 PP (ploussard-pinot ou ploussot-pinard?) et Marc (ploussard et trousseau) sont très concentrés, la prime à Marc en ce moment. Des équilibres un peu atypiques en Jura, qui devraient donner lieu à quelques controverses. Personnellement, j'aime beaucoup! Soliste 2004, une vendange tardive de Savagnin, qui a pris le voile pendant un an dans une cuve, poursuit son bonhomme de chemin et acquiert progressivement un peu de gras et de rondeur sans perdre son côté croquant, mûr et sec.
Demi tour évident et facile en direction de la souriante Julie, la curiosité piquée par cette Terre des Chardons, un domaine sudiste situé entre Arles et Nîmes, au cÅ“ur de l'appellation Costières. Quatre cuvées goûtées et un sans faute total, forcément le grand coup de cÅ“ur de cette journée. Fraîcheur, élégance, et équilibre sont les mammelles de ces Chardons, tant dans le blanc 100% Clairette, superbe, que dans les rouges majoritairement Syrah qui ont suivi, Bien luné et Marginal. Des vins fruités et floraux, détendus, épanouis, à la grande digestibilité.
Jolies déclinaisons de gamay auvergnat chez Stéphane Majeune, du domaine du Peyra. On passe du Crépuscule aux Vieilles Vignes en jetant des Caillasses dans les Puys. Il y a de la fraîcheur et de la gourmandise dans toutes ces cuvées aux noms imagés et au caractère franc et fruité.
Et puis on se réserve une dernière découverte pour la fin. Et pas des moindres ! Paul-Henri Soler est un jovial helvète sans accent, puisque ses origines sont girondines. Il travaille encore à mi-temps à la Cité des vins de Genève mais s'est lancé à corps perdu dans l'aventure vigneronne. Formation bordelaise mais débarrassée des scories de l'élevage. Pour une expression 100% nature de son vin qui ne pourra qu'évoluer bénéfiquement dans le temps, lorsqu'il constituera petit à petit son propre domaine (pour l'instant, ce sont des achats hyper sélectionnés de raisins sur pieds). Trois vins proposés à la dégustation, d'abord En attendant, un Chasselas, à l'équilibre un peu inhabituel, développant d'agréables notes de poire caramélisée, large et soyeux, le carbonique étant peu marqué, puis un Gamay rond et fruité, à la finale croquante, de quoi calmer une Soif de Pays ! Il y a bien une raison à l'amputation du coin gauche de l'étiquette, mais je ne suis pas certain d'avoir retenu toutes les explications (un rien embrouillées) de Paul-Henri. Et enfin, un Vin du Dimanche, à base de gamaret, récolté bien mûr, puis légèrement passerillé sur claies (comme un vin de paille), l'humidité genevoise ne permettant pas de le faire sur souches. Cela donne un vin riche et puissant, parfaitement sec, sur des notes de noyau, d'amande amère et de banane séchée. Franchement bon et original, une vraie curiosité ! Finalement, Pierre-Henry est un véritable équilibriste, un funambule du vin avec un petit vélo dans la tête, celui qui figure sur ses très jolies étiquettes.
Il y aurait eu encore beaucoup d'autres découvertes à faire lors de cette Garden-Party de Molamboz, tous les vignerons présentés étant dignes d'intérêt, mais le temps à manqué ! Les portes devaient fermer le samedi à 19 heures pour réouvrir le lendemain matin, il n'était pas loin de 21 heures lorsque j'ai quitté, à regret, la nouvelle capitale des vins surnaturels. Avec quelques flacons, évidemment, mais aussi une bourriche d'huîtres de pleine mer de Xavier Grall à Blainville-sur-mer, et 3 bouteilles de bière « La Franche » pour étancher la soif sur la route du retour. Complètement surnaturel !
Olif
On commence par les autochtones, pour ne pas froisser les susceptibilités et entretenir le chauvinisme, et on se met en bouche avec les vins du Domaine de la Cybelline, en compagnie de Benoît Royer. L'Arbois rouge 2005 possède une jolie matière bien concentrée, un cran au-dessus du 2004 goûté dernièrement aux Jardins de Saint-Vincent. Le blanc 2005 est égal à lui-même, friand et croquant, un très joli assemblage de chardonnay et savagnin en complantation.
