Beudes.
- hderogier
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Re: Beudes.
Merci Riolu,j'espère que Beuillot pourra me sauver!!
J'ai peur(surtout de Beuillot).
J'ai peur(surtout de Beuillot).
Rien n'est moins sûr que l'incertain.
- lionel
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Re: Beudes.
Un haut saônois averti vaut bien un quart de doubiste. (C'est mieux qu'un car de CRS.hderogier a écrit :J'ai peur(surtout de Beuillot).


A bove ante, ab asino retro, a stulto undique caveto.
Re: Beudes.
Tu as tort, et je sais de quoi je causehderogier a écrit :J'ai peur(surtout de Beuillot).

- lionel
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Re: Beudes.
Hé bé, souvent femme varie, heureusement...Perle39 a écrit :Tu as tort, et je sais de quoi je cause

A bove ante, ab asino retro, a stulto undique caveto.
- hderogier
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Re: Beudes.
Tu voudrais donc dire que j'ai tort d'avoir peur de la grippe?Perle39 a écrit :Tu as tort, et je sais de quoi je causehderogier a écrit :J'ai peur(surtout de Beuillot).
Je pense aussi au Maréchal de Mac Mahon,qui déclarait à propos de la fièvre typhoïde:"ou on en meure ou on en reste idiot,je le sais,je l'ai eue trois fois!!"
Rien n'est moins sûr que l'incertain.
Re: Beudes.
Le titre pourrait ètre : ON.
Il était une fois qutre individus qu'on appelait:
TOUT LE MONDE - QUELQU'UN - CHACUN ET PERSONNE.
Il y avait un important travail à faire,et on a demandé à TOUT LE MONDE de le faire,
TOUT LE MONDE était persuadé que QUELQU'UN le ferait.
CHACUN pouvait l'avoir fait, mais en réalité PERSONNE ne le fit.
QUELQU'UN se fâcha car c'était le travail de TOUT LE MONDE!
TOUT LE MONDE pensa que CHACUN pouvait le faire et PERSONNE ne doutait que QUELQU'UN le ferait....
En fin de compte, TOUT LE MONDE fit des reproches à CHACUN.
Parce que PERSONNE n'avait fait ce que QUELQU'UN aurait pu faire.
MORALITE
Sans vouloir le reprocher à TOUT LE MONDE,
Il serait bon que CHACUN
Fasse ce qu'il doit sans l'espoir que QUELQU'UN le fera à sa place...
Car l'expérience montre que Là où on attend QUELQU'UN,
Généralement on ne trouve PERSONNE!
Je vais le transféfer à TOUT LE MONDE afin que CHACUN puisse l'envoyer à QUELQU'UN sans oublier PERSONNE.
_________________
Il était une fois qutre individus qu'on appelait:
TOUT LE MONDE - QUELQU'UN - CHACUN ET PERSONNE.
Il y avait un important travail à faire,et on a demandé à TOUT LE MONDE de le faire,
TOUT LE MONDE était persuadé que QUELQU'UN le ferait.
CHACUN pouvait l'avoir fait, mais en réalité PERSONNE ne le fit.
QUELQU'UN se fâcha car c'était le travail de TOUT LE MONDE!
TOUT LE MONDE pensa que CHACUN pouvait le faire et PERSONNE ne doutait que QUELQU'UN le ferait....
En fin de compte, TOUT LE MONDE fit des reproches à CHACUN.
Parce que PERSONNE n'avait fait ce que QUELQU'UN aurait pu faire.
MORALITE
Sans vouloir le reprocher à TOUT LE MONDE,
Il serait bon que CHACUN
Fasse ce qu'il doit sans l'espoir que QUELQU'UN le fera à sa place...
Car l'expérience montre que Là où on attend QUELQU'UN,
Généralement on ne trouve PERSONNE!
Je vais le transféfer à TOUT LE MONDE afin que CHACUN puisse l'envoyer à QUELQU'UN sans oublier PERSONNE.
_________________
Parler beaucoup est une chose, parler à bon escient en est une autre.
Sophocle.
Sophocle.
- hderogier
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Re: Beudes.
Mac Mahon,encore.Visite à l'école polytechnique,on présente à ce bon Président le seul élève noir(bien sur,à l'époque une curiosité).
Mac Mahon:c'est vous le nègre?(!!).
L'élève:oui, Monsieur le Président.
Mac Mahon:c'est bien,continuez(!!).Sans commentaires.
Mac Mahon:c'est vous le nègre?(!!).
L'élève:oui, Monsieur le Président.
Mac Mahon:c'est bien,continuez(!!).Sans commentaires.
Rien n'est moins sûr que l'incertain.
- pieradam
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Re: Beudes.
Un compositeur très connu , s'était affectionné vers la fin de sa vie,d'un curieux animal domestique,vous savez lequel ?
On venait de très loin pour l'entendre et le voir.
Vous n'avez pas trouvé ?
Vraiment pas ?
Regardez tout en bas !!!
C'est le beau lérot de Ravel
On venait de très loin pour l'entendre et le voir.
Vous n'avez pas trouvé ?
Vraiment pas ?
Regardez tout en bas !!!

