Le patron des arbitres reconnaît "des erreurs" aux dépens des Blacks dans le match contre la France
Paddy O'Brien, le patron des arbitres au sein de l'International Rugby Board (IRB), a reconnu jeudi 18 octobre que le match Nouvelle-Zélande - France avait été entaché de plusieurs erreurs d'arbitrage défavorables aux Blacks.
Les Bleus s'étaient imposés 20-18 lors de ce quart de finale, notamment grâce à un essai marqué sur un en-avant. Après avoir revu attentivement le match avec "quatre examinateurs", O'Brien reconnaît, dans les colonnes du Guardian, que "des erreurs ont été commises".
Outre cet en-avant non signalé, le corps arbitral aurait dû signaler deux fautes, l'une pour un talonnage à la main dans un regroupement, et l'autre pour un hors-jeu dans un regroupement.
Ces déclarations tranchent avec la prise de position initiale de l'IRB qui avait rejeté, dans un communiqué, des "critiques injustifiées" contre Wayne Barnes, l'arbitre de la partie, allant même jusqu'à parler du "niveau d'arbitrage plus haut jamais vu en Coupe du monde".
Paddy O'Brien, lui-même Néo-Zélandais, avait pris la défense de Wayne Barnes, après que celui-ci eut reçu des menaces de mort à travers des sites Internet : "Je crois que c'est une honte et que les gens doivent grandir", avait déclaré O'Brien sur les ondes de la BBC, reconnaissant déjà alors l'existence d'un en-avant sur l'essai français.
AMERTUME DES JOUEURS
Même s'il dresse aujourd'hui un bilan plus sévère de la prestation des arbitres dans ce match, Paddy O'Brien en réduit la portée : "Je pense que beaucoup de facteurs ont concouru à la défaite de la Nouvelle-Zélande et l'un d'entre eux concerne l'arbitre et les juges de touche, mais il est totalement erroné de leur imputer cette défaite.
" Reste que sur le plan comptable, entre les six points engrangés par les Bleus sur un essai entaché par un en-avant, et les deux pénalités refusées aux Blacks qui coûtent potentiellement autant de points aux Néo-Zélandais, on peut imaginer l'amertume des joueurs de l'hémisphère Sud, pour qui l'élimination en quart de finale a été vécue comme une terrible humiliation.
Wayne Barnes, lui, n'a plus arbitré de partie dans ce Mondial. Mais Paddy O'Brien promet un bel avenir à cet "arbitre de classe mondiale" qui sera "sur la scène internationale pour un bon bout de temps". De fait, Barnes est encore très jeune.
A 28 ans, ce Britannique était le plus jeune arbitre du Mondial.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 149,0.html
Coupe du Monde de Rugby, concours de pronostics
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Moulin à rata
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Alors là ça me saoule, ils perdent 3-17 à la mi-temps et en plus ils se bastonnent... 
Ils feraient mieux de se concentrer sur le jeu pour marquer un essai, là on se croirait au foot.
Je ferais mieux de zapper d'ailleurs, je leur porte malheur...
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Belfortaine de naissance, exilée en banlieue parisienne
Cuisiner suppose une tête légère, un esprit généreux et un coeur large. Paul Gauguin
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Moulin à rata
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Heureusement que je n'ai pas participé aux pronostics parce que j'ai tout faux !
J'étais persuadée qu'ils perdraient face aux Blacks, ils gagnent... Je pensais qu'ils gagneraient contre les Anglais, ils perdent et là je penchais pour la victoire mais c'est la défaite qui se profile...
J'étais persuadée qu'ils perdraient face aux Blacks, ils gagnent... Je pensais qu'ils gagneraient contre les Anglais, ils perdent et là je penchais pour la victoire mais c'est la défaite qui se profile...
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Moulin à rata
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Thierry39
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J'ai pas pu voir le match (j'étais au bistrot) mais apparement l'oiseau de mahleur qui est venu nous annoncé la défaite de la France avait raison.Message original: Moulin à rata
3 à 22 cette fois-ci je zappe
Bon maintenant ce qui compte c'est la victoire de l'Afrique du Sud demain et là je serai devant la télé.
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !
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Thierry39
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C'est facile d'ironiser après la défaite !Message original: Murie
Je sais que je ne devrais pas, mais...
(je parle du post de Turbo, bien sûr...)
C'est vrai que je n'avais jamais compris pourquoi on les appelait le "quiche de France"...
C'est comme ceux qui restent loin du front pendant les combats, et une fois la bataille perdue viennent voler les montres et les dents en or de ceux qui sont morts au front.