Passage du virtuel au réel avec la rencontre de Thierry39 puis de Trout39 dans la foulée, effectivement vêtu d'un tee-shirt des Hurlements de Léo. Immanquable!
On s'attarde ensemble ensuite en compagnie de Jean-Marc Brignot, le Gentil Organisateur, qui n'a pas hésité un seul instant à transformer sa propriété en Club Med surnaturel pour recevoir ses invités et le grand public potentiel. Le Pet Nat 2005 est un Fin Limé, assemblage de chardonnay et de ploussard pour une couleur légèrement orangée, une véritable invitation au voyage festif. La bulle est gourmande et ravit le palais. Les Arbois rouges 2005 PP (ploussard-pinot ou ploussot-pinard?) et Marc (ploussard et trousseau) sont très concentrés, la prime à Marc en ce moment. Des équilibres un peu atypiques en Jura, qui devraient donner lieu à quelques controverses. Personnellement, j'aime beaucoup! Soliste 2004, une vendange tardive de Savagnin, qui a pris le voile pendant un an dans une cuve, poursuit son bonhomme de chemin et acquiert progressivement un peu de gras et de rondeur sans perdre son côté croquant, mûr et sec.
Demi tour évident et facile en direction de la souriante Julie, la curiosité piquée par cette Terre des Chardons, un domaine sudiste situé entre Arles et Nîmes, au cÅ“ur de l'appellation Costières. Quatre cuvées goûtées et un sans faute total, forcément le grand coup de cÅ“ur de cette journée. Fraîcheur, élégance, et équilibre sont les mammelles de ces Chardons, tant dans le blanc 100% Clairette, superbe, que dans les rouges majoritairement Syrah qui ont suivi, Bien luné et Marginal. Des vins fruités et floraux, détendus, épanouis, à la grande digestibilité.
Jolies déclinaisons de gamay auvergnat chez Stéphane Majeune, du domaine du Peyra. On passe du Crépuscule aux Vieilles Vignes en jetant des Caillasses dans les Puys. Il y a de la fraîcheur et de la gourmandise dans toutes ces cuvées aux noms imagés et au caractère franc et fruité.
Et puis on se réserve une dernière découverte pour la fin. Et pas des moindres ! Paul-Henri Soler est un jovial helvète sans accent, puisque ses origines sont girondines. Il travaille encore à mi-temps à la Cité des vins de Genève mais s'est lancé à corps perdu dans l'aventure vigneronne. Formation bordelaise mais débarrassée des scories de l'élevage. Pour une expression 100% nature de son vin qui ne pourra qu'évoluer bénéfiquement dans le temps, lorsqu'il constituera petit à petit son propre domaine (pour l'instant, ce sont des achats hyper sélectionnés de raisins sur pieds). Trois vins proposés à la dégustation, d'abord En attendant, un Chasselas, à l'équilibre un peu inhabituel, développant d'agréables notes de poire caramélisée, large et soyeux, le carbonique étant peu marqué, puis un Gamay rond et fruité, à la finale croquante, de quoi calmer une Soif de Pays ! Il y a bien une raison à l'amputation du coin gauche de l'étiquette, mais je ne suis pas certain d'avoir retenu toutes les explications (un rien embrouillées) de Paul-Henri. Et enfin, un Vin du Dimanche, à base de gamaret, récolté bien mûr, puis légèrement passerillé sur claies (comme un vin de paille), l'humidité genevoise ne permettant pas de le faire sur souches. Cela donne un vin riche et puissant, parfaitement sec, sur des notes de noyau, d'amande amère et de banane séchée. Franchement bon et original, une vraie curiosité ! Finalement, Pierre-Henry est un véritable équilibriste, un funambule du vin avec un petit vélo dans la tête, celui qui figure sur ses très jolies étiquettes.
