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Re: Kikavuki?
Posté : ven. 24 avr. 2009, 14:48
par lionel
Beuillot a écrit :D'ailleurs, c'est quoi ces unités à la mords moi l'unité?

Ben, c'est des trucs qui correspondent à quelque chose quand tu regardes une carte où sont représentées les latitudes et longitudes, exprimées en degrés. 1 mille marin correspond à 1 minute (1/60 degré) de latitude.
Re: Kikavuki?
Posté : ven. 24 avr. 2009, 15:25
par Moblot
lionel a écrit :Beuillot a écrit :D'ailleurs, c'est quoi ces unités à la mords moi l'unité?

Ben, c'est des trucs qui correspondent à quelque chose quand tu regardes une carte où sont représentées les latitudes et longitudes, exprimées en degrés. 1 mille marin correspond à 1 minute (1/60 degré) de latitude.
T''as plus une minute à toi, Mr Yoyo

Re: Le vent du boulet.
Posté : ven. 24 avr. 2009, 15:34
par obelix
Voilà une carte légèrement retouchée de Poussan avant la tempête ...

Re: Le vent du boulet.
Posté : ven. 24 avr. 2009, 16:45
par lionel
obelix a écrit :Voilà une carte légèrement retouchée de Poussan avant la tempête ...
Pourquoi t'as pas mis l'oppidum, les collines, les rivières et tout le bordel habituel ? Je te signale que sur ta carte, pour une fois, il y a une voie romaine.

Re: Kikavuki?
Posté : dim. 26 avr. 2009, 1:35
par Beuillot
lionel a écrit :Beuillot a écrit :D'ailleurs, c'est quoi ces unités à la mords moi l'unité?

Ben, c'est des trucs qui correspondent à quelque chose quand tu regardes une carte où sont représentées les latitudes et longitudes, exprimées en degrés. 1 mille marin correspond à 1 minute (1/60 degré) de latitude.
Le mètre fut officiellement défini pour la première fois en 1790 par l'Académie des sciences comme étant la dix-millionième partie d'un quart de méridien terrestre.
Et puis on s'en fout. L'important, c'est d'utiliser des unités qui parlent aux gens. Y a pas la mer en Franche-Comté, y a des forêts, on connait mieux les glands que les noeuds.
Alors, il y a un

sur l'Hérault (et non pas le Gard, Kureru-san) sur les cartes météo?
Re: Le vent du boulet.
Posté : dim. 26 avr. 2009, 10:22
par sensible
J'ai dit Gard car j'enchaînais sur le concours de celui qui avait la plus grande (vitesse de vent)

entre Yoyo et le Moblot. Yoyo a cloué l'bec à tout le monde

en mentionnant le record de 320 km/h à l' Aigoual dans le Gard, donc, et en laissant entendre que l'Aigoual c'est quasiment chez lui.
Ceci dit je suis ravie d'apprendre que Yoyo habite l'Hérault , je ne connais absolument pas la côte d'azur, à l'exception du Mont Faron et de Porquerolles où j'ai passé une demi-journée il y a quinze ans

Re: Kikavuki?
Posté : dim. 26 avr. 2009, 11:28
par lionel
Beuillot a écrit :
Le mètre fut officiellement défini pour la première fois en 1790 par l'Académie des sciences comme étant la dix-millionième partie d'un quart de méridien terrestre.
Oui, mais maintenant, ça fait référence à la longueur d'onde de je ne sais plus quoi. Ivy l'avait posté il y a un temps.
Beuillot a écrit :
Et puis on s'en fout. L'important, c'est d'utiliser des unités qui parlent aux gens. Y a pas la mer en Franche-Comté, y a des forêts, on connait mieux les glands que les noeuds.
Soit, mais si tu randonnes en forêt en FC, avec un GPS, il va te donner des coordonnées en latitude et longitude, que tu va reporter sur une carte (Encore faut-il que la carte soit récente, car les cartes anciennes étaient basées sur un système un peu différent : nord magnétique au lieu du nord géographique, je crois bien

). Avoir ne serait ce qu'une vague idée de ce que ça signifie est assez utile pour savoir combien de bornes il te reste à faire pour rentrer. Grosso modo 2km pour chaque minute de latitude.
En pratique, pour une estimation plus fine, on multiplie par 2 et on enlève 10% au résultat.

Re: Le vent du boulet.
Posté : dim. 26 avr. 2009, 11:40
par lionel
sensible a écrit :
Ceci dit je suis ravie d'apprendre que Yoyo habite l'Hérault , je ne connais absolument pas la côte d'azur, à l'exception du Mont Faron et de Porquerolles où j'ai passé une demi-journée il y a quinze ans

Heu navré, Sensible, mais je n'habite pas sur la côte d'azur... J'en suis même assez loin. En fait, Sète se trouve à peu près au milieu du Golfe du Lion, et il y a environ 300 bornes de bagnole pour aller à Hyères.