C'est le beau lérot de Ravel
J'te veux faire voir,si l'coucou c'est une mère
- pieradam
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Re: Beudes.
C'est un peintre en lettres qui officie sur la devanture d'un magasin,il inscrit :
Episserie.
Un passant,lui fait remarquer ,que ce mot s'écrit,avec un C,et non deux S comme peint sur la facade,et le peintre de lui répondre :
Parlez pas sans savoir,attendez au moins qu'ça sèche.
Episserie.
Un passant,lui fait remarquer ,que ce mot s'écrit,avec un C,et non deux S comme peint sur la facade,et le peintre de lui répondre :
Parlez pas sans savoir,attendez au moins qu'ça sèche.
J'te veux faire voir,si l'coucou c'est une mère
- Beuillot
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Re: Beudes.
_ Et avant de clore ce journal, nous recevons M. Kim Lee Park, récemment évadé de Corée du Nord, qui vient d'arriver en France et de demander le statut de réfugié politique. Pouvez vous nous dresser un rapide état des lieux de la situation dans votre pays?
_ On ne peut pas se plaindre.
_ Ah? Mais vous avez connu il y a quelques années une famine sans précédent et la situation n'est pas beaucoup plus rose aujourd'hui.
_ On ne peut pas se plaindre.
_ Mais enfin, le pays est contrôlé par un dictateur et la liberté d'expression est inexistante!
_ On ne peut pas se plaindre.
_ Et l'information est totalement contrôlée par l'état. Ce n'est d'ailleurs pas de l'information, mais de la propagande!
_ On ne peut pas se plaindre.
_ Mais enfin, si vous ne pouvez pas vous plaindre, pourquoi avoir risqué votre vie pour fuir votre pays et pourquoi demander un statut de réfugié politique à la France?
_ Parce qu'ici, on peut se plaindre.
_ On ne peut pas se plaindre.
_ Ah? Mais vous avez connu il y a quelques années une famine sans précédent et la situation n'est pas beaucoup plus rose aujourd'hui.
_ On ne peut pas se plaindre.
_ Mais enfin, le pays est contrôlé par un dictateur et la liberté d'expression est inexistante!
_ On ne peut pas se plaindre.
_ Et l'information est totalement contrôlée par l'état. Ce n'est d'ailleurs pas de l'information, mais de la propagande!
_ On ne peut pas se plaindre.
_ Mais enfin, si vous ne pouvez pas vous plaindre, pourquoi avoir risqué votre vie pour fuir votre pays et pourquoi demander un statut de réfugié politique à la France?
_ Parce qu'ici, on peut se plaindre.
Si j'y suis t'été, c'est pas pour y rêtre.
Comme ça. Pour rien.
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- pieradam
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Re: Beudes.
Un jour le physicien,ingénieur,historien Louis Leprince-Ringuet aujourd'hui disparu,était invité à une ambassade.
Chaque personnalité est introduite toujours en couple,dans la salle de réception.
A ce moment,la personne concernée tend une carte de visite,afin que le crieur annonce son nom à l'assemblée.
Sans doute pressé par le temps,et aussi par ignorance,l'introducteur innova en disant :
Le Prince et la Princesse Ringuet. (murmures dans la salle )
( cet évenement pourrait être une beude,mais figure dans un bétisier rapporté par l'interrèssé )
Chaque personnalité est introduite toujours en couple,dans la salle de réception.
A ce moment,la personne concernée tend une carte de visite,afin que le crieur annonce son nom à l'assemblée.
Sans doute pressé par le temps,et aussi par ignorance,l'introducteur innova en disant :
Le Prince et la Princesse Ringuet. (murmures dans la salle )
( cet évenement pourrait être une beude,mais figure dans un bétisier rapporté par l'interrèssé )
J'te veux faire voir,si l'coucou c'est une mère
Re: Beudes.
Un très vieil homme était étendu mourant dans son lit.