Il y aurait eu encore beaucoup d'autres découvertes à faire lors de cette Garden-Party de Molamboz, tous les vignerons présentés étant dignes d'intérêt, mais le temps à manqué ! Les portes devaient fermer le samedi à 19 heures pour réouvrir le lendemain matin, il n'était pas loin de 21 heures lorsque j'ai quitté, à regret, la nouvelle capitale des vins surnaturels. Avec quelques flacons, évidemment, mais aussi une bourriche d'huîtres de pleine mer de Xavier Grall à Blainville-sur-mer, et 3 bouteilles de bière « La Franche » pour étancher la soif sur la route du retour. Complètement surnaturel !
Olif
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Ben on va se gêner, tiens!Message original: lionel
On continue à ne pas s'embêter, à ce que je lit !
Olif
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Le pb, c'est qu'il me donne soif. Tiens, hier soir on s'est bu un petit Bourgueil (Le puits Pigeonnier, Domaine des Ouches, 2002) pas piqué des hannetons... Très fruits rouges, plutôt mûre et cassis. Rafraîchissant après les vins du sud si corsés en tanins.
Je les connais très peu mais j'apprécie de plus en plus les vins de Loire.
Je les connais très peu mais j'apprécie de plus en plus les vins de Loire.
A bove ante, ab asino retro, a stulto undique caveto.
Bon vu que nos chers Olif et Thierry sont arrivés un tantinet soit peu tardivement. Pas qu'on s'était fixé une heure de RDV. Mais en les attendant j'ai ressenti un grand besoin d'étancher ma soif de surnaturel (vous alliez pas croire que j'allais vous attendre pour lancer les hostilités! 
)
En toute franchise, je suis venu à ce salon avec quelques a priori sur ces vins dits "naturaux". Et comme j'aime pas rester sur des zaprioris, 'fallait que j'aille goûter ! Et là ça tombe bien, des vignerons naturels, y en avait toute une couvée (c'est bien connu : la couvée de vignerons).
La première retrouvaille de ce salon, ce fut avec Sebastien Riffault. Ancien collègue de promo, ce Sancerrois reprend petit à petit le domaine familiale en s'efforçant d'appliquer à ces vignes et ses vins des interventions les plus naturelles que possibles. Coup de cÅ“ur pour son admirable Sancerre rouge tout en rondeur, en fruits rouges et en largeur. Mmmh, comme un p'tit gout de reviens-y !
Les deux cuvées 2006 en blanc, sont actuellement à mon sens beaucoup moins abordables. (je m'excuse de ne pas vous donner le noms de ces 2 cuvées. Contrairement à Olif, je ne prend pas de notes ) Encore sur des arômes fermentaires, deux vins quelques peu opposés, l'un plutôt saillant, minéral et floral, l'autre plutôt compoté, voir confis. Deux vins qui demandent à se remettre de leur mise en bouteille.
Christian Chaussard, appellations Jasnières et coteaux du Loir, nous fait découvrir une partie de sa gamme : les blancs, des Ch'nins de surcroît ! Des vins mêlant la complexité du fruit, la minéralité et les notes vanillés du bois. L'élégance de ses vins contre verse avec la ferveur apparente du personnage. Un seul regret : ne pas avoir eut le temps de revenir complêté la dégustation de sa gamme.
Retour dans le Jura avec la dégustation des vins de Michel Gahier. Inutile de vous le répéter, les vins sont impec' comme d'ab ! J'adore ! Chez lui, le millésime 2005 se dégustera, à mon sens,... plus tard ! Ses vins ne demandent qu'à mûrir encore quelques mois en cave. En tout cas on peut déjà présager de grands monuments en particulier pour la cuvée de trousseaux (toujours au pluriel les trousseaux ! 
).
Découverte des vins de Philippe Jambon ; Mâcon Fuissé, Chardonnay tout en minéralité et en notes de poire williams bien mûre. Un peu de déception pour son beaujolais rouge. Dommage la matière est là, mais la finale est un peu décevante. C'est les risques de travailler sans filets de secours.
Et puis me voilà rejoint par nos deux cancoinautes. Et la suite vous la connaissez.
Donc me voila reparti avec les idées un peu plus claires sur le sujets des vins naturels. En quète de vins irréprochables (défaut professionnel !) forcément certains vins ne m'ont pas particulièrement accrochés. Par contre de sacrés surprises qui franchement valent le détour !
En tout cas moi je dis BRAVO aux organisateurs pour ce petit meeting !