Bon je me laisse peut-être un peu emporter.
Vivement ce soir pour la victoire de la Zuid-Afrika.
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Moulin à rata
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C'est une mauvaise fin pour les Français mais ils cherchaient la victoire alors la 3ème ou 4ème place, c'est forcément une contre-performance...
Je pense qu'ils étaient motivés mais les Argentins aussi, poussés par leur extraordinaire performance dans cette Coupe du Monde et ça a fait la différence. Bravo à eux, c'est une place méritée pour cette équipe d'un pays par encore très connu pour ses capacités dans ce sport.
Je pense qu'ils étaient motivés mais les Argentins aussi, poussés par leur extraordinaire performance dans cette Coupe du Monde et ça a fait la différence. Bravo à eux, c'est une place méritée pour cette équipe d'un pays par encore très connu pour ses capacités dans ce sport.
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Thierry39
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Les Argentins ont bien joué et méritaient de gagner mais ils ont aussi beaucoup triché dans les regroupements et le jeu au sol. L'arbitre n'a pas été à la hauteur. Si il y a eu des bagarres entre joueurs c'est bien qu'il y a eu des irrégularités.
Enfin c'est vrai que les Français n'étaient pas motivés comme ils l'auraient été pour la finale et que les Argentins ont bien mérité cette troisième place.
Enfin c'est vrai que les Français n'étaient pas motivés comme ils l'auraient été pour la finale et que les Argentins ont bien mérité cette troisième place.
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Belle victoire des Sud-Africains. Je suis bien content pour cette équipe. Les Springboks ont très bien joué, le match était très spectaculaire pour le combat, les mêlées ouvertes, les nettoyages très virils, etc.
Pour les pronostics, personne n'avait pronostiqué une victoire de l'Afrique du Sud. Mais j'avais bien pronostiqué que les sud-Africains marqueraient 15 points en finale.
Pour les pronostics, personne n'avait pronostiqué une victoire de l'Afrique du Sud. Mais j'avais bien pronostiqué que les sud-Africains marqueraient 15 points en finale.
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !
Et 3 défaites en 7 matchs (dont seulement 5 vraiment sérieux), c'est bien en-dessous de ce qu'on attendait de notre quinze de France.Message original: Moulin à rata
C'est une mauvaise fin pour les Français mais ils cherchaient la victoire alors la 3ème ou 4ème place, c'est forcément une contre-performance...
Cela dit, bravo à nos adversaires qui ont bien étudié notre jeu et parfaitement su le contrer. Même si les argentins ont marqué leur 1er essai contre le cours du jeu, ils méritent amplement leur victoire et leur 3ème place.
Et c'est donc Thierry notre grand vainqueur. Toutes mes félicitations !!Message original: Thierry39
Pour les pronostics, personne n'avait pronostiqué une victoire de l'Afrique du Sud. Mais j'avais bien pronostiqué que les sud-Africains marqueraient 15 points en finale.
sed 
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Thierry39
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L'EQUIPE
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LE RUGBY EN FÊTE
Par Aymeric MARCHAL
La Coupe du monde disputée en France s'est achevée en beauté avec le triomphe de l'Afrique du Sud face à l'Angleterre (15-6). Au terme de six semaines de compétition, le bilan est très largement positif et le rugby sort grandi de cette septième édition. Il faut maintenant confirmer ce nouvel élan.
Une compétition complètement folle
La victoire de l'Afrique du Sud ne souffre aucune contestation possible et les Spingboks, seuls invaincus du tournoi, faisaient partie des prétendants sérieux au titre avant la compétition. La présence de l'Angleterre en finale est en revanche une grosse surprise, à l'image d'un tournoi plein d'incertitudes qui a largement bousculé la hiérarchie mondiale. Le fait marquant restera l'élimination précoce en quarts des deux grands favoris, l'Australie et la Nouvelle-Zélande, absente pour la première fois avant les demi-finales. Certains pays ont séduit, notamment les archipels du Pacifique comme les Fidji, ou même les petites nations comme le Japon ou le Portugal, qui ont vendu chèrement leur peau à chaque fois, avec de belles qualités. L'Argentine restera aussi comme la sensation du tournoi, avec ses deux victoires sur la France et une troisième place amplement méritée. Les Pumas voulaient faire passer un message pour être enfin considérés comme une grande nation du rugby, ils ne pouvaient pas faire mieux pour être enfin entendus. Ces éléments plaident au passage en faveur du maintien d'une Coupe du monde à vingt équipes, alors que des voix s'élèvent parmi les grandes puissances, notamment en Australie et en Nouvelle-zélande, pour abaisser le nombre d'équipes à seize. Au détriment des petites nations, pourtant méritoires. Certaines tendances sont aussi à souligner : lors du premier tour, tout le monde louait la puissance et le talent des trois nations du Sud et les voyait intouchables. Les quarts de finale sont passés par là, et le Nord n'a finalement pas tant de retard, bien au contraire. Il faut aussi remarquer que les deux finales, la petite et la grande, ont été deux remakes de matches de poules, ce qui tend à confirmer une chose : il vaut mieux avoir des adversaires de valeur dès la première phase pour entrer rapidement dans la compétition. Les All Blacks et les Wallabies, qui se sont promenés dans leurs groupes respectifs, n'ont pas été bien préparés à l'adversité et ont chuté dès leur premier match contre une équipe de classe mondiale.
