ambio c'est entourer
Cingere c'est cindre, pas obligé de faire le tour.
Par ailleurs tu as "crepido" socle,etc...qui te fait penser que le fastigium est au-dessus... en deux plans inclinés ou un seul ???????
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
"L’autre Plaine inférieure, était dans le voisinage en faîtage humble (modéré) lui aussi, un socle, non moins difficile à gravir que celui du premier, l'entourait." Comme la compréhension de fastigium = une masse en faîtage n'est pas comprise, la notion de socle (crepido) échappe complètement au traducteur.
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
Un autre plateau plus bas (altera inferior planities au nominatif singulier féminin) placé en dessous (submissa au nominatif féminin singulier) d'un/du fastigium ( fastigium à l'ablatif ou au datif singulier neutre)
C'est à confirmer, mais dans ce cas, il existe peut-être une pente (une masse en pente) entre le plateau du haut et celui du bas ...
Reste à savoir si le verbe "ambibat" autorise cette configuration !
jost a écrit :ambio c'est entourer
Cingere c'est cindre, pas obligé de faire le tour.
Pas obligé non plus de faire le tour complet avec "ambio" plusieurs exemples dans le Gaffiot vont dans ce sens :
Tiberis amnit ambis urbem = le Tibre entoure la ville. Je ne pense pas que le Tibre entoure entièrement la ville. C'est confirmé par la définition de "ambitus" (mouvement circulaire) qui peut désigner un contour, un détour, ou un méandre de rivière qui sont des mouvements circulaires non fermés, comme le serait le socle d'un plateau inférieur accolé au supérieur par l'intermédiaire d'un "fastigium" ...
obelix a écrit :Un autre plateau plus bas (altera inferior planities au nominatif singulier féminin) placé en dessous (submissa au nominatif féminin singulier) d'un/du fastigium ( fastigium à l'ablatif ou au datif singulier neutre)
C'est à confirmer, mais dans ce cas, il existe peut-être une pente (une masse en pente) entre le plateau du haut et celui du bas ...
Reste à savoir si le verbe "ambibat" autorise cette configuration !
Obé ...
OUi probalement une autre plaine, plus modeste en-dessous en fastigium, elle serait sur un socle difficile à gravir.
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
Donc, globalement une éminence (tumulus) formée de deux plateaux réunis par une pente (un pan de toit plein), rendue difficile d'accès par une rivière du côté du plateau le plus élevé et partout autour par des pentes raides ?
obelix a écrit :Donc, globalement une éminence (tumulus) formée de deux plateaux réunis par une pente (un pan de toit plein), rendue difficile d'accès par une rivière du côté du plateau le plus élevé et partout autour par des pentes raides ?
ce dessin ne te donne pas en "cingere" des pentes abruptes sur le tumulus le plus haut.
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
L'autre plaine, plus basse et modérée est posée sur le socle tout aussi abrupte que la première colline.
Il faut une véritable rupture de pente sur le haut du socle.
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
obelix a écrit :Pourquoi mets-tu un fastigium sur le plateau inférieur ?
La plaine inférieure, plus basse et modérée, doit reposer sur le socle. Ce socle en lui-même est abrupte.
Par ailleurs il n'est pas dit que versant à l'arrière soit si abrupe. C'est le cours d'eau qui fait obstacle.
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
obelix a écrit :Pourquoi mets-tu un fastigium sur le plateau inférieur ?
La plaine inférieure, plus basse et modérée, doit reposer sur le socle. Ce socle en lui-même est abrupte.
Par ailleurs il n'est pas dit que versant à l'arrière soit si abrupte. C'est le cours d'eau qui fait obstacle.
D'où vient le "modérée" ?
Si tu lis bien la suite des évènements, il est dit :
Les hauteurs qu'avait occupées l'ennemi, elles lui serviraient à sauter, dans sa fuite, des précipices et des escarpements ! Et encore, cette fuite, les Romains la lui barreraient.
Ce qui paraît indiquer que nulle part, il n'existe de pentes douces pour quitter le "tumulus" ...
obelix a écrit :Les hauteurs qu'avait occupées l'ennemi, elles lui serviraient à sauter, dans sa fuite, des précipices et des escarpements ! Et encore, cette fuite, les Romains la lui barreraient.
Ce qui paraît indiquer que nulle part, il n'existe de pentes douces pour quitter le "tumulus" ...
Lis bien les romains occupent la vallée, donc là où coule le cours d'eau.
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
"summissa" c'est "humble" je pense à modéré, "plus bas" est déjà donné par "inferior"
Summissa, c'est aussi "placé en dessous" et je pencherais plutôt pour "un plateau inferieur (à l'autre plateau) placé en dessous (summissa) d'une masse en pente (fastigium) . Le fastigium, serait dans ce cas la masse pentue du flan du plateau supérieur ...
"summissa" c'est "humble" je pense à modéré, "plus bas" est déjà donné par "inferior"
Summissa, c'est aussi "placé en dessous" et je pencherais plutôt pour "un plateau inferieur (à l'autre plateau) placé en dessous (summissa) d'une masse en pente (fastigium) . Le fastigium, serait dans ce cas la masse pentue du flan du plateau supérieur ...
Obé ...
Tu remarqueras 'inferior" plus bas par rapport à un autre moins bas.
Tout comme à Alésia une colline plus exterieure....Forcément par rapport à une autre moins extérieure...
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
obelix a écrit :un plateau inferieur (à l'autre plateau) placé en dessous (summissa)
C'est un pléonasme...
Si tu coupes la phrase, oui ! Pas si tu la laisse entière !
Summissa, c'est aussi "placé en dessous" et je pencherais plutôt pour "un plateau inferieur (à l'autre plateau) placé en dessous (summissa) d'une masse en pente (fastigium) . Le fastigium, serait dans ce cas la masse pentue du flan du plateau supérieur ...
Mais si tu préfères un plateau "humble", libre à toi ...