Soudain, il sentit l'odeur de ses biscuits aux pépites de chocolat favoris.
Il prit le peu de forces qui lui restaient pour se lever du lit.
Se tenant au mur, il se dirigea hors de la chambre à coucher. Et avec un plus grand effort, il descendit l'escalier en tenant la rampe avec ses deux mains.
En respirant péniblement, il se tint dans le cadre de porte regardant vers la cuisine.
S'il n'avait pas été à l'agonie, il se serait déjà cru rendu au ciel.
Là, dans la cuisine, sur la nappe, il y avait des centaines de ses biscuits favoris.
Était-ce le ciel ? Était-ce un acte héroïque de sa femme dévouée désirant qu'il quitte ce monde en homme heureux ?
Dans un ultime effort, il rampa vers la table.
Se soulevant péniblement avec ses mains tremblantes, il tenta de prendre un biscuit.
Soudain, il reçut un coup de spatule que lui donna sa femme.
« Touche pas » dit-elle « c'est pour après l'enterrement».
Soudain, il sentit l'odeur de ses biscuits aux pépites de chocolat favoris.
Il prit le peu de forces qui lui restaient pour se lever du lit.
Se tenant au mur, il se dirigea hors de la chambre à coucher. Et avec un plus grand effort, il descendit l'escalier en tenant la rampe avec ses deux mains.
En respirant péniblement, il se tint dans le cadre de porte regardant vers la cuisine.
S'il n'avait pas été à l'agonie, il se serait déjà cru rendu au ciel.
Là, dans la cuisine, sur la nappe, il y avait des centaines de ses biscuits favoris.
Était-ce le ciel ? Était-ce un acte héroïque de sa femme dévouée désirant qu'il quitte ce monde en homme heureux ?
Dans un ultime effort, il rampa vers la table.
Se soulevant péniblement avec ses mains tremblantes, il tenta de prendre un biscuit.
Soudain, il reçut un coup de spatule que lui donna sa femme.
« Touche pas » dit-elle « c'est pour après l'enterrement».
Parler beaucoup est une chose, parler à bon escient en est une autre.
Sophocle.
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- pieradam
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Re: Beudes.
Ya pas à dire,ça se confirme...le meilleur moment c'est avantLe riolu a écrit :Un très vieil homme était étendu mourant dans son lit.
Soudain, il sentit l'odeur de ses biscuits aux pépites de chocolat favoris.
Il prit le peu de forces qui lui restaient pour se lever du lit.
Se tenant au mur, il se dirigea hors de la chambre à coucher. Et avec un plus grand effort, il descendit l'escalier en tenant la rampe avec ses deux mains.
En respirant péniblement, il se tint dans le cadre de porte regardant vers la cuisine.
S'il n'avait pas été à l'agonie, il se serait déjà cru rendu au ciel.
Là, dans la cuisine, sur la nappe, il y avait des centaines de ses biscuits favoris.
Était-ce le ciel ? Était-ce un acte héroïque de sa femme dévouée désirant qu'il quitte ce monde en homme heureux ?
Dans un ultime effort, il rampa vers la table.
Se soulevant péniblement avec ses mains tremblantes, il tenta de prendre un biscuit.
Soudain, il reçut un coup de spatule que lui donna sa femme.
« Touche pas » dit-elle « c'est pour après l'enterrement».
J'te veux faire voir,si l'coucou c'est une mère
- Beuillot
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Re: Beudes.
Ce n'est pas une beude à proprement parler. C'est mieux, c'est du réel.
J'ai ramené avant-hier un accidenté de la route aux urgences. Il voulait prévenir sa femme de sa présence en ces lieux, mais à demandé à ce qu'un membre du personnel le fasse, prétextant qu'elle est très jalouse et ne le croirait pas.
_ Bonjour, c'est O. M., infirmière aux urgences de l'hôpital de Saverne. Je vous appelle pour vous prévenir que votre mari est ici.
_ T'es qui toi? T'es qui? Qu'est-ce que tu fais avec mon mari? S*lope!

