nnnVeillée avec la Tante Airienndate : le 24/12/2004 à 12:15nauteur : J-Minsujet : Veillée avec la Tante AirienUne véritable encyclopédie de l'histoire de Saint-Amour et des villages environnants, des Gaulois à nos jours !nnA découvrir ici :nnhttp://perso.wanadoo.fr/robert.faverge/index.htmnnNicolas
nnnle médecin Percynndate : le 18/12/2004 à 00:04nauteur : Nicolasnsujet : le médecin PercynAu Marché de Noël de Montbéliard, les enfants l'ont croisé accompagné de sa bourrique surnommée Marion. Mais qui est donc cette Tante Airie, autre personnage cher au coeur des Francs-Comtois ? Pour l'auteur de " La nouvelle Astrée ", un dénommé Masson de Blamont, Airie est la dernière prêtresse druidique réfugiée dans le massif du Lomont. Il semble que cette fille des dieux a été supplantée dans l'imagination populaire par la " bonne comtasse " du château d'Etobon... D'autres conteurs pensent que Airie aurait quelque similitude avec la fée aérienne Aëria et qu'elle se rapprocherait de la Dame Hollé, la fée allemande. Dans le Pays de Montbéliard et à Porrentruy, on prétendait autrefois que les flocons de neige étaient de petits morceaux de la chemise de tante Airie...nnhttp://www.lepays.net
nnnGénéalogie : famille Caffod, de Montjoie (25)nndate : le 17/12/2004 à 23:41nauteur : Nicolasnsujet : Généalogie : famille Caffod, de Montjoie (25)nVoici un site consacré aux grands médecins des armées napoléoniennes, dont le Haut-Saônois Percy, né à Montagney.nnhttp://www.histofig.org/history/empire/article ... 7.htmlnnAh, le bon vieux temps où la gnôle tenait lieu d'anésthésiant...nnNicolas
nnnLe patrimoine du Haut-Jura a l'honneurnndate : le 17/12/2004 à 22:58nauteur : Nicolasnsujet : Le patrimoine du Haut-Jura a l'honneurnIl pourrait être aussi utile qu'intéressant de recenser les sites généalogiques consacrés à des familles comtoises. Pour commencer, voici le site de la famille Caffod, originaire de la baronnie de Montjoie (25).nnhttp://perso.wanadoo.fr/genealogie.caffot.hartalrich/index.html.htmnnLe site est très précis, et contient des informations sur la famille et les lieux qui lui furent liés, ainsi que des documents curieux sur les Pergaud, puisque l'épouse de Louis Pergaud était une Caffod.nnNicolas
nnnRegards sur la Franche-Comténndate : le 17/12/2004 à 06:59nauteur : Perle39nsujet : Regards sur la Franche-ComténLe Service régional de l'Inventaire général de Franche-Comté vient de mettre en ligne une nouvelle Visite guidée, consacrée aux communes rurales du canton de Saint-Claude (Jura).nnSecteur d'élevage, ces 18 communes sont réparties sur plusieurs secteurs distincts, aux caractéristiques particulières, s'étageant des hauts plateaux (de 1000 à 1300 m d'altitude) aux plateaux intermédiaires (de 500 à 1000 m) et à la basse vallée de la Bienne (de 300 à 500 m).nElles se caractérisent par une forte pluri-activité et une spécialisation artisanale et industrielle marquée dans les domaines des pierres précieuses, du bois (tournerie, boutons et pipes), du plastique et - plus localement - du marbre.nLe patrimoine religieux se compose essentiellement d'églises des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Celle de Saint-Lupicin, de la première moitié du XIe siècle, se distingue donc tout particulièrement, de même que son bras reliquaire de saint Lupicin, daté de 1485 et Å“uvre de l'orfèvre Etienne Gale.nnnhttp://www.culture.gouv.fr/culture/inventai/pr ... mnnNicolas (merci à Arnaud pour l'info !)
