Voici ce que j'ai retrouvé sur le camp du Mont Bart : L'auteur se trompe puisque Voulot qui a fouillé le site a retrouvé un camp qui comme le Châtaillon est d'origine néolithique .

Merci pour le compliment, Vieux-Sage ! Mais pour ce qui est de la chimère, il faudra bien te rendre à l'évidence qu'Alésia se situe bien à Montbéliard . Tu peux te fier à ma clairvoyance ...vieux sage a écrit : Que de talent gaspillé pour défendre une chimère.
Une chimère avec une circonvallation de 16 Km = 11 000 pas ...vieux sage a écrit : Que de talent gaspillé pour défendre une chimère.
Salut Obé
Comme l'explique César, Vercassivellaunos, l’un des quatre chefs, parent de Vercingétorix, sortit du cámp à la première veille ; ayant à peu près terminé son mouvement au lever du jour, il se dissimula derrière la montagne et fit reposer ses soldats des fatigues de la nuits. Autrement dit, les 60 000 gaulois de l'armée de secours ont mis la nuit pour atteindre le revers de la colline du nord qui se situe ) environ 13 km du camp de l'armée de secours . Ceci correspond à une colonne de 60 000 hommes qui marchent 2 par 2, à 4.3 km/h pendant 10 h, le parcours pour contourner les fortifications romaine à distance raisonnable pour ne pas se faire repérer mesurant 13 km . (trajet + longueur de colonne = trajet total = 43 km : 4.3 km/h = 10h)vieux sage a écrit : Salut Obé
Pourrais-tu expliquer comment les 60000 ont pu prendre la colline du nord à revers en partant de leur camp de base situé sur la rive opposée du Doubs au sud ?
Obé ...obelix a écrit :vieux sage a écrit : Salut Obé
Pourrais-tu expliquer comment les 60000 ont pu prendre la colline du nord à revers en partant de leur camp de base situé sur la rive opposée du Doubs au sud ?
Bien sûr, que je peux ...vieux sage a écrit :
Merci pour ta réponse : pourrais-tu par ailleurs tracer les fortifications de la plaine et le déroulement du premier combat ?
voici un extrait du travail de Jean-François Chopard sur la grotte :municio a écrit :On retrouve le même principe d'éclairage solaire au solstice sur le site préhistorique de Stonehenge en Grande Bretagne situé dans la plaine de Salisbury.
Il faut avouer que c'est très intriguant.
Cela montre que les peuples anciens étaient très liés à la nature et aux différents aspects de ses manifestations,notamment au temps et aux périodes spéciales du calendrier.
Certainement beaucoup plus que nous le sommes aujourdhui...
Cher Vieux-Sage,vieux sage a écrit :mon cher Obé,
je t'ai posé des questions pour que tu puisses constater que les péripéties du siège étaient impossibles à réaliser sur ce site de Montbéliard :
Un parcours de nuit de 13 kilomètres avec franchissement du DOUBS et de 'l'ALLAN ( à l'aller et au retour) n'est pas sérieux.
les combats se sont principalement déroulés dans la plaine au sud et le camp de César est au nord...
Le camp de l'armée de secours séparé de la plaine par le DOUBS...
Quant aux fortifications de la plaine tu te rends compte que ce n'est pas réalisable et tu y as renoncé...
Je veux bien vous aider, mais je crois qu'il faudrait créer un nouveau sujet dans histoire, puisque ce sujet n'a rien à voir avec Alésia ...vieux sage a écrit :On a besoin qe toi pour approfondir d'autres recherches, notamment pour tes connaissances professionnelles sur le travail de la pierre.
amitiés
obelix a écrit :Un peu trop tonique ...![]()
Vous faites tous la même erreur de traduction quant à la hauteur de la colline en séparant la phrase au mauvais endroit "Ipsum erat oppidum Alesia in colle summo, admodum edito loco, ut nisi obsidione expugnari non posse videretur". En fait, il faut la traduire ainsi:
L'oppidum était juste au sommet d'une colline, un endroit assez élevé, pour qu'on voie bien qu’il était impossible de la prendre autrement que par un siège en règle.
Une colline de vingt mètres de haut est déjà imprenable, alors trente mètres encore moins ...
D'autre part, la position de Guillon interdit qu'il s'agisse d'Alésia . César dit ; "Magno horum coacto numero, cum Caesar in Sequanos per extremos Lingonum fines iter faceret, quo facilius subsidium provinciae ferri posset, circiter milia passuum decem ab Romanis trinis castris Vercingetorix consedit" . Dans la proposition "cum Caesar in Sequanos per extremos Lingonum fines iter faceret" il faut voir "in (...) iter faceret, ce qui signifie faire route dans, entrer ... On peut traduire ainsi; "Pendant que César entrait chez les séquanes par la frontière des Lingons, vercingétorix (...) . En fait Vercingétorix a attendu que César sorte du pays Lingon, pays ennemi, pour tendre une embuscade à César . Ca me paraît d'une logique implacable ... Je ne pense pas que Vercingétorix aie prévu de traverser la position des romains pour aller se réfugier en terrain hostile à Guillon ...
Enfin, le seul indice que Guillon puisse être l'Alesia mandubiorum vient d'écrits posteéieurs au poème du moine héri . Le moine Héri à juste fait le rapprochement D'Alise avec Alésia à Cause de la ressemblance phonétique, rien de très crédible ... Par la suite les érudits locaux on commencé à penser qu'ils étaient en pays Mandubien . Rien de plus !
Les Mandubiens étaient en réalité les habitants de la région de Mandeure, en Séquanie, qui s'appellent les Mandubiens sans jamais avoir revendiqué le site d'Alésia ...
Alors guillon = Alésia ? Je ne pense pas !![]()
Obé ...