J'ai ramené avant-hier un accidenté de la route aux urgences. Il voulait prévenir sa femme de sa présence en ces lieux, mais à demandé à ce qu'un membre du personnel le fasse, prétextant qu'elle est très jalouse et ne le croirait pas.
_ Bonjour, c'est O. M., infirmière aux urgences de l'hôpital de Saverne. Je vous appelle pour vous prévenir que votre mari est ici.
_ T'es qui toi? T'es qui? Qu'est-ce que tu fais avec mon mari? S*lope!

Si j'y suis t'été, c'est pas pour y rêtre.
Comme ça. Pour rien.
Comme ça. Pour rien.


Re: Beudes.



Parler beaucoup est une chose, parler à bon escient en est une autre.
Sophocle.
Sophocle.
Re: Beudes.
Explication très pertinente non ?????....
Pierre, douze ans, rentre du collège après une leçon d’éducation civique qu’il a mal assimilée ;
croisant son père, il lui demande des explications afin de combler ses lacunes à propos de politique.
Le père, attentif au parcours scolaire de son fils, lui apporte toute son attention et s’empresse de l’éclairer ;
voyons dit-il, nous allons prendre l’exemple de notre famille : « moi qui travaille et gagne de l’argent, je suis le capitalisme, ta maman qui le dépense
représente le gouvernement, la bonne qui travaille pour nous, c’est la classe ouvrière, toi-même représente le peuple et ton petit frère de trois mois,
c’est la génération future ». As-tu compris ?
Oui, papa, c’est clair. La soirée s’est achevée, la maisonnée dort…
Soudainement, Pierre est réveillé par les pleurs déchirants et incessants de son petit frère ;
il se lève, entrouvre la porte de la chambre du bébé, et, l’odeur d’une couche pleine lui assaille les narines ;
nul doute, il doit être changé et va donc voir sa mère…
Entrant dans la chambre de ses parents, il s’efforce, mais en vain de réveiller sa mère qui dort à poings fermés, contournant le lit,
il va réveiller son père, mais découvre que sa place est vide…
Il se rend donc dans la chambre de la bonne où il découvre son père cul tout nu en pleine séance de gymnastique avec la bonne…
Il ressort perplexe, mais comme les hurlements du bébé ont cessé, il regagne son lit et ne tarde pas à dormir d’un profond sommeil.
Le matin, durant le petit déjeuner familial, son père l’interpelle : « alors Pierre, as-tu retenu mes explications ? ». Oui, oui, papa, tout est très clair : «
pendant que le capitalisme baise la classe ouvrière, le gouvernement reste sourd aux appels du peuple et laisse la génération future dans la merde ».

Pierre, douze ans, rentre du collège après une leçon d’éducation civique qu’il a mal assimilée ;
croisant son père, il lui demande des explications afin de combler ses lacunes à propos de politique.
Le père, attentif au parcours scolaire de son fils, lui apporte toute son attention et s’empresse de l’éclairer ;
voyons dit-il, nous allons prendre l’exemple de notre famille : « moi qui travaille et gagne de l’argent, je suis le capitalisme, ta maman qui le dépense
représente le gouvernement, la bonne qui travaille pour nous, c’est la classe ouvrière, toi-même représente le peuple et ton petit frère de trois mois,
c’est la génération future ». As-tu compris ?
Oui, papa, c’est clair. La soirée s’est achevée, la maisonnée dort…
Soudainement, Pierre est réveillé par les pleurs déchirants et incessants de son petit frère ;
il se lève, entrouvre la porte de la chambre du bébé, et, l’odeur d’une couche pleine lui assaille les narines ;
nul doute, il doit être changé et va donc voir sa mère…
Entrant dans la chambre de ses parents, il s’efforce, mais en vain de réveiller sa mère qui dort à poings fermés, contournant le lit,
il va réveiller son père, mais découvre que sa place est vide…
Il se rend donc dans la chambre de la bonne où il découvre son père cul tout nu en pleine séance de gymnastique avec la bonne…
Il ressort perplexe, mais comme les hurlements du bébé ont cessé, il regagne son lit et ne tarde pas à dormir d’un profond sommeil.
Le matin, durant le petit déjeuner familial, son père l’interpelle : « alors Pierre, as-tu retenu mes explications ? ». Oui, oui, papa, tout est très clair : «
pendant que le capitalisme baise la classe ouvrière, le gouvernement reste sourd aux appels du peuple et laisse la génération future dans la merde ».
Parler beaucoup est une chose, parler à bon escient en est une autre.
Sophocle.
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- Beuillot
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Re: Beudes.
Tu ne l'aurais pas trouvée là, cette beude? 

Si j'y suis t'été, c'est pas pour y rêtre.
Comme ça. Pour rien.
Comme ça. Pour rien.


Re: Beudes.
Non ailleurs mais je t'en laisse la paternité. Alzh. doit ètre passé par là et toutes mes excuses Beuillot.Beuillot a écrit :Tu ne l'aurais pas trouvée là, cette beude?

Alors pour la remplacer :
Deux femmes rentrent chez elles après une soirée un peu arrosée, mais l'envie de pisser les prend.
Après quelques hésitations, elle arrivent tant bien que mal dans un cimetière et y font leur besogne.
Une fois fini, elles décident devant un problème logistique, d'utiliser leur culotte pour s'essuyer.
La première agit et jette sa culotte.
Mais comme la deuxième y tient quand même, elle utilise des fleurs posées sur une tombe, qu'elle jette ensuite.
Le lendemain, les 2 maris des femmes se rencontrent.
Le premier dit :
- On devrait un peu surveiller nos femmes, la mienne est rentré sans culotte hier !
- Tu peux être content ! La mienne avait un carton entre les fesses marqué “de la part de toute la caserne, on t'oubliera jamais...



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Re: Beudes.
Je n'en revendique pas la paternité, not' riolu (je serais drôlementLe riolu a écrit : Non ailleurs mais je t'en laisse la paternité. Alzh. doit ètre passé par là et toutes mes excuses Beuillot.![]()




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