nndate : le 17/12/2004 à 08:25nauteur : J-Minsujet : nLe revue VMF consacre son numéro 205 à la région.nnLa principale revue nationale dédiée au patrimoine, " VMF, Vieilles maisons françaises. Patrimoine historique " consacre son numéro 205, un " sacré numéro ", à la Franche-Comté.nn" En Franche-Comté " affiche la couverture car il a fallu faire des choix, comme l'expliquait, hier, la rédactrice en chef, Marie-Claire Colignon, lors de la présentation officielle de la revue au musée du temps à Besançon.nnLe Doubs et le Territoire de Belfort occupent 42 pages abondamment illustrées de belles photos couleurs, prises sous des angles souvent originaux. Le Territoire parce que VMF n'avait jamais consacré d'article au plus petit département de France. Le Doubs, pour mesurer le chemin parcouru, vingt-deux ans après la publication d'un VMF en noir et blanc sur le département en 1982.nnLa Haute-Saône et le Jura qui avaient fait l'objet de reportages patrimoniaux en 84 et 86 attendront encore un peu, car VMF ne publie que cinq numéros par an. nnVictor Hugo aussinnPour inciter les lecteurs hors-région à approfondir la découverte, la revue a mis l'accent sur les points forts de l'architecture, de l'Histoire et des beaux-arts : le passé tumultueux lié aux citadelles de Vauban, la vision futuriste de Ledoux à Arc-et-Senans, les fiers châteaux protecteurs comme le fort de Joux, les beaux jardins de demeures plus aristocratiques, les couleurs de Belfort-Montbéliard, " l'âme " de Besançon, le charme rustique des fermes du Haut-Doubs, la " mémoire " industrieuse au musée Japy ou à Nans-sous-Sainte-Anne. Et enfin les hommes : Maurice Jardot et l'art moderne, Gustave Courbet en sa vallée...nnConservateurs, docteurs en histoire de l'art, membre du Collège de France, érudits ou passionnés, Francs-Comtois ou y résidant ont prêté leurs plumes à la revue pour des contributions attractives et surtout informatives.nnEn clin d'oeil, VMF consacre également un délicieux article au château des Roches dans l'Essonne, et à son hôte le plus célèbre Victor Hugo. Sur les rives de la Bièvre, le grand homme se plaisait à goûter l'herbe tendre auprès de sa splendide Juliette. Bien loin de son Besançon natal.nnTiré à 24.000 exemplaires, VMF est en vente dans les Maisons de la Presse dès aujourd'hui, 8,40 eurosnnSource : www.estrepublicain.fr
nnnUne fondation pour préserver le monastère de Luxeuilnndate : le 15/12/2004 à 08:26nauteur : J-Minsujet : Une fondation pour préserver le monastère de LuxeuilnJe trouve sympa le clin d'oeil à la 205.
nnnL'empereur Frédéric Barberousse à Besançonnndate : le 27/11/2004 à 23:57nauteur : Nicolasnsujet : L'empereur Frédéric Barberousse à BesançonnLe docteur Gilles Cugnier, ancien conservateur des objets d'arts et antiquités de Haute-Saône, a créé, jeudi dernier, une fondation pour la préservation du monastère Saint-Colomban de Luxeuil. âgé de 79 ans, ce Luxovien, aujourd'hui domicilié à Paris, est notamment l'auteur d'un ouvrage en trois volumes sur l'histoire du monastère de Luxeuil. Il a obtenu l'appui, obligatoire, de la Fondation nationale du patrimoine. Le capital de Gilles et Monique Cugnier sera donc placé par la Fondation et les intérêts permettront de financer des travaux de restauration de l'abbaye, du cloître, de la basilique et de l'ermitage de Saint-Valbert. Ils pourront également financer des publications ou des manifestations. Jean Coste, le président de l'association des amis de l'abbaye Saint-Colomban se félicite de cette initiative, longtemps tenue secrète par l'intéressé.nnhttp://www.lepays.net
nnncostumesnndate : le 18/11/2004 à 15:18nauteur : daniel25nsujet : costumesnLes circonstances de la venue de l'empereur à Besançon en 1153 sont présentées ici :nnhttp://www.alsapresse.com/jdj/99/07/29/dossier/nnNicolasnnn*** Message édité par Nicolas le 27/11/2004 22:58 ***nnn
nndate : le 18/11/2004 à 16:16nauteur : J-Minsujet : nChers amis cancoillonautes,nJe recherche des photos, ainsi que des addresses, pour des costumes franc-comtois.nMerci d'avance.