Re: Kikavuki?
Posté : dim. 26 avr. 2009, 15:15
par Bisontin la vertu
lionel a écrit :Beuillot a écrit :
Le mètre fut officiellement défini pour la première fois en 1790 par l'Académie des sciences comme étant la dix-millionième partie d'un quart de méridien terrestre.
Oui, mais maintenant, ça fait référence à la longueur d'onde de je ne sais plus quoi. Ivy l'avait posté il y a un temps.
Le mètre est rattaché à la vitesse de la lumière dans le vide soit à peu de chose près 300 000 km/s ou 300 000 000 m/s.
Donc, 1 m = distance parcourue par la vitesse de la lumière en 1 / 300 000 000 s.
Beaucoup plus rapide que le temps d'écrire tout ça

Re: Kikavuki?
Posté : dim. 26 avr. 2009, 18:53
par Moblot
Bisontin la vertu a écrit :Le mètre est rattaché à la vitesse de la lumière dans le vide soit à peu de chose près 300 000 km/s ou 300 000 000 m/s.
Donc, 1 m = distance parcourue par la vitesse de la lumière en 1 / 300 000 000 s.
Beaucoup plus rapide que le temps d'écrire tout ça

Et qu'est-ce qui défini une seconde....

Re: Kikavuki?
Posté : dim. 26 avr. 2009, 19:05
par Sobi
Moblot a écrit :Et qu'est-ce qui défini une seconde....

C'est une "première" ratée

Re: Kikavuki?
Posté : dim. 26 avr. 2009, 20:56
par Moblot
Re: Kikavuki?
Posté : dim. 26 avr. 2009, 22:10
par Bisontin la vertu
Moblot a écrit :Et qu'est-ce qui défini une seconde....

Je crois que c'est la durée d'une transition entre deux niveaux de je ne sais plus trop quoi de l'atome de Césium.
Pfff, ça fait mal de vieillir, j'ai plus toute ma tête

Re: Le vent du boulet.
Posté : dim. 26 avr. 2009, 22:13
par Moblot
" définition de la seconde, l’unité SI de temps, a été définie selon les connaissances et les possibilités techniques de chaque époque.
* Elle a d’abord été définie comme la fraction 1⁄86400 du jour solaire terrestre moyen. L’échelle de temps associée est le temps universel TU. (Cette durée est proche de la période moyenne du battement du coeur d'un homme adulte au repos.)
* En 1956, pour tenir compte des imperfections de la rotation de la Terre (qui ralentit notamment à cause des marées) elle a été basée sur la révolution de la Terre autour du Soleil et définie comme une fraction de l’année tropique 1900, soit 1⁄31 556 925,9747. C’est la seconde du temps des éphémérides TE.
* Depuis la 13e Conférence générale des poids et mesures, la seconde n’est plus définie par rapport à l’année, mais par rapport à une propriété de la matière ; cette unité de base du système international a été définie en 1967 dans les termes suivants :
La seconde est la durée de 9 192 631 770 périodes de la radiation correspondant à la transition entre les niveaux hyperfins F=3 et F=4 de l’état fondamental 6S½ de l’atome de césium 133[1].
La seconde, étalon de mesure du temps, est ainsi un multiple de la période de l’onde émise par un atome de césium 133 lorsqu’un de ses électrons change de niveau d’énergie. On est ainsi passé de définitions (en quelque sorte descendantes) dans lesquelles la seconde résultait de la division d’un intervalle de durée connue en plus petits intervalles, à une définition ascendante où les autres mesures de temps sont des multiples de la seconde.
Lors de sa session de 1997, le Comité international a confirmé que Cette définition se réfère à un atome de césium au repos, à une température de 0 K. Cette dernière précision souligne le fait qu’à 300 K, la transition en question subit, par rapport à sa valeur théorique, un déplacement en fréquence dû aux effets de rayonnement du corps noir. Cette correction a été apportée aux étalons primaires de fréquence et donc au TAI à partir de 1997, quand elle a cessé d’être négligeable par rapport aux autres sources d’incertitude.
On dispose aujourd’hui d’une exactitude allant jusqu’à la 14e décimale (10-14). La stabilité et l’exactitude de l’échelle dite du Temps atomique international (TAI) obtenue principalement à partir d’horloges atomiques à jet de césium sont environ 100 000 fois supérieures à celles du temps des éphémérides. C’est d’ailleurs l’unité du SI la plus précisément connue.
De nombreuses expériences en cours sur des transitions atomiques à des fréquences optiques, beaucoup plus élevées que les 9 GHz de la définition actuelle de la seconde, indiquent clairement que les performances obtenues avec l’atome de césium sont ou seront dépassées de plusieurs ordres de grandeur dans un avenir proche. Il faut s’attendre à ce qu’une nouvelle définition de la seconde voie le jour dans la décennie 2010-2020, dès que le meilleur des différents atomes candidats (calcium, ytterbium, strontium, mercure…) aura été désigné par l’expérience. Elle sera toujours liée à une transition atomique. Cette nouvelle définition coïncidera peut-être avec l’abandon des secondes intercalaires et donc avec une définition de l’échelle de temps internationale de référence purement atomique, indépendante de la rotation terrestre."definitions trouver de chez Wiki
et qui compte les petits sauts de l'atome...
Et tout cas, trouve pas cela trop prècis......