La fête du rugby
La Coupe du monde est indéniablement un grand succès, saluée par beaucoup (dont Syd Millar, l'ex- président de l'IRB et de nombreux joueurs) comme la plus réussie de l'histoire. L'engouement populaire fut sans précédent, avec près de 94% de taux de remplissage des stades et 2,3 millions de billets vendus (record battu). La France s'est découvert par exemple une passion pour le ballon ovale, avec quelques images qui resteront dans les mémoires : la liesse partout dans le pays après la victoire contre les Blacks à Cardiff ou encore les applaudissements nourris pour les Bleus au Parc des Princes après un match pourtant raté contre l'Argentine dans la petite finale. Les audiences télé sont aussi éloquentes avec un record de 20 millions pour la demi-finale France-Angleterre et une moyenne de 12 millions de téléspectateurs pour la finale, même sans les les Bleus. L'ambiance générale dans les stades a toujours été conviviale et festive et il n'y a pas eu le moindre incident en six semaines de compétition. Le rugby a su donner une excellente image et a séduit un public familial, qu'il s'agit maintenant de garder.
La regression du jeu
A l'heure des bilans, le gros point noir de la septième Coupe du monde concerne la pauvreté en terme de jeu, notamment dans la phase finale. Une fois encore, c'est la meilleure défense qui a gagné au terme d'une finale sans essai. Mais on peut surtout regretter que l'évolution du jeu empêche désormais d'observer des attaques dignes de ce nom. Face à des défenses de mieux en mieux organisées, il est devenu quasiment impossible de franchir le premier rideau et de porter le ballon aux ailes. Les matches se résument alors à un gros combat d'avants et à une bataille d'occupation du terrain au pied, en attendant que l'adversaire commette des fautes. Fermées et tendues, les rencontres sont parfois ennuyeuses, surtout pour les profanes, et ce n'est pas une bonne publicité pour le rugby. Avant même la fin du tournoi, certains acteurs, comme Brian Ashton et Bernard Laporte, se sont émus de cette évolution néfaste et ont réclamé des réformes pour ne plus donner la faveur systématique à la défense et essayer de favoriser le jeu d'attaque. Bernard Lapasset, le nouveau patron de l'IRB, devra travailler sur ce dossier en priorité. Il faudra aussi trouver des solutions pour simplifier le travail des arbitres autour des rucks, où il est devenu très difficile de faire le ménage.
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LE RUGBY EN FÊTE
Par Aymeric MARCHAL
La Coupe du monde disputée en France s'est achevée en beauté avec le triomphe de l'Afrique du Sud face à l'Angleterre (15-6). Au terme de six semaines de compétition, le bilan est très largement positif et le rugby sort grandi de cette septième édition. Il faut maintenant confirmer ce nouvel élan.
Une compétition complètement folle
La victoire de l'Afrique du Sud ne souffre aucune contestation possible et les Spingboks, seuls invaincus du tournoi, faisaient partie des prétendants sérieux au titre avant la compétition. La présence de l'Angleterre en finale est en revanche une grosse surprise, à l'image d'un tournoi plein d'incertitudes qui a largement bousculé la hiérarchie mondiale. Le fait marquant restera l'élimination précoce en quarts des deux grands favoris, l'Australie et la Nouvelle-Zélande, absente pour la première fois avant les demi-finales. Certains pays ont séduit, notamment les archipels du Pacifique comme les Fidji, ou même les petites nations comme le Japon ou le Portugal, qui ont vendu chèrement leur peau à chaque fois, avec de belles qualités. L'Argentine restera aussi comme la sensation du tournoi, avec ses deux victoires sur la France et une troisième place amplement méritée. Les Pumas voulaient faire passer un message pour être enfin considérés comme une grande nation du rugby, ils ne pouvaient pas faire mieux pour être enfin entendus. Ces éléments plaident au passage en faveur du maintien d'une Coupe du monde à vingt équipes, alors que des voix s'élèvent parmi les grandes puissances, notamment en Australie et en Nouvelle-zélande, pour abaisser le nombre d'équipes à seize. Au détriment des petites nations, pourtant méritoires. Certaines tendances sont aussi à souligner : lors du premier tour, tout le monde louait la puissance et le talent des trois nations du Sud et les voyait intouchables. Les quarts de finale sont passés par là, et le Nord n'a finalement pas tant de retard, bien au contraire. Il faut aussi remarquer que les deux finales, la petite et la grande, ont été deux remakes de matches de poules, ce qui tend à confirmer une chose : il vaut mieux avoir des adversaires de valeur dès la première phase pour entrer rapidement dans la compétition. Les All Blacks et les Wallabies, qui se sont promenés dans leurs groupes respectifs, n'ont pas été bien préparés à l'adversité et ont chuté dès leur premier match contre une équipe de classe mondiale.
La fête du rugby
La Coupe du monde est indéniablement un grand succès, saluée par beaucoup (dont Syd Millar, l'ex- président de l'IRB et de nombreux joueurs) comme la plus réussie de l'histoire. L'engouement populaire fut sans précédent, avec près de 94% de taux de remplissage des stades et 2,3 millions de billets vendus (record battu). La France s'est découvert par exemple une passion pour le ballon ovale, avec quelques images qui resteront dans les mémoires : la liesse partout dans le pays après la victoire contre les Blacks à Cardiff ou encore les applaudissements nourris pour les Bleus au Parc des Princes après un match pourtant raté contre l'Argentine dans la petite finale. Les audiences télé sont aussi éloquentes avec un record de 20 millions pour la demi-finale France-Angleterre et une moyenne de 12 millions de téléspectateurs pour la finale, même sans les les Bleus. L'ambiance générale dans les stades a toujours été conviviale et festive et il n'y a pas eu le moindre incident en six semaines de compétition. Le rugby a su donner une excellente image et a séduit un public familial, qu'il s'agit maintenant de garder.
La regression du jeu
A l'heure des bilans, le gros point noir de la septième Coupe du monde concerne la pauvreté en terme de jeu, notamment dans la phase finale. Une fois encore, c'est la meilleure défense qui a gagné au terme d'une finale sans essai. Mais on peut surtout regretter que l'évolution du jeu empêche désormais d'observer des attaques dignes de ce nom. Face à des défenses de mieux en mieux organisées, il est devenu quasiment impossible de franchir le premier rideau et de porter le ballon aux ailes. Les matches se résument alors à un gros combat d'avants et à une bataille d'occupation du terrain au pied, en attendant que l'adversaire commette des fautes. Fermées et tendues, les rencontres sont parfois ennuyeuses, surtout pour les profanes, et ce n'est pas une bonne publicité pour le rugby. Avant même la fin du tournoi, certains acteurs, comme Brian Ashton et Bernard Laporte, se sont émus de cette évolution néfaste et ont réclamé des réformes pour ne plus donner la faveur systématique à la défense et essayer de favoriser le jeu d'attaque. Bernard Lapasset, le nouveau patron de l'IRB, devra travailler sur ce dossier en priorité. Il faudra aussi trouver des solutions pour simplifier le travail des arbitres autour des rucks, où il est devenu très difficile de faire le ménage.
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !
Message original: Domi
Mitch tu va nous pouvoir nous donner le classement général !! merci !
Tu m'as devancé de peu : je viens de mettre à jour le tableau.
1 - Thierry39 (112 points)
2 - Mitch (102pts)
3 - Domi (100pts)
4 - Lionel (91pts)
5 - Nédj (88pts)
Un grand bravo à Thierry pour ce résultat.
J'ai beaucoup apprécié ce petit concours, et j'espère bien que nous aurons l'occasion de remettre ça.
Si oui, j'ai noté quelques axes d'amélioration :
- l'organiser et l'annoncer plus tôt, afin d'avoir plus de participants ;
- revoir le décompte des points pour la phase finale (j'espérais un combat plus serré, mais ce pari pour la finale dès les quarts aura plutôt "cassé" le jeu) ;
- prévoir une récompense pour le vainqueur.
*** Message édité par Mitch le 22/10/2007 13:51 ***