nndate : le 18/11/2004 à 18:43nauteur : Nicolasnsujet : nTu peux trouver des exemples de costumes traditionnels ici n:;) J-Mi
nnnDu 19 au 28/11 sur France 3, la libération de la Comténndate : le 16/11/2004 à 08:27nauteur : J-Minsujet : Du 19 au 28/11 sur France 3, la libération de la ComténQuelle époque cherches-tu ? Les costumes ont beaucoup varié...nnNico
nnnRencontre historique à Maîchenndate : le 14/11/2004 à 11:22nauteur : J-Minsujet : Rencontre historique à MaîchenFrance 3 Bourgogne-Franche-Comté diffusera prochainement une série de courts-métrages documentaires intitulée Les journaux intimes de la Libération. Cette série est produite par le CRDP (centre régional de documentation pédagogique) de Franche-Comté, à la demande de la Région Franche-Comté qui a pris en charge son financement. nnLa série se compose de dix épisodes de deux minutes et raconte les trois mois qu'a duré la reconquête du territoire comtois : de l'arrivée des alliés le 3 septembre 1944, à la libération finale du Territoire de Belfort le 28 novembre. L'originalité de cette série est de traiter de la grande histoire en s'appuyant sur des récits écrits sur le vif, par des Franc-Comtois, témoins directs des événements. Ainsi, le journal de Jeanne Oudot, de Mancenans, évoque le débarquement de Normandie et le séjour des troupes coloniales dans notre région. L'agenda de Pierre Taillard de Saint-Hippolyte, parle de la soudaine résistance de l'armée allemande qui bloque les alliés à partir de la mi-septembre. Le journal de marche du groupe Tito, un maquis de la région de Clerval, illustre les actes de sabotages ferroviaires, puis le moment où les FFI intègrent l'armée régulière etc. Le réalisateur, Georges Nivoix, a travaillé en étroite collaboration avec le musée de la résistance et de la déportation, pour le découpage historique de la période, la collecte des photos et la recherche des journaux personnels.nnCette série sera diffusée à raison d'un épisode par jour pendant dix jours, juste après les journaux télévisés du midi et du soir, du 19 au 28 novembre 2004. Les journaux intimes de la libération seront édités en DVD et des conférences-projections auront lieu dans les collèges et lycées de l'académie au cours du premier semestre 2005.nnhttp://www.lepays.net
nnnLes Chifflet, ardents partisans des rois d'Espagnenndate : le 11/11/2004 à 16:50nauteur : Nicolasnsujet : Les Chifflet, ardents partisans des rois d'EspagnenLe 13 novembre 1944, le général de Gaulle reçoit Winston Churchill à Maîche. Pour y préparer la fin de la guerre. nnLe 60è anniversaire de la Libération, fêté ces jours-ci, est inséparable des années d'occupation et d'oppression qui ont couvert le pays d'une chape de plomb jusqu'à la fin novembre 1944. Dans la tourmente de cet automne glacial, de Gaulle et Churchill se rencontrent à Maîche, au château de Montalembert, pour y préparer la fin de la guerre et dessiner le contour des lendemains. Un épisode capital qui prend tout son relief soixante ans après.nnWinston Churchill était depuis le 10 novembre à Paris en visite officielle. Le " vieux Lion " avait exprimé le désir de revoir au combat cette armée française qu'il avait bien connue en 1914-1918 et observée attentivement depuis 1939. Or, dans ces premiers jours de novembre, la Première Armée française commandée par le général de Lattre de Tassigny et qui avait débarqué en Provence le 15 août pour venir libérer nos régions, s'était stabilisée dans les Vosges, après sept cents kilomètres d'une victorieuse poursuite. Ses nombreux régiments préparaient une importante offensive visant la zone de Montbéliard-Belfort-Delle et la Haute-Alsace. Parmi les divisions chargées de l'action principale, la 9è DIC (division d'infanterie coloniale) dont le PC était précisément installé au château Montalembert. Le 13 novembre de bon matin, Churchill et de Gaulle - chef du gouvernement provisoire - arrivent à Besançon par train spécial. Ils sont accueillis par le général de Lattre et le convoi prend alors la direction du Haut-Doubs dans la neige et le verglas, sur des routes passablement défoncées par l'intense trafic militaire. L'objectif final est d'atteindre le balcon du Lomont par la route de Maîche, la seule permettant d'y parvenir. Arrivés au château de Montalembert, on ouvre grand le salon du comte de Grünne où les personnalités s'installent pour tenir conseil. Il y est question de politique générale, de la guerre qu'il faut gagner rapidement et surtout des lendemains du conflit, souci majeur du général de Gaulle qui met en avant la représentation de la France dans les futures conférences internationales.nnLes projets d'attaque sont présentés par de Lattre, mais le très mauvais temps ne favorise guère l'entreprise. Le Premier ministre britannique s'écrie : " Vous n'allez tout de même pas attaquer par un temps pareil ! ". Et le général de répondre : " Il n'en est pas question, Sir ". Pourtant, le 15 novembre, la Première Armée française attaque. De Lattre profite de la surprise de l'ennemi, berné par l'annonce de la distribution de permissions aux militaires français... Le temps est exécrable, aux bourrasques de neige s'ajoute le verglas, la pluie et le vent. Le lendemain de ces entretiens, un déjeuner est servi aux autorités à l'Hôtel du Lion d'Or. Des témoins ont raconté que Churchill était transi et qu'on a du lui préparer une... bouillotte. Quant à la visite qu'il devait faire au Lomont, elle est annulée en raison des conditions atmosphériques. Cependant, le Premier ministre passe en revue des troupes de la 9° Division d'infanterie coloniale basée à Maîche avant de s'en retourner à Besançon (via Vercel et le camp de Valdahon) où le train spécial repart dans la soirée du 14. De Gaulle rejoint Paris, tandis que Churchill file sur Reims au quartier général avancé d'Eisenhower. Le Premier britannique raconte l'épisode de Maîche dans ses mémoires, un épisode baptisé par erreur : " Voyage dans les Vosges "... Quatre jours après cette rencontre historique, Montbéliard et Belfort sont libérés. On connaît la suite des événements qui conduisirent les unités combattantes françaises en Haute-Alsace à compter du 20 novembre pour la libération de Mulhouse et sa région. Le Rhin en point de mire, la liberté était à nos portes.nnhttp://www.lepays.net
nnnVoleur de couleurs...nndate : le 26/09/2004 à 22:15nauteur : J-Minsujet : Voleur de couleurs...nPour se renseigner sur les Chifflet, famille comtoise qui compta en son sein des médecins, des humanistes, des théologiens et des diplomates au service des rois d'Espagne au XVIIe siècle, voici le site d'un généalogiste qui donne des informations intéressantes :nnhttp://perso.wanadoo.fr/dominique.barbier/Chifflet/index.htmnnNiconn*** Message édité par Nicolas le 15/11/2004 00:34 ***nnn
nndate : le 27/09/2004 à 15:37nauteur : Wildnsujet : nVoici un cliché des fortifications belfortaines, une partie a été nettoyée dans le cadre d'un chantier de réinsertion (le coût n'en est pas moins exhorbitant), l'autre pas.....ça vous donne une idée des ravages du temps : nn
nndate : le 27/09/2004 à 17:10nauteur : Thiernsujet : nouaou!! étonnant!
nndate : le 11/11/2004 à 15:58nauteur : alex-gnsujet : nEdifiant (c'est le cas de le dire ! ) : peut-être qu'en ravalant les façades, on verrait un peu plus la vie en rose !
nnnPatrimoine industrielnndate : le 09/11/2004 à 12:34nauteur : Thiernsujet : Patrimoine industrielnnnRapport à Brigitte Bardot ?Message original: J-Minça vous donne une idée des ravages du temps : n
nnnEtres féériques de Noël en Franche-Comténndate : le 09/11/2004 à 00:14nauteur : alex-gnsujet : Etres féériques de Noël en Franche-ComténnnCe mois-ci dans "Puissance 29", le magazine de la Communauté d'Agglomération du Pays de Montbéliard, ne pas manquer un dossier spécial sur les friches industrielles du Nord Franche-Comté.nL'architecture industrielle, née au XIXème siècle à l'occasion de l'essor des grandes familles d'industriels telles que Japy et Peugeot. Deux siècles plus tard, de nombreux sites industriels historiques ont évolué. "Puissance 29" revient sur les différents types de reconversion (économique, culturelle, résidentielle...) de ce patrimoine très riche du Pays de Montbéliard : le Près la Rose à Montbéliard, Cristel à Fesches-le-Châtel, le site de la Roche à Bart, la filature Japy à Audincourt...nQuand l'Histoire se conjugue au présent !nnnnA noter en pages centrales : une superbe reproduction du "Plan monumental des grandes usines de la vallée de Montbéliard et partie du Territoire de Belfort" (ci-dessus, en voici la moitié), publié au début du XXème par l'administration des plans monumentaux de France.nnnL'usine Faurecia d'HérimoncourtnnPour ceux qui n'ont pas la chance de recevoir Puissance 29 dans leur boîte aux lettres, vous pouvez consulter la version en ligne de l'édition papier.nn*** Message édité par Thier le 09/11/2004 12:50 ***nnn
nndate : le 09/11/2004 à 08:24nauteur : J-Minsujet : nBonjour tout le monde !nnJe me suis inscrit sur ce site parce que je fais une recherche sur les créatures fantastiques de Noël en Franche-comté genre Tante Airie, Cochon noir de Maîche, etc.nnSi vous avez d'autres pistes je suis preneur. nn*** Message édité par Nicolas le 09/11/2004 21:16 ***nnn
nndate : le 09/11/2004 à 10:12nauteur : alex-gnsujet : nLa question nous a été posée récemment par e-mail.nVoici une première réponse qu'a faite Nico : nnPour la période de Noël, il faut se reporter au numéro spécial de la Racontotte "Noël dans la tradition comtoise", numéro double 66-67, novembre 2002. Il y a plein de choses sur les rites, etc. J'y avais commis une étude sur le culte des Rois Mages en Franche-Comté, très vivace et particulier autrefois.nnContact : La Racontotten03 81 68 91 91nnJ'ai également déplacé le sujet dans la rubrique "Histoire" nn*** Message édité par J-Mi le 09/11/2004 07:26 ***nnn
Ah ouais super ! nMerci pour l'info.