Re: Le vent du boulet.
Posté : dim. 26 avr. 2009, 22:19
par Bisontin la vertu
Ce bidule que je verrais depuis les fenêtres de mon bureau s'il n'y avait pas cette satanée (ancienne) pile nucléaire
http://www.esrf.eu/Decouvrir

Re: Le vent du boulet.
Posté : dim. 26 avr. 2009, 22:22
par Moblot
C'est une montre...

, j'ai pas vu les aiguilles

Re: Le vent du boulet.
Posté : dim. 26 avr. 2009, 22:25
par Bisontin la vertu
Non, c'est le synchrotron de Grenoble. Un truc hyper sensible aux secousses, construit entre 2 torrents, deux autoroutes et la voie ferrée
Je bosse juste derrière la grosse citerne grisâtre

Re: Le vent du boulet.
Posté : lun. 27 avr. 2009, 17:40
par Beuillot
Moblot a écrit :" définition de la seconde, l’unité SI de temps, a été définie selon les connaissances et les possibilités techniques de chaque époque.
* Elle a d’abord été définie comme la fraction 1⁄86400 du jour solaire terrestre moyen. L’échelle de temps associée est le temps universel TU. (Cette durée est proche de la période moyenne du battement du coeur d'un homme adulte au repos.)
* En 1956, pour tenir compte des imperfections de la rotation de la Terre (qui ralentit notamment à cause des marées) elle a été basée sur la révolution de la Terre autour du Soleil et définie comme une fraction de l’année tropique 1900, soit 1⁄31 556 925,9747. C’est la seconde du temps des éphémérides TE.
* Depuis la 13e Conférence générale des poids et mesures, la seconde n’est plus définie par rapport à l’année, mais par rapport à une propriété de la matière ; cette unité de base du système international a été définie en 1967 dans les termes suivants :
La seconde est la durée de 9 192 631 770 périodes de la radiation correspondant à la transition entre les niveaux hyperfins F=3 et F=4 de l’état fondamental 6S½ de l’atome de césium 133[1].
La seconde, étalon de mesure du temps, est ainsi un multiple de la période de l’onde émise par un atome de césium 133 lorsqu’un de ses électrons change de niveau d’énergie. On est ainsi passé de définitions (en quelque sorte descendantes) dans lesquelles la seconde résultait de la division d’un intervalle de durée connue en plus petits intervalles, à une définition ascendante où les autres mesures de temps sont des multiples de la seconde.
Lors de sa session de 1997, le Comité international a confirmé que Cette définition se réfère à un atome de césium au repos, à une température de 0 K. Cette dernière précision souligne le fait qu’à 300 K, la transition en question subit, par rapport à sa valeur théorique, un déplacement en fréquence dû aux effets de rayonnement du corps noir. Cette correction a été apportée aux étalons primaires de fréquence et donc au TAI à partir de 1997, quand elle a cessé d’être négligeable par rapport aux autres sources d’incertitude.
On dispose aujourd’hui d’une exactitude allant jusqu’à la 14e décimale (10-14). La stabilité et l’exactitude de l’échelle dite du Temps atomique international (TAI) obtenue principalement à partir d’horloges atomiques à jet de césium sont environ 100 000 fois supérieures à celles du temps des éphémérides. C’est d’ailleurs l’unité du SI la plus précisément connue.
De nombreuses expériences en cours sur des transitions atomiques à des fréquences optiques, beaucoup plus élevées que les 9 GHz de la définition actuelle de la seconde, indiquent clairement que les performances obtenues avec l’atome de césium sont ou seront dépassées de plusieurs ordres de grandeur dans un avenir proche. Il faut s’attendre à ce qu’une nouvelle définition de la seconde voie le jour dans la décennie 2010-2020, dès que le meilleur des différents atomes candidats (calcium, ytterbium, strontium, mercure…) aura été désigné par l’expérience. Elle sera toujours liée à une transition atomique. Cette nouvelle définition coïncidera peut-être avec l’abandon des secondes intercalaires et donc avec une définition de l’échelle de temps internationale de référence purement atomique, indépendante de la rotation terrestre."definitions trouver de chez Wiki
et qui compte les petits sauts de l'atome...
Et tout cas, trouve pas cela trop prècis......

Pauvres mouches.

Re: Le vent du boulet.
Posté : lun. 27 avr. 2009, 20:29
par Moblot
Par ce que si la seconde n'est pas précise, le mètre non plus... Donc, le mètre cube sera totalement foireux, et le litre aussi... Le bordel.....

Re: Kikavuki?
Posté : mar. 28 avr. 2009, 12:00
par lionel
Moblot a écrit :T''as plus une minute à toi, Mr Yoyo

M. Yoyo, s'il te plait. Je ne suis pas anglais.