L'an prochain, je pique, pour l'occas', les pattes d'ef' et les fringues de soixante-huitards de mes parents !
)En toute franchise, je suis venu à ce salon avec quelques a priori sur ces vins dits "naturaux". Et comme j'aime pas rester sur des zaprioris, 'fallait que j'aille goûter ! Et là ça tombe bien, des vignerons naturels, y en avait toute une couvée (c'est bien connu : la couvée de vignerons).
La première retrouvaille de ce salon, ce fut avec Sebastien Riffault. Ancien collègue de promo, ce Sancerrois reprend petit à petit le domaine familiale en s'efforçant d'appliquer à ces vignes et ses vins des interventions les plus naturelles que possibles. Coup de cÅ“ur pour son admirable Sancerre rouge tout en rondeur, en fruits rouges et en largeur. Mmmh, comme un p'tit gout de reviens-y !
Les deux cuvées 2006 en blanc, sont actuellement à mon sens beaucoup moins abordables. (je m'excuse de ne pas vous donner le noms de ces 2 cuvées. Contrairement à Olif, je ne prend pas de notes
) Encore sur des arômes fermentaires, deux vins quelques peu opposés, l'un plutôt saillant, minéral et floral, l'autre plutôt compoté, voir confis. Deux vins qui demandent à se remettre de leur mise en bouteille.Christian Chaussard, appellations Jasnières et coteaux du Loir, nous fait découvrir une partie de sa gamme : les blancs, des Ch'nins de surcroît ! Des vins mêlant la complexité du fruit, la minéralité et les notes vanillés du bois. L'élégance de ses vins contre verse avec la ferveur apparente du personnage. Un seul regret : ne pas avoir eut le temps de revenir complêté la dégustation de sa gamme.
Retour dans le Jura avec la dégustation des vins de Michel Gahier. Inutile de vous le répéter, les vins sont impec' comme d'ab ! J'adore !
Chez lui, le millésime 2005 se dégustera, à mon sens,... plus tard ! Ses vins ne demandent qu'à mûrir encore quelques mois en cave. En tout cas on peut déjà présager de grands monuments en particulier pour la cuvée de trousseaux (toujours au pluriel les trousseaux ! ).Découverte des vins de Philippe Jambon ; Mâcon Fuissé, Chardonnay tout en minéralité et en notes de poire williams bien mûre. Un peu de déception pour son beaujolais rouge. Dommage la matière est là, mais la finale est un peu décevante. C'est les risques de travailler sans filets de secours.
Et puis me voilà rejoint par nos deux cancoinautes. Et la suite vous la connaissez.
Donc me voila reparti avec les idées un peu plus claires sur le sujets des vins naturels. En quète de vins irréprochables (défaut professionnel !) forcément certains vins ne m'ont pas particulièrement accrochés. Par contre de sacrés surprises qui franchement valent le détour !
En tout cas moi je dis BRAVO aux organisateurs pour ce petit meeting !
L'an prochain, je pique, pour l'occas', les pattes d'ef' et les fringues de soixante-huitards de mes parents !
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Thierry39
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J'ai effectivement pu rencontrer Olif et Trout à cette occasion. Des contraintes familiales (ma mère était mon chauffeur pour l'occasion et en outre elle n'est pas spécialement amatrice de vins, surtout de vins naturels) m'ont obligé à écourter les dégustations. Je ne peux que confirmer les commentaires d'Olif et de Trout pour les vins que j'ai goutés.
Je dois dire que en ce qui me concerne c'était vraiment une découverte et je manquais de points de répère mais j'ai beaucoup apprécié la plupart des vins dégustés.
Je pense qu'il y a effectivement la place pour pérenniser ce rendez-vous dans le calendrier vinicole jurassien.
*** Message édité par Thierry39 le 02/05/2007 19:43 ***
Je dois dire que en ce qui me concerne c'était vraiment une découverte et je manquais de points de répère mais j'ai beaucoup apprécié la plupart des vins dégustés.
Je pense qu'il y a effectivement la place pour pérenniser ce rendez-vous dans le calendrier vinicole jurassien.
*** Message édité par Thierry39 le 02/05/2007 19:43 ***
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !